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Histoires de Q
8 octobre 2020

Les vacances de Jocelyne (3) - Séparation

Jocelyne continue à raconter ses vacances et les jours qui ont suivi.. Attention les yeux...!!!

Séparation

 

J’aime le mois de septembre. C’est le mois de l’apaisement après les chaleurs de l’été. C’est le mois des fruits et de la douceur. Côté sexe, il a été, cette année, le mois de l’abstinence. Abstinence toute relative, mais abstinence quand même. Après notre retour de l’île de Ré, Nous avons pris notre petite fille malade à la maison ; Donc pas question de faire des galipettes. Et puis, notre fils a appelé papa à la rescousse pour des travaux de rénovation dans sa maison. Je l’aurais bien accompagné, mais j’étais coincée par ma petite fille, et, pour être franche, je n’avais pas vraiment envie de traverser à nouveau la France en voiture.

Et bien mes amis, une période de chasteté de temps en temps, ça fait du bien. Mon homme parti, je me suis retrouvée seule assez rapidement, mon petit ange ayant réintégré son école et sa famille. Une semaine de calme, repos et confitures. Au cours de nos rendez-vous quotidiens sur Skype, pas question de sexe ou d’allusion de ce genre, il y avait des témoins. Et puis j’ai commencé à voir arriver sur mon Smartphone des SMS de plus en plus explicites et même hard…

« Envoie moi une photo de ta chatte » Message qui a le mérite de la clarté. Ma réponse a été Niet, tout de suite. Le mec a insisté, lourdement. Ce n’est pas que ça me dérange outre mesure, et je l’ai déjà fait, mais la première fois que je l’ai fait, je ne connaissais pas bien mon Smartphone et j’ai envoyé la dite photo à tous mes contacts. Gros malaise. J’aime bien me faire prier et, bien sûr j’ai fini par céder à son insistance. Seulement faire ça sans miroir et quand on n’est pas contorsionniste, c’est pas facile. La première fois en question, il m’a fallu cinq « prises de vue » pour avoir un résultat satisfaisant.

Au moment de passer à l’acte je me suis dit qu’il fallait lui faire plaisir, à mon pépère… Avec une petite surprise. Tu veux des photos, tu vas en avoir. D’abord, le Smartphone, c’est vraiment pas pratique. J’ai donc sorti du placard mon appareil photo. Avec la fonction retard, on peut faire ce qu’on veut. J’ai préparé mon matériel, mon petit œuf vibrant, mon gode noir à ventouse et du lubrifiant. La préparation consiste à mettre ça dans l’eau chaude (pas trop chaude). Je ne déteste rien plus que de me mettre un gode glacé. Un gode c’est fait pour simuler la pénétration d’un sexe d’homme. Demandez à n’importe quelle femme. Un sexe d’homme, c’est chaud, (environ 37°) et même des fois très chaud. Donc, si comme moi, on veut un minimum de réalisme, il faut réchauffer l’objet et le lubrifiant.

 

Première photo, je prends ma fafoune au repos. Sortie du slip quoi ; Elle est toute fermée . C’est juste une fente fine et droite qui ne laisse rien voir. Il n’est pas question que je me mettes le gode comme ça de but en blanc, il faut préparer le terrain. Je prends mon petit œuf vibrant. Lui je ne l’ai pas mis à réchauffer. Je l’ai fait une fois, il n’était pas étanche, il avait rendu l’âme au bout de dix secondes. Le simple fait de le prendre en main et de tourner la mollette me fait entrevoir les délices qui vont suivre. Je vais être tout à fait honnête. J’avais bien l’intention de me faire un petit plaisir solo. Est-ce cela qui ma inspirée pour lui envoyer les photos de ma masturbation ? Ou bien, est-ce sa demande qui m’a incitée ? L’eternel problème de l’œuf et de la poule. Tiens ! L’œuf, parlons en. Ses vibrations sont comme je les aime ; Puissantes et d’une fréquence assez basse pour bien secouer le clito.

