Le facteur
Auteur : Jimy
Histoire fantasmée un matin en prenant le soleil, nu sur ma terrasse à l'abri derrière la maison.
Le facteur
En ce mois d'été, juste avant midi, je suis descendu au jardin avec un verre, prendre l'apéro au soleil.
Tout au fond d'une petite impasse sans vis-à-vis, à l'écart de la rue, le risque est minime d'être dérangé.
Simplement vêtu d'un t-shirt un peu long, les jambes à l'air, sans slip. Comme je le fais régulièrement.
Soudain je suis alerté par le bruit de la boite aux lettres. Je jette un œil par-dessus la petite haie.
Arrivé à pied, sans bruit, un mec vient de déposer du courrier.
La factrice habituelle, qui passe beaucoup plus tôt, doit être en vacances, ce charmant jeune homme doit être son remplaçant ce qui explique que son passage soit plus tardif.
Le temps que je me retourne, il est là, planté derrière le bas portail ajouré. Il me regarde.
Compte tenu de ma tenue je suis très gêné.
Lui très à l'aise me lance : "J'aime bien votre tenue".
-"Heu" !
Surpris par sa présence et sa remarque, après un temps d'hésitation, je finis par bafouiller : "Excuser moi je ne voulais pas vous gêner". En tirant sur le tissu pour essayer, en vain, de l'allonger.
-"Non pas de problème, c'est beau à regarder". "Vous avez quoi dessous le t-shirt" ?
Oups ! Je dois être tout rouge de timidité, fausse pudeur.
- " Heuuu ! Rien"
Lui, déjà une main sur le portillon ne se démonte pas.
-" Je peux voir de plus près" ? Et il entre ...
Le problème c'est qu'une bosse commence à apparaître sous le t-shirt.
-" Ha oui, rien" ! Il avance la main, soulève l'arrière du t-shirt. :" Belles fesses" ! "Je peux toucher" ?
Alors là, je ne suis plus rouge, je suis écarlate, D'autant plus que maintenant le court tissus ne peu plus contenir ma virilité qui dépasse largement. J'essaie quand même de la dissimuler avec les mains.
-"Moi c'est Louis". D'une main il me masse délicatement les fesses. De l'autre il guide la mienne sur sa braguette.
-" Heu, moi Jimy". À en juger par la bosse que j'y trouve, il est aussi excité que moi.
Finalement nous nous rapprochons les mains vissées sur nos sexes impatients.
En déposant un baiser dans mon cou, il susurre :"Là j'ai pas trop le temps, suis déjà en retard". "Si tu veux m'attendre, je finis ma tournée, et je reviens dans une heure"
-" Ben dis-donc, tu y va franco toi, je n'aurais jamais osé".
-" Dépêche-toi je serais là". "Le contenu de ton pantalon me tente vraiment".
Je lâche sa braguette, il me colle un bisou sur la joue et s'éloigne d'un pas enjoué. : "À tout de suite, te change pas".
Je remonte chez moi, et commence à faire les cents pas dans l'appartement. C'est sûr il est mignon, bien monté, hardi, je suis impatient, va-t-il tenir sa promesse ?
La sonnette retentit. J'ouvre, il est là, un grand sourire aux lèvres.
-"Je me suis dépêché, je ne me suis pas changé".
A peine ai-je refermé, qu'il m'enlace, sa bouche trouve la mienne pour un french-kiss langoureux.
J'en profite pour passer mes mains sous sa chemise je le caresse tendrement. Lui aussi, mais c'est plus facile, je suis déjà quasi à poil...
Je lui arrache sa chemise. Déjà ses mains ont capturé mon dard.
Sa ceinture cède, le short tombe, j'explore son boxer bien rempli.
Cela fait trop longtemps que j'attends ça. Je le renverse sur le canapé, le pantalon à mi-jambe. Il faut que je le goûte tout de suite ...
-" Moi aussi je te veux, viens en 69".
