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Histoires de Q
10 juillet 2021

Charmante cousine (1)

 

Ma cousine s’appelle Estelle, que tout le monde appelle Stella, une fille super sexy. Je suis Arnold, Aujourd’hui j’ai 22 ans et je vais vous raconter comment Stella et moi avons passé la soirée de vendredi dernier. Il faut dire que ni l’un ni l’autre n’avons trouver à redire à nos petits jeux, bien au contraire ! Stella a 20 ans, c’est une belle blonde à la peau blanche, 1m70, assez mince , aux petits seins très durs avec de jolies petite pointes roses, au petit cul rond, un régal !

Vendredi dernier, elle devait passer la nuit chez moi. C’était pour moi une chance de rester avec elle parce que j’avais déjà flirté un peu avec elle la dernière fois où je l’avais vue et bien que je ne la connaissais pas trop, j’avais vraiment envie de de faire un bout de chemin avec elle !
En fait, nous devions aller au mariage de mon frère. La cérémonie se déroulait à à quelques kilomètres du studio où j’habite et en raison du grand nombre d’invités, mes parents m’ont demandé d’héberger dans mon appart ma cousine Estelle, une cousine du nord que je n’avais pas vue depuis deux ou trois ans.

 

Estelle arrive comme prévu la veille du mariage. J’ai un choc en lui ouvrant la porte. J’ai quitté un jeune fille, déjà fort jolie certes, mais tout de même tout juste sortie de l’adolescence et aujourd’hui, elle a énormément changé, elle est devenu une femme et elle a les formes qui vont avec. Une blonde sexy… Et pour finir, une jupe longue fendue jusqu’au milieu de la cuisse, une blouse presque transparente qui cache à peine ses seins … Elle n’a pas mis de soutien-gorge. Je ne peux pas pu décrocher mon regard de sa poitrine, et elle me demande en rigolant si elle peut entrer. Je m’excuse et je lui ouvre le passage. Elle passe devant moi, j’en profite pour mater son cul. Quel régal !

 

Mais il faut que je me calme, il s’agit d’un membre de ma famille. Je l’aide à sortir ses affaires et surtout la robe qu’elle doit porter au mariage le lendemain, pour qu’elle ait le temps de se défroisser.Puis nous passons la soirée à discuter et rigoler. J’apprends au détour d’une conversation qu’elle est seule depuis peu, son copain l’ayant quitté pour une autre. Elle s’est mise à l’aise pour la soirée, s’est changée, laissant sa jupe pour un short très court et un tee short crop qui montre une partie de son ventre. Je suis tellement hypnotisé qu’elle me regarde avec un drôle d’air et me demande si je me sens bien.

 

Avant d’aller me coucher, j’installe comme prévu un matelas gonflable sur le sol et je lui laisse le clic-clac. Un minimum de galanterie tant qu’à faire, puis je vais prendre une douche. Tout en me lavant et en me rinçant, je ne cesse de penser à Stella, à ses nichons qu’elle m’a à peine cachés pendant une bonne partie de la soirée et à son petit cul bien rond que son short moulait serré.

 

Et soudain elle n’est plus ma cousine, mais une fille, une belle fille sexy avec un joli visage, un beau sourire, des lèvres gourmandes, de grands yeux bleus, mais aussi une fille avec des seins magnifiques et avec tout les reste…Elle n’était plus ma cousine, la fille de ma tante, mais un objet de désir, une fille qui me fait bander …

A peine fini de me laver et de me rincer, je commence à ma branler dans la douche. Je ne tiens plus. L’idée de cette fille à quelques mètres de moi me donne une trique d’enfer. Des images de Stella à demi nue me trottent dans la tête. Soudain, je me rends compte – oh merde ! - que j’ai oublié ma serviette dans la salle. Je sors de la douche tout mouillé,j’entrouvre la porte et je crie à Stella : « Ferme les yeux, je suis à poil, mais il faut que j’entre une seconde, j’ai oublié de prendre une serviette. »
« Vas-y, c’est bon » elle me répond.  « Tu sais, j’ai déjà vu des garçons à poil... »
J’entre, je cours jusqu’au lit pour prendre la serviette. Loin de fermer les yeux comme je lui ai demandé, Stella me regarde, toute rigolarde. Ses yeux croisent mon regard avant de se fixer sur ma bandaison : « Et bien, Arnold... !» Elle aurait pu être choquée en me voyant courir tout nu devant elle, mais non, elle semble juste surprise.  Elle ne s’attendait peut-être pas à me voir en érection... « Excuse-moi, je prends un serviette, je lui ai répondu », très mal à l’aise.

Je sens ses yeux qui observent ma bite qui se balance dans tous les sens à chacun de mes pas. j’attrapE la serviette que j’enroule à toute vitesses autour de mes reins mais ça me fait quand même une grosse bosse entre les jambes…

Elle me regarde de haut en bas et ses yeux s’arrêtent sur la bosse. Elle avait l’air d’apprécier le spectacle : « Tu bandes ? C’est moi qui te fais cet effet ? », elle me demande, sans quitter ma queue des yeux. Je crois bien que mes efforts futiles et vains pour pour cacher mes bijoux de famille lui donnent une raison de plus de me mater .

« Tu étais en train de te branler ? » me demande-t-elle, avec un sourire charmeur. » . Je suppose que j’ai la figure rouge de honte et je ne sais plus comment cacher ma bandaison. Mon air gêné, mal à l’aise, coupable paraît l’amuser ,en même temps elle a l’œil bien allumé.

