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Histoires de Q
1 juillet 2020

Discussion entre filles (suite)

Voici la suite des "Discussion entre filles" que Jocelyne envoie.  Des remarques toujours aussi directes et chaudes. Et bien entendu, les garçons sont aussi invités à lire (et à apprécier)   Je vous souhaite une "bonne bandaison"...

 

Le déconfinement a représenté un grand soulagement auquel a succédé le plaisir-corvée de nous occuper des petits enfants, ceci afin de permettre aux parents de reprendre le travail. Quand ils sont tous à la maison, Ça fait du monde. On s’est partagé les tâches ; je m’occupe des filles et mon homme des gars. Autant dire que pendant tout ce temps la libido a été mise en sommeil. Comme je suis plutôt du genre bruyante, je préfère m’abstenir surtout quand les petits enfants sont là. Inutile de dire que ce lundi, quand toute cette marmaille a rejoint les bancs de l’école, les retrouvailles ont été quelque peu mouvementées.

On avait choisi sans le dire notre scénario habituel. Je l’ai attendu nue sur le lit en me masturbant avec mon vibromasseur. Monsieur était très impatient (moi aussi) il m’a écarté les cuisses et m’a pénétrée sans autre forme de préliminaires. C’est rentré tout seul, et là autre variante, le mec a éjaculé après une demi douzaine de coups de rein puissants. Il sait très bien que je n’apprécie pas vraiment servir de vide couilles comme ça. Il n’a pas dû se masturber pendant cette longue abstinence, je me suis retrouvée remplie de sperme comme au temps de notre jeunesse. Il s’est excusé de la brièveté de l’acte et a pris le vibro qu’il a posé sur ma vulve dégoulinante comme pour se faire pardonner et il m’a mis un doigt ; d’habitude, on commence comme ça… Bon, après tout, ça me va bien. Quand il remue son doigt comme pour dire : « viens par ici toi » je ne peux pas résister, et pour ce qui est de venir, ça n’a pas été long. C’est arrivé brusquement, le feu dans le ventre, wouah. J’ai éjaculé, un peu, alors il a rentré un deuxième doigt et m’a pistonné comme si c’était une bite. « Putain que c’est bon, oui, oui continue ». Ça a duré, duré, je me tordais dans tous les sens puis j’ai fini par lui prendre la main pour qu’il arrête. Après je me suis blottie dans ses bras et on s’est endormis comme ça. Pour tout dire, j’ai déjà eu droit à ce genre de traitement, sauf qu’à l’époque, ce n’est pas son doigt qu’il m’avait mis mais mon gros jouet. Finalement, il devrait faire comme ça plus souvent.

Revenons aux discussions entre filles

Les sujets ont été nombreux. On parlait chiffon, beauté, hygiène, politique… Le sexe ne représentait qu’un tiers environ des sujets abordés. Quand cela arrivait, les plus pudiques se taisaient ou même s’éclipsaient trop gênées. Il faut bien reconnaître qu’en plus de quarante ans de carrière ce sont toujours les mêmes thèmes qui revenaient.

En premier lieu, c’était le charme ou l’attrait sexuel de tel ou tel homme, collègue, acteur ou visiteur. Puis venaient les positions que j’ai déjà abordées. Quelques fois, nous évoquions dans l’ordre d’occurrence, nos fantasmes, les diverses pratiques et en dernier, très rarement, la taille du sexe de nos hommes.

