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Histoires de Q
19 janvier 2007

La fée du lac

Après plusieurs heures de travail sans m’arrêter une seconde, je me dis que j’ai besoin d’une pause et je décide d’aller faire une promenade dans la forêt. En effet, juste à la sortie du village où j’habite il y a une petite forêt si bien que, quand on a quelques minutes de libre, c’est un vrai plaisir d’aller y faire une petite balade.  Souvent, je ne suis pas seul, bien d’autres jeunes ont la même idée que moi, et tous ne vont pas dans la forêt pour le seul plaisir d’être dans la nature. On entend souvent des  bruits et des cris qui sortent des fourrés et qui ne laissent aucun doute sur que garçons et filles sont en train de faire. Un foi même, j’ai vu un couple faire l’amour juste au bord du chemin : elle était appuyée contre le tronc d’un arbre, la jupe retroussée, pendant que lui, le pantalon baissé , enfonçait son membre dans elle,  à la hussarde. Ils étaient si absorbés qu’ils ne m’ont même pas vu quand je suis passé à moins d’un mètre d’eux !

J’aime me promener dans cette forêt, seul le plus souvent,  bien qu’elle ne soit pas très grande. Je crois que j’en connais chaque chemin et chaque recoin. J’en connais aussi ses histoires et ses légendes, celles de fées et de sorcières qui attirent les hommes dans la forêt d’où  ils ne reviennent  jamais.
Aujourd’hui, j’ai eu une journée difficile avec beaucoup de travail  et vers la fin de l’après-midi, je me dis qu’une petite détente me fera du bien. D’ailleurs, il fait si beau que ce serait dommage de ne pas  mettre les pieds dehors quelques minutes. Moi, c’est Romuald et j’ai  à peine plus de vingt ans. Parce que je suis un peu solitaire, j’aime me promener dans cette forêt  pour y rêver.
En avançant  dans une allée, juste après un gros rocher où je viens souvent m’asseoir,  je vois s’ouvrir à droite un sentier qu’il me semble ne pas reconnaître.
« Tiens, ça alors, je pensais avoir parcouru toute la forêt. Je ne me rappelle pas ce  chemin. »
Je l’emprunte donc pour voir où il va m’emmener.

Après quelques minutes de marche, j’entre dans un coin de la forêt qui m’est totalement inconnu. Non, vraiment, je ne suis jamais passé là. J’ai même  l’impression d’être perdu. Même les arbres sont différents. Toute la forêt est plantée  essentiellement de hêtres, mais ici il s’agit d’une autre espèce que je ne reconnais pas.  Bon, c’est vrai, je ne suis pas un spécialiste de la botanique, mais quand même ! Ce qui m’intrigue le plus, ce sont les troncs noueux, déformés, tordus qui n’ont rien à voir avec les fûts droits  qu’on voit partout ailleurs. J’avance encore. L’air est chaud et lourd, il n’y a plus un souffle de vent. Les feuilles sont immobiles. Au loin arrive un homme en courant. Quand il me croise, il me lance :
« Ne tardez pas, elle vous attend. Vite ! »
Et il disparaît, toujours  en courant .
« Etrange rencontre.», je me dis. « Etrange endroit. Qui peut bien m’attendre ?»
En effet il me semble que  l’atmosphère a changé et est devenue presque mystérieuse. Je me rends brusquement compte qu’on n’entend plus un bruit. Vous savez, on parle du silence de la forêt, mais c’est faux. La forêt est une monde de bruits, celui du vent dans les feuilles, celui du chant des oiseaux et du bourdonnement des insectes. Mais ici, le silence est total : pas une feuille ne bouge, pas un oiseau ne change, pas un insecte ne bourdonne. Seul le bruit de mes pas rompt le silence pesant et presque menaçant.
« Comment se fait-il que je ne sois jamais venu par ici ? Où est-ce que  je vais arriver ?»

