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Histoires de Q
13 janvier 2007

Couples mélangés (partie 1)

L'homme trébucha et s'écroula lourdement sans le sentier rocailleux en poussant un juron. La femme qui l'accompagnait n'eut pas même le temps de s'approcher de lui qu'il commençait déjà de se relever en disant : " C'est bon, Sabine, tout va vient, je n'ai rien. "
Mais en essayant de se remettre debout, il poussa un cri de douleur.
" Mon chéri, Simon, ça va ? Tu es blessé ? " s'enquit sa compagne anxieusement.
Simon et Sabine étaient en train de faire une randonnée aux pied des Pyrénées, dans cette région vallonnée et si belle du gave d'Ossau quand Simon était tombé, butant accidentellement sur une grosse pierre au milieu du chemin. Venant tout juste d'atteindre la trentaine, ils habitaient près de Tarbes et passaient presque tous les week-ends d'été à randonner dans leur magnifique région.

Elle était brune, pas très grande mais assez fine - pas maigrichonne non plus, " juste ce qu'il faut pour contenter la main d'un honnête homme " comme Simon aimait le dire.Une silhouette que Sabine savait mettre en valeur et qui lui valait les regards enfiévrés de bien des hommes - et ceux, moins amènes, de leur compagne. Un visage plein de vie éclairé par des yeux verts, lumineux et malicieux encadré par des cheveux courts. En bref, un joli brin de fille, une de ces femmes devant lesquelles un homme ne peut pas rester insensible Quant à lui, châtain, grand et sportif, tous le trouvaient extrêmement sympathique. Ils formaient un couple uni et parfait aussi bien au lit qu'ailleurs !

En fin de comte, Simon ne s'était pas gravement blessé en tombant : quelques égratignures pas trop profondes, rien de cassé, mais une douleur à la cheville qui lui laissait penser qu'elle était foulée. Et ils ne savaient pas comment il allait faire pour rentrer en marchant alors qu'ils étaient au milieu des collines, loin de tout. Sabine était en train de soigner ses petites plaies et de lui masser la jambe quand arrivèrent deux randonneurs, un couple. Voyant ce qui s'était passé, l'homme s'arrêta et proposa son aide en précisant qu'il était kiné. Effectivement, il constata qu'il y avait une entorse et sachant que son patient ne pourrait pas regagner seul la vallée, après avoir consulté une carte, il lui proposa de l'aider à descendre tant bien que mal jusqu'à la route la plus proche où il viendrait le prendre en voiture pour l'emmener à son cabinet, à quelques kilomètres de là. C'est que qu'ils firent, Sabine et le kiné soutenant Simon qui boitillait. Tout en avançant, ils bavardèrent et firent connaissance.

Le kiné s'appelait François et sa femme Kathy. Ils avaient presque quarante ans l'un comme l'autre mais paraissaient plus jeunes, peut-être parce qu'ils aimaient entretenir leur corps, en particulier en faisant de longues randonnées en montagne. Sportifs donc, mais sans excès et en même temps amateurs de bonne chère et de bonne vie. Un couple ouvert, sympathique, gai et aimant plaisanter, surtout Kathy qui avait un sens de l'humour qui met tout le monde à l'aise. Simon la trouva tout de suite très attrayante. Tout en marchant avec difficulté, il la regardait à la dérobée et voyait comment ses seins bougeaient sous sa chemise jaune. Il admirait comment son jean se tendait si joliment sur ses fesses à chaque pas, et comment ses longs cheveux blonds volaient dans le vent.

Deux semaines plus tard, la jambe de Simon allait mieux, tout au plus ressentait-il encore une légère raideur, mais rien d'autre. Simon et Sabine avaient invité François et Kathy à venir passer le week-end à Toulouse afin de les remercier de tout ce qu'ils avaient fait pour Simon.

