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Histoires de Q
20 août 2015

récit d'une rencontre réelle au musée (2)

 (Deuxième partie illustrée de cinq photos)

Dans l'esprit de F. Rops

Depuis la visite conjointe de l'exposition Rops/Fabre, agrémentée de quelques moments de découvertes coquines et fugaces mais combien délicieuses, il était évident qu'un prolongement de cette aventure amoureuse devait devenir une réalité.

Une date de RDV fut dès lors déterminée au moment de prendre congé.
À partir de là il ne lui restait plus qu'à voir les jours s'évanouir et les heures disparaître dans le néant du temps en imaginant la concrétisation de tous les fantasmes nés aux cours des échanges de messages sur le site de rencontre.
Lorsqu'il s'approche de l'immeuble, où le couple l'attend, il sent que son pouls s'accélère un peu.
L'émotion se mélange à l'excitation et ce cocktail est particulièrement grisant.
Il s'interroge sur la manière dont les minutes suivantes vont se dérouler.
Ce n'est pas évident d'être seul face à un couple amoureux, manifestement complice et dont se dégage un équilibre très perceptible.
Que dire alors quand on est sujet à des accès de timidité.
 
Son véhicule aborde la rue renseignée, le mari est là, attendant sur le trottoir.
Il lui fait signe et ouvre la porte du garage. La voiture s'engouffre vers le sous-sol pour s’y garer.
 
Après un salut cordial entre les deux hommes il suit son hôte vers l'ascenseur qui les mène à l'appartement.
La porte s'ouvre et elle est là, radieuse pour les accueillir dans le hall de leur logis.
Habillée d'un chemisier blanc sobre fait d'une étoffe légère quelque peu transparente, elle ne lui cache pas le plaisir qu'elle a de l'accueillir.
Il se rend immédiatement compte que l'aréole d'un sein est visible, l'autre étant cachée par une poche cousue à hauteur de la poitrine...dommage😋
La jupe est la même que celle qu'elle portait lors de leur rencontre au musée ROPS, légère et fluide. (Voir épisode musée)
Elle précède les deux hommes en se dirigeant vers le salon avec un perceptible déhanchement mettant ses fesses en évidence.
L'apéritif pétille, servi par le mari alors que les presqu'amants se placent naturellement côte à côte sur le divan.
La grande baie vitrée laisse entrer une lumière atténuée par des voiles blancs. Le décor est apaisant et quelques bibelots captent le regard.
 
La conversation s'engage sur le thème de la première rencontre et de la découverte des œuvres des deux artistes Wallon et Flamand. L'ambiance est emprunte de douceur. Le rythme des gestes et paroles est paisible.
Elle est là, souriante et enjouée avec ces deux hommes dont elle sent que le plus jeune aimerait manifestement se rapprocher d'elle.
Lui, qui a déjà goûté quelques courts instants à la douceur de sa peau, qui a déjà effleuré ses seins (voir histoire du musée) et découvert l'onctuosité de son sexe se demande comment reprendre le fil de ses explorations.
Il ne peut s'empêcher de répéter qu'il est timide mais qu'une fois cet état surmonté cela peut "évoluer" très vite.
La retenue résulte certainement du fait de la présence de l'époux qui reste neutre mais regarde incidemment comment va se dérouler l'approche des deux corps qui s'impatientent.
Il sait déjà qu'un couple d'amants va inexorablement se former là, devant lui.
 