« Tu penses à quoi quand tu te branles ? Tu penses à des filles ? Je ne peux pas lui avouer que cette fois-ci, oui mais que c’est elle qui m’a fait bander. Elle voit mes yeux fixés sur elle et elle comprends. En fin de compte c’était un compliment que je lui faisais, je lui disais qu’elle m’excitait….Elle me sourit et me susurre à mi-voix: « Je ne savais pas que tu étais un gros vilain, toi…. »

Estelle entre dans la salle de bains, pour se démaquiller et se déshabiller, je suppose.

Assis sur le rebord du lit, j’essaie de me calmer. C’est à ce moment là qu’elle rentre, vêtue seulement d’une nuisette – une sorte de petite chemise courte qui cache à peine le pubis. Une nuisette, c’est une sorte de prétexte comme quoi la fille n’est pas entièrement toute nue mais quasiment, presque. Stella est une vraie blonde . Aussi, en concordance, son intimité est-elle couverte d’une toison blonde mais touffue. Seule différence, les cheveux sur sa tête sont longs et raides lors que les poils de son minou sont courts et frisés.

 

Elle me regarde avec un petit air complice, s’approche de moi et me demande d’ôter la serviette. « Hein ? Non, mais ça va pas ! » J’essaie de la raisonner, « T’es ma cousine…. Je ne peux décemment pas me mettre à poil devant toi... » Je ne sais pas trop quoi penser de son petit manège, je suis troublé.

Je sens son souffle chaud dans mon cou , une main effleure légèrement ma cuisse. Et Stella me chuchote a à l’oreille : «  J’ai tellement envie de voir ta bite. Tu peux pas savoir depuis quand ça me travaille ! » Je sens sa poitrine serrée contre moi, ses nichons durs qui me pointent dans le dos. Je sens aussi ma queue durcir.

Elle me dit qu’elle se fout qu’on soit cousins, qu’elle veut juste baiser. Assez interloqué, je la laisse écarter la serviette. Elle me alors dit que c’était la première fois qu’elle voit une bite sans poil (j’aime bien me raser intégralement de temps en temps), qu’elle trouve ça nettement plus joli ainsi. Elle passe la main droite sur le manche et se met à me branler tout en me caressant les couilles.

«  Ohhh … Ohhh ! »

« Tu aimes ça, mon gros loup ? »Ses nichons sont durs, je les sens me piquer le dos. Je pousse encore un autre petit cri quand elle lâche mes couilles pour passer la main et la repasser sur le gland gonflé et rouge.
« Alors, tu aimes qu’on branle ta belle bite dure? » me demande-t-elle, avec un sourire charmeur. Si j’aimais? La question ne se posait même pas, et pour toute réponse, je passe la main sur sa chatte Elle est trempée de mouille et bien ouverte, attendant de se faire prendre par un mâle en rut...

« Tu sais, quand j’ai vu ta grosse bite qui se balançait devant moi… il fallait que je la touche et que joue avec. »
Une grosse goutte de préfoutre suinte au bout de mon gland ; elle passe un doigt dessus et étale le jus sur toute la longueur de mon manche. J’entends sa respiration lourde et saccadée mêlée aux gémissements que je pousse en sentant ses mains qui me font tant de bien. Je sais que je vais jouir vite et jouir fort avec ses doigts serrés autour de ma queue raide ; elle me lâche soudain mais revient aussitôt à la charge et me branle lentement, avec énormément de douceur.

Je glisse une main entre ses cuisses ; sa chatte estdéjà toute humide.

 

Je commence à la caresser très doucement; d’abord les lèvres puis mon doigt atteint son petit bouton de plaisir qui pointe déjà, avant même que je commence à le toucher

Les gémissements se font de plus en plus bruyants.

« J’aime ça quand tu me caresses là… Oui, là, juste là, » elle parvient à me dire en haletant. Cette fois c’en est trop et sentir sa chatte qui dégouline de mouille me fait exploser.

« Ohhh ! j’vais jouir » je grommelle, en sentant une première contraction m’étreindre le ventre. Je regarde mon sexe fièrement dressé dans sa main. Ses doigts autour de ma queue gonflée coulissent à un rythme effréné autour de mon manche.

« Oui, vas-y, jouis sur moi… Qu’est-ce t’es dur ! » dit-elle entre deux gémissements de plaisir, tout en me pelotant les couilles d’un main et en m’astiquant le manche de l’autre.

J’ai l’impression que ma bite double encore de taille et je sens mes couilles sur le point d’exploser.

 

Mon corps tout entier commencer à se tendre. Mes fesses durcissent et s’enfoncent plus profondément dans le matelas. Je sens la chaleur envahir mes couilles et remonter le long de mon manche.Tout semble se concentrer vers ma bite en feu. Je me raidis et je crie mon plaisir, les yeux révulsés. Dans une merveilleuse délivrance, mon sperme jaillit avec force et gicle en jets multiples, denses, serrés.

Stella reçoit une belle giclée sur la cuisse et une autre sur le ventre

« Oui, c’est ça, jute pour moi ! » elle continue à me branler. Le foutre jaillit encore et elle a la main complètement engluée !

Finalement, mon orgasme se calme. Je pousse encore un gémissement et je retombe en arrière, contre ses nichons toujours aussi brûlants. Elle garde la main collante autour de mon manche et le caresse doucement jusqu’à ce qu’il commence à perdre sa raideur orgueilleuse... Je roule sur le dos et reste un instant à retrouver mon souffle, les bras en croix et les jambes écartées.

Elle se retourne, m’embrasse à pleine bouche et me remercie.

 On se couche finalement ensemble sur le clic clac, elle met la tête sur mon épaule et on s’endort comme ça, nus tous les deux.

   A SUIVRE

 

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