François et Kathy arrivèrent un peu avant midi. Bronzés, en pleine forme l'un comme l'autre, ils formaient un couple extraordinaire : Sans rien laisser paraître, Sabine apprécia la silhouette masculine de François et elle dû même repousser une idée vicieuse qui lui traversa la tête... Quant à Simon il trouva Kathy spectaculaire. Elle avait une ravissante robe blanche, si près du corps et moulante qu'elle laissait deviner des trésors - et les trésors de Kathy semblaient vraiment très excitante ! Simon lui donna un sourire d'approbation et lui dit : " Entrez donc. Nous sommes si heureux de vous avoir ici. "

Simon ne pouvait détacher les yeux de Kathy, d'ailleurs il ne le voulait pas non plus. De son côté, Sabine ne laissait pas François insensible à son charme certain.C'est qu'elle est jolie, souriante, liante et sexy à croquer.

Le déjeuner fut servi ; les convives apprécièrent la cuisine de Sabine et les bonnes bouteilles que Simon avait sorties de la cave. Tous les quatre se sentaient bien ; ils étaient comme de vieux amis heureux d'être ensemble. Sabine profita de la présence d'un kiné pour lui parler de petites douleurs qu'elle ressentait parfois dans le dos. François lui demanda d'enlever son chemisier et sa jupe pour qu'il puisse voir ce qu'elle avait. " Je n'ai rien dessous " dit-elle presque timidement. " Vous savez, Sabine, dans mon métier je vois des femmes presque nues par dizaines. " Sabine se décida et se dévêtit. Elle était effectivement nue ou presque en dessous. Tout habitué qu'il avait dit être à voir des femmes nues, François n'en profita pas moins pour laisser glisser un regard vers ses seins, puis vers ses jambes avant de remonter jusqu'à son ventre que cachait à peine un string noir. Tant en l'examinant d'une façon professionnelle, il ne restait pas insensible à la beauté de Sabine. Beauté d'ailleurs n'est pas vraiment le mot, sans être une beauté absolue, Sabine était très excitante, surtout ses seins, presque parfaits, galbés, durs, dressés. François regardait Sabine avec tant d'instance que, presque nue devant cet homme, 'elle se sentit vulnérable mais troublée en même temps et elle crût même sentir une chaleur lui envahir le corps. Ils restèrent un instant immobiles l'un en face de l'autre, comme s'ils ne savaient pas quoi faire ensuite. Ce fut Simon qui les arracha l'un à l'autre en proposant de prendre un verre. Mais l'un comme l'autre ne purent vraiment oublier ces instants pendant lesquels quelque chose de mystérieux les avait attiré l'un vers l'autre ; et un trouble, un émoi les possédait encore, les poussait l'un vers l'autre. Le soir, une fois leurs amis repartis, Simon dit à sa femme : " J'ai l'impression que François ne te laisse pas indifférente, je me trompe ?" En rougissant, elle dû admettre qu'en effet elle le trouvait séduisant. Il ajouta qu'il pensait que François avait aussi un certain élan pour Sabine…. " Ce que Simon oublia de dire c'est que, de son côté, il avait trouvé Kathy très désirable avec son corps proche de la perfection. Ce soir là, peut-être aiguillonnés par leurs souvenirs de la journée, leurs fantasmes et leurs rêves à peine encore exprimés, Simon et Sabine firent l'amour goulûment, frénétiquement.

* * * * * * * * *

Une quinzaine de jours plus tard, les deux couples étaient à nouveau réunis. Le repas fut joyeusement arrosé, et vers la fin, les esprits comme les langues commençaient à s'échauffer. C'était le moment de quelques histoires lestes ou franchement grivoises. Sabine, qui manifestement avait bu plus que de coutume avait les joues roses, l'œil brillant et la voix un peu trop forte. Passant enfin au salon avec ses invités, François déboucha une nouvelle bouteille de champagne. Les petites bulles joyeuses rendirent Sabine encore plus pétillante. Simon le remarqua et ne put s'empêcher de passer une main discrète et flatteuse sur les fesses de sa femme au moment où elle s'asseyait dans le canapé. François ; qui une fois précédente, dans la piscine, avait remarqué la poitrine de Sabine avait le regard fixé sur elle dans l'espoir de deviner le galbe de ses seins sous son fin chemiser de soie. Maintenant, il se sentait aussi d'humeur amoureuse et réfléchissait comment il pourrait s'isoler quelques instants avec sa femme, Kathy. Celle-ci, également peu habituée à l'alcool, même a doses modérées, était dans un état de parfaite félicité. Elle se sentait bien, la soirée était belle, la vie était belle, et elle se trouvait ainsi prête à répondre à toutes les sollicitations… En somme, les quatre amis, sans le savoir, sans en être conscients, étaient prêts à rejeter ensemble les règles habituelles de convenances et de bienséance et, comme on le dit un peu d'une façon familière, étaient prêts à s'éclater ensemble.

