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Histoires de Q
13 avril 2007

Comme dans un rêve : la magie de Venise

Juliette et moi montons dans la gondole pour une romantique promenade en amoureux sur les canaux de Venise.
Nous sommes venus passer la semaine dans la cité des Doges pour fêter notre trentième anniversaire de mariage. Trente ans déjà !
Agés de près de cinquante cinq ans l'un et l'autre, nous ne somme certainement plus les jeunes amoureux fougueux d'autrefois. Mais notre amour est resté intact et peut-être même plus profond et plus sincère. Parc contre, physiquement… ça ne s'est pas arrangé ! Malgré ses crèmes aux vitamines, au rétinol bio-actif, et à je ne sais quoi, Juliette a bien changé. Son corps, s'il est encore très désirable, n'est plus celui de se vingt ans, mais qu'y peut-on ? Et moi ! On m'appelait l'Apollon des plages. Le vieil Apollon commence à perdre ses cheveux grisonnants et son ventre plat et musclé s'est arrondi - peut-être est-ce l'effet des petits plats que cuisine Juliette. Et j'ai même eu récemment ma première panne d'érection… eh oui, ma bistouquette a refusé de se mettre au garde à vous!
Mais nous avons connu trente années de bonheur et de nombreuses autres nous attendent encore.

Le soir tombe sur Venise, le soleil illumine encore le haut des palais, tandis que, plus bas, les canaux commencent à s'obscurcir. Notre gondole avance doucement au rythme lent des coups de rame du gondolier debout à l'arrière. Promenade romantique certes, mais organisée, tarifée. Dans cinquante minutes, ce sera terminé et notre gondolier, ayant reçu son salaire, nous ramènera au quai et attendra de nouveaux clients, des amoureux comme nous deux. Mais pour le moment, nous sommes seuls au monde. Enfin pas si seuls que cela car d'autres gondoles nous précèdent, d'autres nous suivent, il y a même un chanteur et un accordéoniste qui font monter des chansons d'amour dans l'air calme de la soirée.

La gondole s'engage dans un canal étroit, déjà plongé dans la nuit. Je me sens bien, je retrouve mes vingt ans. Je suis à nouveau Apollon ou plutôt Roméo maintenant - après tout Vérone n'est pas très loin de Venise - et c'est Juliette qui est à demi allongée à côté de moi. Je cherche les lèvres de mon amour pour y déposer un baiser. Sa bouche est chaude et notre baiser se prolonge, nos langues se cherchent, s'emmêlent. Des étoiles passent dans ma tête…. Juliette, je suis ton Roméo…Une sensation s'empare de ma bouche, de ma gorge, de mon ventre, une sorte d'attente douloureuse, de besoin impératif, tandis que, les yeux fermés, je la serre contre moi.

Une main caresse doucement la poitrine de Juliette, qui gémit doucement quand je presse ses seins à travers l'étoffe fine de son chemisier. Juliette reste immobile. La délicate dentelle semble s'écarter d'elle-même pour mettre au jour deux jolis seins. Ma bouche descend sur eux, les enveloppe et les embrasse.
Juliette me murmure de m'arrêter, me dit qu'on va nous voir, qu'on nous regarde. Pour toute réponse, ma langue lèche un sein et titille une pointe, du bout de la langue, puis en le prenant doucement entre mes dents. Mon aimée cambre pour mieux m'offrir sa poitrine et pousse un petit gémissement. Même chose sur l'autre sein, puis à nouveau sur le premier, sur les mamelons durcis, sur les pointes dressées.

Juliette fait courir ses mains sur ma tête, dans mes cheveux et sur mon cou et mille frissons délicieux me traversent. Fébrilement, j'ouvre complètement le chemisier, puis la ceinture de la jupe. Mes lèvres descendent sur la fine gaze qui cache encore son sexe et d'une main j'entreprends de la baisser. Presque inconsciemment, Juliette cambre les reins pour m'aider et la voilà nue au fond de la gondole, offerte à mes yeux adorateurs et avides. Son corps est celui de Vénus, la perfection, joliment bronzée de la tête aux pieds, de longues jambes fines et galbées, mais surtout, au bas de son ventre un sexe à peine marqué par une petite touffe de poils blonds. J'ai tant envie d'y enfouir mon visage. Les jambes de Juliette sont légèrement écartées et j'entrevois la courbe de ses lèvres et, plus au fond son puits d'amour qui, palpitant de plaisir, semble danser pour moi. Elle est ma Juliette, je suis Roméo et mon corps jeune et musclé, mon sexe dur et fougueux veulent honorer la déesse de l'amour.

Ma main caressent sa fente, un doigt, puis deux l'ouvrent et, en remontant touchent son clitoris, dur, ressorti. Je le roule avec douceur entre mes doigts et Juliette ronronne de plaisir. Un doigt s'enfonce dans la fente et quand j'ai trouvé l'entrée secrète, je sens qu'elle est mouillée. J'y insère mon doigt et peu à peu l'enfonce plus loin.

