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Histoires de Q
24 juillet 2008

Anchise et Aphrodite

Ce jour-là, comme à mon habitude, je faisais paître mes troupeaux sur le sommet du mont Ida. C’était peu après midi. Mes camarades s’attardaient à déjeuner, échangeant des plaisanteries en croquant des figues sèches et des noix. J’avais mangé légèrement ; je me levai et quittai les cabanes pour rejoindre mes troupeaux qui paissaient un peu à l’écart. Je m’assis à l’ombre d’un platane et je pris ma cithare pour jouer quelques airs.


Un parfum féminin m’éveilla de ma rêverie. Tournant la tête, je ne vis d’abord personne. Me retournant, je constatai que mes compagnons avaient à leur tour quitté les cabanes, emmenant les troupeaux paître plus loin, hors de ma vue. Je me levai, le cœur inquiet. De nouveau, le zéphyr m’apporta une odeur suave et riche, pareille à celle des onguents qu’employaient les femmes au palais royal de Troie. Je vis bientôt paraître au détour du sentier une jeune fille de haute taille, magnifiquement vêtue. Sa tête était couverte d’un voile scintillant ; ses poignets et son cou étaient ornés de bracelets d’or. Aussitôt, je fus pris de crainte : plus que sa parure, l’éclat de son teint et le feu de son regard me laissaient deviner une immortelle descendue sur la Terre.

 

Baissant les yeux, je m’adressai humblement à elle : « Salut, reine ! Sans doute es-tu Artémis, la chasseresse à l’arc d’or, ou la brillante Léto, Aphrodite la blonde, la vénérable Thémis ou Athéna aux yeux d’azur. Ou bien tu es l’une des Grâces que nous nommons immortelles, ou une nymphe de ces bois, ou une naïade de ces rivières. Je t’élèverai un tertre sur le plus haut sommet de l’Ida, et je t’offrirai en sacrifice la plus belle de mes bêtes. En retour, sois-moi bienveillante : fais de moi le plus illustre des héros troyens, donne-moi une descendance florissante et accorde-moi une longue vie ! »

 

N’entendant d’abord aucune réponse, je me hasardai à jeter de nouveau les yeux sur elle. Son regard pénétra en moi et je fis un pas en arrière. Puis son air de majesté, qui m’avait si vivement frappé, parut s’adoucir. A y regarder de plus près, elle ressemblait davantage aux jeunes filles que mes camarades et moi courtisions près des fontaines. Sa parure et ses riches vêtements semblaient toujours extravagants dans ce décor champêtre, mais je raisonnai qu’elle devait être la fille d’un hôte de marque au palais de mon oncle, et qu’elle avait dû se perdre. Sa grâce et son air d’innocence achevèrent de me séduire.

 

« Pourquoi te moques-tu de moi ? », me répondit-elle. « Je ne suis pas une déesse. Mon père ne t’est pas inconnu : c’est Otrée, qui règne sur la Phrygie. Je jouais avec mes campagnes quand Hermès, Tueur d’Argos, m’a enlevée et conduite ici. Il m’a dit que j’étais destinée à épouser Anchise, et à lui donner de beaux enfants, puis il m’a abandonnée ici.

 

Voilà pourquoi je me présente à toi. Je t’en prie, conduis-moi vers tes parents et envoie un message chez les miens, en Phrygie, pour les rassurer. Je n’ai encore jamais connu le joug de l’amour, et mes parents sont de noble lignée. Ils t’enverront de riches présents. Accepte-les, et prends-moi pour épouse, puisque telle est la volonté des dieux. »

 

Elle baissa les yeux, et ses joues se teintèrent de rose. Je fus pris d’un violent désir pour elle, qui s’offrait à moi avec autant d’ingénuité. L’endroit était désert, et je résolus d’obéir sans plus attendre à l’ordre divin. Je répondis aussitôt : « Si tu dis vrai, si tu es mortelle et si Otrée est ton père, je t’épouserai et tu seras appelée ma femme. Quand bien même Apollon me menacerait de ses flèches, je partagerai ta couche ! » Je pris sa main ; elle rougit encore mais ne me repoussa pas. Je plantai un baiser sur ses lèvres ; son parfum m’enveloppa et acheva de me faire perdre la tête. Enhardi par l’absence de résistance, je renouvelai mon baiser. Elle ferma les yeux, frémissante, s’abandonnant à moi. Je la pris dans mes bras et l’embrassai avec plus d’ardeur. Ma langue se glissa entre ses lèvres, cherchant la sienne. Elle me répondit timidement, ses deux mains plaquées contre ma poitrine.

