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Histoires de Q
11 novembre 2020

Après l'école

Par une après midi d’été, Katia rentrait chez elle. Comme la grille du jardin était ouverte, elle se dit que son père devait être à la maison.

- Salut papa, je suis rentrée du collège. Où es- tu ? demanda-t-elle, tout en enlevant son sac à dos.

- Dans la cuisine.

- Qu’est-ce que tu fabriques là ?

- Rien. J’avais juste une petite soif. Je me sers un un verre de coca. Tu en veux un ?

- Oh oui, volontiers.

 

Katia alla dans la cuisine son père tenait un verre a la main. Elle le trouva nu comme un ver.

Oh, papa ! Mais… qu'est-ce que tu fais dans cette tenue ?

- Juste que j’avais trop chaud… Je viens de travailler deux heures dans le jardin, et avec le soleil, ça chauffe…

Katia ne fut pas surprise et encore moins choquée car, si la famille n’était pas adepte du nudisme ou du naturisme, il arrivait que tous courent ou se promènent plus ou moins nus dans la maison, les parents mais aussi Katia et son petit frère, comme en sortant de la douche ou parfois autour de la piscine dans le jardin ou simplement parce qu’il faisait très chaud... En fait tout le monde avait déjà vu tous les autres nus, et plus d’une fois !

 

Katia voyait son père de dos, occupé à ranger une bouteille dans le réfrigérateur et elle se prit à se dire qu’il avait de jolies fesses ! Puis il se retourna vers elle et alors elle s’aperçut qu’il était en érection! Elle regarda le sexe de son père, il bandait comme un âne ! La jeune collégienne rougit comme une tomate ! L’adolescente était fascinée par les attributs masculins, elle en avait vus dans des sites porno sur internet et depuis qu’elle avait fêté ses quatorze ans, la jeune fille s’intéressait au sexe. Mais voir des photos et des vidéos, ça n’a rien de comparable avec la réalité d’un pénis – surtout en érection. Katia ne pouvait pas imaginer que le sexe d’un homme soit si gros, si dressé, si triomphant. Rien à voir avoir le petit bout de zob qu’un copain de classe avait récemment exhibé à quelques filles pendant une récréation au collège.
Son père tenta maladroitement de cacher son érection.

- Ne bouge pas, ne bouge pas, mon papa. Laisse-moi te regarder… Laisse-moi découvrir un autre papa, s’écria-telle d’un ton à la fois ferme et implorant. Il comprit que cette demande n’était pas un simple caprice de petite fille, mais signifiait beaucoup pour elle. Elle s’approcha de son père, debout face à lui. Ils se regardèrent quelques secondes sans dire un mot et sans bouger puis Katia tomba à genoux, son visage n’était qu’à quelques centimètres du phallus de son père. Katia, très intimidée ce sexe masculin, hésita une seconde avant de tendre la main droite vers le sexe de Daniel Marchal. Même si celui-ci n’était pas d’une taille exceptionnelle, Katia fut frapée par sa longueur, son épaisseur, et par le gros gland qui ressortait à l’extrémité.
Elle était bouche bée devant ce sexe, sa première queue d’adulte. Elle avait le visage contre le pubis, mais elle ne le touchait pas. Elle semblait être simplement toute à la disposition de son père

Monsieur Marchal comprit que sa fille se sentait un peu perdue et que c’était à lui de faire le premier geste.

