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Histoires de Q
31 mars 2019

Le Manège (2) Dee, le Laotien

Auteur Switch1 Blog

(Suite de la partie 1 : Ming, Le Chinois )

 

J’ai toujours 16 ans à l’époque, et au moins deux fois par semaine, j’allais suivre un cours au manège. Toujours en semaine car le WE est toujours plein de monde et je n’aime pas les meutes.

Dans les clients fréquentant l’endroit en semaine, il n’y avait que des gens âgés, occidentaux pour la plupart. Mon objectif était de progresser selon les conseils et invitations du moniteur français qui m’avait pris en main. 

Les seuls jeunes ados présents étaient des employés et peu nombreux de mon âge, 3 ou 4 au plus entrevus au fil des jours. Pour une fois, j’étais venu à la dernière heure, car mes parents étaient en voyage dans le nord de la péninsule à KL (Kuala Lumpur).

Je suis en train de ranger mes affaires dans mon armoire quand un de ces jeunes employés me dit que les portes seront fermées bientôt, il me reste quelques minutes. Je me dépêche mais les néons s’éteignent ne laissant que la lueur du bout de couloir comme guide. Derrière moi une porte claque, un pas alerte vient vers moi dans le dos, je ne suis pas craintif mais je me retourne vivement, « hey » me lance la face blafarde de mon suiveur, mais ce n’est que mon jeune interlocuteur d’il y a quelques minutes et je suis rassuré. On parle un peu pour combler le temps jusqu’à la sortie, mon sac dans une main et mon pull dans l’autre, embarrassé, je le laisse fermer la grille derrière moi et dans l’allée, je lui demande son petit nom .. Dee me dit-il, originaire du Laos … je dis qu’il est bien loin de chez lui, il me dit qu’il est seul, son frère est retourné pour aider la famille, lui est resté pour envoyer l’argent gagné. Scénario récurrent dans ces pays où chacun participe dans la mesure de ses moyens à l’entretien de la famille. 

A ces mots et me sachant seul pour deux jours, je lui demande s’il accepte de partager ma soirée en commençant par un repas, il hésite, réfléchit puis me dit « yes » dans un grand sourire…
Je lui demande s’il connaît un endroit pour manger et il m’emmène dans son quartier, nous mangeons dans une gargote bruyante, un peu étroite et grasse mais la cuisine est bonne… Riz gluant et bols de nouilles font la carte. Je laisse Dee choisir pour moi, je ne comprends rien à ce qui est écrit… C’est copieux et délicieux, avis subjectif, j’aime tout de l’Asie. 

La note est pour moi, j’insiste, Dee ne veut pas mais le patron prend mon argent et laisse Dee reprendre le sien…
Je suis content … Dans la ruelle je suis perdu, je n’ai pas repéré le chemin parcouru, de toutes façons ce serait inutile… Dee m’offre de me reconduire chez moi, ce à quoi je ne dis pas non et m’exécute, le suis ou plutôt l’accompagne… 

Une fois au pied de mon immeuble, Dee impressionné se plante à la grille et me dit qu’il me laisse et rentre chez lui ...
Je l’invite à prendre un thé... Il me dit que non, qu’il doit être tôt le lendemain au manège… J’insiste lui disant être seul car je le sais craintif de rencontrer les occidentaux adultes… Il hésite et finit par me suivre chez moi… Je me débarrasse, conduis Dee dans le living, mets l’eau à chauffer, quand je reviens Dee est encore debout, il a peur de s’asseoir car il se dit dégoûtant, ce qui n’est pas faux, haha…  je l’invite à prendre une douche en lui montrant l’endroit ? je lui donne de quoi s’essuyer, il s’exécute, ses vêtements puent le cheval, je comprends son mal être et sans demander son avis, je prends ses vêtements, les mets dans la machine, dans une heure il seront dehors et presque secs … 

Lorsque Dee revient de la salle de bain, torse nu, les hanches enroulées dans la serviette, je suis assis dans le sofa, je l’invite à s’asseoir et me lève pour aller chercher le thé à la cuisine. A mon retour Dee se lève et sa serviette se dénoue, tombe, découvrant sa nudité timide, sans se presser outre mesure, les asiatiques conçoivent la nudité comme naturelle, il prend la serviette pour la renouer, ce à quoi je lui dis que ça ne me gêne nullement qu’il reste « à l’aise », mais ce n’est pas convenable pour le sofa, me dit-il dans un large sourire complice, du moins je le comprends ainsi.

