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Histoires de Q
30 décembre 2006

Un réveillon bien arrosé.

Elle s'appelle Isabelle, elle m'appelle Teddy.

Nous sommes mariés depuis 16 ans et je suis à l'origine assez jaloux. Quand nous allons à la plage et qu'elle quitte son soutien gorge afin de bronzer sans trace, j'ai toujours ressenti une gêne, une envie de la cacher à la vue des hommes qui la regarde. Elle prétend vouloir seulement bronzer mais je la soupçonne d'y prendre un certain plaisir exhibitionniste.
Tout ça pour vous dire que je ne suis pas vraiment du genre partageur et je ne la croyais pas du genre "volage", je dirais que je la trouvait plutôt prude et réservée, mais un réveillon de nouvel an que nous avons passé dans un chalet dans les Vosges il y a quelques années a fait vaciller mes convictions en ce domaine.

Nous n'avions rien de prévu pour ce nouvel an quand un couple d'amis nous a proposé de nous joindre à eux pour fêter le nouvel an dans un chalet isolé avec une trentaine de personnes.
Le 31 décembre dans l'après midi nous nous rendîmes donc tous les quatre à ce chalet. L'ambiance me sembla bonne, sympathique et conviviale et nous participâmes tous ensemble gaiement aux préparatifs et nous attaquâmes le repas dans la bonne humeur. Au cours du repas, je remarquais qu'il n'y avait pas que des couples, mais également un certains nombre d'hommes seuls qui étaient visiblement d'humeur dragueuse et je me dis qu'il y aurait des cocus avant le lendemain matin.