J’avance encore, mais je me sens vaguement inquiet. Il y quelque chose d’inhabituel, d’étrange, d’anormal. Et cet homme qui me disait  qu’on m’attendait....
Encore quelques pas, et soudain les bruits reviennent, un oiseau chante, puis un autre, la brise agite doucement les feuilles. Les arbres tordus ont cédé la place aux hêtres. Je retrouve ‘ma’ forêt, celle que je connais et que j’aime. J’aperçois une clairière inondée de soleil un peu plus loin, et j’entends un bruit nouveau, celui que ferait l’eau qui coule.
« Je rêve, il n’y a pas de ruisseau dans cette forêt. »
Et pourtant si. Je suis bien dans une partie de la forêt que j’ignorais complètement, et là, devant moi, de l’autre côté d’une  clairière, il y  une petite source qui coule doucement  entre les cailloux jusqu’à un petit  lac. Je m’arrête pour regarder le paysage. Vraiment très beau ! Tiens, je ne suis pas seul !  Au milieu du petit lac, une  nageuse. Quand elle se rapproche un peu de moi, je vois qu’elle est très belle avec ses longs cheveux blonds qui flottent sur l’eau derrière elle. Il me semble que qu’elle doit avoir une vingtaine d’années, trente tout au plus. Elle sort lentement de l’eau, près de moi, et je constate qu’elle est nue.

  Elle reste debout devant moi exposée à mon regard mais pudiquement elle garde une  main sur son ventre et une autre sur ses seins pour cacher son intimité à ma vue. Son attitude et sa grâce me font penser  sont celles d’une déesse dans les tableaux italiens de la Renaissance. Ses cheveux encadrent son beau visage et tombent sur des épaules blanches. Puis une belle poitrine, ferme, droite ; son ventre apparaît ensuite, plat  et sa taille est à peine marquée, mais ses hanches forment une courbure presque parfaite qui abrite sa grotte d’amour. Des jambes longues apparaissent enfin. On dirait Vénus sortant de l’onde...
Elle me sourit et je la salue timidement, sidéré, ébahi.
« Bonjour Romuald, je t’attendais.», me répond-elle.
« Vous... vous  me connaissez ? » Etrange conversation  que celle qui s’engage entre moi et cette jeune femme nue.
« Bien entendu, tu habites au village. Je t’y ai souvent vu.»
« Mais vous ? Je ne vous ai jamais vue, me semble-t-il . »
« Oui , il m’arrive d’y aller aussi.... Dis moi ‘tu’, s’il te plaît . »
« Vous... tu  viens souvent ici ? »
« J’habite ici. »
« Ici ? »
« La forêt est ma maison. J’y habite depuis toujours. On appelle ça ‘le lac de la fée’,  et je t’y attendais, Romuald, je suis contente que tu sois enfin venu. »
« Enfin venu ? Comment pouvez-vous ... pouvais-tu m’attendre ? Comment savais-tu que je viendrais. C’est la première fois que je passe par ici. Mais toi , comment t’appelles-tu ?»
« Morgane. Viens avec moi. »
Elle fait demi tour et se dirige vers l’eau. je vois sa silhouette merveilleuse se découper sur la masse sombre des arbres. J’admire ses hanches et ses fesses petites et cambrées. Elle se jette dans le lac et  nage jusqu’au milieu. De là, elle m’appelle encore :
« Viens dans le lac avec moi, rien que pour moi... »
J’irais bien me baigner mais je n’ai pas mon maillot.
« Pas besoin de maillot ici, il n’y a que nous deux, personne ne te verra, si c’est ça qui te fait peur... Déshabille-toi et viens dans l’eau rejoindre la fée du lac. »

