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Histoires de Q
28 août 2015

Chaleur au jardin

Histoire par Hornyboy – 1915 mots - QQQ - Garçon et fille parviennent à avoir une rapide relation sexuelle malgré la surveillance exercée par la mère de l'un deux. (mf, consent)

 

Il y a des jours comme celui-ci ou tout semble aller mal. Ce matin je reçois une lettre m’informant que je n’aurais pas le boulot de vacances sur lequel je comptais. Ça continue en début d’après-midi par ma mère qui m’a quasiment obligé à accompagner ma sœur à la gare chercher son fiancé qui arrivait par le train. C'est bien ma mère. Je suis une « patate de canapé » à ce qu'elle dit et quand elle m'a vu en train de jouer avec ma console, elle m'a expédié, presque de force. A peine arrivé à la gare, le fiancé téléphone à ma sœur : il raté le train, il arrive par le suivant dans 45 minutes. Trois quarts d’heure à se faire c... en attendant qu'il apparaisse enfin.

Plus tard, une fois revenu à la maison c’est ma copine qui appelle pour me dire qu’elle va être un peu en retard. Déception, car ma copine , je l’aime. je voudrais ne pas la quitter une seconde. Une belle fille, Mélinda, 19 ans, à peine quelques mois de plus que moi. Pour tromper mon attente, je regarde la télé - un match de foot. C’est vraiment une journée pourrie, mon équipe favorite est en train de perdre. Et puis, putain qu’il fait froid dans cette maison. Le chauffage est en panne et le plombier ne viendra que demain matin.

 

Plus tard dans l'après-midi, quand je la vois enfin arriver, c’est mon premier rayon de soleil de la journée. Une petite brunette fine au joli corps de rêve; des yeux bruns, une petite bouche adorable. Comme souvent, elle porte un jean serré qui met en valeur une paire de fesses qui, jointe à deux seins ronds et durs, me font bander dur chaque fois que je la vois – et quand elle enlève sa veste, ce jour-là, à même la peau, un chemisier noué sur son ventre laissant apparaître son nombril. A peine arrivée, elle vient se blottir contre moi. On se donne quelques petits baisers plutôt discrets Heureusement que ma mère n’est pas dans la salle, je l’entends dans la cuisine où elle doit préparer le repas du soir - sinon on aurait certainement eu droit à une remarque sur les jeunes gens qui ne savent plus se tenir de nos jours. Ah, maman, elle est bien gentille, je l’adore mais elle est un peu vieux jeu. Alors pas question de se livrer à certaines privautés sous le toit familial. D’ailleurs c’est bien simple, quand j’emmène Mélinda dans ma chambre, ma mère se pointe toutes les cinq minutes sous un prétexte ou un autre pour s’assurer que «on ne fait rien de mal» ! Quant à ma sœur, le rêve secret de ma mère serait que sa fille soit vierge le jour de son mariage…Je me demande parfois si maman se souvient du temps où elle avait vingt ans !

- J’ai froid, me dit Mélinda. Fais pas chaud chez toi.
Je lui explique que le chauffage ne marche pas et je vais chercher une couverture que j’étends sur nous deux. Le match de foot se termine, j’avoue ne guère avoir regardé la fin, je suis bien serré contre ma chérie. Je sens sa main qui se pose sur ma cuisse, ses fins doigts s’affairer sur la fermeture éclair et parvenir dans mon intimité toute chaude. Elle me caresse la; queue à travers le mince tissu de mon boxer. J’adore Mélinda quand elle fait ça. C’est sa façon préférée de commencer les petits jeux coquins. je réagis vite à ce genre de choses et presque immédiatement je suis raide dur. Je ne suis pas du genre à laisser quelqu’un jouer comme ça avec moi sans avoir envie de rendre la pareille. J’ouvre son jean et je parviens à glisser la main sur sa petite culotte. Mélinda se serre encore plus contre moi. Ainsi encouragé, mon doigt se faufile sous l’élastique et se fraye un passage
jusqu'au minou de ma chérie.