Commençons par ce dernier point. Il semblerait que ce soit une obsession masculine. Toutes les femmes avec qui j’ai abordé ce sujet ont dit, et je m’inclus dans ce groupe, que cela n’avait pas d’importance. Il faut toutefois préciser les choses. Cela a peu d’importance quant au plaisir que l’on en retire. Pourvu que ce soit bien lubrifié, ça rentre et « ça fait du bien par où ça passe » (je cite là mon grand-père, mais il parlait d’un verre de vin rouge). Je fais exception bien sûr des cas hors norme : Des engins comme on en voit dans certains films. Je me demande comment font les filles pour héberger de tels monstres. Ceci dit ça n’empêche pas la curiosité et je ne résisterais vraisemblablement pas à la tentation de le prendre en main. Au temps de mes fantaisies sexuelles, j’ai connu un mec de belle taille. De mémoire et en me référant à mes différents jouets, Il faisait bien vingt centimètre de long et cinq de diamètre. Vous imaginez mon effarement quand j’ai découvert « l’objet ». J’ai beaucoup joué avec avant d’envisager de le prendre en moi. J’ai allongé le gars sur le dos et je dois dire que ça ne s’est pas mal passé, mis à part le fait qu’il était un peu trop long mais le vagin est merveilleusement extensible, dans tous les sens, et je n’ai pas été déçue.

J’ai eu une collègue dont le mari avait été muté à Lyon. Ils ne se voyaient que le week-end et le lundi elle nous racontait ses ébats avec complaisance. Je ne connais pas l’effet de tels récits sur mes collègues (personne n’a fait de confidences), mais moi ça me faisait mouiller pour la journée et le soir c’était : « fête au plumard ». J’en profite ici pour préciser que j’aime faire l’amour, j’aime être pénétrée par le sexe de mon homme, mais ça c’est quand je suis bien lubrifiée, que je mouille. Quand c’est tout sec, qu’il est obligé de forcer le passage, ça s’apparente à un viol, même avec mon mec. Et je me fais ici la porte-parole de toutes les femmes…

Parmi les sujets abordés, il y avait souvent la fellation et la sodomie. Je crois qu’il est important de bien préciser les positions car les choses ne sont pas simples.

Certains, influencés sans doute par des dogmes qui se perdent dans la nuit des temps, qualifient ces pratiques de déviances ou de contre nature. C’est stupide, il suffit d’observer des chiens ou des chevaux (ça c’est mon expérience personnelle) mais la nature nous offre bien d’autres exemples. Les juments, entre autre, ne dédaignent pas de lécher vigoureusement le membre des mâles, même castrés. En ce qui me concerne, je ressens vis-à-vis de la fellation un mélange d’attirance répulsion.

Je le dis avec conviction : prendre la bite de mon mec en bouche m’excite au plus haut point. Après, il y a un gros bémol. Et même plusieurs : 1/ Il n’est pas question de sucer une bite qui pue. Ça paraît évident mais pas pour tout le monde. 2/ Même pour une petite bite, il faut ouvrir grande la bouche pour l’enfourner et moi j’ai rapidement très mal à la mâchoire. 3/ Je n’aime pas du tout (et je ne suis pas la seule) le goût des prémices que vous émettez messieurs. La nature est bien faite puisque ça permet une lubrification qui facilite la pénétration. Ça c’est pour le vagin, mais pour la bouche, c’est pas terrible. 4/ je ne vous parle même pas de l’éjaculation. Je n’avale pas la fumée, désolée. Á ce propos, je n’arrive pas à comprendre ces femmes que l’on voit dans des pornos et qui reçoivent une ou des éjaculations copieuses sur le visage. Quelle déchéance, et elles ont l’air contentes en plus. C’est de la comédie, ça n’existe pas dans la vraie vie.

En conclusion, ce que j’aime bien, c’est lui faire des petits bisous, tout partout et quand ça commence à couler, j’arrête et je le suce avec ma chatte. Pour être complète, je dois avouer qu’il m’arrive (pas souvent) de le faire jouir en le suçant… Mais, c’est avec une capote. Il y en a à la fraise ou d’autres parfums, c’est quand même moins désagréable. Je n’avale pas l’engin mais je suce juste le bout du gland en insistant bien avec ma langue sur le frein du prépuce ; Et il éjacule dans la capote, tout le monde est content. Je parlerai plus tard de la sodomie, sujet qui mériterait tout un livre.

 

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