Nous prenons donc le thé l’un à côté de l’autre car je me suis assis dans le sofa pour servir. Nous parlons de sa famille, son travail, son voyage, ses intentions de retourner dès qu’il aura assez d’argent, bref la sempiternelle histoire des pauvres gens expatriés pour aider les leurs bien loin. 

Il s’inquiète pour ses vêtements car l’heure s’avance, je les sors de la machine et les mets à sécher sur la terrasse à un fil tendu où ma mère suspend ses lessives, je tends les bras au-dessus de ma tête, je ne suis pas grand, Dee non plus et de nouveau sa serviette tombe, décidément je la ramasse mais hésite, Dee voit dans mes yeux le désir, il comprend, ne s’en offusque pas, prend son tshirt pour le pendre lui-même sur la corde bien haut, son corps se tend, s’offre en se tournant face à moi, je ne veux pas comprendre de suite mais je ne peux résister et pose ma main sur sa poitrine brillante, Dee reste les bras en l’air comme figé mais son sourire me dit « yes » 

Je le prends par la main, Dee ne résiste pas, au contraire, il semble avoir compris et même avoir attendu ce qui arrive, dans le living, je parcours son corps ciselé du bout des doigts, je le dessine dans mon imaginaire, sa chaleur monte par mes doigts, son magnétisme suit cette voie, mon désir l’accueille et ma bite gonfle dans mon short … 

Dee reste immobile, il me laisse faire ce que je veux, d’ailleurs sait-il ce qu’il faudrait faire ? Est-ce la première fois que cela lui arrive ? Autant de questions qui n’auront pas de réponses car restées dans mon esprit en ébullition, j’avais peur de le violer. A mon hésitation il prend les boutons de ma chemise et se met à les déboutonner un à un, tombe ma chemise, prend mon short à deux mains et me le descend jusqu’aux chevilles, à ce stade il a le nez à deux doigts de ma bite raide depuis longtemps. Il s’arrête à la regarder quelques instants, surpris ou désireux, il n’ose pas plus, j’enjambe mon short et l’emmène dans ma chambre. 

Loin du brouhaha de la cité, dans la pénombre laissée par la lumière au travers des joncs suspendus à la fenêtre, et dans notre silence timide, nous nous étendons doucement sur le drap déjà froissé, il ne bouge pas, attend de savoir ce qu’il faut faire, et moi de me contenir pour ne pas le brusquer, peut être le déflorer. Mes doigts entament une visite, s’arrêtent pour tourner autour des tétons humides de ma salive, ils se durcissent sous ma succion, Dee reste soumis, étendu, offert à mon désir devenu incontrôlable, mais faut-il le contrôler ?

Lui, a commencé à bouger, emporté par mes caresses, son corps s’est un peu tordu, une jambe s’est pliée, levée, le genou debout et retombant bien ouvert quand mes doigts palpent ses couilles, suivent la courbe de son sexe qui a durci, rassuré je caresse ses cuisses et un soupir accompagne la saccade  de son sexe levé contre mon bras, encouragé je le sens excité, offert et réceptif. Mes baisers sur tout son corps, mes lèvres qui traînent allument le feu qui prend à tout le corps, Dee me prend alors dans ses bras, me serre très fort, tremble, se colle à moi et me fait rouler dessous, il m’étreint fort comme pour me faire entrer en lui, je le sens « hors de lui » hors de contrôle, il lâche un trop-plein de tendresse, de désir, de sensualité réprimés jusque là. 

L’ardeur nous gagne, enlacés, dessus, dessous, on roule, mes lèvres surprennent sa bouche fermée, interdite...
Ma langue insiste, je lui prends la bite en main et le masturbe, il ouvre enfin les lèvres, me laisse explorer, détend sa mâchoire et se laisse découvrir le plaisir décuplé d’un baiser sensuel, je sens sa bite saccadée de désir, ses jambes tombent, ses muscles fondent, ses lèvres se mouillent, se livrent à leur tour à cette fouille minutieuse, délicate de ma bouche. Ses bras, ses mains me caressent, nos corps se lovent, se blottissent, se muent en un seul, moment où nous sommes un et hors de nous, de deux nous sommes devenus un.

