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Histoires de Q
14 février 2007

Une vie de femme

Je m’appelle Florentine. Un nom inhabituel, direz-vous. Mes parents m’ont expliqué qu’ils m’avaient nommée ainsi parce qu’il m’avait conçue à Florence pendant leur voyage de noces. Mon âge ? C’est une sujet que les femmes n’aiment guère aborder. Disons que si je n’ai plus toute la jeunesse de mes dix-huit ans, je suis encore très, très loin du temps où je devrai me faire lifter et tirer la peau du visage. Je suis à l’âge où les charmes naturels sont les plus éclatants. Voilà, vous n’en saurez pas plus !

Physiquement, comment suis-je ? Moyenne, normale. Même jeune fille, je n’aurais jamais eu aucun espoir de gagner un concours de beauté – même pas celui de Miss tee-shirt mouillé à Saint Cucufa les Oies. Mais inversement je n’ai rien d’un boudin ou d’un laideron et d’ailleurs, les regards des hommes me le laissent bien comprendre.

Ah, il faut que je vous dise que je suis célibataire. Je n’ai pas voulu me marier - ou me coller- pour des tas de raisons. D’abord, il y a eu ma carrière, car pour progresser j’ai dû prendre beaucoup de cours du soir en formation continue.
Ma carrière, parlons-en ! Rien à voir avec celle d’un futur dirigeant d’une multinationale. J’ai modestement commencé comme secrétaire dans une toute petite entreprise, et j’ai gravi quelques échelons, et me voici responsable de la formation du personnel dans une assez grosse boîte.

Une autre raison pour ne pas me marier a peut-être été l’exemple de mes parents que j’ai vus se disputer pendant toute mon enfance avant de divorcer quand j’avais treize ans. Avec mes frères et sœurs, j’ai souffert de cela et plus ou moins inconsciemment, j’ai voulu ne pas risquer de répéter la même erreur.

Et puis, la dernière raison de rester seule, c’est que je me suis faite un bonne petite vie - une vie égoïste, direz-vous. Certes, la solitude est parfois pesante. Ce qui me manque le plus c’est peut-être de ne pas avoir d’enfants. Bien sûr, rien ne m’empêcherait de m’en faire faire un que j’élèverais seule... Enfin, je sais que je finirai certainement par me marier et que j’aurai des enfants. Mais je n'ai plus beaucoup de temps....

Je ne vis pas vraiment seule. J’ai un bon groupe d’amis et d’amies, nous nous voyons souvent, rares sont les week-ends où je suis seule même une journée. Je t’invite, tu m’invites, on sort au ciné, on va faire du shopping ensemble, je passe en coup de vent te dire bonjour, tu débarques chez moi à l’improviste, on se fait une petite bouffe... Non je n’ai guère le temps d’être seule et j’ai toujours une oreille attentive et une main secourable en cas de besoin.

Mais j’ai aussi un autre groupe d’amis. Avec eux c’est autre chose. Ceux du premier groupe sont de vrais amis, des copains et des copines et nous sommes aussi proches les uns des autres que des frères et sœurs. Les autres, c’est uniquement pour le sexe. Nous ne nous voyons que pour baiser - ou presque ! Quand je reçois un coup de téléphone de l’un d’eux, je sais qu’il a envie de se faire vider les couilles. Et moi, si j’en appelle un , ça se limite à quelque chose du genre:
"Bonjour, c’est Florentine. Si on se voyait demain ? Viens dîner ici."
Il n’est pas nécessaire d’en dire plus ; il comprend tout de suite que j’ai besoin qu’on me ramone la chatte.
Parfois, je préfère rester seule pour satisfaire mes sens et éteindre mon feu intime. Peu à peu, j’ai mis au point ma méthode solitaire et je trouve qu’elle vaut bien toutes les parties de jambes à l’air avec un partenaire. J’utilise trois ‘instruments’ dont l’effet est garanti : des cassettes porno, une douche et un godemiché.

Je commence par regarder une vidéo. J’en ai un certain nombre qui j’ai enregistrées à la télévision. Vous savez, les classiques du genre’ Filles en folie’ , 'Pénétrations intimes’ ou ‘Le trio endiablé’. Des vidéos dans lesquelles une ou plusieurs filles reçoivent le sexe d’un homme dans la bouche pour commencer, puis dans le vagin avant qu’elles ne soient pénétrées par l’arrière. Puis inévitablement, au dernier moment, l’homme se retire et éjacule sur les seins ou sur le visage de la fille. Neuf fois sur dix c’est ce même scénario parfois pimenté de quelques scènes de lesbiennes en train de faire l’amour. La plupart de ces films se ressemblent bien trop, si bien qu’il m’arrive d’aller acheter des vidéos plus spécialisées dans un sex-shop.

