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Histoires de Q
22 mars 2009

Avatars sur une aire d'autoroute

 ou : Comment faire plaisir à la femme de l'un d'eux en s'amusant   en pensant à elle.

 

Je m'arrête souvent sur cette aire d'autoroute car on   y drague sans arrêt. Surtout les mecs.
  Je me gare au fond de l'aire, près de la partie boisée.
  Une voiture immatriculée 75 s'arrête derrière la mienne.   Au volant, un homme jeune, l'air avenant.
  Je descends de ma voiture et m'approche de lui par le bois. Je le mate. Il est   en train de se masser la bite à travers son pantalon.
  Je sors ma queue déjà un peu enflée et commence à   me palucher devant lui. Il me fait signe de m'approcher. Je vais de son côté,   il baisse la vitre et sort sa queue et ses couilles. Ma foi, le tout, tout à   fait à mon gôut.
  Je fourre ma main sur sa bite, le caresse; il prend la mienne entre ses mains.
  Je fait glisser ma main sous ses couilles, les malaxe, et glisse un doigt jusqu'à   son trou du cul. Il est humide, j'enfonce un peu le doigt, il gémit et   se cambre en tenant ma queue, j'enfonce et passe la barrière. Un peu   de va et vient. il lâche ma main et la met derrière ma nuque et me roule   une pelle magistrale. Une langue chaleureuse, pleine de salive que je lui rends,   sa fine moustache sur mes lèvres, je bande comme un salaud.
  Un jeune mec s'approche de nous la queue à la main et me décharge   sur la bite. Je ramasse un peu de foutre sur mes doigts et les fais sucer à   mon compère en continuant à lui branler le cul.
  On continue notre pelle. "Je vais jouir, arrête".
  J'exécute son ordre.
  "Il faut que je parte tout de suite, je suis déjà en retard,   ma femme va s'inquiéter, et puis ça craint ici".
  On a aperçu plusieurs mecs autour de nous en train de se branler.
  "OK, c'est dommage".
  Je démarre, il me suit.
  J'ai laissé ma queue et mes couilles à l'air et me paluche en conduisant.
  On se suit.
  80 KM plus loin, une autre aire. Je sais qu'au fond on peut être tranquille.
  Je m'y engage en espérant que le mec me suive.
  Il me suit.
  On va au fond de l'aire. On s'arrête, je descend, il ouvre sa porte, il   a le froc aux pieds et le dard pointé avec une goutte d'avant sperme   que je m'empresse de déguster.
  "Tu es un salaud toi aussi. Tu est marié comme moi?"
  "Bien sûr mais un peu de plaisir entre mec ça fait du bien".
  J'ai carrément baissé mon froc. Il me met une main derrière   la nuque et l'autre sur la bite. Sa langue et chaude et remuante contre la   mienne, on aspire notre salive, il me branle doucement en enserrant mon gland   entre le pouce et l'index qu'il a mouillé de salive.
  Je le doigte et fais rouler mon majeur tout autour et à l'intérieur   de son trou du cul.Il mouille. Moi aussi.
  "Putain que c'est bon, si ma femme nous voyait, elle prendrait son pied   en se branlant la chatte."
  Ta femme est au courant ?"
  Pas vraiment, mais depuis qu'elle a trouvé au fond de mon tiroir à   chaussettes, une revue de cul gay dont certaines pages étaient collée   par le foutre, elle a envie de me voir en train de baiser avec un mec".
  Raconte".
  "Quand elle a trouvé le magazine, j'étais à la maison,   elle est venue et s'est mise à gueuler : sale PD, du te fais surement   enculer derrière mon dos, tu préfères les bites que ma   chatte? et elle s'est mise à pleurer.
  J'étais tout con, et j'étais surpris de l'entendre s'exprimer   de cette manière, et puis elle m'a regardé d'une manière   bizarre.
  "Dis moi un peu comment ça se passe entre mecs, putain de PD".
  Elle m'a entrainé dans notre chambre, s'est mise à poil sur le   lit, les jambes écartées et à commencé à   se branler.
  "Vas-y, enculé, raconte moi la première fois."
  Encore abasourdi, je commençais pourtant à lui raconter.
  "J'avais 14 ans, j'étais au collège chez les Frères.   On venait de faire un match de foot et on était sous la douche. Je me   mets à bander. Un copain me dit " s'il te voit, frère Luc   va vouloir t'apprendre à te laver".
  Je n'ai pas compris tout de suite. Le soir je me fais une branlette somnifère   dans mon pieu, avant de m'endormir sans plus penser à ce que m'a dit   le copain.
  Deux jours après, nouveau matche arbitré justement par frère   Luc en flottant et maillot de corps.
  Fin de match , frère Luc m'interpelle et les autres vont se doucher.
  Frère Luc me parle de mon jeu, je ne comprends pas bien où il   veut en venir. Les autres sont tous sortis de la douche. Frère Luc me   dit alors, vient, on va se doucher et je vais t'apprendre à te laver.   Je me souviens de la mise en garde mais n'y prête pas plus attention que   ça. On rentre dans les douches, il ferme la porte au verrou, je n'y fais   pas attention. Il se dépoile. Frère Luc est bien foutu et bien   monté. Poilu juste ce qu'il faut. Il n'a pas encore le braquemart tendu   mais sa bite à bien grossi.
  Je l'ignore et commence à me doucher et à me laver.
  Il s'approche de moi, s'enduit les mains de savon, et commence à me frotter   le dos et la poitrine. Puis une main descend sur mon cul et un doigt fait un   va et vient dans la raie de mes fesses pendant que l'autre malaxe ma queue et   mes couilles.
  A ce traitement, je me mets vite à bander.
  "Tu aimes ça, petit salaud".
  Lui aimait ça vu la raideur de sa bite.
  Il s'agenouille et prend ma bite dans la bouche et me travaillant le trou du   cul. Je n'osais rien dire, mais ça ne me déplaisait pas.
  "Petite pute, ma belle petite pute, crache dans la bouche de papa".
  Je n'avais pas alors la maitrise que j'aie maintenant et lui crachait vite ma   sauce dans la bouche.
  Il se relève alors et me mettant la main sur la nuque, me demande d'ouvrir   la bouche.
  Il fait deux va et vient sur sa queue et crache un foutre bien épais   sur ma gueule et dans ma gorge, puis il met une main derrière la nuque   et me roule une pelle. On échange nos foutres.
  Je n'ai parlé de cette aventure à personne, il m'avait dit, "Si   tu racontes ça, personne ne va te croire du fait que je suis frère.
  Par la suite, je suis allé sur sa demande, plusieurs fois dans sa chambre.   Il a voulu m'enculer mais il avait un trop gros gland et une trop grosse pine.   Chaque fois, il me bouffait le cul, me branlait et se branlait sur moi ou dans   ma bouche. Il me montrait aussi pas mal de photos pornos, des mecs en train   de s'enculer et de juter.
  L'année scolaire s'est terminée et je n'ai plus revu le frère   Luc. Aux dernières nouvelles il avait été viré du   collège car ses frasques avaient fini par se savoir.
  Pendant ce récit, ma femme se branlait en écartant de plus en   plus les cuisse; Je voyais son con tout humide et son clito tout rose.
  Ma bite avait gonflé. Je baissais mon froc et comme ma femme gémissait,   je lui crachais mon foutre sur la chatte puis je lui suçait le clito,   aspirait du foutre et lui roulait une pelle bien juteuse. Elle finit de se branler,   je m'essuiayai la bite sur son con et sa touffe.
  Depuis, ont se regarde régulièrement des films de culs gays en   se branlant comme des ados.
  Et toi, la première fois, c'était quoi?"

