Je veux voir ça !

Thomas et moi sommes mariés depuis douze ans et même si nous avons une vie sexuelle active, il est des fois où la routine se fait sentir et que l’un ou l’autre éprouve le besoin d’une certaine nouveauté. Pour ma part, cela faisait longtemps que je me demandais ce que ça ferait de voir mon mari avec un autre homme, et souvent je me l’imaginais en train de sucer une queue. Un soir, Thomas et moi nous regardions une vidéo porno, et nous sommes mis à parler de nos fantasmes. Alors que je venais de finir de lui pomper le dard, il m’a avoué qu’il s’imaginait bien en train de me regarder me faire enfiler par un autre homme ! A mon tour, je lui ai parlé de mon envie de la voir avec un homme. Inutile de dire que ce soir-là nous étions lui et moi follement excités et que nous avons baisé comme des fous.

Deux ou trois jours plus tard, Thomas rentre à la maison après sa journée de travail avec un gros paquet. Le soir, une fois les enfants couchés, il déballe son achat. Au début je ne vois qu’un tas de plastique rose, mais je m’aperçois que c’est une poupée gonflable, pas une femme, mais un homme : une fois gonflée, elle est équipée d’une bite rose avec un bout un plus foncé, une grosse bite, épaisse et longue, le rêve ou le fantasme de toutes les femmes..

« Vas-y suce-la, » je dis à Thomas. Il met la fausse bite dans sa bouche et commence à la sucer et à la lécher. Je me suis mise à mouiller aussitôt. Puis j’ai dit à mon mari de se déshabiller. Lui aussi bandait dur et j’ai voulu le regarder sucer une nouvelle fois. Pendant qu’il pompait la queue, je me suis enfilée deux doigts dans la chatte et je me suis branlée le con. Ensuite Thomas m’a demandé de baiser la poupée. On l’ a allongé sur le sol, je me suis installée au-dessus d’elle et je me suis assise sur la pine dressée à la verticale. Puis j’ai monté et descendu sur la bite, m’empalant complètement à chaque descente. Thomas était excité et tout en se branlant d’une main, il a fait une video. Il ne lui a pas fallu longtemps pour qu’il jouisse et qu’il jute partout sur moi et sur la poupée.

Par la suite, nous avons continué nos jeux avec ou sans la poupée. Thomas m’a filmé en train de le sucer; une autre fois il m’avait bandé les yeux et je devais obéir à ses désirs lubriques; ou encore je baisais la poupée tout en taillant une pipe à Thomas. Cette fois-ci, ça a donné une belle vidéo bien cochonne !

Tout ça était très bien, très chaud - mais l’idée de voir mon mari avec un autre homme continuait à me travailler. J‘ai pensé à Tim. Un vieux copain de Thomas, qui passait nous voir de temps à autre. Je le recevais avec plaisir car il est sympa, facile à vivre, assez drôle et je supposais qu’il serait d’accord pour que Thomas la suce, ou l’inverse. En effet, je savais que les deux potes avaient bien profité de leur jeunesse et leur adolescence : Thomas m’avait raconté qu’ils s‘étaient souvent branlé ensemble quand ils avaient 13 -14 ans et que plus tard ils avaient même partagé une fille, à trois dans la même lit... J‘ai vaguement parlé de Tim à Thomas en faisan plein de sous-entendus, mais tout en est resté là pendant quelque temps. Puis, un jour mon Thomas chéri me dit qu’il avait approché Tim: après la surprise du premier moment, il était d’accord pour venir passer le week-end chez nous. Il avait vu nos vidéos avec la poupée - il avait beaucoup aimé, m’a précisé Thomas - et Tim avait aussi dit qu’il aimerait bien que je participe aussi à nos réjouissances...

Le jour prévu arrive enfin. J’ai expédié les enfants chez leurs grands-parents, préparé une petite bouffe, et j’ai passé une petite robe assez sexy, largement décollettée , sans soutien-gorge (Je n’en ai pas vraiment besoin car mes seins sont encore bien fermes). Ma robe est aussi assez courte pour qu’on voie mes cuisses et ma culotte chaque fois que je me baisse. (Thomas, qui est un peu exhibitionniste, adore me voir comme ça quand on sort !) Bien sûr, Tim vient d’abord et avant tout pour me montrer ce que deux hommes peuvent faire ensemble et satisfaire mon fantasme, mais je sais que Tim a un petit faible pour moi et que je lui plais (et inversement moi pour lui, c’est vrai, je ne cherche pas à le cacher !) et comme il veut que je participe aux ébats... Bon, on verra bien comment se passe la soirée...

