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Histoires de Q
12 décembre 2006

Clémence, épisode 6

Sans pudeur mas aussi sans ostentation, Clémence raconte des moments de sa vie intime. Les épisodes de la série (environ 2500à 3000 mots chacun) peuvent être lus indépendamment les uns des autres, mais ils sont conçus pour former un tout.

Episode 6 :
Vincent s'occupe de ma plomberie

Dimanche 18h30.
Je suis devant mon évier à préparer mon repas du soir et soudain, un geyser. Le robinet vient de rendre l'âme et crache un jet d'eau que je ne peux pas arrêter.Je jure, je peste, mais ça ne change évidemment rien et l'eau commence à couler partout. Il faut faire vite. Je cours jusqu'au compteur et je ferme l'eau dans tout l'appartement. Le jet d'eau et le début d'inondation s'arrêtent, mais ça n'est qu'une solution provisoire. Il faut réparer la fuite. Alors là, je ne peux pas compter sur mes qualités de bricolage. Je suis totalement nulle. Je passe en revue les solutions : pas question d'avoir un plombier à cette heure un dimanche ; le gardien…il ne rentrera que ce soir ; le vieux monsieur qui m'a déjà dépannée une fois ou deux ? Il doit être en vacances, car je ne vois plus sa voiture sur le parking depuis quelques jours. Mon petit voisin d'en dessous ? Pourquoi est-ce je dis mon 'petit' voisin ? Il fait 1,80m et a dans les trente ans. Je ne le connais que de vue, ça na va pas au-delà de 'bonjour ", 'bonsoir', mais je sais qu'il est électricien (donc doué de ses mains !). Alors je me dis que peut-être il pourrait…
Je sonne à sa porte, je lui explique mon problème et très gentiment, il accepte de m'aider :
"Le temps de prendre quelques outils et j'arrive."

Il arrive et se met au travail en me disant qu'il va faire du mieux qu'il peut. Je l'aide, moralement du moins, en restant près de lui, prête à lui passer un outil ou à lui tenir quelque chose s'il en a besoins et la conversation va cahin-caha :.
"Je suis divorcé… Oui, j'ai une petite fille… Pouvez-vous me passer la grosse pince qui est posée là-bas… Merci… J'en ai la garde un week-end sur deux…Tenez-moi ça, pendant que je serre… Ca ne tient qu'à moitié… Et vous, vous vivez seule ? Pas de petit ami ?... Encore un coup de tournevis pour s'assurer que ça tiendra…. "
Au bout d'une demi heure, Vincent a réussi à me faire une réparation de fortune, qui me permettra d'attendre deux ou trois jours, le temps qu'un plombier vienne.

"Je ne sais comment vous remercier, vous m'avez rendu un sacré service. Comment aurais-je fait sans vous ? Voulez-vous une bière ou autre chose ?"
Il s'installe dans le canapé pendant que je le sers.
Je mets la chaîne en marche.
"Vous aimez la musique ? Quel genre ? Ca c'est un vieux disque de Macumbro, vous connaissez ? " Ce que je ne lui dis pas c'est que ce chanteur me tourne les sens quand je l'écoute. Pour moi, Macumbro c'est du sexe à l'état pur, un désir endormi qui s'éveille, une petit flamme qui s'allume au fond de moi, une pénétration douce et lente… Mais pourquoi ai-je mis ce disque ? Je n'en sais rien, en fait.
Je m'assois dans un fauteuil face à Vincent. Nous parlons de choses et d'autres, mais il ramène toujours la conversation sur moi et me glisse mille petits compliments, du genre 'Vous êtes la première jolie femme à qui je parle depuis des jours'.
"Voilà qu'il essaie de flirter", je me dis.
Sa voix est douce et agréable avec une pointe de passion et un soupçon d'autorité et d'assurance. C'est le genre d'homme qui se sent bien partout où il est, et avec qui on se sent bien…