François déclara soudain qu'il trouvait les jambes de Sabine très belles. Flattée, cette dernière se leva pour les montrer et releva même un peu sa robe - déjà bien courte- pour révéler le haut de ses bas. Pour ne pas être en reste de politesse, Simon fit remarquer que les jambes de Kathy méritaient les mêmes compliments. Sans se lever, elle remonta largement sa jupe, dévoilant un morceau de peau au-dessus de ses bas et laissant entrevoir une adorable petite culotte de dentelle. Et finissant une autre coupe de champagne, elle ajouta : " Je pense que vous voudriez en voir plus encore !" "Elle a de multiples trésors cachés " dit François. "C'est vrai que tu as une poitrine de rêve. Il est dommage de la tenir cachée aux yeux de tous… " Pensait-il vraiment qu'elle allait mettre sa poitrine à l'air ? Certainement pas. Mais en même temps des idées érotiques lui traversaient la tête. Simon dit qu'il aimerait voir ces trésors et, d'une voix faussement naïve, ajouta que cela confirmerait ce qu'il pensait, à savoir que la poitrine de Kathy était bien plus galbée que celle de sa femme.

Les regards que les deux hommes portaient sur les femmes et surtout sur Kathy, la robe toujours à demi troussée, montraient l'intérêt qu'ils portaient aux tenues à peine décentes des deux femmes. L'atmosphère était devenue chaude et tendue.Sabine et Kathy se regardèrent rapidement comme pour se consulter et, ensemble, se levèrent. Chacune se mit à ouvrir les boutons de son vêtement. Kathy, la première, écarta les pans de son chemisier, montrant un soutien- gorge bleu de couleur assortie au chemisier. Deux boules délicates s'y lovaient, blanches, parfaitement rondes. On devinait les mamelons qui tendaient le fin tissu. Plus bas, bien plus bas, la robe que Kathy avait soulevée quelques instants plus tôt, était restée à demi retroussée, dévoilant les cuisses gainées de bas. En rougissant mais en même temps avec un évident plaisir, Sabine déboutonna le haut de sa robe et, ne se contentant pas d'en écarter l les pans, baissa complètement sa robe autour de sa taille. Sabine ne portait jamais de soutien-gorge, laissant ses seins libres de bouger. Il faut dire qu'ils étaient bien formés, fermes et que leur peau brillait comme le satin. A chaque mouvement que faisait Sabine, ils bougeaient légèrement de droite à gauche.

"Kathy, c'est pas juste " fit remarquer François, "tu as conservé ton soutien-gorge, alors que Sabine…" Elle leur tourna le dos avant de faite tomber les bretelles de ses épaules. Elle se tourna vers Sabine et lui demanda de le dégrafer. Celle-ci s'approcha, plaça une main sur le dos de Kathy, le caressa une instant, sur les épaules, au milieu et descendit même jusqu'aux fesses avant de remonter et de défaire le soutien gorge " Tourne-toi vers nous, s'il te plaît " dit François. Kathy se retourna, mais maintenait son soutien-gorge d'une main.Elle tremblait à demi ; il devait lui sembler impossible d'aller plus loin.Se sentant vulnérable, elle s'accrochait à cet ultime rempart. A nouveau, ce fut Sabine qui s'approcha de Kathy par derrière, ses seins frottant contre le dos de Kathy. D'une main douce mais insistante, elle obligea Kathy à lâcher le soutien-gorge; qui tomba à terre. Elle garda une main sur le sein droit de Kathy et le massa doucement. Elle sentit le mamelon durcir sous ses doigts.