Mes lèvres quittent alors ses seins, pour se poser là où je l'ai rêvé, descendent sur son ventre, s'attardent un instant sur son nombril puis atteignent enfin l'objet de tous les délices. L'odeur est merveilleuse, l'odeur de son sexe m'enflamme aussitôt. Quelques baisers sur sa fente, puis une pression un peu plus forte et je sens Juliette qui pousse son ventre contre ma bouche. Ma langue s'allonge, cherche son clitoris, le trouve et lui donne quelques petits coups légers. Le corps de déesse que je suis en train d'adorer réagit à mes caresses, se tend vers moi, s'offrant à mes lèvres et j'entends ma femme me dire que c'est bon et me supplier de continuer.
Je prend plaisir à tout ce qui se passe, aux tendres gémissements qui sortent de sa bouche, à la délicieuse douceur de ses jambes contre ma tête, au goût suave qui envahit ma bouche, à la chaleur soyeuse de son sexe brûlant de désir au contact de mes lèvres, aux sensations de velours de ma langue qui s'enfonce dans son puits intime. Je me laisse emporter par cette suavité, je suis enivré par le parfum…

Juliette a posé une main sur mon sexe et sens à quel point il est gros et à besoin de ses soins. Passant une main entre nos corps mêlés, elle masse lentement mon sexe, sa hampe, ses sacs et enfin le fait jaillir, le libère pour qu'il puisse se dresser fièrement. Je grogne de plaisir quand elle dégage le gland. Nos respirations se font plus saccadées,

Je suce délicatement ses lèvres gonflées, et sa fente de bas en haut jusqu'à toucher son clitoris du bout de la langue. Juliette pousse un petit cri mais je ne veux pas qu'elle ait son plaisir tout de suite : il faut qu'elle l'attende encore un peu pour qu'il soit encore plus dévastateur. Ma bouche revient sucer sa fente, ma langue y pénètre. C'est incroyablement doux et je cherche à satisfaire mon aimée en allant et venant dans l'humidité et la chaleur de son velours intime. Je sens le cœur de Juliette battre fort, j'entends sa respiration s'accélérer. Juliette pousse encore un petit cri. C'est le moment! Ma langue pointue darde sur son clitoris, l'excite, va et vient dessus. Juliette ne peut plus résister. Ses mains me serrent, m'étreignent et son corps se cambre pendant de longues secondes avant de se calmer peu à peu.

Je jette un coup d'œil rapide vers le gondolier. Il est debout, presque immobile, et sa silhouette sombre noire, hiératique se fond dans l'obscurité. Les jambes légèrement écartées, il est comme une statue, un bronze sculpté par Michel-Ange, un envoyé des dieux pour veiller sur nos amours, sur les amants enlacés à ses pieds. Seuls ses yeux brillent en nous regardant. Mais il me semble qu'une de sas mains bouge. Je regarde plus intensément et je m'aperçois qu'il a sortit son sexe, et qu'il est en train de se masturber. A la faveur d'un rayon de lumière, je vois son membre dur et raide et sa main qui va et vient dessus, découvrant un gros gland luisant et le recouvrant à chaque aller et retour. Je devine ses bourses gonflées qui ne demandent qu'à se vider et son corps tendu par le désir.

Juliette se fait plus insistante avec moi. Sa bouche s'approche, je sens déjà la chaleur de son souffle sur mes cuisses. Elle me murmure qu'elle veut me sucer et me faire jouir aussi fort qu'elle vient de le faire.
Elle me donne un baiser d'accueil sur le bout du gland et je gémis d'impatience. Elle prend alors le gland brûlant entre ses lèvres et commence par en sucer le bout tout en me masturbant doucement à deux mains. Je demande à Juliette de se glisser sur moi, tête bêche pour que je puisse à nouveau lui donner du plaisir en même temps qu'elle m'en donne.

Bien placé, juste devant les lèvres humides qui entourent sa fente, je tends la langue et, suçant ses lèvres dépourvues de poils, je les écarte pour accéder à son clitoris déjà durci et je commence à lui donner de petits coups de langue alternant avec des coups plus longs et plus appuyés. Mes doigts se font envahissants et s'enfoncent lentement dans la fente. La respiration de ma femme se fait plus haletante, son corps loin de rester immobile, répond à mes sollicitations.

Juliette s'empare de mes balles, les caresse de la main et d'un coup avale toute la longueur de mon sexe. J'en gémis de satisfaction, la tête enfoncée dans les coussins. La bouche de velours et la langue de satin jouent avec moi, lèchent, sucent ou caressent, juste le bout ou toute la hampe, piquent le gland ou le lèchent bien à plat… Parfois, elle prend mes boules en bouche et les suce. Le feu rugit dans mon corps avec un tel traitement.