Je voudrais résister à Morgane que je ne le pourrais pas. Ses paroles sont des ordres. Je ne peux pas résister à sa voix douce.  J’enlève mes vêtements mais je garde mon caleçon. Revenue au bord du lac, elle me crie de l’enlever et de la suivre, ce que je fais. Je la regarde bondir à nouveau dans l’eau comme une colombe et se mettre à nager avec grâce. Je me précipite derrière elle, tente de la rattraper mais elle m’échappe facilement et nous jouons dans l’eau claire comme deux enfants. Enfin elle me fait sortir de l’eau et nous nous allongeons sur l’herbe et nos corps nus sentent le soleil nous chauffer.
« Romuald, tu as été long  à venir, je t’ai attendu et attendu et tu ne venais pas. J’ai pleuré, je t’ai appelé souvent en vain,  mais aujourd’hui tu es là, rien que pour moi. Merci. »
Là-dessus, elle m’embrasse sur la bouche, m’entoure de ses bras et presse ses lèvres sur les miennes avec plus d’insistance. Elle s’écarte un instant de ma bouche pour murmurer :
« Romuald, je t’aime tellement.... Je suis si bien avec toi. Reste avec moi, s’il te plaît. »
Je ne sais quoi dire. Cette partie mystérieuse de la forêt, cette femme inconnue et si belle qui dit m’attendre et m’aimer... Ses paroles sont douces et enchanteresses, implorantes comme des prières, mais aussi tellement pressantes  que nul ne pourrait leur désobéir. Une sorte de puissance, d’attraction  émane de son être. Je me sens comme son prisonnier.
Elle lève les mains et les passe derrière la tête, ce qui fait ressortir les pointes dressées de ses seins. Mon sexe se  lève, pointé vers elle. Ses bras me serrent à nouveau, sa bouche cherche la mienne. Elle laisse sa main glisser sur mon dos, je lui tiens l’autre main et je lui caresse les cheveux. Elle frémit quand mes doigts  frottent  son dos et descendent jusqu’à ses fesses. Je lui murmure à l’oreille qu’elle est belle et elle répond en roulant sur moi, elle  par dessus.
Mes mains parcourent sa peau, la touche  et les siennes électrisent mon corps. Nous nous embrassons et l’ardeur de notre feu grandit avec chaque caresse.  Je sais maintenant qu’elle m’a ensorcelé et que  nous ne pourrons plus nous arrêter, qu’elle ira au bout de sa passion et m’entraînera explorer l’amour, jusqu’au  néant  s’il le faut.

Enlacés  sur l’herbe, j’embrasse Morgane avec passion, les mains passées sur ses fesses pour mieux la serrer contre moi et elle gémit quand mes lèvres touchent ses seins, quand je les suce doucement, quand ma langue harcèle les bouts durcis et quand  mes lèvres les enserrent  comme pour  les étirer. Alors,  sa respiration se fait  plus saccadée et une rosée brille entre ses cuisses.

  Morgane se lève  à demi et son visage commence à descendre le long de mon corps. Sa langue parcourt lentement ma poitrine, lèche soigneusement mon nombril, passe sur mon ventre en laissant une fine traînée humide. Quand elle atteint mon sexe et pose sa langue dessus, et je sens quelque chose de chaud et d’humide qui me lèche  et je râle de plaisir et d’excitation. Morgane lèche le bout en forme de champignon, suçote l’ouverture par laquelle sortira mon nectar, prend tout le bout dans la bouche pour le sucer alternativement doucement ou plus fort. Sa langue explore la zone sensible sous mes balles, sa langue va et vient sur le manche, sa langue entoure le gland, sa langue cherche le frein pour l’agacer,  sa langue passe sur mes balles à nouveau, sa langue m’enveloppe complètement...
Et soudain, ses lèvres  s‘ouvrent et m’avalent en entier, jusqu’au fond de sa bouche. Quelle sensation  que j’ai rarement ressentie ! Elle reste immobile quelques secondes, le temps que j’apprécie la chaleur et la douceur de sa bouche et, tout à mon plaisir,  je me mets à gémir. Elle remonte lentement, très lentement et mon sexe palpite comme follement , il  me fait mal tellement il est tendu, prêt à lâcher son sperme dans la bouche de Morgane.
     Sa vivacité et ses inventions  m’amènent plusieurs fois au bord de l’orgasme et chaque fois j’ai des  sensations merveilleuses. Et voilà qu’elle fait aller et venir sa main au rythme de sa bouche, en me masturbant tout en me suçant. Je la supplie d’en finir et de me faire jouir, mais elle se remet à lécher ou à sucer le bout, puis le manche, en tenant mes boules dans ses mains, et soudain elle me reprend en entier dans la bouche...
Je ne peux  plus supporter de rester immobile ainsi  dévoré de caresses, j’ai besoin de plus encore et je demande à Morgane de venir sur moi pour que je puisse la dévorer, elle aussi. Elle se déplace et vient se placer au dessus de ma bouche dans un 69 magnifique de passion. Mes mains courent sur ses fesses puis sur les lèvres de son sexe pour les ouvrir. Son odeur douce m’envahit, l’odeur de sa féminité et je me mets à lui sucer le minou comme je ne l’ai encore jamais fait.
Ma langue s’élance à la recherche de son clitoris, le trouve, le happe, lui donne des petits coups légers et Morgane gémit que c’est bon. Quant à moi, je trouve mon plaisir à la sucer : j’adore ses petits cris, j’adore la douce chaleur de ses cuisses contre mon visage, j’adore le goût musqué de sa féminité, aussi frais que le lac dans lequel elle vient de se baigner. Je veux sentir Morgane trembler et vibrer quand elle jouira, je veux que ma bouche boive le meilleur nectar que j’ai jamais goûté..
Avec ma langue, j’ai ouvert ses petites lèvres, et j’entre dans une zone inconnus du paradis, son petit minou chaud et doux et doucement, je lèche l’intérieur, aussi loin que je peux aller. Puis , pour varier, je lèche autour du chat avant d’aller sucer le clitoris avant de revenir boire sa cyprine. En même temps, je joue avec ses fesses et ça la fait gémir. Je serre mon visage sur elle, la langue bien enfoncée. Que c’est bon ! Comme j’aime ce parfum ! En même temps, je sens Morgane qui serre son ventre contre moi autant qu’elle le peut tout en me caressant les balles et en me suçant  toujours plus  à fond. Je lèche son clitoris de petits coups de langue rapides, puis je m’enfonce dans elle, loin. Morgane râle de plaisir, son corps danse sous ma langue, son sexe grand ouvert me couvre les joues de mouille. Sa respiration est irrégulière, elle plante ses ongles dans ma cuisses, et elle ne peut s’empêcher de tressaillir.
Combien de temps a passé depuis que notre étreinte  a commencé ?Des heures, des jours, des mois, peut-être. Nous sommes perdus dans nos jeux et nos émotions qui menacent de nous emporter dans l’infini et la peau nue de nos corps enlacés brûle comme un feu infernal..