A ce propos, j’aimerais vous raconter mon premier achat dans un sex-shop

J’ai longtemps hésité à y aller me disant que je risquais de tomber sur quelqu’un qui me connaisse. Dans une assez petite ville comme la mienne, ma réputation aurait été faite ! Ensuite, ce n’est pas le genre de magasin que j’ai été habituée à fréquenter depuis mon enfance. Quand j’ai voulu y aller la première fois, je suis arrivée devant, sur le trottoir, j’ai ralenti pour rentrer et au dernier moment, je n’ai pas osé ! J’ai recommencé la fois d’après. Là, j’ai pris mon courage à deux mains, respiré un grand coup et j’étais dedans. Que des mecs, pas une femme ! Quand on sait que la clientèle des sex-shops est composée d’habitués à 80 ou 90%, vous comprendrez que toutes les têtes se soient tournées vers moi. Je suis certaine que j’étais toute rouge. Des yeux me dévisageaient, on me déshabillait du regard. J’ai quand même réussi à gagner le rayon de la vidéo et, sans vraiment prendre le temps de choisir, j’ai acheté une cassette - un peu n’importe quoi. Il fallait que je reparte aussi vite que possible.... Il m’a fallu revenir une autre fois pour être capable d’acheter ma vidéo un peu spéciale.

En plus de vidéos j’ai aussi des cassettes audio porno et j’avoue qu’elles me font en général plus d’effet que les films. On dit partout que les films X sont faits pour les hommes et que les femmes ne sont guère excitées en les voyant. On ajoute que les hommes sont facilement et rapidement stimulés alors que les femmes sont plus difficiles à faire grimper au mur ! Je suis tout à fait d’accord et souvent je trouve ennuyeux ou même risible de regarder un film qui montre un pénis allant et venant comme un machine dans le vagin ou l’anus d’une femme. Il me faut autre chose et je le trouve dans des cassettes audio porno. Vous n’en avez peut-être pas entendues : ce sont des montages de bruits ou de paroles enregistrés en faisant l’amour, soit en couple soit en groupe. On y trouve aussi bien les bruits se succion d’une bouche qui fait un pompier, que ceux d’un pénis dans le vagin rythmés par le bruit du ventre de l’homme qui claque sur les fesses de sa partenaire. Et puis, il y les paroles, crues et grossières, en un mot des paroles cochonnes, des choses dans le genre ‘Regarde mon cul qui attend que tu le défonces’, ‘Ahhh ! t’es bonne’ ou encore ‘Je jouis, remplis- moi le con’. Eh bien croyez-moi, ça c’est terriblement efficace et en moins de cinq minutes, vous ressentez des titillements entre les cuisses.

Mon deuxième ‘jouet’ qui me donne bien du plaisir, c’est ma douche. J’ai fait installer une colonne de douche, vous savez cet appareil avec plusieurs jets placés à diverses hauteurs et dont l’intensité est réglable. Des jets plus ou moins puissants, fins ou gros avec des pulsations réglables, soir un jet continu ou au contraire des séries de jets discontinus, des jets qui vous arrivent d’en haut ou bien d’en bas. Le problème est de bien régler les jets : trop fins et trop puissants, c’est une pluie d’aiguilles sur des parties ultra sensibles. Mais imaginez l’effet que ça peut avoir sur le mamelon d’un sein ou sur le clitoris quand tout est bien réglé.... C’est du feu sur votre bouton et l’orgasme assuré en quelques secondes !

Pour finir, il y aussi mon godemiché. J’aime me branler le con avec. Il est de taille moyenne, une vingtaine de centimètres, légèrement recourbé en arrière avec un beau renflement en forme de trapèze qui écarte bien mes chairs. Il est fait d’ une espèce de résine qui lui donne de la raideur et un toucher malléable et doux. Imaginez-vous un caramel à la fois dur et mou. Je l’ai choisi bleu clair. Pourquoi pas couleur chaire comme c’est souvent le cas ? J’ai trouvé que sa couleur allait bien avec la couleur de mes cheveux – ou plutôt de mes poils pubiens. Jusqu’où la coqueterie ne va-t-elle pas se nicher !

