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Histoires de Q
20 janvier 2021

Découverte sous la douche

Pierre Paurn' haud m'a envoyé cette histoire  sans que je puisse  lui demander l'autorisation formelle de la mettre en ligne. Je le fais tout de même,  mais je reste à sa disposition pour  effectuer tous les changements / transformations / améliorations qu'il souhaiterait.Il lui suffira de me contacter...

 

Auteur Pierre Paum' haud – 1963 mots – MM oral, sperme, 69

Une histoire bien écrite qui raconte comment deux copains ( âge non précisé, dans les 18 – 20 ans peut-être) se découvrent sous la douche avec leurs hésitations et leur enthousiasme.

 

Découverte sous la douche

Le vent fait claquer le tee-shirt sur les épaules et le dos, ce qui ne serait rien si nous n'avions pas passé pratiquement la journée dans l'eau, sur la plage de Beauduc, en Camargue. Et rouler en deux-roues sur cette ligne droite interminable, entre Port-Saint-Louis et Fos est un vrai supplice. Pas un poil d'ombre... Maintenant que nous sommes secs, le sel et le sable de la plage se rappellent à notre bon souvenir. Le vent latéral nous secoue, brûlant. Vivement la maison, la douche !!

Enfin se profile l'intersection qui nous permet de quitter cette nationale, désert de bitume surchauffé. Nous entrons dans la pinède qui borde la route, et descendons vers le lotissement. Nous rangeons les bécanes à l'ombre, elles ont bien le droit de se reposer après cette route.

Christian, mon pote de virée, est claqué. Les traits tirés, les yeux rougis et fatigués, sa crinière rousse plaquée sur le crâne par le port du casque, il sort un paquet de cigarettes de son sac à dos et m'en présente une. On allume les clopes, assis sur l'escalier qui dessert ma chambre, adossés à la porte fenêtre.

-Tu verrais ta gueule, Denis ! me dit-il

-Bah et la tienne ! On boirait bien un truc, non ?

-T'as du Coca ?

Trente secondes plus tard, les canettes (en verre, à l'époque) sont décapsulées. Il ne faut pas longtemps pour les liquider.

-Je finis ma clope et je file à la douche, je n'en peux plus de ce sable !

-Oh, je peux y aller aussi ?

-Vas-y, je te rejoins dans une minute...

-OK !

Et il se déshabille illico. La trace de son slip de bain est très marquée, le blanc de ses fesses de roux tranche énormément par rapport au reste. Le sable tombe au sol.

Christian, et moi, n'avons pas de pudeur mutuelle. Vu qu'on pratique les mêmes sports, il nous est déjà arrivé de nous voir nus, ça n'a jamais posé le moindre problème, et nous avons déjà deux années d'internat ensemble. Autant dire que nous savons comment nous sommes faits ! En entrant dans la salle de bain, je le trouve dans la baignoire, sous le jet dru. Je finis de me déshabiller, et j’attends qu’il sorte. Mais il me dit :

-Allez, viens, je te fais de la place.

La tête sous la douche, je reprends un peu de fraicheur, l’eau est à peine tiède.Ca fait du bien !! Pendant ce temps, Christian s’est assis au bout de la baignoire et me demande de boucher la bonde.

-C’est pour tremper un peu, histoire de dessabler le matériel.

-T’as raison, j’en ai partout, et pas que dans les cheveux…

Je décroche le pommeau de douche et insiste bien autour de ma queue, et la raie des fesses. Encore du sable, à croire que l’on s’est rempli le slip de bain…

Je surprends son regard, vaguement libidineux.

  • Quoi ? lui demandé-je

  • Je me demandais comment ça fait lorsqu’on est circoncis ?

Il faut dire qu’il a le champ de vision à la bonne hauteur, et m’assure qu’il n’avait jamais fait gaffe à ça. J’ai été opéré d’un phimosis, plus jeune, vers onze ans et je me rappelle encore la douleur lorsqu’ on enlevait les fils, au bout (c’est le cas de le dire !) de trois semaines.