 

Alors, je l’emportai jusque sous le platane, et la déposai sur mon manteau. Son voile tomba de ses épaules. Je dénouai le bandeau qui entourait ses cheveux, et ils tombèrent en longues boucles blondes sur ses épaules. Je défis ses bracelets – sans ses bijoux, elle me parut plus jeune, presque fragile. Je dégrafai sa ceinture. Sa tunique marquait les contours de son corps, sa taille gracile et ses hanches. Respirant avec force, elle me prit par le cou et m’attira à elle. Je l’embrassai de nouveau et ma main se referma sur son sein gauche. Elle tressaillit, mais ne me repoussa pas. Je sentis son mamelon se durcir sous ma caresse. Ma main gauche passa sous sa tunique et se posa sur sa cuisse. Sa peau était chaude et douce, sans défaut. Je remontai la main jusqu’à ses fesses et les caressai longuement. Elle commença timidement à parcourir mon corps de ses mains, m’effleurant la poitrine puis descendant le long de mon dos

 

N’y tenant plus, j’arrachai plus que je n’enlevai les agrafes de son chiton, qui se défit et tomba sur le côté, la dénudant entièrement. Je poursuivis mes baisers, descendant le long du cou jusqu’à ses seins. Ma bouche se referma sur l’un des mamelons. Je le pris entre mes lèvres et commençai à sucer doucement. Elle poussa un petit cri et renversa la tête en arrière. L’une de mes mains caressait son ventre ; je poussai plus bas et effleurai son mont, recouvert d’un fin duvet doré. Inconsciemment, elle avança son bassin vers mes doigts. Mon index effleura le contour de sa fente et parcourut ainsi quelques allers-retours, puis j’écartai ses lèvres et pénétrai son intimité humide. Elle soupira de plaisir quand mes doigts trouvèrent son clitoris et commencèrent à le caresser. Quittant son sein, ma bouche se posa de nouveau sur la sienne.

 

Elle me serrait très fort dans ses bras et commença à gémir doucement. Je pris sa main et la posai sur mon sexe, qui pointait au travers de ma tunique. Elle eut d’abord l’air surprise, puis s’enhardit à me caresser. Je me dévêtis rapidement et nous nous trouvâmes tous les deux complètement nus. Elle prit ma verge dans la main et commença à monter et descendre, non sans hésitation. Ma respiration saccadée lui montra qu’elle était sur la bonne voie.

 

Son inexpérience manifeste m’excitait au plus haut point. De peur d’en finir trop vite, je repoussai sa main et j’écartai doucement ses jambes. L’instinct lui vint en aide, et elle souleva les hanches pour m’accueillir. Je guidai mon sexe entre ses lèvres, trouvai l’entrée et la pénétrai. Son étroitesse et la résistance que je rencontrai me confirmèrent qu’elle était vierge. J’accentuai ma pression et je la regardai : ses yeux étaient fermés et sa bouche, serrée. D’un coup de reins, je la fis femme. Elle cria, mais je la rassurai par des mots doux, en l’embrassant. Je la pénétrai lentement, jusqu’à ce que l’extrémité de ma verge atteigne le fond de son vagin. Je restai quelques instants immobile, savourant la chaleur et l’exiguïté de son sexe. Ce fut elle qui entama la danse, par quelques mouvements du bassin, et je suivis.