"Moi, c'est avec mon cousin. J'avais 14 ans et il en avait   13. J'étais pensionnaire moi aussi au petit séminaire, mais il   n'y avait pas d'histoire de cul avec les curés. On se branlait le soir   dans le dortoir, chacun matant les tressautements du dessus des autres, les   curés le savaient mais ne disaient rien. La seule histoire : un terminale   avait été surpris, sur dénonciation, au chiotte avec deux   sixièmes. Il leur apprenait à se branler. Il a été   viré et on n'en a plus entendu parler.
  J'étais en vacances et mon cousin était venu avec ses parents   passer la journée à la maison. Le soir, je lui demandai de rester.   Ce qu'il fit sans problème. Nos parents avaient l'habitude qu'on dorme   chez l'un ou chez l'autre.
  Après le repas du soir, nous nous sommes couchés. Mes parents   nous ont souhaité bonne nuit en nous recommandant de faire notre prière.
  On a sauté cette étape et on s'est couché dans mon lit   à deux places. Je pressais ma cuisse contre la sienne puis mis ma main   sur son ventre. J'insérai un doigt puis deux dans la braguette du pyjama   et commençais à caresser son début de duvet sur le pubis.   Il se serra un peu plus contre moi. J'atteins sa bite qui est fière   et dure. Nous ne sommes pas encore bien montés mais nous giclons tous   les deux.
  Il se tourne vers moi et en me mettant une main dans la culotte de pyjama pour   caresser ma queue il me murmure :
  "Tu sais embrasser une fille?"
  "Non."
  "Je vais t'apprendre."
  Au début, sa langue pleine de salive me gênait un peu mais très   vite j'ai apprécié. D'autant qu'il me serrait le gland entre ses   doigts qu'il avait humidifié.
  On se frotte l'un à l'autre, on se roule des pelles, puis je lui demande   de se retourner. Je voulais toucher et voir son cul. Il m'obéit sans   problèmes. Je lui fourre ma queue entre les cuisses puis entre la raie   du cul. Je n'avais pas encore appris à me maitriser, alors je décharge   tout mon foutre dans sa raie du cul. Comme en même temps je le branlais,   il m'a déchargé presque en même temps dans la main.
  Je lui donne ma main pleine de sperme à lécher, je lui bouffe   la raie du cul pleine de mon foutre, on se roule une pelle en échangeant   notre liqueur.
  Le reste de la nuit j'ai appris d'autres choses, une petite enculade, une pipe   et le matin on était frais et dispos.
  Au petit déjeuner ma mère dit "Bien dormi les enfants?"
  "Oh oui alors".
  Nos amusements ont continué jusqu'à l'âge de 21 ans pour   moi et de 20 ans pour lui. On s'était même payé une fête   de cul pharamineuse pour la communion de sa soeur cadette, avec enculade, bouffage   de bite et de foutre léchage de cul.
  Puis on s'est marié chacun de notre côté, on a eu des enfants.
  N'empêche que les quelque fois où on se rencontre, on s'arrange   pour se mettre mutuellement la main aux couilles en disant " Tu te souviens?".
  Un de ces jours je suis sur qu'on va de nouveau baiser."

