Le manège (1) Ning le Chinois

Auteur:  Switche1 Blog

Je suis passionné par les chevaux depuis toujours … Peut être est-ce ce cheval de bois peint grossièrement offert par je ne sais plus qui pour je ne sais plus quelle occasion et qui a toujours traîné dans mes jouets... Je ne sais pas mais ma vie a toujours tourné autour des chevaux et des garçons.

J’ai 16 ans, mes parents et moi sommes à Singapour. Exilé de mon premier amour laissé dans la forêt ardennaise de laquelle mon père m’a arraché, je meure d’envie de toucher une peau douce, un sexe, des couilles … voire plus si affinités …

Mais ce pays, est un inconnu pour moi, petit blond aux yeux bleus si différent de la faune locale… Heureusement nous habitons hors des quartiers populeux qui vivent au son des minarets, mais aussi désert qu’une cité moderne peut offrir comme décor.

Mon père m’a proposé de fréquenter le manège qui jouxte ce quartier. J’y rencontre beaucoup d’occidentaux et quelques autochtones aisés. Mais rien ne m’inspire moins que les « nouveaux riches ». Après quelques séances avec un moniteur français, il m’attribue un cheval pour pouvoir passer les examens des différents degrés français au cas où je voudrais y accéder à notre retour. C’est vrai, chez nous, nous sommes près de la France et plus tard, j’ai suivi son conseil et suis allé à Rethel en Ardenne française.

Les écuries grouillaient de « petites mains », palefreniers, lads et autres « servants » du cru, des malais, des chinois, bref des asiatiques de tous horizons. Peut être est-ce aussi là-bas que mon goût prononcé pour les asiatiques s’est enfin révélé … no lo se (trad.« je ne sais pas ») …

La chaleur et les us et coutumes leur faisaient une peau brillante de sueur au torse nu quand ils étaient dans les « arrières » non fréquentés par les clients. Les tétons ardents, les biceps dessinés, les abdos saillants, le dos cintré et fendu jusqu’à la raie des fesses rondes et fermes, les jambes musclées aux mollets rebondis, les pieds osseux, veinés nageant dans des tongs usés jusqu’à la corde…

C’étaient toujours les mêmes visages dégoulinants que je voyais. Un jour pourtant deux jeunes que je n’avais jamais vus se trouvaient dans l’écurie. L’un d’eux se précipite vers moi pour m’aider à enlever la selle mais trop petit c’est moi qui m’en charge et lorsque je lui passe la selle je sens sa main qui me touche le sexe quand il s’en saisit, il s’en excuse par un « sorry » guttural et un regard vraiment désolé qui me fait fondre et bander.

Nous allons ensemble déposer l’équipement dans la sellerie et je me prépare à prendre une douche avant de rentrer car il y a des sanitaires très propres à la disposition des clients. Donc je prends mon sac et entre dans le couloir où se trouve aussi le local de repos des employés. Je croise mon petit aide de tout à l’heure qui me fait un grand sourire, prévenant, il m’ouvre la porte, passe devant moi en poussant la porte des douches, il s’avance pour éclairer un local séparé mais je suis sur son chemin, on se touche, il s’excuse de nouveau et je me présente .. il s’appelle Ning … il est chinois d’origine et nous parlons un anglais élémentaire.

Il me montre l’ouverture de l’eau chaude et le mitigeur qui déconne, une mauvaise manœuvre bloque la pomme de douche et le voilà aspergé, l’eau dégoulinant le rince de sa sueur âcre, je m’envole d’un éclat de rire et lui d’un grand sourire contraint. Je lui passe mon essuie de bain mais il l’écarte et me demande de lui passer le t-shirt qu’il avait déposé sur le lavabo… Je ne peux résister et entreprends de l’éponger moi-même... Surpris, il se laisse faire d’abord puis saisit ma main, je le regarde sans lâcher prise, laissant ma main poignant le tissu, je continue la visite de son corps ferme un peu tendu. Je le tourne, suis les courbes de son rein, ses hanches, ses fesses .. il ne réagit pas quand de nouveau face à moi, le linge passe sur son short dissimulant sa bite visiblement tendue. Moi-même, je ne peux plus dissimuler mon excitation et quand je suis accroupi, à hauteur de ses cuisses, il me pose la main sur l’épaule, renverse la tête, il se donne … du moins, c’est ce que j’en déduis …

Cet espace étant public, je m’empresse de tendre le bras pour baisser le loquet. A ce geste, sans un mot, je relance la douche, teste la température de l’eau et me déshabille, Ning, figé, me regarde sans réagir, je m’agenouille devant lui, prend son short flottant par l’élastique de ceinture et le tire doucement vers le bas … son sexe raide bondit en un instant émergeant d’une touffe de poils noirs d’ébène explosés vers l’extérieur, ce pubis typiquement asiatique aura marqué toute ma vie depuis cet instant-là.