 

J’allais et venais lentement, laissant mon sexe sortir presque entièrement d’elle avant de l’enfoncer de nouveau. Perdant toute retenue, elle gémissait de plus en plus fort. Bientôt, je sentis son vagin se contracter autour de moi. Elle écarta plus largement les jambes pour m’accueillir au plus profond d’elle. Sa bouche se colla furieusement sur la mienne, sa langue se tortillant comme celle d’un serpent. J’accélérai le rythme, la bourrant à grands coups de reins. Elle jouit une première fois à grands cris, le bassin agité de mouvements frénétiques. Miraculeusement, je parvins à me retenir. Je ralentis, profitant des pulsations de son sexe. Elle me prit le visage à deux mains et me regarda droit dans les yeux. Ses joues étaient teintées de rose, sa peau était humide de sueur et ses yeux brillaient.

 

Puis elle ferma les yeux et se mit à rire. Un peu étonné, je m’arrêtai. Quand elle rouvrit les yeux, son visage s’était métamorphosé. Son regard timide de jeune vierge avait disparu, mais je n’eus pas le temps d’y penser davantage. Elle me repoussa doucement. Je me relevai, mon sexe se sépara du sien et apparut, rouge et dressé, couvert de sa cyprine. De la main, elle me poussa à m’asseoir. J’obtempérai et m’allongeai à mon tour sur mon manteau. Elle ramena ses cheveux derrière l’oreille et se penchant vers moi, embrassa mon vit.

 

J’étais immobile, muet de surprise. Etaient-ce là les manières d’une jeune fille ? Ces faveurs, je le savais, on ne les demandait qu’aux prostituées. Encore les courtisanes de haut vol rechignaient-elles à les accorder. Elle, ma belle inconnue, força mon sexe à travers ses lèvres. Sa bouche glissa le long de ma queue et d’un coup, je sentis mon gland atteindre le fond de sa gorge. Lentement mais sûrement, elle remonta jusqu’en haut. Elle embrassa de nouveau mon sexe, puis sa langue mutine commença à le lécher par petite touches. Sa main saisit mes couilles et joua avec elles, les soupesant et les pétrissant délicatement. Gardant mon gland en bouche, elle prit mon sexe de l’autre main et commença à me branler.

 

Elle continua ainsi, alternant entre sa main et sa bouche, jusqu’à ce que la tension s’accroisse dans mes couilles. Je posai la main sur sa tête pour la guider, l’incitant à accélérer. Elle prit de nouveau mon vit en bouche, et enserra la base de ma queue de ses doigts. Mon sexe était gonflé à se rompre. Je sentis la pression augmenter jusqu’à ce que je sente un jet puissant jaillir de mon manche, m’arrachant un cri de jouissance. Elle continua doucement à aller et venir, buvant mes jets saccadés de foutre, jusqu’à ce que mon sexe devienne trop sensible et que je lui demande d’arrêter.

 

Elle releva la tête, me sourit et m’embrassa à pleine bouche. Pour la première fois, je goûtai un sperme d’homme – le mien. Je savais que certains débauchés buvaient ainsi le foutre de leur jeune amant, et l’idée m’avait toujours dégoûté. Elle me parut ici incroyablement érotique. Le goût était salé, un peu amer, pas désagréable. Elle se pencha à mon oreille et murmura : « Et maintenant, est-ce que tu veux me goûter ? » Je la regardai sans comprendre. Elle rit et s’allongea sur l’herbe. « Viens », me dit-elle. Docile, je rampai jusqu’à elle. Elle écarta les jambes, montrant son sexe encore tout gonflé. Elle commença à se caresser devant moi, passant le majeur et l’index sur son clitoris dressé. « Viens », répéta-t-elle. Fasciné, je m’accroupis entre ses jambes. Elle soupira, se releva un peu, et poussa ma tête vers son sexe. « A toi ».

 

Comprenant enfin ce qu’elle voulait de moi, je me mis à rougir. Je ne voulus pas la décevoir, cependant, et je baissai la tête jusqu’à elle. Une odeur chaude et musquée m’envahit. J’embrassai son mont, puis je descendis avec la langue le long de sa fente. Un long soupir d’aise m’encouragea à continuer. Je pris son clitoris entre mes lèvres et le suçotai quelques instants, puis ma langue fouilla plus bas, entre ses lèvres recouvertes de cyprine. Je commençai à la lécher avec application, buvant son jus qui coulait avec force, fouillant de la langue les moindres recoins. Enhardi, je glissai un doigt à l’intérieur tout en léchant son clitoris. Elle se mit à gémir et posa ses deux mains sur ma chevelure, ses doigts serrés sur mes boucles. J’introduisis un deuxième doigt et je massai l’intérieur de son sexe, cependant que son bassin était traversé de violents sursauts. De mon autre main, je pétrissais ses fesses.