Enlacés dans notre 69, nous sommes maintenant au bord de la jouissance. Je sens ses muscles e contracter autour de ma langue, je sens Morgane toute entière qui se contracte, ses cuisses me serrent la tête, et sa respiration est haletante. Son orgasme, léger au début devient plus puissant . Emportée par sa jouissance, ses hanches se tendent, ses seins tressautent furieusement, sa bouche quitte ma queue, sa tête s’agite de droite à gauche et ses longs cheveux volent autour d’elle. Et soudain, c’est mon tour : ça arrive comme dans un film au ralenti. Ma queue vibre et tremble puis crache un flot blanc qui monte en l’air et retombe lourdement sur la joue de Morgane. Puis une autre pulsation et le visage de Morgane est marqué d’un autre jet, du menton jusqu’aux cheveux , un jet épais et crémeux.  Morgane ouvre grand la bouche   pour recueillir mon liquide qui continue à jaillir et  coule sur sa langue.

Mon esprit est anéanti. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi ; je ne sais pas combien de fois elle a joui ;  je ne sais pas comment elle m’a amené là ; la douceur de sa peau sur ma bouche, sur mes lèvres, sur mon visage sur mon ventre et sur mon sexe m’a déposé sur un nuage de plaisir. Je ne veux pas que ça finisse un jour, je veux continuer à la lécher, à la sentir sur moi, à la lécher, à avoir sa bouche sur mon sexe. Je le veux pour toute l’éternité.

Enfin, nous nous sommes séparés et, près du lac, allongés l’un à côté de l’autre au soleil qui nous chauffe, nous nous sommes caressés tendrement.  Je me se sens si bien à la tenir dans mes bras,  à faire courir ma main sur sa peau, à la toucher partout., à l’embrasser, à l’embrasser encore.
Il ne faut pas longtemps pour que mon érection est à nouveau  puissante et mon membre ne pense plus qu’à pénétrer dans la grotte d’amour de Morgane. Mais je ne veux pas  me la taper, la baiser comme si c’était n’importe quelle fille ! Non, je veux lui faire l’amour , lui  montrer à quel point la passion m’a emporté, à quel point Morgane m’a ensorcelé..
Comme si elle lisait dans mes pensées, elle me murmure :
« Mon amour, merci d’être là avec moi. Maintenant, faisons l’amour, lentement, complètement, follement, veux-tu ? »
Nerveusement, je me serre contre elle. Elle ferme les yeux et écarte les jambes. Je me glisse entre elles et mon sexe s’enfonce lentement, chaudement dans son ventre et nous crions tous les deux de plaisir. Nos ventres se touchent, mais je veux aller plus loin, je veux  que Morgane  m’absorbe en entier. Je lui demande de lever les jambes  pour m’enfoncer davantage et je commence à pomper dans elle. Je ne me rendais pas compte à quel point elle était mouillée. Ma queue baigne dans son jus et celui-ci jaillit de sa chatte  à chacune de mes pressions, ça fait un bruit humide quand je vais et je viens. Je frissonne quand mon membre chaud se brûle sur son vagin en feu. Et quand j’ai enfoncé mon hampe jusqu’aux balles, toute la longueur de ce manche brûle au feu des charbons ardents de son conduit.

