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Histoires de Q
22 septembre 2020

Les vacances de Jocelyne

 

Cette année 2020 est vraiment hors norme. D’habitude, on loue un bungalow dans un camping du bord de mer pour oxygéner les petits enfants. Cette année, un couple d’amis s’est retrouvé empêché, pour des raisons de santé, d’occuper leur villa sur l’ile de Ré. Ils nous ont gentiment proposé d’y aller pendant tout un mois, à titre gracieux, tout simplement pour que la maison n’ait pas l’air vide en cette période d’affluence estivale.

Les dates correspondaient avec les vacances de nos enfants qui se sont retirés avec toute la marmaille à la campagne loin du COVID. Ceci a fait que l’on s’est retrouvés tous les deux avec mon homme dans cette belle maison de vacances. Cette perspective a éveillé chez mon mâle des idées que j’ai vues cheminer dans son cerveau. Il a annoncé la couleur avant le départ : Il a compilé sur une clé USB des clips porno qu’il aimerait bien que l’on rejoue tous les deux. Nouveau phantasme ! Après tout, je ne déteste pas un peu d’imprévu et de fantaisie. Et, en vrai, le fait que ce soit un peu glauque ou pervers m’excite encore plus à cause sans doute de la transgression.

Une heure avant de prendre la voiture, j’ai eu droit au premier clip ! Ma première réaction a été de lui demander d’attendre que nous soyons arrivés à destination. J’ai vite compris sa hâte quand j’ai vu la vidéo : c’était une fille qui se masturbait en conduisant une voiture. J’ai dit non tout de suite. Pas question que je fasse ça pendant qu’on roule, si c’est lui qui conduit et encore moins si c’est moi. Vous imaginez les pertes de contrôle sur l’autoroute ! Et je n’évoque pas les conducteurs de poids lourds qu’on doublerait. J’ai négocié… Ça s’est passé sur une aire de repos de l’autoroute, on s’est garé dans un coin un peu à l’écart. Je l’ai fait !!! En plein jour, avec des voitures dans les alentours. Le risque d’être surprise dans une situation plus que compromettante ajoutait un peu de piment. J’avais mis une robe très ample qui me permettait des passer ma main sur le côté sans m’exposer à la vue de tout un chacun et même au regard plus que concupiscent de mon pervers de mari. Il a compensé sa frustration en passant lui aussi sa main sur le côté pour me caresser les lèvres pendant que je m’activais sur mon bouton. Je faisais ça pour lui faire plaisir et j’étais bien décidée à simuler mais petit à petit, je me suis prise au jeu. La douce chaleur annonciatrice de l’orgasme est montée. Depuis ma plus tendre enfance, je suis capable de me masturber et de jouir en silence mais j’en ai rajouté un peu. J’ai balancé ma tête de gauche à droite et au moment suprême j’ai émis un cri rauque très significatif.

Il a réagi : « t’es folle qu’est ce qui te prends ? » - « t’as rien à dire, c’est toi qui a voulu, non ? Et toi, tu fais quoi là ? » Inutile de dire qu’il était en train de s’astiquer la tige. Je lui ai donné un coup de main, au sens propre. J’ai recueilli le fruit de mon aide dans un mouchoir. Après un passage aux toilettes, on est reparti l’âme apaisée.

Après notre installation et les courses, nous sommes allés nous promener sur la plage. L’air frais du large, les vagues qui viennent s’étaler sur le sable, les cris des mouettes et des goélands, quel bonheur ! Après deux jours de cet Eden, monsieur me propose une petite vidéo… « Doucement coco, quand j’avais 20 ans, je pouvais avoir deux, trois, quatre orgasmes dans la journée et je ne m’en privais pas. Aujourd’hui, quand je jouis, il me faut bien quatre ou cinq jours pour m’en remettre. »

J’ai fini par accepter d’en regarder un ; C’était un femme assez mure, 50 ans, qui se donnait du plaisir avec un wand. Elle jouissait discrètement en gémissant et en remuant le bassin. « Á toi maintenant »… J‘ai obéi. J’ai mis mon wand sur mon abricot avec les cuisses largement écartées, c’est ça qui l’excite le plus. Au bout de cinq minutes, rien ne venait. Je lui ai dit de venir, il est venu sur moi, j’étais toute sèche mais lui lubrifiait pour deux et après quelques coups frappés à la porte il m’a pénétrée doucement. J’aime ça, même si je n’ai pas envie, j’aime prendre sa bite dans le vagin. J’ai mouillé, un peu, alors il s’est mis à me pistonner de plus en plus fort. Ça n’a pas duré, je l’ai senti se contracter et son flot de sperme m’a rempli la chatte. On ne peut pas dire que ce soit le top des rapports sexuels mais j’aime trop être pénétrée que ce soit par la bite de mon mec ou par un gode et en vieillissant, ce que j’aime de plus en plus, ce sont les grands coups, quand son bassin vient frapper avec force sur mon mont de vénus ou sur mes fesses. Quand je suis carrément soulevée par la puissance du coup de rein ou que ma tête vient taper contre la tête de lit.