Profitant d'un instant pour changer un peu de position, je lève les yeux vers notre gondolier. Il continue à se masturber. Il accélère son rythme, et bien lubrifié par les gouttes qui sourdent de sa hampe tendue, il va et vient frénétiquement, la manche gonflé, prêt à éclater. Il n'est pas difficile de comprendre qu'il est sur le point d'éjaculer. Encore un ou deux mouvements rapides et, quand il vient et qu'il sent le sperme quitter ses bourses et remonter le long de sa hampe, il se cambre et gémit plus fort. Un jet d'albâtre monte dans la nuit pendant que j'entends l'homme gémir à nouveau. Il continue à se masturber, et jaillit encore, crème blanchâtre qui retombe à ses pieds.

Jetant un rapide coup d'œil autour de moi, je vois que les autres gondoles se sont approchées de la nôtre, font cercle autour d'elle et que tous nous regardent, nous admirent, envient notre beauté et notre amour.

Je m'applique à procurer à Juliette du plaisir avec ma bouche, et, sans craindre de faire du bruit, je lape et je suce ce merveilleux sexe de femme. Juliette ne cesse de gémir, de pousser de petits cris elle colle sa fente encore plus fort sur ma bouche. Il me semble qu'elle se prépare à jouir encore une fois et que je vais goûter à son jus qui va couler de sa fente et le laper de ma langue.

Juliette avale mon érection toute entière et y concentre toute son attention.Sa langue glisse dessus dans sa bouche pendant que ses mains s'affairent à caresser la peau délicate de mes balles.
Maintenant, elle ouvre la bouche et referme ses lèvres de velours sur une de mes balles, la suce délicatement, et passe dessus le bout de la langue. Je gémis de plaisir. Après avoir dévoré une balle, elle passe à l'autre, l'agace à petits coups de dents, la lèche et, ouvrant la bouche en grand, prend les deux balles qu'elle suce, lèche ou fait rouler entre ses lèvres.
Tout mon univers est centré sur cette bouche qui me fait mille plaisirs et sur ce sexe de femme que j'adore de mes lèvres. Mon esprit est vide, je ne sais pas depuis combien de temps nous nous aimons dans cette gondole. Ce corps chaud et sensuel contre moi, dans mes mains, mes lèvres, ma bouche, me fait perdre conscience.

Mais je ne me retiens plus. Mes doigts serrent les cuisses de ma déesse, mes ongles s'enfoncent et je sens ma liqueur monter, d'abord dans mes couilles qui se contractent, puis dans mon manche qui durcit, grossit, se tend avant d'exploser. Sans pouvoir - ni vouloir- me contrôler, je gicle dans la bouche de mon aimée. Je sais, car elle me l'a souvent dit, qu'elle aime cette voluptueuse sensation de chaleur qui se dégage dans la bouche lorsque le sperme s'y répand. Soudain, je la sens poser son doigt sur mon anus, le forcer et cela ajoute encore à ma jouissance.

Dans un tressaillement, le corps de Juliette se durcit, ses yeux se ferment, sa bouche semble déformée par une vague qui la submerge et s'empare de ses seins et de son ventre. Tous ses muscles se tendent, comme tétanisés et une pulsation rythmique lui étreint le sexe. Sa respiration est haletante et elle gémit doucement pour commencer, puis plus fort. Une autre vague passe à travers son corps et les contractions se font moins fortes mais plus rapides. Et le torrent de sensations qui court dans son corps se déverse en des cris de plaisir. Tous son corps tremble jusqu'à ce la dernière vague de jouissance passe lentement.

Comme nous retombons immobiles, savourant notre plaisir, des applaudissements éclatent autour de nous. Ce sont les occupants des autres gondoles qui nous saluent, pendant qu'un des bateliers chante une chanson, une chanson qui dit notre amour et chante la joie de nos corps enlacés, ma tête encore entre les jambes de mon aimée, sa bouche encore autour de mon sexe.

Un coup de coude me tire de mon extase. C'est Juliette… mais elle n'est pas nue, je ne suis pas nu, nos corps enfiévrés d'amour et de jouissance ne sont pas enlacés. Juliette, ma femme, n'est plus la Juliette enfiévrée des amants de Vérone.
"Tu rêvais encore… au lieu de profiter de la promenade… "
Les applaudissements se terminent, applaudissements pour le chanteur qui a poussé la ritournelle pour charmer les touristes. La promenade en gondole est terminée. Nous allons débarquer et retrouver les rues étroites de Venise, ses ponts et sa foule. Le gondolier attend son pourboire avant de prendre de nouveaux clients. Roméo et Juliette s'en sont allés, mais je sais que j'ai vécu un vrai et grand moment d'amour avec la femme que j'adore.

Note de l'auteur : Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à la condition expresse de mentionner dans ces pages web le nom de l'auteur : Hornyboy, et l'adresse du blog : http://www.histoiresdeq.canalblog.com

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