"Putain, ton histoire me fait vraiment bander, je vais   jouir."
  Je tends ma main sous son gland, il met la sienne sous le mien et après   deux va et vient, on décharge ensemble dans la main l'un de l'autre.
  Je lui tend son foutre à lécher dans ma paume, je bouffe le mien   dans sa paume, et la figure barbouillée de nectar on se roule une pelle.

"Tu habites près de Lyon , tu es immatriculé   69 ? "
  "Oui et toi tu es parisien?"
  "Non,je suis moi aussi de Lyon, c'est une voiture de fonction. J'habite   à Sainte Foy."
  "Putain, j'habite juste à côté et je vais souvent faire   un peu de footing au bois du Brûlé."
  "Tiens, ça m'arrive aussi, on ne s'est jamais croisé, mais   je suis sûr que ça va arriver."
  "Moi aussi, et puis on montrera à ta femme comment ça se   passe entre mecs, je ne t'ai toujours pas bouffé le cul",
  "Moi non plus mais ça va venir".

Je suis certain qu'on va se rencontrer et pourquoi pas faire   la fête du cul dans le bois du Brûlé où quelques voyeurs   pourront se régaler en se paluchant ou chez lui, devant sa femme en train   de se branler. On l'arrosera tous les deux et on lui fera bouffer notre foutre.

auteur: Zigounette


 

 
   

 

     
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Ouch ! ça promet d'être chaud  et de compléter joyeusement les Histoires de Q !

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