Les routiers sont sympa
Je les entendais parler d'elle à la radio, sur ma CB dans mon camion. La brune nue dans la berline. Elle était dans sa voiture, une Intrépide blanche et elle roulait sur l'autoroute 5. Je la suivais, pas loin derrière et je voyais ses cheveux qui voletaient par la fenêtre ouverte. Je ne pouvais pas voir à l'intérieur de la voiture puisqu'elle était devant moi, mais je la voyais ralentir en dépassant les camions et les semi-remorques, elle ralentissait pour retomber juste à leur vitesse. Je savais qu'elle était nue. Je savais qu'elle montrait son corps aux routiers en les dépassant. Elle leur exposait son corps nu à ces inconnus sur l'autoroute. Je savais que ses mains couraient sur son corps, qu'elle se touchait, elle se pinçait les mamelons et se caressait les seins. Je savais qu'ils l'observaient, qu'ils la regardaient du haut de la cabine du camion et qu'ils désiraient son corps nu. Je savais ce qu'ils voyaient et ce qu'ils pensaient en la regardant. Je l'avais vue depuis mon camion, je savais ce qu'ils voyaient. Ses jambes largement écartées, son minou rasé visible par tous, ses doigts qui touchaient et caressaient son minou.
Comment je le savais? Comment est-ce que je savais qu'ils la voyaient ? Qu'elle était nue pour leur plaisir? Parce que c'est ma femme. Ma petite femme, Sue, 1,50m, le minou rasé, de longs cheveux bruns et des seins de 90. C'est pourquoi je savais. C'était le petit jeu auquel nous jouions. Une sorte de provocation pour chacun ; elle qui s'exhibait, moi qui savais qu'elle le faisait. Ca nous excitait énormément l'un comme l'autre. Quand, en voiture, elle approchait de notre maison, elle rentrait à toute vitesse et m'y attendait, nue et mouillée. Mais cette fois-ci, le jeu a pris une tournure différente...
Je l'ai vue doubler et se placer à côté d'un camion, un semi remorque ordinaire qui transportait de grands containers. Je l'ai regardée se placer à côté du camion, ralentir à hauteur de la porte du chauffeur et elle agitait la main pour lui faire bonjour. J'ai entendu un puissant klaxon retentir pour saluer la femme nue dans la voiture blanche. Sa main a disparu entre ses cuisses et je savais ce qu'il voyait.Ses jambes largement ouvertes, son doigt qui caressait son clitoris et qui frottait sur ses lèvres douce et mouillées. Elle faisait bien attention qu'on puisse la voir, j'en suis certain. Sa voiture zigzaguait un peu sur la route, ça doit être difficile de conduire avec les deux mains occupées sur son corps.
Sa voiture a accéléré et dépassé le camion et je l'ai vue faire un signe de la main vers un panneau de sortie de l'autoroute. Ca, c'était inattendu. Que faisait-elle ? J'ai vu son clignotant s'allumer, puis celui du camion. Je savais qu'il allait se passer des choses intéressantes, qu'il allait y avoir des nouveautés dans notre jeu.
L'aire de repos n'était pas loin et la voiture a quitté l'autoroute, ralentissant pour ne pas semer le camion qui la suivait. J'ai suivi, derrière le camion mais assez loin pour ne pas attirer l'attention. Sa voiture s'est garée au fond d'un grand parking, celui prévu pour les camions. J'ai regardé le semi s'arrêter juste à côté d'elle, la portière du chauffeur du côté de la sienne pour qu'il puisse voir dans la voiture. J'ai fait le tour des toilettes et je me suis garé au fond du parking. Je voyais sa voiture et je voyais le chauffeur qui regardait dedans. Je ne pouvais pas la voir. J'ai attrapé une paire de jumelles sous mon siège et j'ai observé le chauffeur du camion.
Il n'avait rien d'extraordinaire, c'était un blanc, du genre chauffeur de poids lourds. Il avait un grand sourire et il regardait fixement en bas, dans la voiture de Sue. Je voyais son épaule bouger, sans aucun doute il se branlait en regardant ma femme se masturber pour lui. J'ai vu un pied apparaître dans la voiture de Sue qu'elle a posé sur le tableau de bord. Je savais qu'elle avait les jambes bien écartées et sa chatte rasée bien ouverte aussi pour qu'il la voie. Puis la porte de sa voiture s'est ouverte et Sue est sortie. On voyait son corps nu de tout le parking et elle était debout, les yeux levés vers le chauffeur. Je voyais se mains courir sur son corps, elle serrait ses seins et d'une main qui s'était nichée entre ses jambes elle se caressait pour qu'il puisse tout voir. Le vent soufflait dans ses cheveux qui lui encadraient la figure quand elle levait la tête vers le chauffeur.
La porte du camion a commencé à s'ouvrir et Sue s'est reculée, pour pouvoir se précipiter dans sa voiture, à ce que j'ai pensé. Mais elle est restée immobile à regarder la porte qui s'ouvrait toute grande. J'ai vu le visage du chauffeur : il avait un air lubrique. Ses bottes de cowboy sont descendues sur le marchepied du camion. Il était sur ce marchepied à environ trente centimètres du sol et c'est alors que j'ai vu sa queue. Même à 50mètres de là, elle était énorme. Au moins 28 - 30 centimètres. Son pantalon et sa ceinture étaient ouverts et sa queue pendait de son entrejambes comme une grosse corde. Qu'est-ce qu'elle allait faire ? Qu'est-ce qu'elle pensait?