Elle commence assez calmement mais l’apéro et un verre de vin ou deux détendent l’atmosphère. Soudain Thomas dit à son pote :

« Allez, on y va; on va lui montrer.» Il ouvre la braguete de Tim et sortsa queue, la prend dans la main. Il Elle est encore à moitié molle mais en quelques secondes elle prense redresse et grossit. je jette aun coup d’oeil à Tim: il est tout rouge et excité. Thomas se met à genoux devant Tim, donne un coup de langue sur la manche puis il tire le prépuce en arrière et met le gland dans sa bouche. Waou ! Deux mecs qui se sucent. Je me mets à mouiller aussitôt. Je ne peux pas detacher mon regarde de cette bouche et de cette bite, curieuse de savoir ce qui va arriver. Tim attrape alors le paquet de Thomas et le paluche un peu. Je sens que ça me chauffe dans la chatte et je me dis dis qu’il est temps que je fasse autre chose que la voyeuse:. J’ouvre alors la ceinture du pantalon, puis le zip et je baisse le pantalon qui tombe autour des chevilles de Thomas. Tim continue ce que j’ai commencé et la bite de Thomas, dure, raide, bandée nous saute aux yeux! Tim relève son ami, se penche à son tour, avale Thomas et le suce, le léche, le suce encore. % Maintenant Tim est en plien érection, la bite presque collée sur le ventre tant elle est droite et dure. Putain, c’est chaud ! je me dis. C’est beau deux mecs qui se pipent. Je ne pensais pas que ce serait aussi sexy...

Une minute après, les deux hommes se redressent et chacun se met à caresser la queue de l’autre tout en me regardant : ils me demandent de leur montrer quelque chose. Alors , je baisse la haut de ma robe et je leur sors mes seins. mon mari s’assoit et cette fois suce Tim pour de non, le gland, le manche, les couilles, tout y passe. Il joue comme ça un bon bout de temps et Tim gémit et se tortille de plaisir. C’est cool ! j’adore regarder ça. tout en me branlat la chette à pleine main. Quand il sent qu’il approche de la fin, Tim se retire de la bouche chaude de Thomas.

«Tu as aimé ?» me demande-t-il.

«Je mouille comme une salope tellement vous m’excitez. Continuez encore, mais mettez-vous à poil avant, tous les deux et je vous dirai quoi faire. Vous me laissez décider et vous faites comme je vous demande. D’accord ?». Les deux hommes acquiescent.

«Alors mettez-vous sur le divan. Je veux vous voir vous sucer l’un après l’autre, puis ensemble, soixante-neuf;et après, on verra. J’aimerais bien que ça aille plus loin... un petite sodo, par exemple... Bon, je vais vous filmer.»

Je prends le telephone et je leurs donne des ordres.

«Branlez-vous pour commencer, toi tu branles Tim et toi tu branles mon mari.... Maintenant tu suces la queue de Tim.» il se penche et avale goulument le pieu tendu . Tim attfape la bite de Thomas et le branle doucement, presque tendrement. Je suis trempée de mouille. Je dois être toute rouge d’excitation. Tim s’en aperçoit, me glisse une main entre les jambes et enfile deux doigts dans ma chatte dégoulinante.

«A ton tour, pipe-le» me dit Thomas.

Je suce sa belle bite, son gros gland ,je descends sur ses grosses couilles pleines que je suce l’une près l’autre avant de remonter tout le manche et de lécher la grosse prune violacée plaine du pré-foutre qui suinte tout au bout...

«Nous deux, l’un après l’autre,» m’interrompt Thomas. Je passe de l’un à l’autre, deux bites aussi bonnes l’une que l’autre, celle de Tim plus épaisse, avec un le goût un peu salé du pré-foutre et celle de Thomas avec une peau plus élastique mais finalement plus raide et dure. Puis je dis à Tim:

«Allez, toi et moi on pipe Thomas à deux.» Les deux hommes profitent de tout ça pour le peloter les seins et me caresser la chatte avec deux doigts dedans ou bien me branler le clito. Un beau trio de sexe, du plaisir, du plaisir à l’état pur !

Cette fois, je veux qu’ils aillent jusqu’au bout. Oui je veux vraiment voir ça. Je veux les regarder et en profiter, tout en faisant une autre vidéo mais je veux la version ‘gay‘. Pour commencer, ils vont se branler et avec la plaisir qui monte ils vont perdre leurs inhibitions et alors je vais les prendre en main.