 

C'est alors que maman entre dans la salle et me demande d'aller chercher ma sœur pour lui donner un coup de main à la cuisine. Voilà bien ma mère: elle fait d'une pierre deux coups en s'assurant que Mélinda et moi « on ne fait rien de mal » (.Ah, cette expression, combien de fois je l'ai entendue dans sa bouche) et en séparant ma sœur et son fiancé, des fois qu'ils prendraient trop de liberté ensemble.

Une fois revenus sous la couverture, pendant que Mélinda ma caresse et me branle doucement, mes mains recommencent leur exploration jusqu'à sentir la fine toison . J'effleure sa raie, celle-ci m’accueille avec plaisir et s’ouvre, déjà mouillée. Mélinda est collée contre moi et moi contre elle, pour la sentir encore plus.

- Regarde-moi.

Nous nous regardons et elle ferme les yeux, s'abandonnant à cet instant d'ivresse.

- J'ai envie de toi . Viens dans moi. Je voudrais te sentir complètement.

- Tu sais bien qu'avec ma mère ici, on peut pas. Si on monte dans ma chambre, elle va arriver aussitôt.

Ça nous coupe un peu nos envies, mais on recommence à se bécoter. Je lui pelote les se seins, elle me frotte la queue à travers mon boxer.

 

La porte s'ouvre et revoilà ma mère : elle me demande d'aller dans la jardin lui cueillir du persil pour sa cuisine. Et, selon son habitude, elle ajoute :

- D'ailleurs vous allez pas rester tout le temps sous cette couverture ?
Je m'attendais à ce qu'elle ajoute sa petite phrase usuelle : « jeux de mains , jeux de vilains », mais pour une fois, elle ne l'a pas dite....

 

Je prends Mélinda par la main et nous sortons, chemise, jean et tout reste à moitié déboutonné. On va cueillir du persil puisqu'on est venu pour cela : Mélinda s'accroupit et se met à couper les brins.Son jean déboutonné laisse voir sa culotte. Toutes mes envies reviennent. Je passe la main sur ses fesses, je les caresse et mon doigt, remontant plus loin, s'égare même jusqu'à sa chatte. En même temps, mon autre main se glisse sous sa poitrine et par le chemiser ouvert, je peux lui toucher les seins, les serrer, les peloter, les agacer et les caresser. Puis je me colle contre elle, ma bite dure contre ses fesses.

- Bas les pattes, gros cochon, elle me dit en riant, laisse-moi au moins le temps de finir de cueillir le persil pour ta mère.

- Bon vas-y, mais après j'te garantis que j'vais brouter ta touffe de persil… Je vais te prendre comme ça… Baisse ta culotte.

- Oui, oui, mais pas ici, ta mère pourrait nous voir.

- La cabane à outil, derrière la maison ?

 

Une fois là, il faut bien se rendre compte, il n'y a guère de place pour notre séance de cul.

En retenant mon jean d'une main et toujours avec la bite à l'air, j'entraîne ma nana vers le petit muret derrière la cabane.

Là, je pousse Mélinda contre le mur et je la déshabille. Bien entendu elle m'aide à faire tomber son jean et baisser sa culotte autour de ses chevilles. Son chemisier est déjà ouvert, il ne reste que son soutif qui est aussitôt remonté pardessus ses se seins. Nous sommes face à face, tout proches et je sens son souffle chaud sur mon visage.Je me baisse un peu et je commence à lui sucer et lécher les seins, passant de l'un à l'autre, agaçant les pointes dures. Je glisse un main jusqu'à sa chatte - putain, elle mouille déjà - et je lui fourre un doigt qui va et vient dedans tout doucement. Je sais qu'elle adore ça et je lui branle chatte tout en la pelotant et la suçant. Elle pousse de petits cris...Elle aime...