Cette situation d'hésitation est stressante et le futur partenaire de l'épouse convoitée s'interroge quant à l'attitude à adopter Finalement le mari s'éclipse pour se rendre dans la cuisine. Quelques préparations sont à terminer avant de passer à table.
C'est l'instant où tout se libère. Une main s'égare vers ses seins dont il palpe le velouté, elle descend ensuite vers l'entre cuisse. Il écarte doucement le tissu arachnéen de la petite culotte pour s'immiscer entre les lèvres d'un sexe qui n'attendait manifestement que ce geste.
rencontre-museeT (5)
Les doigts qui s'immiscent en elle perçoivent la souplesse de la chair. Ils glissent facilement entre les lèvres gonflées par le désir.
Lorsque le mari revient il voit que les choses ont basculées et sont devenues très concrètes.
Il hésite à les inviter à table car ce serait incongru, à ce stade croissant d'envies et de libération, d'interrompre un tel élan.
Elle a le chemisier ouvert, ses seins étant libérés ils les têtes avec avidité.
Il a ramené les jambes de sa proie sur les siennes et d'une main fouineuse il lui caresse une cuisse et la naissance d'une fesse.
Des baisers sont déposés tendrement çà et là.
rencontre-musee (2)
II vient se lover au creux du cou de cette femme qu'il voudrait posséder là, maintenant sans tarder.
Cette fois il est certain qu'il a vaincu sa timidité. Il est emporté par ses pulsions et plus rien ne l'empêchera d'aller aux confins de ses envies.
Elle est maintenant à lui et s'abandonne complètement.
Il en est conscient et cela provoque en lui une augmentation de la pulsion de tous ses sens.
Le chemisier est enlevé prestement, libérant entièrement ces seins qu'il dévore des yeux et palpe avec précaution.
Les tétons très érectiles le fascinent.
Le mari attend jusqu'à ce qu'il estime pouvoir interrompre la fête des corps en proposant une petite collation. Les deux amants ayant un avant-goût de ce qu'ils vont bientôt connaître accèdent à la proposition.
La table est dressée avec un décor de circonstance et une musique douce déroule ses notes emplissant l'espace.
Des forces seront nécessaire pour aborder la suite de cette après-midi libertine.
Le repas est pris sans traîner, ils sont côte à côte, tous deux torses nus.
Rien ne l'empêche de s'égarer sous la table où sa main retrouve le velouté d'une cuisse accueillante.
Il remonte la courbe au grain soyeux et doux, il se dirige vers son intimité, elle lui facilite l'accès en écartant les jambes.
Le repas est simple mais goûteux. Il est accompagné d'un verre de vin mais surtout de la présence de l'autre.
Celui et celle qui vont entamer incessamment le jeu de l'amour sont en vibration commune.
Elle découvre ce partenaire qu'elle apprécie au fur et à mesure du temps qui passe.
Ils n'ont plus d'âges et se retrouvent dans un bulle intemporelle d'attirance amoureuse.
Le mari est heureux. Il perçoit l'épanouissement de sa tendre épouse.
Elle a le regard pétillant qui se glisse sous ses paupières lorsqu'elle lui sourit.
Elle regarde cet homme avec qui elle partage sa vie depuis tellement longtemps et se sent aimée. Elle l'aime, l'ambiance est propice à poursuivre de nouvelles approches amoureuses.
Elle se lève et entraîne son nouvel amant vers la chambre. Lui est heureux et excité, il va enfin pourvoir faire l'amour à cette femme.
Cette partie de l'histoire appartient aux deux amants, le mari ayant estimé qu'il devait partiellement s'éclipser et laisser une part d'intimité entre eux.
Il est conscient de l'importance de cet isolement et laisse donc aux amoureux l'espace libre propice à faire ce dont ils ont envie sans sa présence.
Il s'installe donc dans le séjour d'où il entend le doux hululement de sa douce.
Il va crescendo.
Il est manifeste que le bougre qui s'occupe d'elle sait y faire.
Moment sublime dont elle pourrait décrire l'évolution, dire ses sensations et son excitation aux divers stades de ce jeu indiciblement captivant de l'amour des corps qui s'enlacent.
Elle décrit cela comme suit:
"Je lui prend la main et l'entraîne vers la chambre. Il s'installe au bord du lit et me tête les seins.
Finalement en se rapprochant il me place debout devant lui. Ses mains remontent mes jambes galbées pour finir autour des hanches.
rencontre-musee (3)
Là il capte le léger tissu de ma petite culotte qu'il fait descendre jusqu'à ce qu'elle tombe à mes pieds.
Maintenant je prends conscience d'être de plus en plus accessible.
Ma jupe connaît rapidement le même sort et me voilà nue, entièrement nue face à lui.
e le désire et je m'offre à lui.
J'aime et savoure cet instant.
Il me bascule sur le lit et entame un cunni très doux et très précis pendant que de ses doigt il me titille les tétons.
Cela me chavire.
Cet homme, cet amant est doux et d'une attention passionnée. Je frisonne sous ses caresses, capte les vibrations qu'il me procure par des attouchements subtils.
Ses mains parcourent mon corps avec une délicate onctuosité.
Je n'en peux plus.
Je veux goûter sa queue.
Mes lèvres s'emparent de son sexe tendu par l'excitation. Sa queue est dure et me pénètre la bouche.
rencontre-musee (4)
J'en suis tout excitée.
Cela m'affole.
Quel sublime moment de sensualité que la perception de son gland que ma langue caresse avec ferveur.
Je lèche, je pompe et creuse les joues en l'aspirant.
Lui finit par reprendre la dégustation de mon sexe. Il m'ouvre les lèvres et je reçois ses baisers avec émotion.
Sa langue s'insinue et me fouille.
Quelle sensation délicieuse.
Il semble connaître toutes les faiblesses dont une femme raffole.
 Ses doigts agissent de concert avec sa langue et je me laisse emporter dans le tumulte des plaisirs du corps.
Je désire à nouveau goûter sa queue de jeune mâle excité par la possession de la mature que je suis.
rencontre-musee (1)Je le vois qui ferme les yeux et sourit pendant que je me concentre sur les variations que j'imprime à ma fellation.
Je désire être à la hauteur de ses attentes et je m'applique.
Il se déplace et vient me lécher le clitoris.
Nous voilà tous deux à nous délecter du sexe de l'autre jusqu'à ce que je ressente le désir, l'envie irrépressible qu'il me pénètre.
Une courte interruption nécessaire à la mise en place d'un préservatif et voilà que je vais enfin ressentir la pénétration de sa queue.
Moment toujours magique que cette intromission d'un sexe dans un autre. Assemblage fabuleux que celui de deux corps qui s'offrent la plus profonde intimité.
 