Mon gode attend sagement dans un grand verre doseur rempli d’eau chaude sur la table de nuit. Elle était un peu trop chaude à mon goût, donc, je prends mon temps. Le premier organe sexuel, c’est le cerveau ; je l’ai déjà dit. Toute cette mise en scène, ça m’a refroidie complètement. Après cinq minutes de vibration, rien ne vient. J’avais programmé le retardateur sur deux minutes. Je regarde la photo. Elle est assez réussie, on voit bien l’œuf posé sur ma fente et mes cuisses largement écartées. Je suis sûre que ça va l’exciter. Pépère va se faire une petite branlette en regardant ça. Cette pensée provoque en moi le déclic attendu en vain. Je mouille. Vite je règle le retard sur cinq minutes. Je me remets en position, je tartine généreusement mes lèvres avec le lubrifiant. Je remets l’œuf en place et je promène le bout du faux sexe en plastic sur ma fente. Il trouve vite son chemin en écartant petit à petit les lèvres. Je n’ai pas l’habitude de me masturber avec un gode. Quand je le fais, c’est avec mon mari et c’est lui qui le manipule. Depuis que j’en ai un, j’ai du m’en servir deux fois toute seule. Mes solos, je les préfère avec mes doigts ou un vibromasseur.

Je ferme les yeux pour me concentrer sur mes sensations. J’ai dans la tête l’image de mon mec, penché sur moi il m’a mis un doigt dans la chatte et son autre main me parcourt le corps. J’ai pris sa bite en main et je la caresse doucement. Ce rêve me mets en situation, j’ai envie là, je veux sa queue, tout de suite. Faute de mieux, j’enfonce doucement le gode. Quand il arrive au fond, j’appuie fermement puis je le retire lentement. C’est comme ça que j’aime être pénétrée au début, avec douceur et lenteur. Mon homme ne procède pas autrement. Après, il se retire et vient frapper des petits coups à la porte. Il le rentre à peine et recule aussitôt pour recommencer. J’en fais autant. Voilà l’appareil photo qui déclenche. Je l’avais oublié celui là. Au point d’excitation où je suis parvenue, je m’en moque complètement. J’enfonce le truc un peu plus vite maintenant en le sortant en entier à chaque recul pour qu’il écarte les lèvres en revenant, ça c’est bon, c’est même très bon. J’appuie l’œuf de plus en plus fort sur mon bouton. Ça vient, ça vient, j’ai l’impression que ma chatte a triplé de volume, sensation annonciatrice de l’orgasme.

Ça y est, je jouis. Quand je dis ça à mon homme, c’est le signal pour qu’il me pilonne avec force. Je fais pareil avec le gode. Comme il n’y a pas un bonhomme au bout je peux l’agiter avec frénésie, beaucoup plus vite que ne le ferait n’importe quel acteur porno. L’avantage du gode, c’est qu’il est infatigable. Avec pépère, les coups de piston à la sauvage ne durent pas bien longtemps. Il éjacule rapidement et son bout ramollit aussitôt. Là, je prolonge mon plaisir jusqu’à ce que je m’arrête épuisée et en sueur. Je garde l’outil en moi, comme avec mon mari, lui il devient rapidement tout riquiqui et j’adore le sentir se rétracter. Cela fait partie intégralement de notre relation. Il nous est arrivé souvent quand nous étions dans la position de la cuillère de nous endormir comme ça. Pour tout dire, il est même arrivé, il y a longtemps, que je le sente reprendre forme pour remettre aussitôt le couvert.

Je savoure longuement le bien-être qui suit l’orgasme… Je regarde la dernière photo. Le résultat est moyen, c’est flou ; ça devait être au moment de la grosse frénésie. Tant pis, je ne recommence pas. Le plus coton, ça va être de passer ça sur mon Smartphone pour l’envoyer. Et puis je me dis que je peux très bien l’envoyer par mail directement avec mon ordi. Le gars ne m’a pas accusé réception immédiatement, mais le lendemain matin, j’ai reçu une photo très explicite :

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