Après le repas, les lumières furent baissées et une zone de danse fut dégagée et nous dansâmes jusqu'au moment de nous souhaiter la bonne année. Après les voeux, un certain nombre de couples s'éclipsa temporairement dans les chambres à l'étage pour fêter d'une manière plus intime pendant que nous en profitions pour arroser dignement la nouvelle année.
En milieu de nuit, l'alcool et la fatigue aidant, la piste de danse fut désertée au profit de groupes de discussions réparti dans le grand salon de ce chalet.
Un groupe formé principalement par les "célibataires" entreprit de jouer aux cartes dans un coin. Au bout d'un moment, ils cherchèrent un partenaire car il étaient sept et voulaient former deux tables de 4 au poker. Devant le peu de réponses dans l'assemblée et leur insistance, ma femme accepta de se joindre à eux pour une petite partie. Elle se rendit donc dans le coin où
ils s'étaient installés et je la suivis dans l'intention de suivre la partie.
Au moment de commencer, ils voulurent fixer le montant des enjeux, mais ma femme refusa de jouer de l'argent et elle aller quitter la table quand l'un d'eux proposa de ne pas miser d'argent, mais de faire un strip poker. Je m'étais déjà levé afin de partir quand, à ma stupéfaction, j'entendis ma femme dire que pour un strip poker elle était d'accord. Devant mon regard ébahi et mon air affolé, et tout en vidant son verre elle eu pour moi un signe visant à me rassurer et affirmant qu'elle savait se qu'elle faisait.
Quelqu'un servi un nouveau verre et j'eu l'impression qu'il la servit plus que généreusement. La partie commença rapidement et elle se défendit bien dans les premier temps, mais je remarquais assez vite que le trois gars s'entendaient entre eux et peu à peu la situation se retourna assez vite. Au bout d'une demi heure, elle se retrouva en sous vêtement et je restais en spectateur, constatant qu'une future perte la contraindrait à retirer son soutien gorge. Cette hypothèse devint réalité dans les cinq minutes qui suivirent. J'eu alors la surprise de voir ma femme retirer son soutien gorge et montrer ses seins sans la moindre gène devant les personnes présentes.
Mais ma plus grosse surprise fut de la regarder faire sans émotion aucune, en simple spectateur, excité comme les autres. En peu de temps, tout le monde dans le chalet se retrouva autour de cette table où ma femme les seins nus engageait une partie où elle pouvait perdre sa culotte. Elle vida d'un trait son verre avant de ramasser les cartes que son voisin avait distribué.
Je vis aussitôt qu'elle n'était pas satisfaite et elle perdit le coup comme j'aurais pu le prévoir. Aussitôt un des hommes lui dit:
"Et maintenant, il va falloir te mettre à poil ma cocotte".
Elle hésitait et elle commença à dire qu'ils avaient triché, ils se défendirent en demandant qu'elle s'exécute. Elle temporisa encore jusqu'a ce qu'un des joueurs de l'autre table, un grand black très élégant, prenne la parole et lui propose un deal. Ils acceptaient qu'elle garde sa culotte pour l'instant et il jouait un dernier tour avec elle, si elle gagnait, elle serait quitte de toute obligation, mais si elle perdait, elle devrait faire une pipe à chacun des sept joueurs. Le silence était total et tous les spectateurs retenaient leur souffle. Pour moi, le choix était simple, elle devait soit partir rapidement en refusant d'enlever sa culotte, ce qui provoquerait un léger malaise qui se dissiperai très vite, soit au pire enlever sa culotte et vite s'en aller avant de revenir plus tard après s'être rhabillée. Je fus donc surpris de la voir hésiter, j'essayais d'attirer son attention et lui fis signe de laisser tomber sans compliquer une situation déjà très glauque.
Elle était debout devant ce grand black, les seins palpitants, le ventre tremblant et elle réfléchit longuement, les doigts glissés dans l'élastique de sa culotte, et je commençais à croire qu"elle allait l'abaisser quand elle dit:
"OK, on fait un tour supplémentaire."
J'était estomaqué, ne voyait elle pas qu'elle se mettait dans une situation de plus en plus ridicule et que viendrait forcément le moment où elle serait contrainte de renoncer.
Les spectateurs étaient encore plus nombreux autour de la table, mais le silence s'était encore épaissi me semblait-il.