Pendant tout ce temps, Mélinda n'est pas restée inactive En même temps, elle m'excite en me caressant les couilles et en me branlant le manche avec ses jolies mains fines.. Je me sens envahi de plaisir et je sais que la jouissance n'est pas loin.
- Arrête s'il te plaît, je lui dis, me fais pas jouir. C'est dans toi que j'veux le faire.
On change de place, je m'assieds sur le petit muret, je la prends dans mes bras et je l'installe face à moi sur mes cuisses.
Directement, elle prend ma pine en main et elle la frotte contre sa chatte en faisant glisser le gland plusieurs fois dans sa fente détrempée.
Après deux ou trois passages, juste quand je vais lui dire de m'enfiler, elle me positionne à l'entrée de sa chatte et commence à s'enfoncer en poussant. Aussitôt, je noue mes mains sur ses fesses et je la serre contre moi. Puis la tenant toujours par les fesses je commence à la baiser pour de bon.

Mon rythme est rapide et d'une belle amplitude puisqu'à chaque va-et-vient, je peux apercevoir mon gland qui ressort presque complètement et ne plus voir du tout ma bite quand je suis dans elle.

Nos corps glissent l'un contre l'autre et l'un dans l'autre. Ses seins dansent sous mes yeux, Putain, qu'elle est bandante cette nana!

 

Par moments, je me recule un peu et regarde ses fesses et son ventre onduler sur ma bite dressée.

Elle m'encourage ( comme si j'en avais besoin) en criant « Oui, vas-y, vas-y » et je la fais bondir et rebondir sur ma queue en lui donnant tout ce que je peux , en la martelant d'amples coups de bite. Je sens ma partenaire qui maintenant se colle plus fort contre moi pour s'enfoncer le plus loin possible. Je sais alors qu'elle approche de l'orgasme. J'arrête mes mouvements mais Mélinda continue à aller et venir C’est elle qui me baise, c’est elle qui va au-devant de ma queue. Je devine ce qu'elle ressent : le plaisir qui monte, la tête qui lui tourne légèrement, des picotements dans le bas du ventre, de petites décharges électriques…
Mélinda grogne, feule, rugit. Son visage est comme déformé par le plaisir. Elle m'attrape par les épaules, ses doigts tétanisés s'enfoncent dans ma chair et elle crie. Un long cri que je tente d'étouffer en l'embrassant avec force.

En même temps, je sens sa fontaine couler sur mes couilles et ça, c'est plus qu'il ne m'en faut : le foutre monte dans mon manche, je vais tout envoyer …Je me lâche presqu'en même temps qu’elle et je lui balance quatre ou cinq jets puissants de mon jus qui inondent sa chatte. Je reste encore un instant dans elle, c'est chaud, ça glisse merveilleusement, c'est doux et, à regret, je sors ma pine encore raide. Le sperme lui coule sur les cuisses.

- Vite, rhabille-toi, me dit Mélinda, ta mère va se demander pourquoi on revient pas.
On prend à peine le temps de s'essuyer de tout ce jus de mec et de fille et on se reloque. Les jambes un peu tremblantes, les joues rouges, le souffle encore un peu court, nous revenons vers la maison.

Soudain on entend la voix de ma mère qui vient de la maison :

- Alors, il vient, mon persil ! Où tu es avec Mélinda ?

- On arrive, on est là...

-Qu'est-ce que ou faisiez ? Tant de temps que ça pour un peu de persil...

-On a fait un tour de jardin. Je montrais à Mélinda ce que j'avais planté cette semaine.

-Ah bon, c'est bien, les enfants…

Ah , maman ! Si tu savais le genre de plantation que je viens d'effectuer….

 

Note de l'auteur : Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à la condition expresse de mentionner l'adresse du blog dans ces pages web l'adresse du blog : http://www.histoiresdeq.canalblog.com

 

 

 

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