- Je sais bien qu’on ne devrait pas… Tu sais, un père et sa fille. Mais, là tu m’as surpris et tu vois maintenant comment un homme c’est fait... A ton âge, il est temps tu apprennes, et je préfère que ce soit avec moi plutôt qu’avec on ne sait pas trop qui pourrait abuser de toi, te faire mal ou même te violer. C’est le rôle des parents de montrer certaines choses à leur fille. Alors puisque l’occasion se présente aujourd’hui… Tu peux y toucher. Prends-la, si tu veux, mais tu n’es pas obligée si tu ne veux pas…

 

Lentement, en hésitant, elle avança la main, et elle sentit la queue se contracter. Elle retira aussitôt la main puis, essaya à nouveau. Cette fois, le regard attentif, elle examina le sexe, le soulevant, le tournant, le serrant doucement entre ses doigts, puis elle caressa cette tige de chair que le désir gonflait. Elle la sentit palpiter dans sa main. C’était une sensation étrange. Katia aimait le contact avec cette peau douce et chaude, et soudain, elle ressentit un frisson entre les jambes, une chaleur subite et son cœur se mit à battre plus vite.

Daniel Marchal ne tenait plus et il attrapa le visage de Katia.

- Donne-lui un baiser. Embrasse ma queue et lèche-la un peu. lui demanda-t-il avec douceur. Tu me ferais beaucoup plaisir, tu sais.
Elle voulut effectivement faire plaisir à son papa, mais elle sentit qu’autre chose, qu’elle ne comprenait pas, une pulsion interne, la poussait aussi à agir comme on le lui demandait. La chaleur grandissait dans son ventre, son coeur battait encore plus fort.

-Dis-moi comment faire. Je sais pas trop, c’est la première fois.

-Tu n’as jamais fait ça encore ? Avec un garçon au collège ?
- Non, alors aide-moi et je veux faire une super pipe pour donner du plaisir à mon papa chéri. Et puis, je ne veux pas risquer de te faire mal.

- Une super pipe ! s’exclama-t-il. Tu sais déjà comment ça s’appelle… C’est déjà ça ! Bon alors, je vais t’expliquer...

En suivant ce que son père lui suggérait, elle s’approcha de son sexe et commença par lui faire de petits bisous. Elle sortit ensuite sa langue et se mit à lécher le gland, puis toute la colonne de chair, avant de revenir s’attarder sur le gland. Celui-ci était doux et généreux, finement ciselé dès la base. Il gémit pour lui faire comprendre qu’elle lui faisait du bien. Les lèvres de Katia étaient aussi douces que de la soie et cela excita encore davantage monsieur Daniel Marchal.

Il l’interrompit :

-Attends une seconde. On ne va pas rester ici, moi debout devant le frigidaire et toi sur le pavé pour me… me pomper. Viens on va dans la salle, sur le canapé.

Ce qu’ils firent, Monsieur Marchal assis sur la sofa, les jambes largement écartées et sa fille à genoux entre elles.

Katia ouvrit grand la bouche, son père donna un coup de rein et la moitié de la verge entra. Katia avala le phallus d’une traite.

La jeune fille alternait entre de longues succions et de lentes allées et venues de sa langue tout le long de son sexe. L’excitation montait rapidement. Katia taquina la verge, sa langue s’enroulait autour de la colonne de chair, la masturbait vivement avant de l’engloutir de nouveau, plus rapidement cette fois.

Il la complimenta : - C’est bien, tu le fais bien … Oui, comme ça ! C’est bon. Et toi, tu aimes sucer ton papa ? Allez Katia ! C’est pour toi, que je bande ! Avale, ma petite chérie !


Soudain elle comprit tout ce que ceci impliquait. Elle avait vu des vidéos, elle savait comment ça se finirait. A la fin, il allait se vider dans sa bouche. Et elle se dit que c’était trop pour elle. Elle eut peur. Non, elle ne supporterait
pas d'avaler le sperme. Non, pas ça !

-Tu me préviendras quand ça viendra, hein mon papa.  Je ne pourrais pas avaler ton… ton sperme.

- C’est comme tu veux… Je te le dirai avant. Aie confiance en moi.

Monsieur Marchal caressa les cheveux de sa fille, et, lui tenant la tête à deux mains, il se serra contre elle et donna des petits coups de reins. Katia sentait que la queue qu’elle avalait s’enfonçait toute seule dans sa gorge. Elle commençait à s’étouffer.