Je me rends rapidement compte qu'il n'arrête pas de m'observer, de me détailler et peut-être même de me déshabiller des yeux. Et il bande ! Un coup d'œil discret et, indiscutablement, son jean a une grosse bosse. Ca alors, j'ai fait une touche et plus encore, je le fais bander ! C'est quand même pas la façon dont je suis habillée qui peut l'exciter, avec un jean et une chemise deux tailles trop grandes qui flotte sur moi - pas très joli, mais confortable.
Je n'avais pas encore pensé à Vincent en termes sexuels. Il n'était qu'un voisin sympa qui venait aider une voisine. Mais brutalement, je vois un autre Vincent. Il n'a pas mal physiquement, plutôt sportif, la poitrine large, le ventre plat et - dommage que je n'ai pas des yeux avec des rayons X, j'aimerais bien voir ce qu'il a dans son jean ! Je suis certaine que je me sentirais si bien entre ses bras.

Du coup, je croise les jambes parce qu'une petit sensation si familière me démange au bon endroit…

J'ai maintenant deux solutions : soit je fais comme si de rien était, nous continuer à échanger quelques mots, puis je le raccompagne à la porte, merci et au revoir. Ou bien je m'assois à côté de lui et je le laisse prendre l'initiative de ma draguer ou même mieux , je la prends moi-même, et alors je ne sais pas où on s'arrêtera !
En fait la question ne se pose pas, car Vincent, sous prétexte de me montrer une photo de sa fille âgée de six ans, se lève, se place derrière moi et pose une main sur mon épaule. Et voilà que cette main glisse sur mon cou et le caresse, imperceptiblement d'abord puis plus ouvertement.
Je pourrais lui bloquer la main, la prendre pour la retirer de mon cou, faire une remarque à Vincent. Mais non. Cette main chaude dans mon cou ne me déplaît pas, et puis, c'est fabuleux pour une fille de se sentir un centre d'intérêt, et d'être désirée.

Comme je ne réagis pas, il prend ça pour un acquiescement et il s'enhardit et ses deux mains courent sur mon cou. La musique coule dans mon être, de tendres mélodies latino-américaines, chaudes et sensuelles qui me font batte le coeur.

Un souffle chaud dans mes cheveux puis sur mon cou.

La musique m'absorbe, s'empare de mes sens, coule dans mes veines et dans tout mon corps, une voix chaude soutenue par des rythmes denses en accord avec ces de mon corps.Les yeux fermés, je me laisse aller dans cette musique envoûtante pat son rythme et sa chaleur.

Il m'embrasse légèrement derrière l'oreille droite et je me sens faible, incapable de résister.
"Vous êtes certain que c'est ce que vous voulez ?" je lui murmure sans voix.Il me regarde et je suis sûre qu'il lit le désir dans mes yeux.

Il ne répond rien, mais se retourne, me prend dans ses bras, me presse contre lui, me murmure un mot doux et m'embrasse. Sa langue se glisse entre mes lèvres et remplit ma bouche. Inconsciemment, j'écarte un peu les jambes, m'offrant ainsi d'une manière symbolique :je sens Vincent se presser contre moi, son sexe dur pousser mon ventre et ses mains se poser sur mes fesses pour les caresser lentement C'est à cet instant que je perds véritablement le contrôle de moi : je sens une chaleur qui grandit dans mon ventre et mon corps se met à répondre à celui de Vincent.
"J'ai l'impression qu'on est un peu trop habillés pour ce qu'on a envie de faire." je lui dis en commençant à déboutonner sa chemise. Puis j'ouvre la ceinture de son pantalon. Il reste immobile à me regarder, comme si je le fascinais.
" Si on ne m'aide pas un peu, je n'y arriverai jamais" je lui dis. Alors il semble se réveiller, finit de baisser son pantalon et le retire. Il me fait lever les bras et passe ma chemise par dessus ma tête. Comme je n'ai pas de soutien gorge, mes seins dansent devant ses yeux et il se penche pour les embrasser l'un après l'autre.