Kathy se dégagea. Il y avait quelque chose de brillant dans ses yeux, et au lieu de s'écarter, comme on eut pu le penser, elle se retourna et se colla contre Sabine. Sa bouche chercha celle de son amie et leurs langues se mêlèrent en un baiser rapide mais peu chaste, pendant que leurs mains se caressaient le dos et les fesses. Kathy finit par glisser sa main entre les eux corps pour descendre entre les cuisses de Sabine. Ne sachant pas ce que l'autre allait faire et comment elle allait réagir, les deux femmes semblaient avoir peur de continuer et d'aller plus loin.

Les hommes, qui n'en croyaient pas leurs yeux, regardaient fixement et admiraient ces deux beautés enlacées. Peut-être étaient-ils loin d'imaginer que leur femme, habituellement si réservée ou même pudique, pouvait avoir des comportements aussi audacieux. Ils se demandaient si elles allaient prendre conscience de l'état d'abandon dans lequel elles s'étaient mises et se revêtir rapidement, ou bien si elles allaient s'enfoncer dans une passion saphique.Elles n'avaient certainement jamais pensé qu'elles feraient un jour l'amour avec une autre femme ou du moins n'avaient jamais sérieusement envisagé cette idée. Mais la barrière semblait devoir s'abattre, et Kathy eut même l'impression que Sabine écartait légèrement les jambes pour inviter la main à aller plus loin.

La vue des corps à demi nus ne pouvaient les laisser indifférents et tant François que Simon sentirent aussitôt leur sexe qui gonflait et se rappelait à eux. Pour chacun d'eux, le fait de savoir que sa propre femme puisse caresser une autre et s'exhiber devant un autre homme leur causait une excitation mystérieuse mais puissante.

Sabine posa à nouveau ses lèvres sur celles de Kathy et l'entoura de ses bras. Après quelques secondes ; elles se séparèrent et, sans qu'un seul mot eut été prononcé, Sabine entreprit de mettre son ami complètement nue, puis elle fit de même avec sa propre robe qui tomba rapidement autour de ses pieds. A nouveau leurs bouches se joignirent et elles se caressèrent le corps, le es épaules et le dos, puis leurs mains se firent plus audacieuses. Aucune ne pouvait s'arrêter. Une bouche descendit sur les seins de l'autre femme, une main se posa sur la toison de la première, y trouva la fente plus bas et se glissa entre les lèvres, essayant de pénétrer l'intimité chaude t humide du sexe. Déjà l'une comme l'autre commençaient à gémir de plaisir. Elles semblaient adorer ce qu'elles se faisaient et le plaisir qu'elles se donnaient.

Les deux hommes n'en croyaient pas leurs yeux : les femmes faisaient l'amour ensemble sous le regard de leur mari ! Ils sentaient leur sexe durcir, devenir sensible et ils ne pensaient plus qu'à participer à ces ébats. Le moment était venu pour eux d'entrer en action…

Ils se mettent nus et approchent des deux femmes, les caressant doucement. " Et nous, on ne peut pas en profiter ? " demande François. Peut-être un peu à contre cœur, Kathy et Sabine se séparent et chacune rejoint son mari. Simon a place sa femme sur le dos, s'accroupit au dessus d'elle et s'assoit sur sa poitrine. Il tient sa bite à la main et la frotte sur les lèvres de Sabine. C'est une de leurs positions favorites qui donne à Simon une vue merveilleuse sur la pipe qui va commencer. Sabine commence par embrasser doucement le bout et lécher les petites gouttes qui s'y trouvent déjà.. Puis tout en caressant ses couilles d'une main, elle ouvre la bouche et lèche doucement le gland. Simon bouge lentement les hanches, en avant, en arrière, faisant entrer et sortit sa bite du fourreau merveilleux. Des mouvements lents qui excitent l'un comme l'autre au plus haut point.