Il fut décidé que chacun des deux recevrait 3 cartes, le plus près de 21 sans le dépasser serait gagnant, et on rejouerait en cas d'égalité. Les deux premiers tirages furent des égalités, une fois à 23 et une fois à 17. Pour le tirage suivant, le black tira un 10, un 4 et un 5, et ma femme tira deux 9, elle était forcée de tirer une autre carte car elle était perdante avec 18 points. Elle tira un 4. Aussitôt, certains des joueurs commencèrent à murmurer entre eux, ne sachant que faire. Ma femme regardait les cartes comme sidérée, puis elle but un verre et dit :
"Je crois que j'ai perdu."
Prenant cette constatation comme une reconnaissance de son gage et donc comme une invitation, un des joueurs se leva et vint se placer debout devant elle qui était resté assise sur sa chaise, il dégrafa sa braguette et fit descendre son pantalon. Un autre des joueurs, voyant cela se joignit à lui en baissant également son pantalon. Dans l'assemblée, personne ne réagissait, moi même, je regardais comme dans un rêve. J'aurais encore pu intervenir à ce moment, mais j'étais hypnotisé. Aucun des autres hommes ne bougeait, ma femme restait immobile face à ces deux hommes en slip qui n'osaient pas en faire plus et qui attendaient, étant surs au fond d'eux mêmes qu'elle se dégonflerait au dernier moment.
L'attente dura longtemps, je pus voir que les sexes des deux hommes durcissaient dans leur slip et formaient des bosses de plus en plus explicites. Ma femme, au premier plan ne put pas ne pas s'en rendre compte, et peut-être est ce qui la fit agir. Rompant l'immobilité générale et l'attente lourde, elle bougea doucement, se rapprocha des deux hommes, et tout doucement, elle fit successivement glisser leurs slips jusqu'au sol, dévoilant au passage pour chacun une érection complète qui disait clairement pour eux ce qu'ils attendaient d'elle.
Je ne fut même pas surpris, encore moins choqué, je senti ma queue durcir et j'attendais la suite. Personne du reste ne bougeait, mais chacun était attentif à ce qui allait se passer.
Isabelle, quand elle se redressa après avoir descendu le slip se retrouva face à deux queues dressées qu'elle regarda longuement. Puis elle fit mine de la caresser, mais sans les toucher, faisant virevolter lentement ses doigts autour. Au bout d'un temps assez long pendant lequel elle ne fit rien d'autre que d'observer ces bites dressées, les deux hommes commencèrent à s'impatienter et l'un d'eux entreprit de partir, se sentant sans doute ridicule et voulant faire cesser le malaise qui s'était installé. Je me suis dit, voilà, c'est fini, mais à ce moment, Isabelle l'attrapa par sa queue et le força à rester. Elle se mit à leur caresser vraiment la bite et les couilles et à les branler. Et puis d'un seul coup l'inimaginable pour moi arriva, elle se pencha et prit l'une des bites dans sa bouche et commença à la sucer avec application tout en continuant de branler l'autre. Elle suça pendant environ une minute et je vis que les cinq autres candidats à la pipe commençaient à se préparer, estimant que si deux y avait droit, eux mêmes pouvaient faire valoir leurs droits. Je devinais ces préparatifs plus que je ne les voyais car j'avais le regard rivés sur Isabelle qui suçait un autre homme que moi. Je compris que l'homme était en train de jouir aux vibrations de son corps, J'en eu confirmation quelques secondes plus tard quand Isabelle arrêta un moment de le sucer et que j'aperçus sa langue pleine de sperme avant qu'elle ne déglutisse. Elle recommença à pompa cette bite pour en aspirer jusqu'à la dernière goutte. Elle était en train de changer pour sucer la bite du deuxième homme quand celui-ci se mis à jouir. Elle reçu une puissante giclée de foutre sur le visage juste avant de le prendre en bouche. Cela ne sembla pas la ralentir, elle fit comme si elle n'avait rien remarqué et se mis à sucer le deuxième homme avec la même application que le premier. Je remarquais cependant les mouvements de déglutition de sa gorge ponctuant chaque giclée de foutre dans sa bouche. Elle fit ensuite quelques aller retour entre les deux bites en les suçotant doucement et maintenant ainsi plus longtemps leur érection et donnant aux deux heureux bénéficiaires des airs béats d'hommes aux couilles bien vidées.