A nouveau sa bouche cherche la mienne. C'est si bon de sentir ses lèvres se presser contre les miennes et de sentir sa langue glisser contre la mienne. Je suis de plus en plus excitée, mes seins deviennent durs et mon sexe mouille
Tant de bonheur me fait me tourner la tête. Je suis obligée de m'appuyer contre le mur pour ne pas tomber. Vincent se fait plus insistant, il se serre contre moi, son corps me presse contre le mur, sa bouche plaquée sur la mienne, mes seins écrasés sur sa poitrine et son sexe dur qui pousse contre mon ventre.
Le mur derrière moi est froid et dur en contraste avec la chaleur ardente de son corps à la fois ferme et souple collé contre le mien.
Il prend le temps de me demander où est ma chambre et je l'y entraîne en le tenant par la main.
Là, il me fait allonger sur le lit et commence à m'embrasser. Sa bouche descend de ma bouche sur mon cou, puis sur mes seins. Il s'attarde sur mes pointes durcies, sur les mamelons, mais aussi sur les globes et sur le dessous de ceux-ci. Je frisonne de plaisir. Sa bouche reprend son voyage vers le bas, un voyage lent qui m'entraîne vers le paradis. Arrivé à la ceinture, il doit arrêter, le temps d'ouvrir mon jean, de la baisser et de faire lentement de même avec mon slip : Vincent regarde tendrement le triangle qui se révèle à ses yeux, la fente, encore fermée, promesse de tant de plaisir.
Puis ses lèvres chaudes et humides reprennent leur descente du nombril jusqu'à l'intérieur de mes cuisses. Il me regarde encore une fois et plonge sur mon sexe.
"Tu sens bon… un aphrodisiaque", me complimente-t-il juste avant que sa langue ne me touche. Je sursaute de plaisir en sentant cette douceur chaude et mouillée sur ma vulve déjà en feu. J'écarte les jambes pour lui faire de la place et à nouveau il lèche, plus longtemps et plus fort. Un coup de langue enflamme mon clitoris déjà tellement gonflé. Puis mon Vincent passe du léchage de ma fente au suçage de mon clito tout en m'enfilant deux doigts dans la chatte qui de demande pas mieux ! A chaque coup de doigt, je s sens ma cramouille qui palpite et je me mets à gémir puis à crier. Je ne peux plus me retenir, j'agrippe Vincent par les cheveux et je colle sa tête contre moi en lu suppliant de me lécher plus vite, de me sucer plus fort, de me faire éclater de jouissance
Tout en me mangeant la chatte, il joue avec mes seins, les roule, les pince et les pelote. En moins de deux minutes de ce régime délicieux, je jouis comme une folle. Ca commence par un grondement dans mon ventre et, les yeux fermés, ça explose en contractions, en cris et en tremblements.
Vincent dépose quelques petits baisers sur ma chatte palpitante, et, à peine ai-je fini de jouir, qu'il m'attaque à nouveau à grands coups de langue.

En ouvrant les yeux, je découvre la bosse énorme qui déforme le slip que Vincent et j'ai soudain très envie de jouer avec le bâton chaud qui s'y cache. J'écarte l'élastique pour baisser le slip mais sa bite est si droite que j'ai du mal à la sortir... Enfin elle est à l'air devant mes yeux qui l'admirent. C'est une magnifique promesse de plaisir, bien droite, d'une bonne taille, exactement celle qu'il faut, longue et épaisse mais sans excès, avec un joli gland déjà humide et une grosse paire de couilles pleines.
"Je veux te manger, moi aussi, en même temps que toi."
Encore une seconde à regarder Vincent. Il est trop beau, trop sexy ! Son corps jeune est musclé, ses épaules et sa poitrine sont larges. Sa queue est dure et fièrement dressée, les veines saillent sur le manche épais. Ummmmh ! Je vais me régaler !

Vincent, qui était sur le côté près de moi s'allonge, je place sur lui, à l'envers et immédiatement il recommence à festoyer sur ma chatte.
J'ai sa bite juste devant moi. Je le prends dans la main, la caresse. Qu'elle est douce ! Comme du velours. Et chaude ! D'un coup de langue l'enlève la goutte qui tangue au bout du gland. C'est salé, c'est bon ! J'entends Vincent grogner de satisfaction quand ma bouche se referme sur son gland. Il est si chaud et si doux ! Une sucette d'amour ! Ma langue court sur le tour et lentement j'embouche a nouveau sa bite et je le laisse glisser et ressortir de ma bouche. Elle palpite, elle vit dans ma bouche et ça m'excite encore plus.