-UMMMh ! Aha…Oho…

- Respire par le nez, Katia, sinon tu vas étouffer…. Ouh ! C’est bon ! Ça fait longtemps qu’on ne m’a pas fait ça. Ta mère n’y arrive pas aussi bien que toi !
Il continua ses conseils et ses exigences :

- Aspire bien… fais des allées et venues… caresse-moi les bouboules en même temps.

Katia s’efforça d’écouter les conseils de son père, C’était très doux ; Elle adorait le sentir s'exciter dans sa bouche. Elle aimait tourner autour de son gland avec sa langue, aller bien profondément…

- Oui ! Bouffe-moi la queue ! Bouffe ton papa ! Ahaaa ! Suce ! Suce ! Ohooo ! »

 

Elle s'attarda plus précisément sur le frein. Elle savait que les hommes sont sensibles là. Elle glissa son autre main entre les cuisses de son père et lui caressa le périnée et les boules…
Elle continua à le pomper goulûment, les lèvres bien arrondies sur le sexe, salivant, creusant bien les joues pour mieux aspirer. Des allées et venues sans s’arrêter, elle pompait , elle pompait, en lui caressant les baballes en même temps.

Il gémissait, et elle aussi.

Il bougeait les reins, elle était bonne, vraiment bonne ! Katia était une fille super… elle était SA fille super !.
Il força sa bouche pour s’enfoncer plus loin. A un moment, elle ne pouvait plus enrouler sa langue autour de la queue de son père, car les va et vient allaient trop vite ! Katia sentait le frottement vigoureux contre les parois de sa bouche.

Daniel Marchal sentit son sexe se durcir et monter en pression, il sentit ses couilles remonter ; il grogna qu’il allait jouir, qu’il fallait qu’elle… il n’eut pas le temps de finir et elle n’eut pas non plus le temps de s’écarter beaucoup : aussitôt il balança le premier jet . Elle eut à peine le temps de fermer les yeux que ce premier jet atteignit ses joues et son cou , qui furent couverts de sperme ! . Sa première réaction fut un mouvement de recul ; deux autres jets de sperme épais et fournis partirent plus loin, en longue traînées blanchâtres

Katia fut stupéfaite en voyant un homme éjaculer. Le premier qu’elle voyait...

- Dis donc, quand tu gicles, tu fais pas semblant ! Tu m’en as mis partout ! Et elle rit.
- Il faut dire que tu me motives, ma puce ! Rien n’est trop beau pour ma petite Katia !

Elle trempa le bout de deux doigts dans le sperme, les frotta l’un contre l’autre, s’étonna sentir que c’était épais et collant, hésita avant de lécher ses doigts pour goûter , mais elle renonça.

Elle se jeta ensuite au cou de son père.

- Merci, mon papa, je t’aime ! Et elle l’embrassa avec gourmandise: monsieur Marchal sentit sur ses lèvres le goût de son propre sperme.

Puis, son père prit une serviette et lui frotta soigneusement le visage et le cou comme une mère qui essuierait du chocolat sur la bouche de son enfant.

 

 

PARTIE 2

 

Elle se pencha vers lui et l'embrassa encore, sur les joues cette fois. Il la prit dans ses bras et elle s’y blottit. Elle se sentait heureuse d’être là avec lui.

- Ma puce, je t’aime… Il ne put en dire plus, Ils échangèrent de tendre caresses puis, serrés l’un contre l’autre, un long baiser, un baiser qu’un père et sa fille ne devraient jamais échanger, plus qu’un baiser d’amour, un baiser de désir et de passion. Il eut l’impression de découvrir sa fille pour la première fois. Il sentit qu’ils pourraient continuer encore comme ça pendant des heures, alors il prit sur lui pour passer à la suite.

Il l’installa à califourchon sur ses genoux

Les mains de Daniel Marchal couraient sur le dos de Katia et finirent par se glisser sous sa chemise largement ouverte. Il se pencha pour embrasser sa poitrine.