Je prends une allure plutôt lente mais régulière, allant  et venant dans cette chatte délicieuse et lubrifiée à souhait
Elle doit sentir comme mon sexe est tendu dans elle !
Tout à coup elle hurle :
« Vas-y, je n’en peux plus… donne, donne moi tout… tout toi…Oui, c’est bon, c’est si bon de faire l’amour avec toi...»
Alors, je m’y mets comme un bête en rut en allant à une allure vive, le haut de mes cuisses claquent sur ses fesses, un succession de coups rapides et secs. Le visage enfouit dans son cou, la sueur coule de nos corps et les rend encore plus sensuels. Soudain, des petits cris, des tressaillements, une vague de contractions, Morgane explose.
« Baise-moi plus fort...  fort... je jouis... ahhh... »
Je continue à la pilonner et ses cris durent et durent encore, son visage est crispé quand sa jouissance se prolonge dans l’extase. Puis,  son visage reprend son calme, les yeux fermés, un sourire sur les lèvres.
« Maintenant, c’est à mon tour de te donner du plaisir », me dit-elle. « Allonge-toi sur le dos, je vais venir sur toi. »

Poussé parce désir brûlant dans mon bas-ventre, sans perdre une seconde, je m’allonge sur l’herbe et Morgane vient se placer au dessus de moi, un pied de chaque côté. Puis elle s’accroupit et  je sens ses fesses se poser sur mon ventre et ma bite est prise en main. Elle la glisse sur sa chatte trempée, se branlant avec. Elle soulève ses fesses et place ma bite devant sa chatte grande  ouverture , mais se retenant,  elle ne laisse entrer que le bout, pas plus, bien que j’essaie de m’enfoncer plus loin dans sa chatte.. Elle se penche un peu  en avant  si bien que ses seins viennent danser devant mes yeux. Elle attend que je n’en puisse plus, que je devienne fou d’impatience :  mon gland me brûle et voudrait s’enfoncer pour se rafraîchir  dans s cette fontaine. Je gémis, presque de désespoir :
« Vas-y, laisse-toi tomber sur moi, je te veux complètement... »
« Encore un peu, attends, le moment va venir... Je veux que tu meures d’envie... je veux que ta queue soit énorme, qu’elle me défonce la chatte et que tu jouisses comme ça ne t’est jamais encore arrivé. »

Et puis soudain, je sens mon sexe se glisser entièrement dans elle,  toute  chaude et humide. Comment décrire ce moment. ? La chaleur de Morgane autour de moi, la fraîcheur de la rosée autour de moi, la douceur du satin autour de moi. Elle monte et descend sur le manche, lentement, m’arrachant des cris. .  Je suis comme un bête préhistorique qui crie dans sa caverne et mon excitation ne cesse de grandir. Mes hanches se tendent pour aller à sa rencontre, et augmenter la pression que je sens déjà venir. En se balançant sur moi, en montant et en descendant,  en faisant tourner ses hanches, Morgane m’entraîne dans son monde magique dans lequel je voudrais rester pour toujours.
Elle augmente son rythme, elle monte et descend furieusement sur mon manche au risque de déclencher à chaque seconde le flot de mon orgasme. Le sexe de Morgane est un sexe de fée, un sexe de sorcière qui m’ensorcelle. Je ne sais même plus qui je suis, ce que je fais. Je ne suis plus qu’un corps chevauché, je ne suis plus qu’un corps emporté par la passion. Je ne suis plus qu’un sexe qui veut éclater, je ne suis plus qu’un sexe  étourdi de caresses, je ne suis plus qu’un sexe pris dans un tourbillon de sensations érotiques. Je crie, peut-être de folie, quand le ventre de Morgane m’enserre avec une force, une douceur, une chaleur  implacables.