Ma langue tourne sur le gland, s'attarde le trou à pisse que je picore à petits coups de langue. Vincent gémit et se tortille de plaisir me demandant de continuer comme ça.

En même temps, il me lèche la chatte: la langue bien à plat, il passe sur toute la longueur, arrive bientôt sur mon clito qu'il enserre, mordille, fait aller et venir en lui donnant de petits coups de langue, ou bien, la langue bien en pointe, il tourne tout autour. A mon tour de gémir et de lui demander de continuer.

Mes lèvres sont serrées sur le merveilleux manche de Vincent et je le fais glisser dans ma bouche, monter et descendre, impatiente de le sentir gicler et m'inonder de sa belle crème chaude.

Je sens Vincent enlever sa bouche de ma chatte et soudain, il y glisse un ou deux doigts qui s'enfoncent et vont et viennent, me branlant le con avec force. Je grogne, un long grognement de bête en chaleur de femelle en rut qui s'apprête à crier sa jouissance.
Quand lèvres de Vincent reviennent sur mon clitoris pendant que ses doigts de labourent la chatte je me sens partir. Un tremblement, un spasme se transforment en un orgasme déferlant qui me fait crier en même temps que je continue à sucer Vincent fiévreusement et lui à m'enfoncer sa langue dans ma petite fleur palpitante. Je suis aux anges !

Je me doute que Vincent ne doit plus être loin de l'explosion.Tout en tenant ses couilles dans le creux de la main, je suce et je lèche toute la longueur du manche. Pour lui donner un maximum de plaisir quand il va jouir je glisse un doigt jusqu'à son trou du cul que je frotte doucement. Puis j'appuie de plus en plus fort jusqu'à ce 'une phalange parvienne à forcer l'anneau et à rentrer. Ca fait gémir Vincent et je suis certaine que sa charge ne va pas tarder à partir et il se met à me sucer le clito furieusement. En deux secondes je jouis à nouveau, un orgasme bref mais violent, une éruption, un vague déferlante. Ma bouche pompe plus fort la queue de Vincent et il ne tarde pas à m'envoyer ma récompense. Je l'entends grogner et gémir, il tremble de tous son corps et je sens sa bite gonfler et durcir dans ma bouche.
Oui, c'est ça! Envoie ta sauce.J'aime ça et je n'en ai jamais assez. Gicle pour moi, gicle dans moi, j'en ai tellement envie.
Il me donne un grand coup de bite dans la bouche, s'enfonçant loin et il explose. La première giclée arrive si fort que j'ai du mal à l'avaler. Alors je le pompe vigoureusement pendant que mon doigt lui pompe aussi le cul. Du coup, il se met à crier et à juter des litres. J'en bois le maximum. J'adore le goût et j'adore qu'on gicle pour moi. Wouah : quel plaisir ! Je sens encore dans mon ventre le dernier chatouillis de l'orgasme que je viens d'avoir et maintenant c'est Vincent qui m'envoie sa sauce crémeuse, chaude et onctueuse dans la bouche. Quelle sensation ! Je me laisse aller lourdement, effondrée sur Vincent, et je ne peux empêcher quelques sanglots de bonheur.
Au lieu de se retirer de ma bouche, Vincent reste dedans jusqu'à ce que sa queue débande et en même temps il n'arrête pas de me suçoter de me lichoter la chatte et le clito. Je suis toute mouillée et le jus coule entre mes cuisses. Nous nous séparons enfin; je suis fatiguée mais je me sens si bien ! Vincent se lève et m'embrasse doucement sur les seins puis sur la bouche.

Il est tout juste 19 heures…. La soirée qui vient de commencer d'une façon si imprévue mais si agréable et merveilleuse s'annonce explosive. Ca va être la fête, celle de nos corps et de nos sens…
Je vous la raconterai peut-être une autre fois…

 

Note de l'auteur : Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à la condition expresse de mentionner dans ces pages web le nom de l'auteur : Hornyboy, et l'adresse du blog : http://www.histoiresdeq.canalblog.com

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Commentaires
E
donc ce n'est pas désespéré<br /> L'histoire n'est pas très originale, mais le récit est bien mené<br /> <br /> continue
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