Il remonta son soutien gorge par dessus ses seins. Ceux-ci étaient encore assez petits mais déjà si fermes, si beaux et si doux. Ils étaient adorables !

Il caressa doucement ses seins, les toucha, les palpa, les cajola , les faisant gonfler sous ses doigts agiles. Il s’évertua aussi à faire dresser les bouts, il prit les tétons en bouche les mordilla et les titilla avec sa langue, pinça les pointes entre son pouce et son index

Katia sentit ses tétons durcir et son entrejambe chauffer. Elle gémissait et ronronnait comme une chatte.

-Huum... oooh... papa !!

- Tu aimes, ma puce ?

- Oui, papa... Tu me caresses bien. Et toi, tu aimes mes seins ? Ils sont trop petits, tu trouves pas ?

- Je les adore. J’adore caresser ta jolie paire de seins bien ronds.

Il embrassa encore les jolis nichons puis la bouche repris son chemin vers le bas, picorant le joli ventre de Katia, titillant du bout de la langue le nombril à peine nubile de sa fille. Il se mit à genoux devant elle et d’une main il baissa à demi le petit short rose de Katia. Sa bouche arriva jusque sur sa culotte, dernier rempart de son intimité.

 

Elle savourait les sensations qu'il lui donnait. Il se sentit transporté lorsqu'il l'entendit le lui dire dans un chuchotement.

- Regarde papa l'effet que tu me fais. Je suis toute mouillée

 

Elle descendit sa culotte et lui montra son minou tout trempé.
Sa fille était nue devant lui et il la regarda comme il ne l’avait encore jamais fait.

A plus de quatorze ans, son corps annonçait déjà la floraison de l’adolescence par les hanches bien arrondies, les jambes bien dessinées, les seins mignonnets et déjà joliment poussés, le minet duveté blond, des fesses rondelettes et bien plantées...

-Papa, j’ai tellement envie de toi !

- Du calme, jeune fille, laisse-moi profiter un peu, la taquina-t-il, se délectant de la forme parfaite de sa poitrine et de sa croupe et du lent balancement de ses reins .

Il déposa encore un baiser sur le ventre Il s’émerveilla en découvrant un petit abricot rose marqué d’un jolie fente que les lèvres gonflées ouvraient à demi.

Il embrassa l’abricot bien brillant de sa mouille. Elle sentit une boule de chaleur naître dans son ventre et descendre jusqu’à son sexe

Ensuite, il écarta délicatement ses petites lèvres et sans prévenir, il enfonça deux doigts en elle. Il la sentit frisonner et se contracter un instant quand il enfonçait les doigts dans cette jolie fente humide: Katia gémit. puis il la besogna ainsi plusieurs fois, sentant le plaisir de sa fille couler sur ses doigts.

Et Katia, au bord de l’orgasme, poussait des cris en se cambrant.

- Tu veux que je te mange le minou maintenant, ma petite puce ?.
Il avait hâte de glisser sa langue entre ses jambes.

Avant même la réponse, sa tête se posa entre ses cuisses, il lécha les grande lèvres, et joua avec sa vulve.

-Ta mouille coule sur mon visage, ça m’excite.

La langue passa dans la fente de Katia. Il sentit son clito déjà dressé ; il joua avec, sa langue le fit tourner, le lapa, le lécha.

Elle gémit violemment en sentant la bouche la prendre entièrement, se retirer doucement en creusant les joues, recommencer plusieurs fois. En plus il la branlait à grands coups en laissant couler un filet de salive sur ses doigts. Elle était toute trempée, complètement ouverte.

C’était la première fois qu’une bouche, des lèvres, une langue touchaient son sexe , elle n’avait jamais connu cela auparavant, alors vous pouvez imaginer ses gémissements alors que la langue de son père léchait autour de son clitoris et que ses doigts la baisaient.