Kathy s'est agenouillée au dessus de François commence à le sucer, elle aussi, la bouche collée sur le ventre, toute la bite avalée. Tout de suite François est proche de la jouissance. D'abord parce que Kathy est une merveilleuse suceuse, sa bouche est douce et chaude, sa langue est active. En plus parce qu'à côté de lui il y a Simon et Sabine et ça l'excite de les voir et de les entendre. Après une bonne longueur de pipe, il sort lentement sa bite dure comme de l'acier de la bouche brûlante de Kathy., et se penche sur sa femme pour l'embrasser avec passions. Ensuite, ils reprennent leur étreinte, mais cette fois, François se couche en position de soixante-neuf sur Kathy. Il écarte largement les jambes de Kathy et; tout de suite, glisse sa langue en elle. Il sent sa chatte se serrer autour de sa langue et le parfum de la chatte l'étourdit. En même temps, il sent la bouche de Kathy entourer sa bite et aller et venir doucement sur elle, suçant et léchant toute la longueur. François remue la langue de plus en plus vite léchant la chatte aussi loin qu'il le peut, les lèvres collées sur le ventre de sa femme, dont les hanches montent et descendent pour accompagner la bouche de François. Il sent son clito qui gonfle sous sa lèvre inférieure. D'une main il écarte encore plus les jambes de Kathy pour s'enfoncer toujours plus loin dans sa grotte si chaude et si douce. En même temps, il sent le merveilleux traitement que reçoit sa bite, sucée, caressée, branlée, léchée. Kathy gémit de plus en plus, emportée par le plaisir qui monte en elle. Alors François glisse sa main jusqu'au clito de sa femme, le frôle de l'index et y fait de petits cercles, pendant que sa langue continue à empaler la chatte trempée de mouille. La respiration de Kathy se fait plus haletante et ça aussi excite François encore plus. Les couilles gonflées, la bite tendue au maximum, il se sent prêt à gicler. Bougeant son corps de quelques centimètres, Kathy offre son clito à la bouche gourmande de François.Il referme sa bouche autour de lui, le suçant et le léchant. Et sans prévenir, d'un seul coup, il enfonce profondément deux doigts dans la chatte. Kathy pousse un cri et le corps arqué et tétanisé, est complètement emportée par une folle jouissance.

Presque au même moment, Sabine continue à sucer la belle bite chaude de Simon. Il vient de voir ses amis faire soixante neuf et jouir, il est follement excité. Rien que ça suffirait presque à le faire jouir. Mais ce n'est pas tout car Sabine joue avec ses lourdes couilles pleines à craquer , puis tenant fermement la base de la bite elle la branle de plus en plus vite, tandis que sa bouche pompe frénétiquement le haut. Elle continue à branler Simon jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus, que ses couilles éclatent et qu'il gicle. Elle s'étouffe presque tant il se déverse dans sa bouche, giclée après giclée, et le foutre chaud et crémeux coule de sa bouche en deux grands filets qui lui dégoulinent sur le menton.

François se relève. Il n' pas encore joui et il est furieusement excité.Sa queue est si dure qu'eil la sent battre au rythme de son cœur. Il a envie intenable de se vider les couilles et la chatte de Sabine n'a pas encore servi se dit-il. Il s'approche d'elle et lui caresse les seins, tout en observant Simon. Comment va-t-il réagir ? Simon se sent vidé, et nage en pleine euphorie de jouissance. Il regarde François et lui sourit, l'encourageant à continuer.
"Prends-la comme une chienne, elle aime ça… j'te la prête, fais-en bon usage et fais la bien jouir ! "
" Baisse-toi, à quatre pattes ", dit François à Sabine. "On fait ça en levrette, si t'es d'accord Ou bien tu préfères t'allonger sur le dos ?"
"Fais comme tu veux, mais vite, j'ai tellement envie de toi! ". Elle a effectivement l'air affamée de sexe

Il se penche pour embrasser Sabine dans le cou et, la tenant à deux mains par les hanches l'oblige à s'agenouiller, en levrette, lui mettant les fesses bien dressées en arrière. Il prend sa queue, la glisse entre les fesses qu'il caresse ainsi quelques secondes puis l'enfile lentement dans la chatte béante et baignée de jus qui n'attend que cela.et commence à aller et venir, lentement d'abord ; mais très vite le désir est tel qu'il baise .à grands coups, il a hâte de jouir de se vider dans la douceur chaude et mouillée de Sabine. On entend le claquement régulier de son ventre sur les fesse de Sabine quand sa bite en feu va et vient, pistonne et défonce la chatte de Sabine qui est si mouillée que ça fait un bruit de succion à chaque va et vient de la bite. Quand Sabine approche de la jouissance ses gémissements se font plus forts et plus longs, elle bombe les fesses, serre les cuisses pour mieux sentir la queue qui lui ravage la chatte et lui donne tant de plaisir. Enfoncé au plus profond du velouté humide et chaud de la chatte de Sabine, François est traversé de sensations énormes qui le font frissonner et font durcir sa queue encore plus - si cela est possible et quand Sabine se met à bouger les hanches d'une façon circulaire, si bien que le queue de François est excitée de partout, celui-ci devient encore plus fou de plaisir. "Plus loin… vas-y à fond… oui à fond… encore… enfonce-toi encore…. plus fort… " implore Sabine tout en tendant ses fesses le plus possible pour permettre à François de l'envahir encore plus loin.