Quand je n’ai pas d’orgasme, mon homme s’en rend bien compte et il m’enlace tendrement ; ce que je n’ai pas eu en plaisir, je le récupère en tendresse. On dit que l’appétit vient en mangeant. Du coup cette petite séance m’a laissé sur mon début de faim. Je n’ai rien dit, je me connais bien, je vais attendre une journée ou deux pour laisser monter la pression et puis aussi pour laisser à pépère le temps de récupérer. Quoiqu’il en dise il lui faut bien deux ou trois jours avant d’avoir de nouveau une érection satisfaisante… De fait, Il est resté tranquille pendant trois jours. Il y a des signes qui ne trompent pas quand le gars est chaud de nouveau. Il ne manque pas de me peloter les fesses ou de passer négligemment sur mon entrejambe, par devant ou par derrière. Comme je suis moi aussi redevenue très réceptive, j’ai décidé de prendre les devants.

Au retour de la plage, après la douche, j’ai enfilé mon deshabillé rouge qui comme son nom l’indique ne cache pas grand chose… « Mets moi un film mon amour ! » Aussitôt dit aussitôt fait : Le film qu’il a choisi montre une fille attachée bras et jambes aux quatre coins d’un lit. Un homme la « branle », y’a pas d’autres mots avec un wand. Au début, elle se tortille dans tous les sens. Puis sa respiration de vient haletante et ne bouge plus. Elle écarte les cuisses autant que le lui permettent les liens qui lui entravent les chevilles. Elle jouit après cinq minutes de ce traitement en émettant un jet jusque sur le pied du lit. Je suis tentée pour subir une telle torture. Le hic c’est que le lit ne comporte pas de montants pour servir de points d’attache. « Ça ne fait rien, tu feras semblant. » - « Bon d’accord. »

Me voilà allongée sur le lit, bras et jambes écartées. Mon voyeur savoure le spectacle que je lui offre depuis la porte de la chambre. Il s’approche enfin avec mon wand à la main. Il le tient comme un poignard, comme quelqu’un qui s’apprête à commettre un mauvais coup. Ses talents de comédien étant très faibles, on n’y croit pas une seconde. Il passe sa main sur ma cuisse et remonte mon deshabillé découvrant mon minou que j’ai rasé de prés pour la circonstance. J’ai un sexe de fillette impubère. Je ne sais pas quels bas instincts pédophiles cela éveille chez mon pervers de mari. Toujours est il qu’il n’est pas le seul si j’en juge par les injonctions sociétales que nous subissons. Les bras les jambes, les aisselles, les sourcils et les minous sont l’objet d’une chasse aux poils permanente. De nombreuses femmes s’y plient, dont moi, de mauvaise grâce en ce qui me concerne. Mais je dois avouer que rien ne surpasse les sensations d’un cunnilingus sur une foufoune complètement glabre. Cela aide à supporter les quelques désagréments qui succèdent. L’homme me caresse doucement la vulve J’aimerais bien lui rendre la pareille mais il s’est mis entre mes jambes, hors de portée. Il a posé mon jouet au bon endroit mais il ne l’a pas mis en route. C’est le jeu, il veut me sentir à sa merci. Il veut que je sois son esclave sexuelle, que je le supplie. Et plus les mots sont vulgaires et dégradants, mieux c’est. « Vas y fais moi vibrer » - « mieux que ça » - « branle moi la chatte, fais moi jouir »… Il l’a mis en marche. Pardon de rentrer dans des détails techniques mais les avantages du wand sont multiples. D’abord la force des vibrations. Ce n’est pas des ailes de mouche, ça vous secoue l’intimité au plus profond. Ensuite, la tête est grosse comme mon poing et donc ça ne fait pas vibrer que le petit bouton là haut mais tout le clitoris derrière les lèvres. Enfin on le tient bien en main, ça permet d’appuyer fort quand le moment est venu. Tout un programme que mon mec connaît par cœur et qu’il applique à la lettre. Pour commencer il le promène de haut en bas puis de bas en haut doucement. En fait il est attentif à mes réactions. Tant que je le regarde la tête relevée, il continue doucement en me parlant. Je préfère ne pas transcrire ici tout ce qu’il me dit.

J’ai posé ma tête en arrière. Il appuie plus fort maintenant. Un doigt vient fureter à la limite de ma cuisse et sur ma lèvre, il s’aventure plus bas. Un peu de liquide a coulé, le doigt le ramasse et se promène jusqu’à mon petit trou puis remonte caresser le bas des lèvres laissé libre par le jouet. – « je vais jouir ! » - « oui vas y ma petite salope, jouis, t’aimes ça hein ? » - « Oui, oui, oui AHHH » j’ai joui. J’ai dû éjaculer un peu car le jouet était humide quand il l’a retiré pour s’approcher de moi à genou en se masturbant. Il n’a pas tardé à éjaculer sur ma chatte. Il s’est écroulé à côté de moi en continuant à étaler son sperme sur mon ventre et mes cuisses. Á la fin on était tout colleux de sueur et de foutre.

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