Le désir si intense nous mène à nous donner sans même penser, tout vient tout seul, les réflexes de l’inconscient qu’on n’a jamais appris et qui nous viennent sans qu’on le veuille, le pense ou même croie en être capables. Nous nous suçons, masturbons, caressons .. cajolons, nous abandonnons à l’autre, nous embrassons, léchons, jusqu’à des endroits jusqu’alors même jamais envisagés, l’anus, je le vénère depuis lui, j’y introduis ma langue pour le mouiller, pour l’ouvrir, je le masse et le caresse afin de le dilater, pourquoi ? Pour le pénétrer de mes doigts d’abord, l’un après l’autre … 

Dee se laisse faire, il semble heureux et se donne, il prend aussi l’initiative, copie, essaie, découvre et prend plaisir aussi à donner, pas seulement recevoir. Ça m'excite encore plus de le voir aimer ça…

En le retournant sur le ventre, je ne sais pas si Dee comprend mais il me laisse faire, je me remets à lui lécher l’anus, ouvrir ses fesses, prendre ses couilles et sa bite sous son pubis qu’il soulève, j’écarte ses fesses offertes, son trou si peu poilu, ses couilles imberbes pendantes et son sexe inhabituellement grand au gland rouge bleu gorgé de désir.

Quelques coups de langue ont raison de la résistance, mon laisser-passer acquis, je m’exécute, présente ma bite dure, huilée, mon gland d’abord pour en ouvrir bien large la porte chaude et humide, quelque insistance, pressions, doucement le trou s’élargit, le gland s’impatiente, force un peu et le passage cède, l’intérieur chaud, accueillant, enfourne bientôt toute ma tige et son fruit en avant. Mon corps se moule au sien, en restant en lui, nous basculons vers l’avant pour que, offert sur le ventre, il jouisse tout entier de ma bite qui lui lime le trou lubrifié, le brûle, ses jambes sont serrées, allongées, ma bite aussi est serrée dans ses fesses, je sens ses muscles qui la baguent, ça m’excite, me masturbe et m’amène près du plaisir ultime, déjà, trop tôt, quelques fois, j’essaie de faire durer ce plaisir intense. L’excitation est trop forte, le désir puissant, c’est trop tard, mon jet saccadé le remplit, j’éjacule en lui, mes va-et-vient témoignent du coït, de la jouissance intense, de la possession.

Je m’affale sur son corps soumis, noyé, immobile, mes lèvres posent dans le cou un baisser tendre, sensuel, gratitude intime, titillent le lobe de l'oreille pour l’amener à son tour au plaisir, à la jouissance.

 


Tirant son épaule vers moi, je retourne mon jeune amant dans un long baiser sensuel, je m’allonge sur son corps brûlant, nos sexes se rencontrent de nouveau, je le couvre de baisers jusqu’à prendre sa bite déjà tendue en bouche. Je prends ses couilles dans l’autre main, me mets à le sucer goulûment, je lèche son gland, masturbe, suce, encore et encore, l’introduis d’un doigt et masse doucement l’anus, il renverse la tête, gémit, s’apaise puis se cambre de nouveau, sa bite durcie saccade, je rentre un doigt dans son trou, serre fort sa bite dans mes doigts, et aspire son gland si fort que la veine déclare libérer la semence, le sperme gicle loin sur ses cheveux, sur ma bouche, chaud et je le goûte, un peu sucré, son ventre s’apaise, les soubresauts cessent, je tire les dernières gouttes en suçant amoureusement sa verge veinée rouge sang. 

Nous nous allongeons côte à côte, nous respirons, nous nous enlaçons, il partira tôt le lendemain matin … 

 

 

 

Cette histoire ( Le manège, en 2 parties) a été trouvée sur le net. Je n’ai pas pu joindre son auteur, qui se présente sous le pseudo de Switch1 Blog. S’il me lit maintenant ou si quelqu’un sait comment le joindre, je voudrais lui demander l’autorisation de reproduire son texte , ou effectuer toute modification qu’il demanderait, voire supprimer ce texte. Merci de m’informer.

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