" Ah ! Je jouis " s'écrie-t-elle. "Vas-y emplis-moi,… pilonne-moi… " Ses derniers mots se perdent dans un long gémissement C'est est trop pour François qui, soudain, sent l'orgasme de sa partenaire, les spasmes de sa chatte qui se contracte autour de sa bite. "Moi aussi, je jouis avec toit !!! " et il se vide en grands jets, une explosion de plaisir dans ses couilles et sa bite, une explosion de plaisir dans sa tête. L'orgasme de Sabine redouble quand elle sent le foutre l'inonder. "Je te sens gicler… c'est chaud… c'est bon… jute encore… ton foutre me brûle la chatte …Ahhh !! "

Ce spectacle fait rapidement rebander Simon. Habituellement il lui faut un certain temps pour retrouver toute sa force, mais, à ce moment il est redevenu dur comme une barre de fer : il a regardé sa femme se faire baiser et jouir, il a vu François lui donner de grands coups de queue, et il a l'impression de voir sa propre bite à l'intérieur de Sabine, de sentir ses propres couilles tendues qui se vident, de laisser gicler son propre foutre qui inonde Sabine. Sans même s'en rendre compte, il se caresse la queue et se met à se branler. Alors Kathy s'allonge sur le dos, écarte les jambes, attire Simon contre elle. Il ne lui en faut pas plus et d'une main il guide sa bite entre les jambes de Sabine. Son gros gland rouge ouvre les lèvres gonflées de la chatte, s'y enfonce lentement mais bien au fond et il se met à pomper d'un beau mouvement régulier. En même temps, il pelote les seins de sa partenaire, les caresse, serre les mamelons dressés et durcis. La seule idée qu'il va baiser une chatte nouvelle l'excite encore plus et il est prêt à jouir sans même avoir eu le temps de la.pénétrer. Il doit se concentrer, prendre sur lui pour ne pas gicler immédiatement. Chaque fois qu'il s'enfonce il sent la chaleur qui embrasse sa queue et cette chaleur le rend fou…. La chatte ouverte coulisse sur le dard, elle l'aspire, le pompe et mène rapidement Simon au bord de la jouissance. Cette chatte est vraiment douce, c'est comme si j'étais dans un autre monde Je ne peux m'empêcher de dire à mi-voix :
" Oh oui…! Je suis bien dans ta chatte…Tu es chaude… Oh c'est bon… "
" Pour moi aussi, c'est bon… je te sens bien…! "

Leur rythme s "accélère, Kathy devient de plus en plus emportée par la passion, elle plante ses ongles dans le dos de Simon, serre ses jambes autour de lui excitée, crie et avec un gémissement profond jouit en contractant sa chatte sur la bite qui la défonce. Bientôt la bite de Simon et comme un tisonnier rougi au feu. Il décharge aussitôt, il voit des étoiles quand ses couilles explosent. Sa queue grossit sous l'effet du foutre qui passe à travers pour aller jaillir dans la chatte, en jets puissants qui font tressaillir Kathy encore plus. Toujours planté dans Kathy, Simon l'embrasse longuement, partageant leur passion.

Fin de la première partie
la partie 2 sera  mise en ligne  le 15 janvier 2007 vers 18h

Note de l'auteur : Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à la condition expresse de mentionner dans ces pages web le nom de l'auteur : Hornyboy, et l'adresse du blog : http://www.histoiresdeq.canalblog.com

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