Je sens mon sexe grossir encore et remplir tout le ventre Morgane. Elle doit aussi s’en rendre compte car elle m’implore faiblement :
« Ta bite est si grosse... inonde-moi, remplis-moi de ton foutre...jouis ! »
Et aussitôt après, ma maîtresse se presse encore plus fort contre moi et pousse un gémissement immense, alors que des contractions  déchirent son corps, envoyant des vagues de satisfaction, de plaisir et de jouissance dans tout son être :
« Ahhh !, oui.... Ohhh ! »
Son sexe contracté par l’orgasme serre et écrase le mien.  Je ne peux plus résister, je ne veux plus résister. Je sens mes boules éclater, puis la tension parcourir la longueur de mon sexe. Je sens le méat s’ouvrir  et je me déverse  dans son ventre avec puissance, l’emplissant  de mon amour crémeux et nos nectars mélangés se mettent à couler entre mes jambes sur l’herbe verte de la forêt.
Je suis entraîné dans un tourbillon. L’ouragan nous emporte, elle et moi. La terre s’ouvre sous moi. Le monde entier vacille. Le ciel explose dans ma tête. L’univers se rétrécit jusqu’à n’être plus qu’un sexe, que mon sexe entraîné dans un trou noir, dans l’absolu de la jouissance.

Mon corps est fondu dans le sien et nous restons immobiles de longue minutes en  gémissant  du plaisir de ne plus faire qu’un.

Ce n’est que lentement, très lentement que je reviens sur terre et reprends conscience.
Brusquement, j’ai froid et, levant les yeux, je remarque que le soleil a disparu, remplacé par de gros nuages sombres. Aussitôt, l’orage se lève et le tonnerre gronde. Morgane, craintivement, se serre contre ma poitrine, se love entre mes bras et y reste en tremblant le temps que l’orage passe et que le soleil revienne tout aussi brusquement et mystérieusement.
Je la remercie  de m’avoir tout donné, je la remercie de s’être donnée.
« Pourquoi m’as-tu fait ça ? Pourquoi m’as-tu donné tant de jouissance ?  » je lui demande.
« Parce que tu es à moi et moi à toi, parce que je t’aime et que je sais  que je vais te perdre. Alors, je t’ai pris en entier et je me suis donnée totalement à toi, mon amour. »
« Pourquoi me perdrais-tu ? Maintenant que je t’ai rencontrée, je ne quitterais plus. Je t’aime moi aussi, tu m’as ensorcelé ! »
« Tu dois partir, tu ne peux pas rester ici la nuit.. Je le voudrais bien  mais c’est impossible. Il ne faut pas que la nuit te surprenne dans la forêt, près du lac de la fée. Ecoute, déjà le vent se lève , on dirait les âmes des morts qui hurlent dans la brise. Fuis, mon amour avant qu’il ne soit trop tard...»
« Sornettes ! Nous resterons ensemble ! »
« Adieu, mon amour , la fée du lac te protégera. Fuis, le temps est dépassé. Cette forêt  est sans limites  et tu ne sais pas  ce qui s’y passe la nuit. Adieu mon amour, je ne pleurerai plus jamais car tu m’as donné le bonheur. »
     La brume est tombée, une brume épaisse qui cache Morgane à mes yeux. Je l’appelle, sa voix me parvient de plus en plus faible et éloignée et ses dernières paroles « Je t’aime, mon amour ! » se perdent dans le lointain. Presque à tâtons, le cherche le chemin par lequel je suis arrivé et je cours pour rentrer plus vite. L’orage gronde, la pluie tombe en trombes, les éclairs déchirent le ciel et les branches noueuses des arbres semblent des  mains qui veulent m’agripper et, pour les esquiver, je cours à travers les flaques de pluie...  Et soudain, le ciel est bleu, la brise souffle doucement dans les grands arbres, tout est sec par terre, et moi aussi.  J’arrive au gros rocher, je n’ai qu’à tourner et faire quelques pas pour sortir de la forêt et revenir dans le village.

Dès le lendemain matin, je suis à nouveau sur le sentier, près du gros rocher, mais c’est un vain que je cherche le chemin qui me conduirait près de Morgane. Les  grands arbres sont là depuis  des dizaines d’années, il n’y a  pas la moindre trace d’un sentier, jamais un pied n’a foulé l’herbe... Jamais je n’ai retrouvé le  lac de la fée, jamais je n’ai revu Morgane, la fée du lac.

Note de l'auteur : Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à la condition expresse de mentionner dans ces pages web le nom de l'auteur : Hornyboy, et l'adresse du blog : http://www.histoiresdeq.canalblog.com

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