D’abord, je vais m’assoir entre eux, et les laisser me peloter les nichons ou me doigter la chatte. Moi je vais leur branler le manche jusqu’à ce qu’il soit bien dressé, bien raide, bien dur. puis je vais m’agenouiller devant eux et les sucer, chacun son tour. Ça, j’adore, sucer des bites. C’est dur et c’est doux en même temps, c’est chaud. Et puis cette sensation de puissance, de pouvoir faire jouir et juter le mâle si je le veux, quand je le veux....

*

**

Ça y est, ils sont bien prêts, la pine au garde-à-vous. J’attrape un capote et je la déroule en l’enfilant sur la queue de Tim, ensuite c’est au tour de mon Thomas: je lui mets une noisette de lubrifiant sur la rosette et je l’enduis en insistant bien pour lui ouvrir le trou. Thomas sait ce que j’attends de lui, mais je vois qu’il ne peut s’empêcher d’hésiter. Oui, ce n’est pas tous les jours, qu’on se fait ouvrir la rondelle et qu’on reçoit la bite d’un homme tout au fond de son cul et qu’on se fait dépuceler par là !

Tim se met debout à côté du lit et Thomas se met a quatre pattes au bord du lit et Tim debout à côté.

Je vois Tim enfoncer un doigt couvert de lubrifiant dans Thomas. Celui-ci est crispé. «Détends-toi,» je lui dis,»ça passera mieux.» Tim le doigte quelques instants puis,place le bout de sa queue en position sur le trou.

«Laisse-toi faire... je bais te sucer en même temps... Relaxe-toi,» je continue.

Je vois Tim pousser, le trou s’ouvrir autour du gland et finalement avaler la grosse prune. Thomas est toujours aussi tendu et il gémit que ça fait mal.

«C’est vrai que t’es serré», commence Tim, « mais détends-toi et ça va aller. Je vais y aller doucement... »

Il semble bien que Tim ait une certaine expérience avec les hommes que je ne lui connaissais pas. Peu à peu Thomas s’adapte et il ne dit plus rien. Encore une ou deux minutes et i l semble même apprécier : on l’entend murmurer:

«Oh! C’est bon. Oui... Putain que c’est bon de se sentir rempli comme ça!»

Tim se met à accélérer et à enculer Thomas pour de bon. A chaque poussée j’’entends la couilles de Tim qui claquent sur les fesses de so ami. Voilà un spectacle ! C’est ce que je voulais voir. Deux hommes qui s’enculent et c’est tout simplement magnifique : cette bite qui va et vient dans mon homme !.Et mon homme qui gémit de plaisir ! .

«Je vais jouir,» s’écrie soudain Tim.

«Enlève-toi vite et viens jouir dans moi,» je lui crie, «viens m’enfiler la chatte...

Tim se dégage rapidement de Thomas qui nous dit que ça lui fait un effet bizarre car il se sent tout vide... Le temps de changer de position pour me baiser.

«Enlève ta capote, je voudrais que tu jutes dans moi, je voudrais sentir ton foutre me remplir.»

Aussiôt dit, aussitôt fait et Tim s’enfonce dans ma chatte en feu et je l’accompagne en poussant contre lui pour qu’il aille tout au fond : je me retrouve ouverte en deux par la grosse pine de Tim. Un vrai bonheur ! En même temps je fais un pompier à Thomas, une pipe bien baveuse, bite et couilles sucées et léchées... Nous trouvons rapidement le bon rythme, bite en bouche et bite en chatte, l’un poussant pendant que l’autre sort et ainsi mes hommes ne tiennent pas longtemps.

«Oh! je jouis!» s’écrie Tim et je sens ses contractions et aussitôt après plusieurs jets de sa bonne sauce me remplissent le ventre. Presque au même instant, c’est Thomas qui explose: il commence à me juter dans la bouche ; il se retire vite et continue à m’arroser la figure, cinq ou six décharges chaudes et collantes...

«Alors ma chérie, tu as vu ce que tu voulais ?» me demande Thomas quelques minutes plus tard.

«Oui, et j’ai beaucoup aimé vous regarder. On pourrait recommencer une autre fois. Il faudra que vous fassiez un soixante-neuf.»

«Oui, c’est vrai. mais en attendant, à mon tour... Moi je voudrais bien voir comment ça fait quand Tim enfilera ma femme chérie par son petit trou arrière... Juste un petite sodo, comme tu disais....»