Si vous saviez à quel point j’ai eu du mal à l’acheter ! Je vous ai déjà raconté comment j’avais eu du mal à entrer dans un sex-shop la première fois. Pour le godemiché, il m’a aussi fallu m’y reprendre en deux fois. La première fois, je suis rentrée et prenant un air dégagé, en apparence, mais probablement très gêné, je suis allée vers le rayon des godes, accrochés au mur. Je sentais le regard des hommes dans mon dos. Je n’ai pas pu rester et je suis ressortie aussitôt sans avoir même pu jeter un coup d’œil rapide. La fois d’après ça n’a pas été facile. J’étais en train de choisir et un homme s’approche :
"C’est dommage d’utiliser ça, quand il existe en existe des vraies... On pourrait voir ça ensemble ! "
Je l’ignore, mais, il insiste :
"Viens chez moi, la mienne est aussi grosse et en te regardant, elle grossit encore... "
Il était collant et commençait à devenir agressif, et il a fallu qu’un autre client intervienne pour qu’il me laisse tranquille. Je me sentais vraiment mal à l’aise... Enfin, j’ai fini par acheter mon gode, mais s’il fallait que j’en achète un autre, ce ne serait pas de gaieté de cœur que je le ferais.


* * *


Aujourd’hui, il est à peine cinq heures et j’ai hâte de quitter le bureau. C’est que , dans l’après-midi, il m’est soudain venu à l’idée que je pourrais me faire une petite fête intime ce soir – rien que moi ! Depuis, j’y repense toutes les dix minutes et, cette seule idée, cette attente me fait frissonner de plaisir jusque dans mon ventre. Plus tard, je rentre chez moi. Juste le temps d’avaler le repas. Je branche une cassette porno. Ce soir j’ai choisi du classique – ‘Des filles en chaleur’ avec une belle scène avec des lesbiennes- et sans perdre une seconde, je suis sur lit, nue. Oui, à poil tout de suite. Je ne suis pas du genre de celles qui aiment la dentelle, le frou-frou, le soutien gorge soit disant affriolant, le body ou les bas... Non moi, c’est à poil, les seins et la chatte à l’air, le corps exposé en entier, accessible facilement. Même chose pour un homme. Je n’aime guère faire l’amour avec s’il a gardé sa chemise ou s’il a le pantalon a demi baissé !

Sur l’écran, deux filles sont en train de faire l’amour : une blonde a la tête entre les jambes de sa compagne pour la sucer tout se branlant la chatte. Au premier plan, en gros, on voit ses fesses - un joli petit cul – et sa main entre ses cuisses qui s’enfonce dans son con juteux. Me voilà déjà toute chaude rien qu’à regarder ça ! Je me caresse les seins la main à plat pour commencer jusqu’à ce que les mamelons commencent à durcir. Alors, je les excite avec un doigt qui s’en approche en décrivant des cercles, et les serre, les pince, les malaxe doucement. Bientôt, ce n’est plus assez et une main descend sur mon ventre, lentement, en caressant ma peau sensible. Dans un miroir je vois mes seins grossir et rougir, je continue à rouler les mamelons, à les presser jusqu’à ce que je ne puisse plus le supporter.

Je m’installe à plat ventre sur un traversin entre les jambes, et je soulève et abaisse les fesses qui se contractent à chaque poussée. Je chevauche mon traversin comme je chevaucherais un homme et je sens rapidement la tension qui monte.J’aime cette sensation de douceur, cette caresse qui m’électrise le coprs. Mais je sais que je dois faire plus encore. Je prends un foulard de soie que je passe entre mes cuisses serrées. Et je le fais aller et venir. Le foulard atteint ma fente et me frotte doucement la vulve et même le clitoris. La chaleur m’a envahi toute entière et j’ai immédiatement un premier orgasme, une jouissance qui me fait tressaillir tout le ventre.

C’est le moment d’utiliser mes mains pour une masturbation plus profonde: un tressaillement et un soupir de soulagement quand un doigt touche enfin ma motte, la parcourt de haut en bas en commençant à l’ouvrir pour aller plus loin et plus profond. Comment décrire la chaleur terrible et douce à la fois qui envahit tout mon corps ?