Hébété, surpris je l’entraîne sous la douche, il obéit sans un murmure, le savon de douche bulle sur son corps cuivré et brillant d’une douceur à faire bander un mort, mes mains parcourent de nouveau les formes pour s’attarder à son sexe, ses couilles, ses fesses sur lesquelles j’insiste…

Ning se laisse faire, comme il n’ose pas remuer le petit orteil, je lui prends la main, lui verse le savon dans le creux et la pose sur mon torse, le guidant ensuite vers mon sexe qu’il prend à pleine main… Je suis surpris et satisfait… Nous nous masturbons doucement l’un et l’autre en rythme… Ning reproduit mes mouvements, les couilles, puis les hanches, les fesses.

Mon lad est bien dans le mouvement, je le tire contre moi, après quelques baisers légers dans son cou, une main titillant sa bite et l’autre sur le cul, je me risque à poser mes lèvres sur les siennes… Je sens alors sa bite se raidir plus encore et son corps se coller plus fort, nos bites se touchent, tout à tour nous les masturbons ensemble … Mes doigts suivent la ligne de son cul entre les fesses… L’eau savonneuse facilite leur pénétration... J’entends un petit soupir à ce moment et l’arrêt de sa main, tout concentré à cette jouissance probablement nouvelle, son rein s’est cambré pour mieux s’ouvrir, son anus se détend alors pour me permettre deux doigts… Sa main tient encore ma bite fermement et chaque entrée de mes doigts dans son cul entraîne un serrage de sa main…

Nos bouches continuent à se mélanger, Ning me suit, je cherche sa langue avec la mienne, il est obligé d’ouvrir et commence sa propre quête… La moiteur, la douceur, la sensualité de ce baiser nouveau le fait s’abandonner totalement, son corps se plie et je le tourne, ma queue est alors entre ses fesses rebondies, je le tiens par les hanches, ses mains se posent en avant sur le mur mouillé, ma bouche dépose des baisers sur son dos, son cou, ils se contorsionne de plaisir sous l’eau qui continue de nous arroser.

Ning est cambré, le cul ouvert par mes doigts savonneux… Mon gland masse son trou, ouvre doucement cet anus offert mais encore vierge, du moins je le suppose, un peu de savon aide ma queue à pousser le gland plus loin dans un petit cri, j’entre doucement, le savon aide mais brûle l’intérieur pour rajouter au plaisir, je prends sa bite en main et malaxe ses boules … Chaque va-et-vient extirpe un soupir et je sens les durcissements saccadés de la veine de son pénis, il va venir et j’insiste sur la cadence et la profondeur, je me retire pour revenir plus violemment lui arrachant un grognement, je reprends de plus belle et plus vivement… Son corps fléchit, je sens sa queue dure qui saccade… Sa semence chaude plein ma main dégouline pour se perdre… Je me sens venir, me retire, colle ma bite entre ses fesses, j’éjacule sur son cul, mon sperme coule le long de sa raie, ses couilles pour rejoindre le sien et le savon à nos pieds.

Je retourne mon petit aide à la face noyée, l’enlace de tendresse, il me savonne de nouveau en masturbant doucement ma bite au bout sensible qui pique par le savon se perdant à son orifice…

Nous finissons enfin cette douche, on s’essuie mutuellement, nous quittons séparément cet endroit qui sera notre havre de volupté pour les mois qui suivront … j’ai 16 ans, Ning 17ans, en paraît 12… Asie quand tu nous tiens !

A suivre - Partie 2 dans quelques heures, demain matin au plus tard

Cette histoire a été trouvée sur le net. Je n’ai pas pu joindre son auteur, qui se présente sous le pseudo de Switch1 Blog. S’il me lit maintenant ou si quelqu’un sait comment le joindre, je voudrais lui demander l’autorisation de reproduire son texte , ou effectuer toute modification qu’il demanderait, voire supprimer ce texte. Merci de m’informer.