J'ai apprécié sa délicatesse et sa façon de me pénétrer doucement sans rien brusquer.
Oui j'ai aimé sentir son sexe m'envahir sans forcer.
J'ai aimé avoir cet homme en moi qui progressivement m'a amené à la jouissance. J'ai aimé être une femme recevant un homme en elle, situation suprême de l'acte d'amour.
Je n'ai pu retenir mes ululements durant cette pénétration.
J'imagine que mon mari a du entendre mes manifestation de jouissance.
J'ai aimé sans retenue toutes ces variations amoureuses, tous ces moments d'abandons.
Je perçois l'extraordinaire intensité de ce moment de sexualité.
J'ai aimé être entre ses bras, j'ai aimé le goûter, j'ai aimé être pénétrée par lui, avoir son sexe en moi et sentir ses mouvements, j'ai aimé ressentir les soubresauts de sa queue de jeune mâle lorsqu'il a éjaculé en moi."
Conclusion du mari: En tant qu'époux je ne puis que confirmer avoir entendu les couinements et ululements. Je suis convaincu qu'elle ne demandera qu'une chose c'est de connaître d'autres instants aussi délicieux avec cet homme qui a su lui montrer toute l'intensité de son attirance vers elle.
 J'imagine qu'il a perçu également l'attirance de ma douce épouse vers lui.
 Dans ce cas ce n'est peut-être qu'un début à d'autres "histoires".
À suivre.

 

Auteur: Balthazar

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L'auteur se réserve les droits de reproduction de cette histoire. Celle-ci est interdite sauf accord de l'auteur. (email ci-dessus)

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