Les choses semblaient devoir se finir quand je vis surgir le grand black tout nu en pleine érection. Son sexe tendu me sembla énorme et les yeux agrandis d'Isabelle me dirent qu'elle pensait la même chose. Il lui pris les deux mains, la fit se lever et la guida vers un canapé situé sur la gauche de la pièce. Là, il lui ôta sa culotte qu'elle avait conservée; la fit asseoir, se mit debout en face d'elle et lui glissa son énorme membre dans la bouche, elle le prit et elle le suça doucement un moment avant de le décalotter et de continuer de plus belle, il me semble que ce membre grossit encore sous cette succion. Elle en avait vraiment plein la bouche, et cela n'avait plus pour effet que de me faire bander. Elle se mit à le sucer avec le même entrain que les deux premier, faisant aller et venir ses lèvres autour de la hampe, elle gratifia le gland de petit coups de langue et elle lui massait les couilles à pleines mains pendant q'elle le suçait et j'étais déjà tout excité à l'idée qu'il lui jouisse dans la bouche comme elle semblait prête à l'accepter et je fus surpris quand il la fis relever, qu'il s'assis sur le canapé et l'invita à s'asseoir sur lui et surtout sur son sexe tendu. Elle n'hésita pas, ne discuta pas, elle le chevaucha, prit dans sa mains cette queue gigantesque et entreprit de se l'enfiler dans la chatte, doucement d'abord, petit à petit, la lubrifiant de sa chatte inondée, centimètre par centimètre, puis de plus en plus vivement jusqu'à ce que tout ce membre la pénètre. Elle commença alors des mouvements de va et viens de plus en plus rapide, s'empalant à chaque fois au plus profond qu'elle le pouvait. Pendant ce temps, comme il lui faisait face, il en profitait pour lui malaxer les seins me semblait il. Ses fesses ballottaient en venant percuter ses couilles à chaque coup de boutoir.
Les quatre autres hommes qui étaient nus également se mirent derrière le canapé avec leur bite bien raide en avant. Sans avoir besoin d'autre signal, Isabelle se pencha en avant par dessus son partenaire adossé au canapé et commença à sucer ces quatre bites alternativement, au grand plaisir des nouveaux bénéficiaires de ses bontés. Elle restait empalée sur le sexe du black, mais sa nouvelle occupation lui avait fait arrêter son mouvement de va et viens. Un des hommes qui se faisaient sucer devait trouver le temps long entre deux suçage et il s'aperçu que la nouvelle position d'Isabelle lui ouvrait littéralement les fesses et il abandonna la pipe qu'elle lui offrait pour contourner le canapé et venir lui glisser sa bite dans l'anus après s'être assuré de la lubrification. Il commença à son tour un mouvement de va et viens de plus en plus rapide et de plus en plus profond. Au bout d'environ 1 minute, il atteint son maximum et entreprit de lui défoncer le cul consciencieusement. Au bout de quelque temps, un deuxième enculeur vint rejoindre le premier. Isabelle gloussait de plaisir, défoncée par trois bites et la bouche pleine des deux autres qu'elle suçait.
L'excitation des participants était telle qu'ils ne tardèrent pas à vider leurs couilles dans son cul et dans sa bouche. Isabelle les reçut comme les précédents, en essayant d'avaler tout ce qu'elle pouvait et en aspirant jusqu'à la dernière goutte de ceux qu'elle suçait et en écartant bien les fesses pour faire jouir au plus profond d'elle ceux qui l'enculait. La position du black bien monté fit que lui n'avait pas encore jouit quand les avaient déjà les bourses vides et les queues flasques. Il fit alors relever Isabelle, la mit face au canapé et la fis se pencher en appuis sur le dossier. Il vint par derrière et pénétra sa chatte d'un coup. Isabelle sursauta à l'impact, mais elle était bien lubrifiée et elle semblant rapidement prendre un vif plaisir aux percussions de cette queue tout au fond de son sexe. Il me sembla qu'elle avait soudain un violent orgasme et elle hurla au black de continuer, de la défoncer comme une salope, de lui enfoncer sa queue bien à fond, et joignant le geste à la parole, elle se mit elle même à faire un va et viens afin d'augmenter l'amplitude du mouvement et la profondeur de la pénétration. Plus tard, je me suis dit que cette scène surréaliste avait duré plus de vingt minutes, et qu'Isabelle venait de prononcer les premières paroles depuis son début. En effet, bien qu'Isabelle ait fait jouir ses partenaires très vite et qu'il m'ait semblé qu"elle les faisaient jouir à la file, elle prenait malgré tout le temps de leur vider les couilles à fond. Et nous étions une trentaines, parfaitement silencieux à regarder attentivement ma femme se comporter comme une putain. J'ai eu l'impression de voir un film porno dont ma femme aurait été la vedette, et cela me faisait bander sans me toucher plus que cela.
Après un nouveau moment de ramonage de sa chatte elle eu une nouvelle secousse orgasmique et se mit à hurler au black :
"Défonce moi le cul espèce de salaud, enfonce moi ta bite dans le cul et fais moi jouir par le cul.
Tout en lui faisant cette demande, elle écartait ses fesses avec ses deux mains pour lui offrir son petit trou du cul. Après quelques coups de reins supplémentaires qui semblèrent beaucoup plaire à Isabelle, il sortit lentement sa queue rendue brillante par le jus de la chatte de ma femme. Ainsi lubrifié, il mis son sexe en face de son anus et il l'y enfonça lentement, mais sans s'arrêter. Cela me sembla bizarre de voir ce long sexe gluant pénétrer lentement dans le cul de ma femme. Au fur et à mesure qu'il s'enfonçait, je voyais Isabelle ouvrir la bouche de plus en plus grande en gardant les yeux fermés, et j'ai eu l'idée que j'allais voir cette queue sortir par sa bouche.Cela mis longtemps, et il ne s'arrêta que lorsqu'il fut complètement au fond. Il ressorti aussi lentement, ne laissant finalement que le gland dedans et entreprit de faire des aller retour très lentement. Il accéléra peu à peu la cadence pour finalement reprendre le même rythme qu'il avait à fin dans sa chatte. Isabelle que l'énorme engin dans son cul avait rendue muette un moment se remit à gémir et finalement à hurler de plaisir en lui criant de la défoncer comme une pute. Comme si il lui en fallait encore plus, elle fini même par accentuer de son propre chef le va et viens afin de sentir cette queue encore plus profondément.
Finalement, pour finir, il sorti complètement sa queue et la laissa un moment sortie en face de l'anus d'Isabelle qui restait béant, il lui écarta les fesses autant qu'il pu afin de bien lui ouvrir le cul et tout d'un coup, il s'enfonça à fond et vint percuter contre les fesses d'Isabelle en lui arrachant un cri. Il renouvela ceci à plusieurs reprises en arrachant à chaque fois un cri à Isabelle et enfin, il resta au fond, secoué par des secousses qui montraient qu'il était en train de jouir tout au fond de son cul. Il demeura fiché en elle pendant quelques instants et retira enfin son sexe, flasque, brillant, gluant et dégoulinant. Il s'en alla sans plus s'occuper d'elle.