Cette chaleur de mon ventre me dit d’aller plus loin, je sens mon humidité et mes jambes vibrent de plasisir. Je les écarte encore plus et j’entre un deuxième doigt et dans le miroir de l’armoire je le vois glisser et ressortir. Mes hanches vont et viennent à la rencontre de mes doigts. Le jus coule abondamment et mes doigts glissent encore mieux et plus délicatement. En même temps, je masse mon clitoris, en le pressant entre deux doigts puis je le serre jusqu’à ce qu’il soit complètement gonflé.

Je sors mes doigts de mon vagin et je frotte le jus sur mon ventre avant de les insérrer à nouveau dans la fente en feu. Rapidement, ma tête retombe inerte sur l’oreiller, je pousse des petits cris de plaisir. Des sensations folles me déchirent les seins et tout le corps alors je masse mon clitoris encore plus fort, mes doigts pompent ma chatte violemment, je halète, je tremble et soudain, avec un ultime cri, mon corps devient comme paralysé de plaisir et reste immobile sur le lit.

Je caresse doucement mon corps encore sensible en attendant que la tempête cesse vraiment. Quand j’ai repris mes esprits, je passe à la douche.

Un jet d’eau chaude sur le coprs, puis je me savonne. Une main savoneuse, pleine de mousse entoure mes seins et les masse avec une infinie douceur, je grogne doucement. Ensuite, mes mains courent sur mes jambes et remontent à l’intérieur des cuisses. Il me semble que ça me chatouille, mais ce n’est pas la sensation plutôt désagréable des chatouillis. C’est autre chose, une sorte de tiraillement dans mon ventre.

La mousse s’accumule dans mes poils et je me masse lentement la vulve qui redevient brûlante et exige encore plus. Tellement de plaisir. Mes mains se sont rejointes sur mon ventre pour ouvrir mes lèvres, la mousse m’aide à y entrer sans difficulté. Je geins de bonheur. Oui c’est ça ! Plus fort ! Plus loin ! je sens les parois de mon vagin qui s’écartent sous la pression de ma main avant de se refermer sur elle. Encore plus ! Il m’en faut encore plus !

Je glisse un doigt sur mon anus et caresse le petit trou tout propre. Bien lubrifié par le savon et par l’eau, je peux facilement le pénétrer avec mon doigt et le petit anneau de muscle se referme dessus. Je l’enfonce avidemment. Je me suis pénétrée par devant et par derrière et je me masturbe frénétiquement en cherchant un contact maximum entre mes doigts, ma chatte et mon cul.... Ca vient ! Mes bras tremblent, mes jambes me supportent à peine, je crie, je suis prête à m’effondrer dans la douche...

Maintenant il faut que je me rince ! Je remets ma douche en marche : un jet fin et dur frappe le mamelon d’un sein, m’arrachant un cri à la fois de douleur et de plaisir. Un autre jet, avec un effet rotatif, arrose mon clitoris , s’arrête une fraction de seconde et repart. D’une main, j’ai écarté mes lèvres, exposant ma fente à la douche qui m’inonde le vagin, le chauffe, le masse et le remplit. En m’écartant ou en me rapprochant du jet, je varie mes sensations et ce jet de plein fouet m’amène au bord de la jouissance.

Je geins maintenant de plus en plus fort avec l’orgasme qui monte et mon corps souple se contracte. Sans pouvoir me contrôler, je crie de bonheur et j’ai des convulsions dans ma chatte qui font sortir mon liquide par jets, presque comme si j’étais un homme qui éjacule. Puis, avec une dernière contraction, je me sens vidée avec le coeur qui cogne dans ma poitrine et mon soufle haletant..

C’est à peine si j’ai encore la force de sortir de la douche et de m’essuyer.

Je reviens sur le lit, incapable de bouger, épuisée par ces orgasmes. Sur l’écran, la cassette montre maintenant un homme et une femme nus qui s’embrassent, serrés l’un contre l’autre. puis elle se tourne et entreprend de sucer le sexe de son partenaire. Sa langue passe du gland aux couilles, elle aspire comme pour en extraire tout le sperme. Rapidement, on le voit jouir ,envoyant sa charge sur le visage de la fille qui, de sa langue, recueille les gouttes précieuses.Le film continue avec un second garçon qui attendait son tour et qui monte la fille. Ses jambes s’enroulent autour de la taill du garçon et sa main saisit la grosse queue bandante et la guide vers la vagin. Puis il la baise, longuement, sa bite allant et venant en gros plan sur l’écran.La fille crie, "Oui, c’est bon ", en redemande " Encore, baise-moi fort " et le garçon lui promet des flots de foutre... ce n’est pas le genre de film que je préfère, mais ça chauffe quand même ! Dans le dos, je ressens un frisson qui descend au plus profond de moi, une anticipation du plaisir à venir. Je ferme les yeux et je passe un main entre mes cuisses pour toucher mon pubis. Tous mes sens sont à vif, ma peau me fait presque mal quand j’y touche tant elle a été caressée. Le seul toucher de main main sur mon mont déclanche un orgasme. Pas un gros, mais un orgasme tout de même qui me tord le vagin et ma laisse pantelante, sans parvenir à éteindre la chaleur sourde de mon ventre.