En plus de la main gauche, il caressait ses reins, s’égarait en bas de son dos, glissant le long de sa colonne jusqu’à la naissance de ses fesses .

Son bas ventre se contractait de plus en plus, son corps était en transe en sentant la langue de son père qui léchait la mouille qui coulait. Elle sentait l’orgasme monter, elle était prise de frissons de plaisir.

- Crie ! Jouis ! Tu es belle... lui cria-t-il

-Oh oui, papa, oui, lèche moi ! Oui bouffe la chatte de ta fille !...Ohhh ! Ahhhh !

Le contact de la langue de monsieur Marchal sur son bouton devint insupportable, son corps se tendit et elle connut une série rapide d’orgasmes intenses. Il lui semblait que son ventre se contractait, se tordait.Son corps était tendu, elle se mit aussi à geindre encore plus violemment, elle criait comme si on la torturait, elle se tortillait et se cambrait !

Enfin, elle retomba sur le canapé, les yeux fermés, presque inerte. Son cœur battait à toute vitesse, elle était essoufflée

 

La queue de Monsieur Marchal était comme une barre d'acier, droite et tendue, si dure qu’elle lui faisait mal.

Il fit le tour du fauteuil pour ne pas me mettre en face de sa fille. Son sexe était dur et érigé, vers le haut, presque plaqué contre son ventre. Le gland gonflé et violacé était plus que dégagé, le prépuce retroussé ; le pré-sperme coulait de la fente baveuse.

Katia ouvrit lentement les yeux et aperçut l’érection puissante que son père dissimulait mal.

-Tu bandes encore ?

- Croyais-tu que je serais resté indifférent à tout ce qu’on vient de faire ensemble ?

-Non… Bien sûr que non… Alors tu bandes pour moi ? C’est merveilleux de savoir qu’homme bande pour moi… Surtout que cet homme c’est toi !

Il ne répondit pas et sa fille reprit

- Elle est toute dure, tu ne vas pas la laisser comme ça, non? Tu veux  ? Tu aimerais que je te… que je te branle ?

-Ma chérie, je crois que nous ne devrions pas …

Elle l’interrompit  et décida de prendre l’initiative :

- Écoute, papa, je ne suis plus une gamine, tu le sais bien après ce qu’on vient de faire ensemble. Peut-être pas encore complètement une femme, mais pas loin. Alors cette fois, c’est moi qui décide. Je vais m’occuper de toi. Tu m’as bien mangé alors je veux te rendre la pareille. .

Mon ton était ferme, assuré et directif. Elle avait trouvé sa place près de son père. Mais elle risquait de les mener au bord du gouffre

Elle prit l’initiative en saisissant la queue à pleine main et Daniel Marchal ne dit rien.

- Détends-toi, mon papa chéri.

Lorsqu’il croisa le regard de Katia, il vit se dessiner un sourire sur ses lèvres. Sa fille était fière d’avoir fait bander son père et maintenant d’avoir décidé elle même de le masturber.

Elle commença par s'amuser avec la paire de boules, deux grosses noix bien pleines : elle les caressa, les pelota, les embrassa, les lècha et les goba.

Puis, refermant sa main sur la queue, qui lui remplissait toute sa main, elle commença à la branler, en la faisant coulisser de haut en bas le long du membre dressé.
Elle devait certainement tirer un peu trop : son père poussa un petit ‘aie’ et saisit le poignet de Katia pour arrêter le branle.

- Doucement, fais comme tu ferais pour toi en te doigtant la chatte, lui dit-il...Tu peux tenir me queue à deux mains, bien à la base pour me toucher les boules et l'autre au dessus... Oui, comme ça…

 

Malgré sa récente jouissance, Katia sentit son sexe s’embraser de nouveau, tandis que ses mamelons se gonflaient encore plus.

De la main droite, elle pompait son père, allant et venant sur le manche. Sa main gauche jouait avec ses boules, les griffant légèrement la peau du bout des ongles, les pelotant, les tiraillant doucement.