Stupéfié, comme assommé, j'étais là, assis, à regarder dans mes jumelles : elle s'est avancée sa petite main a attrapé l'énorme queue qu'elle avait devant elle. Elle l'a caressée lentement de haut en bas. Je voyais cette queue durcir entre ses mains, grossir et devenir raide. Ses doigts faisaient à peine le tour de la pine épaisse et ils ressemblaient à ceux d'un enfant autour d'un énorme jouet. Elle s'est penchée et sa bouche a avalé le bout de la queue en forme de champignon. C'est tout juste si je n'entendais pas l'homme gémir en se faisant sucer la queue. Sa tête montait et descendait sur manche, sa main le branlait lentement et ses lèvres suçaient le gros gland. C'était comme un rêve qui devient réel, un fantasme parfait qui se réalise dans un parking, au bord de l'autoroute, ma femme qui suçait un inconnu. Une main allait et venait sur le manche, l'autre lui pelotait les couilles, et toujours les lèvres suçaient le gros bout. J'ai revu l'homme qui enroulait les cheveux de ma femme autour de sa main à lui, il lui tirait ainsi la tête et l'obligeait à le sucer au rythme qu'il voulait. Il ne cessait pas d'enfiler sa grosse queue dans sa bouche, toute la bite était engloutie dans la bouche chaude et les grosses couilles pendaient sous sa bite parcourue de spasmes. Il a jeté la tête en arrière en faisant une grimace : j'ai pensé qu'il allait gicler, c'est certain, et qu'il allait étouffer ma femme avec son foutre chaud. La noyer sous des jets massifs de sperme. Mais le chauffeur n'a pas fait ça ; il a fait quelque chose de complètement inattendu.
Presque brutalement il a sorti sa queue de la bouche de Sue, son gros gourdin, sa bite au bout gluant de lubricité, il l'a agitée devant elle, puis il a fait faire une demi tour à ma femme. Elle a atterri sur le capot de la voiture, les seins sur la tôle chaude. Elle la regardé l'homme derrière elle, paniquée un instant par ce changement soudain de programme. La tenant d'une main par les hanches, l'autre posée sur son dos, l'homme s'est approché de Sue par derrière et a placé son énorme queue juste devant son minou rasée, si tendre et si minuscule. D'un coup de bottes il a écarté les jambes de Sue, comme le font les policiers, la poussant en même temps contre le capot de la voiture, toujours avec un main passée derrière e Elle était là, offerte, jambes écartées, en levrette sur le capot, en plein soleil sur cette aire de repos.J'ai failli m'en mêler à ce moment et me précipiter à travers le parking pour les arrêter. Mais j'ai vu le visage de Sue qui passsait de la panique au plaisir quand il a enfilé son manche dans son minou.. Tenant ma femme à deux mains par les hanches, il a enfilé sa grosse queue dans ma femme, descendant jusqu' fond, là où ni moi ni personne d 'autre n'était jamais allé, à ma connaissance. Je voyais ses couilles claquer sur ses fesses, et ses cris de plaisir me parvenaient depuis l'autre bout du parking. Il a accéléré, ses hanches allaient et venaient de plus en plus vite buter contre ses fesses et, sans aucun doute, son énorme manche entrait à fond dans le minou de Sue. Elle aussi allait de plus en plus vite, ses seins se balançaient de droite et de gauche à chaque coup reins. Elle s'est tournée vers lui pour le regarder et j'ai vu sa bouche qui le poussait, et même le suppliait de la baiser encore plus fort. Quand il se retirait de Sue on voyait sa queue luisante de jus de chatte. Il s'est mis à grogner, c'était aussi fort que si j'avais été à une mètre de lui et j'au vu le routier enfoncer sa queue au maximum avec une ultime poussée. Il était en train de la remplir de foutre, son sperme giclait dans la chatte bouillante de Sue, et jet après jet il plongeait sa queue dans elle et l'éclaboussait de foutre chaud. Elle s'est mise à crier, jouissant tellement autour de la queue de l'homme que ses mains frappaient le capot de la voiture.Le chauffeur fit un pas en arrière, sortit sa queue de dedans Sue ; trempée, dégoulinante de foutre. Elle se balançait et elle luisait au soleil. Le chauffeur a posé les mains sur sa queue, l'a renfilée dans son jean et est remonté dans son camion. J'ai entendu la porte se refermer, puis un grand coup de démarreur et le moteur s'est mis en marche.
Un coup d'accélérateur et le camion est parti, la laissant seule. A travers les jumelles je l'ai vue se lever trempée de sueur et de choses mouillées. Elle m'a souri et a tendu le doigt vers moi dans mon camion. Elle m'a fait signe, et a mis une main entre ses jambes pour la passer dans son minou rempli de foutre.
Je suis sorti et j'ai commence à traverser le parking. Maintenant c'était mon tour de m'occuper de l'exhibitionniste de l'autoroute !
Avant d'avoir fait dix pas, j'ai entendu le bruit de freins à air comprimé juste quand le deuxième camion est entré dans le parking en se dirigeant vers Sue. Puis une troisième camion et un quatrième. Sue me regardait et elle souriait. Puis elle s'est tournée, et, allongée sur le capot de la voiture, les jambes écartées, elle a attendu que ses nouveaux amis arrivent jusqu'à elle.
Note: cette histoire a été trouvée sur internet dans une page sans aucune référence. Nous n'avons ainsi pas pu contacter l'auteur pour lui demander l'autorisation de la reproduire. S'il se reconnaît ou si quelqu'un le connaît, merci de nous prévenir pour que nous puissions régulariser la situation. Merci.
Titre original: Truckers' rest stop
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