Isabelle resta un long moment immobile sur le canapé, à quatre pattes, penchée en avant et offrant à la vue de tous sa chatte et son anus encore béants du ramonage infligé par l'énorme engin. Au bout d'environ une minute, elle bougea enfin, elle se redressa et se remis debout. A peine levée, l'air que les coups de pistons avaient expulsé da sa chatte et de son cul fit un terrible gargouillis en reprenant sa place et du foutre commença à couler le long de ses cuisses.
Elle fit le tour de la pièce d'un coup d'oeil pour chercher ses vêtements, les ramassa et les posa sur son avant bras et se dirigea vers moi. Comme si rien ne c'était passé, elle me dit d'une voix naturelle:
"Je crois que je vais faire un tour aux toilettes."
Les conversations reprirent enfin et tout me semblait très lointain. Isabelle revint des toilettes au bout d'un temps assez long et me dit:
"Nous devrions rentrer, je crois que j'ai trop bu".
Nous dîmes rapidement au revoir car tout le monde était gêné et nous partîmes.

Dans la voiture, elle me redis qu'elle avait trop bu et elle s'endormi très vite pour le restant du trajet. Elle avait sans doute trop bu, mais moi, je la revoyais surtout avaler à pleines gorgées les puissantes giclées de foutres que tous ces hommes qu'elle avait sucés et fait jouir lui avaient envoyé dans la bouche. Un réveillon bien arrosé, et c'est moi qui ai trinqué.

Un petit mot d'Isabelle :
Dans l'ensemble, je n'ai rien à contester sur le récit, mais l'ayant vécu à ma façon, je trouve que Teddy me laisse un peu trop passive, j'ai eu l'impression d'être plus demandeuse. Ca ne c'est jamais reproduit depuis, mais j'en garde un bon souvenir; même si j'ai eu longtemps mal où vous pensez après.
Bisous.
Isabelle

Note: cette histoire a été trouvée sur internet dans une page sans aucune référence. Nous n'avons ainsi pas pu contacter l'auteur pour lui demandre l'autorisation de la reproduire. S'il se reconnaît ou si quelqu'un le connaît, merci de nous prevenir pour que nous puissions régulariser la situation. Merci.

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