-Ben ça fait rien de spécial, tu sais, c’est juste le capuchon qu’on retire, parce qu’il gène l’érection

-Mais ce n’est pas plus sensible ? Le frottement dans le slip doit être insupportable !

-Non, je ne crois pas que ce soit plus sensible… En plus, le gland bien dégagé, c’est sympa, ça devient presque un fruit, on en mangera !

-C’est vrai, et que dirais-tu si j’y goûtais ?

-Surpris par la demande, je mis deux ou trois secondes à répondre, et il s’approcha. Ma queue était à peine gonflée, vu le traitement à la main et au jet que je viens de lui faire subir, à l’horizontale, pas hyper dure, mais ça n’allait pas tarder à changer si ça continuait comme ça ! Il ouvrit la bouche, me prit les couilles par en dessous et tira vers lui. Aussitôt, un fourreau d’une douceur inconnue entoura mon gland, (ma première pipe !!) et il joua un petit moment avec. Je n’avais pas envie que ça s’arrête. Pourtant, il la lâcha, fit claquer sa langue, avant de me regarder dans les yeux et de laisser ma bite, en disant :

-elle a un petit goût salé, j’aime bien ! On va dans ta chambre ?

-Oui, oui, lui dis-je, histoire de détendre l’atmosphère. Par contre, au niveau de la queue, ça ne détendait rien du tout ! Elle était agitée de petits spasmes nerveux, et tressautait en position de garde à vous. Et la sienne était devenue bien grosse et raide, je lui en fis la remarque.

-Dis donc, ça ne te laisse pas indifférent…

-Non, je ne suis pas déçu, ça me plait bien de sucer !

-Dommage que ce ne soit pas une fille qui me dise ça ! J’ai reçu ma première pipe d’un mec, c’est pas courant !

-T’inquiète pas, on ne va pas aller s’en vanter, les autres (de la bande de potes) ne se douteront de rien.

Arrivés dans la chambre, il se laissa tomber sur mon lit et s’étendit de tout son long. Sa bite au pelage roux était en pleine forme, le gland bien dégagé, et comme je ne pouvais pas détacher mon regard, il me fit un signe de la tête qui signifiait : Allez, occupe-toi d’elle ! Le cœur tapant fort, je m’approchais, lui saisit le mandrin, et pendant qu’il calait mon oreiller sous sa tête, je jouais un peu avec, branlant sa bite qui trépignait d’impatience. Une goutte apparut au bout, que je fis disparaitre en enfournant sa queue jusqu’à la garde. Trop profondément, car un haut le cœur me prévint de ne pas aller jusque-là. D’ailleurs, il me dit, narquois :

-On dirait que tu as faim ! Mais va doucement, c’est meilleur !

Il prit ma queue dans sa bouche, en me tripotant les bourses. J’en fis autant, bien que sucer et jouer à pianoter des couilles ne soit pas évident au départ. Je respirais très fort, sans doute rouge comme une pivoine, mais attentif à bien pomper cette bite délicieuse. Un soixante-neuf entre mecs !!Ce sentiment nouveau, un corps dur, mais très doux dans la bouche, m’excitait au plus haut point. Le plaisir montait à la vitesse grand V.

Tout à coup, mon jus partit, et je m’arrachais à sa bouche. Le sperme coulait sur son torse, et ma bite sursautait comme une folle à chaque giclée. J’en étalais partout et ma bite eut du mal à se calmer. Pendant ce temps, ma main tenait toujours sa queue, et j’avais du serrer assez fort. J’ai arrêté de sucer lorsque j’ai giclé, sinon, je l’aurais mordu ! Lui n’avait pas joui, et devant ma gêne, maintenant que mon envie était redescendue d’un cran, il me dit :