L'excitation est trop forte, il se vide dans ma bouche, simultanément je me libère aussi. Je me retourne, trouve sa bouche, nous mélangeons nos liqueurs dans un long baiser.
-" Je prendrais bien une douche, pour me rafraîchir".
Je finis de le déshabiller, envois mon t-shirt sur le canapé. Je le prends par la taille et le guide devant moi vers la salle de bain.
Ce sera une douche commune. Nous découvrons plus nos corps nus respectifs.
Il saisi le gel douche et commence à me frotter, je fais de même. Le torse, les jambes, le dos d'abord.
Puis évidement le bas du ventre. Tous les deux, caressons la verge de l'autre à nouveau dressées dans la mousse du savon.
Je nous rince, l'eau ruisselle sur son magnifique corps ....
Je n'en peux plus, je m'agenouille et embouche sa virilité, Il s'amuse, m'aspergeant avec la douche arrosant mon ventre, faisant couler l'eau le long du dos, dans ma raie.
Il m'écarte
-" Vient on va se sécher, et on continuera sur le canapé ...
Sitôt dit , sitôt fait.
Je reprends la fellation, m'appliquant sur ce sexe que j'ai tant envie de recevoir dans les fesses.
-" Arrête ! Je vais venir si tu continues comme ça". "Couche-toi sur le dos".
Il se cale entre mes cuisses, entreprend de cajoler ma rondelle avec la bouche en me branlant délicatement.
-" Viens sur moi". Je te veux en moi".
Il s'installe en missionnaire. Pose son gland à l'entrée de ma caverne sans pousser, me prend la bouche pour un baiser, nos langues s'entremêlèrent.
Délicatement il avance le ventre, je m'ouvre pour lui. Une fois au fond, il s'immobilise. Le baiser devient de plus en plus torride. Il prend mes joues entre ses mains me guide dans ce doux baiser. Je lui caresse les cheveux, les joues.
Lentement il commence un va-et-vient.
Je lève les jambes, à l'unisson il se redresse, je les pose sur ses épaules.
Son gland pénètre plus profondément, exaspère ma prostate à chaque coup. Mon anus vibre de plaisir autour de cette verge, quand elle sort puis revient m'envahir.
Petit à petit il augmente le rythme. Je suis pris d'agréables tremblements. Je glisse une main entre nous pour me branler.
Il ahane de plaisir, criant presque. Je sens en moi le glaive se contracter de plus en plus fort. Dans ma main, ma verge turgescente devient de plus en plus sensible.
Il crie enfin, se retire, inonde mon ventre en même temps que moi. Il s'effondre sur moi, écrasant nos liqueurs tièdes entre nos ventres.
Nos bouches se soudent à nouveau.
Le calme revenus, nous nous décollons. Étendu cote à cote nous nous frictionnons avec l'élixir encore sur le ventre. Je présente mes doigts englués à ses lèvres, lui me donne les siens à lécher.
-" Je crois que nous allons devoir retourner à la salle de bain".
-" Ok ! Mais on essaye de rester sage, je suis vidé"
Nous partageons un moment de tendresse sous la douche, nous rhabillons.
Je ne veux pas le laisser partir tout de suite, je sens bien que lui aussi veux encore rester.
Je lui propose de prendre un verre.
Nous faisons connaissance, papotant un peu.
Puis finalement :" Je vais devoir partir". " Je suis bien avec toi, mais j'ai plein de choses à faire cet après midi". " Déjà que j'étais en retard dans ma tournée et avec le bon temps qu'on a pris ça ne s'est pas arrangé".
Nous descendons ensemble, je lui pose un bisou sur les joues, qu'il me rend
-"La prochaine fois qu'il y aura du courrier pour toi, je le mets de coté, pour te l'apporter en mains propres, après ma tournée".
Je le regarde s'éloigner, espérant que ma boite à lettre ne restera pas trop longtemps fermée.
FIN.
Bien évidement nous avons utilisé des préservatifs pour partager ces moments de plaisir réciproques.
N'oubliez pas, je me protège, je te protege.