 

Pendant que je la léchais ainsi, mon sexe avait repris vie et se dressait de nouveau, palpitant, prêt à en découdre. Je me relevai. Elle protesta, mais ma bouche se posa sur la sienne pour la faire taire. Nos langues se mêlèrent, et ce fut à son tour de goûter son jus, ce qui n’eut pas l’air de lui déplaire. Pendant ce temps, je la pénétrais de deux doigts, pendant que mon pouce chatouillait son clitoris. Je sentais les contractions de son vagin autour de ma main. Quand elles s’accélérèrent, je me mis en position pour la pénétrer. Elle me repoussa en disant : « Non, continue ! » Je ne l’écoutai pas et posai mon gland contre son sexe. D’un air boudeur, elle se retourna, allongée sur le ventre.

 

« Qu’à cela ne tienne », pensai-je. J’écartai ses jambes et m’allongeai sur elle, bras tendus. Elle ne se défendit que très mollement. Je caressai mon vit contre ses fesses et descendis lentement le long de sa raie pour trouver l’entrée. D’un coup sec, je fus en elle. Je l’enserrai du bras gauche pour la relever un peu, et ma main droite se glissa contre son ventre pour descendre jusqu’à sa fente. Je pris son clitoris entre le pouce et l’index, et entrepris de le masser tout en continuant à la bourrer. Ma bouche se posa sur son cou, que je picorai de petits baisers. A ce rythme, elle ne mit pas longtemps à pousser des cris de plaisir. Quant à moi, je haletais et ma queue était en feu, serrée en elle encore plus fort que la première fois. Je la labourai à grand coups de reins, gémissant chaque fois que j’entrais en contact avec ses fesses.

 

Ses cris se faisant plus rapides, et je sentais son sexe se contracter violemment. Approchant moi-même du but, j’abandonnai son clitoris pour lui saisir les fesses à pleine main. Mes lèvres happèrent le lobe de son oreille et le mordillèrent. Nous atteignîmes la jouissance presque en même temps : elle fut prise des spasmes la première. La force des pulsations m’acheva et j’explosai en elle à longs jets de foutre. Je donnai encore quelques coups lents puis je m’effondrai sur elle, anéanti. Nous restâmes quelques instants l’un dans l’autre. Je sentis mon sexe se détendre et sortir doucement du sien, dégoulinant de sperme. Ce furent mes dernières sensations, puis je m’endormis, vaincu par la jouissance.

 

Je fus réveillé par une voix qui me dit : « Fils de Dardanos, réveille-toi ». Ahuri, je levai la tête. Elle avait repris ses splendides vêtements. Sa taille dépassait de plusieurs coudées celle d’un homme, et son visage resplendissait d’un éclat terrible. « Maintenant », dit-elle d’une voix forte comme les montagnes, « dis-moi si je ressemble à celle de tout à l’heure ». Rempli de crainte, je saisis mon manteau dont je me couvris le visage et le corps. « Déesse », balbutiai-je, « je t’ai saluée comme telle dès que je t’ai vue. Tu ne m’as pas dit la vérité. Je t’en conjure, aie pitié de moi et ne me prive pas de ma vigueur d’homme. » « Rassure-toi », me répondit la fille de Zeus. « Tu n’as rien à craindre de moi ni des autres divinités, car tu es aimé des dieux. Un fils de te naîtra qui règnera parmi les Troyens, il portera le nom d’Enée. Tu diras qu’il est le fils d’une nymphe : ne te vante pas d’avoir partagé ma couche. »

 

Ayant ainsi parlé, elle regagna l’Olympe, et je ne la revis jamais. Un jour, pris de vin, je racontai l’aventure à mes compagnons de beuverie, avec force détails. Le lendemain, je fus frappé par la foudre alors que, surpris par l’orage au sommet du mont Ida, je m’étais réfugié sous un platane.

Auteur : Tom Rakewell


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