-On va se calmer un peu, laisse redescendre…

Du coup, on reprit une cigarette, et pendant qu’on les fumait, il me racontât que ce n’était pas la première fois qu’il jouait avec la bite d’un pote. Il aimait les filles, comme moi, mais de temps en temps, une queue qui passait était bienvenue. Il me confia aussi qu’il aimait le jus de couilles, d’ailleurs, il venait d’avaler une giclée avant que je ne l’arrache de sa bouche, et devant mon air contrit, me dit que la prochaine fois, il me prendrait tout ! J’étais très surpris, à le voir, on n’aurait jamais dit ou soupçonné qu’il aimait les mecs. Pas du tout le côté efféminé ou folle tordue que je n’aime pas chez un mec ! Et surtout, ce détachement avec lequel il me confiait ses secrets, alors que j’éprouvais un sentiment, non pas de honte, mais de gêne qui contrastait avec mes pensées. Mais il m’a fait comprendre que ce n’était pas un mal, de se comporter comme ça, et que de plus, ce n’était pas inscrit sur notre front ! On jette les mégots dans le cendrier, et je vois sa queue qui continue à battre la mesure dans le vide. Une deuxième bouffée de chaleur me vient au visage, et je me penche.

-Tu ne jouis pas dans ma bouche, hein ?

-Je te préviens dès que ça monte…

Je lui pris le mandrin, tirait sur son capuchon pour bien dégager le gland rose, et gobant la queue bien raide, je commençais un lent va et vient. Ses poils de pubis me chatouillaient sous le nez, alors avec mon autre main, celle qui ne tenait pas sa queue, je caressais en essayant d’aplatir sa toison rousse, mais les poils revenaient en place sitôt relâchés. J’ai fini par me décaler un peu, et là, j’accélérais le mouvement. Il gémissait, se tordait et me disait :

-C’est bon, vas-y, suce encore, plus vite !

De son côté, il ne restait pas inactif, ayant repris queue à demi flétrie dans sa bouche très chaude. Il m’attrapa les fesses, les malaxant et mordant ma bite, qui avait repris consistance, me demanda de lui lécher la sienne. Je fis ce qu’il me demandait, et tel une glace italienne, je lui léchais la colonne, lorsqu’il se tendit d’un coup, arc bouté par un violent spasme. A ce moment-là il me suçait, lui aussi, et je faillis partir à juter une deuxième fois. Il me lâcha la bite juste avant que je ne largue les amarres Son sexe se mit à gicler, et j’en pris sur la joue. Les giclées suivantes se répandirent sur son ventre, coulant dans l’aine, le nombril. Ses spasmes s’apaisants, il me dit ;

-Putain, j’en ai partout…

Ne bouge pas, je reviens de suite !

De retour avec une serviette, je lui déposais celle-ci sur le ventre. La coulée de jus sur ma joue descendait, et je goutais à son foutre, en récupérant avec mon doigt. Pas dégueulasse… Il vit le geste de récupération, et me dit :

-Ça va, ça te plait ?

-oui, ça va, je pensais que c’était pire que ça !!

-Et encore, tu ne l’as pas eu en sortie de queue, sinon, je te noyais !!

- la prochaine fois, je veux bien que tu m’envoies tout dans la bouche, si j’en ai trop, je recrache…

-Pour bien avaler, il faut être excité, ça passe tout seul, et dans le rythme de l’éjac’, ne pas trop saliver… Mais tu me dis la prochaine fois, tu as envie de remettre ça ??

- Pourquoi pas ? Tu as l’air d’en savoir assez long sur la sucette, c’est pas la première fois ? Les trucs que tu me faisais, comme me pétrir les fesses, en me tirant le bassin pour avaler le maximum de longueur, c’est pas moi qui aurais fait ça ? C’était bon !! T’es pas un mauvais professeur de pipe, et j’adore ta queue…

-Non, ce n’est pas la première fois, et ce ne sera pas la dernière non plus. La première, il y a au moins trois ans, c’était avec un mec de vingt-quatre ans, copain avec ma sœur. Il s’était engueulé avec elle, et du coup, on a parlé toute la soirée. Et vers la fin, il a sorti sa tige, moi la mienne, et on a fini comme ça en dix minutes… Je ne l’ai jamais revu !! Du coup, depuis, lorsque j’en ai l’occasion, je ne me gêne pas, j’aime bien de temps en temps, tirer une queue. Mais je vois que tu n’as pas débandé, viens par-là, reste debout, tu verras, celle-ci sera encore meilleure………………………………………….

 

 

 

 

 

 

 

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R
Bonne découverte il faut tout expérimenter dans la vie
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