C’est le moment de continuer en m’amusant avec mon dernier jouet. J’écarte largement les jambes et je place le gode sur mon minou, et je l’enfonce dans la chatte lubrifiée qui me fait mal tant elle attend d’être baisée. Quand presque toute la longueur est entrée, je reste quelques secondes immobile à profiter de cette sensation extraordinaire d’être remplie. Enfin, j’entreprends de la faire aller dans moi, tout au fond d’abord, puis il ressort presque en entier et la tête de mon amant pénètre à nouveau. Dans la glace en face de moi, je vois une fille qui me ressemble et qui s’enfile son gode en prenant son pied jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Je la vois trembler de plaisir, se contracter et cette image renforce encore mon excitation, le godemiché accélère pendant que mon autre main pétrit mes seins, je me raidis, mon souffle se fait court, je tremble sans pouvoir m’arrêter, la jouissance me tenaille, les spasmes semblent durer encore et encore, ne pas jamais pouvoir se terminer, et je sens encore plus de chaleur et de feu dans mon ventre...

Des cris et des soupirs en provenance de la télévision m’interrompent une seconde. Tiens, le film n’est pas encore terminé. Sur l’écran un homme est en train de sodomiser sa compagne : brutalement, moi aussi j’ai une folle envie d’être sodomisée, de recevoir un membre qui me fouaillera jusqu’au fond de mon ventre. Je veux me faire enculer, enculer par une queue puissante. Mon gode ! Tout de suite....dans mon cul ! Il est encore vierge si on excepte les quelques phalanges de doigts qui l’on pénétré., mais jamais encore il n’a reçu un tel objet. D’une main j’écarte mes fesses et de l‘autre je retire frénétiquement le gode de moi, brillant et gluant de mes jus et je l’enfonce, lentement. Tout de suite, mon corps se raidit car ça fait mal, mais j’insiste et je continue à pousser en faisant des pauses quand la douleur devient trop forte. Je sens que je m’ouvre et une bonne longueur du gode rentre rapidement. J’ai l'impression d'être déchirée en même temps que je ressens une jouissance continue. Je pompe en même temps le gode et mes doigts dans les deux trous. Je sens mon clito qui palpite au rythme des battements affrénés de mon coeur. Chaque spasme de mon con se dédouble dans mon anus,avec son l’anneau des muscles qui se serre.

" Faut que j’me baise le cul... C’est bon dans le cul ! " Je manoeuvre le gode en avant, en arrière, parfois je le fais tourner pour mieux me forcer le cul. Et en même temps j’ai deux doigts qui vont et viennent dans ma chatte ruisselante de jus et je ne cesse de gémir de plaisir. Le miroir devant moi me renvoie mon image, les trais crispés, l’anus dilaté, le gode qui me défonce le cul, la chatte gonflée et suintante de jus.

Chaque mouvement du gode ou des mes doigts en arrière ou en avant fait passer une onde douce et violente à la fois. Je sens la sang battre dans ma tête, je l’entend battre dans mes oreilles quand l’orgasme m’emporte, un orgasme comme une tempête qui balaie mon corps et me fait hurler – enfin , je le pense, car je ne m’en ai pas même conscience. C’est comme un glissement de terrain, la jouissance dévale sur moi avec une force énorme. Les étoiles explosent dans mes yeux, toute la terre est balayée par un tremblement géant. L’orgasme me dévore avant de me laisser épuisée et pantelante sur le lit.

Je me sens si bien maintenant et si féminine ...

Florentine

 

Note de l'auteur : Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à la condition expresse de mentionner dans ces pages web le nom de l'auteur : Hornyboy, et l'adresse du blog : http://www.histoiresdeq.canalblog.com

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