 

Soudain elle arrêta ses va et vient et retira la main de la queue de monsieur Marchal.

- A ton tour de te branler un peu. Je voudrais voir un homme se branler, c'est beau tu sais… Fais-le pour moi…. Il s’exécuta pour faire plaisir à sa fille et commença quelques lents va-et-vient et accéléra peu à peu, la main allant et venant sur la bite dressée. Katia le regardait avec passion se branler.

Maintenant, tu continues à te branler jusqu’à ce que tu jouisses dans la bouche

-Mais tu n’as pas voulu tout à l’heure, tu t’es retirée !

-Oui, mais c’était avant. Tout ça me faisait un peu peur.Je ne savais pas… Cette fois, je veux aller jusqu’au bout.
Elle s’allongea sur le canapé et lui dit de venir au dessus d’elle et de se branler au dessus de sa bouche.

La main continuait à monter et descendre sur le manche, à serrer, à tourner, et à monter et descendre encore.

Soudain il poussa un gémissement et elle vit son père grimacer. Elle rompit le silence qui s’était installé entre eux.

- Donne-le moi ! Donne- moi  ton jus! Jouis pour moi, mon papa.
Elle se pencha sur le ventre de son père, la bouche ouverte bien au dessus de la bite prête à gicler

Il se masturba encore quelques secondes à quelques centimètres du visage de Katia.

Brutalement, les yeux fermés, la bouche ouverte pour gémir de plaisir, Daniel Marchal se laissa aller : il sentit son sperme s’échapper de son gland, un flot de sperme chaud sortant par saccade. La première jet gicla droit dans la bouche de la jeune fille, arriva sur sa langue, se colla à son palais et coula jusque dans sa gorge.... Elle en reçut aussi sur le visage et les cheveux.
Et il continua à jouir, fort, il poussa un râle de soulagement intense et il en mit partout  giclant encore deux ou trois fois. : un second jet puis d’autres montèrent en l’air et retombèrent en zébrant le corps encore vierge de Katia.

Un sperme abondant, épais, plutôt salé lui emplissait la bouche ; elle déglutit et essaya d’avaler.

A la fin, le sperme finit par couler sur les doigts de monsieur Marchal jusqu’à la base de sa queue. Il continua à se branler et à avoir des soubresauts de plaisir, jusqu’à ce que sa queue commence à perdre sa superbe.

Katia se sentait à la fois fière et excitée d’avoir réalisé une sorte de fantasme personnel C’était la première fois qu’un homme jouissait pour elle. Sans pouvoir le formuler clairement, elle sentit que recevoir le sperme ainsi c'était une façon d’être maîtresse de l’éjaculation. Katia ne sentait plus une petite collégienne, elle était prête à jouer dans la cour des grands ! Monsieur Marchal était son père, son papa chéri, mais aussi un homme que la femme qu’elle devenait pouvait conquérir et dominer.

 

Daniel Marchal releva légèrement la tête de Katia. Il la trouva magnifique, maculée de sperme et, plein de douceur, l’essuya avec des kleenex...

Il déposa un dernier baiser ardent sur les seins de Katia, avant de poser ses lèvres sur son front pour un baiser paternel puis de s’écarter.

- Reste encore un peu, le temps d’atterrir, il lui dit. Tu en as découvert assez pour aujourd’hui. Il lui demanda aussi si ça allait.

- Oui, ça va. Merci mon papa ! Tu es le plus merveilleux de tous. Je t’aime comme ta fille et plus encore. Et ça, c’est notre secret, un beau secret. C’est bien normal qu’un père et sa fille partagent des secrets, non ?

Elle se mit debout, se dirigea vers la salle de bain. Il se leva, s’empressa d’aller lui chercher une serviette pour rester encore un peu au près d’elle et en profiter pour admirer l’eau glisser sur sa peau.

 

 

 

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