Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Histoires de Q
1 août 2020

Invité à une orgie

 

L’invitation est arrivée par la poste. Une invitation à une «  fête privée ».Peu de détails, juste que c’était « entre amis » et même cette précision « pas de tenue vestimentaire spéciale ».Une adresse qui ne me disait rien. J’ai téléphoné à plusieurs copains ou amis moins proches pour essayer d’avoir des détails et surtout de savoir qui organisait la fête, mais je n’ai rien peu tirer d’eux, soit qu’ils n’étaient pas au courant soit qu’ils ont bien caché leur jeu… Bon, enfin, une fête c’est une fête. J’y suis allé. Une grande maison, une belle demeure dans un parc, en fait. J’ai laissé ma voiture près des autres : il y avait trente ou quarante voitures. J’ai jeté un coup d’œil sur les plaques : quelques-unes venaient des deux ou trois départements voisins mais d’autres venaient de bien plus loin, de presque toute la France. Il y avait même quelques Allemands et des Anglais. Surprenant !

 

Après avoir sonné à la porte, une sorte de maître d’hôtel ou majordome m’a ouvert, m’a emmené vers le fond du hall, a ouvert une porte en me disant « Par ici, Monsieur.»

 

J’entre et la porte se referme derrière moi.

 

La pièce où je suis est assez petite, meublée seulement d’une table et d’une chaise. Sur la table une enveloppe, marquée de ces mots «  A lire immédiatement, SVP » Je m’assois et je lis :

 

«Bienvenue. Vous êtes invité à une orgie, une soirée de sexe où vous pourrez exprimer toute votre fougue et vos envies, sans contrainte autre que le consentement de votre (vos) partenaire(s) du moment. 
Pour participer, merci de bien vouloir vous mettre nu (nous prendrons soin de vos vêtements) et rejoignez-nous en passant par la porte derrière la table.. Nous ne doutons pas que vous allez vivre des moments exceptionnels.

 

L’anonymat doit rester total : ne demandez ni nom, ni adresse ou numéro de téléphone. Si vous ne souhaitez pas vous joindre à nous, vous pouvez quitter cette maison par la porte par laquelle vous êtes entré. Une autre fois peut-être ? »

 

 Là,c’est la surprise, l’étonnement ! Une orgie ! Et cette idée que ça doit être totalement anonyme. Étrange. Bizarre. Quand on baise, on se rapproche, on partage quelque chose ensemble, on a certains liens d’intimité – juste de contraire de l’anonymat… Mais une orgie… ! Des flashs d’images me traversent la tête. Du sexe à plusieurs ;des queues gonflées ; des coulées de sperme ; deux ou trois femmes occupées à me donner du plaisir – ah, le fantasme du harem ; des images de beaux corps chauds entremêlés ; une orgie de sexe sauvage…

 

Quelque part derrière cette porte, qu’il suffit de franchir…

 

Je sens une chaleur envahir mon bas-ventre, tandis que mon sexe se réveille quelque peu.

 

Je ferme les yeux en imaginant...

 

Vite, j’ai trop attendu, je ne peux plus attendre,il faut que je passe cette porte !

 

Je me déshabille rapidement, je respire un grand coup et j’ouvre la porte. Il y a long couloir derrière; j’avance, la porte se referme derrière moi. De la musique vient du fond du couloir, fermé par une épaisse tenture.

 

Je soulève ce lourd rideau. La pièce derrière lui est plongée dans une demi obscurité et il va me falloir quelques secondes pour que mes yeux s’habituent à la pénombre. Je suis frappé par les bruits, des gémissements, des petits cris, des bruits de plaisir. L’air est rempli d’odeurs, un mélange de parfums et d’after-shave et d’eau de cologne, dominé par les odeurs plus lourdes et plus musquées : ça sent le sexe...

 

Je parviens maintenant à voir qu’il y a là une grande pièce, très grande même. Je reste debout sur le seuil de la pièce et je contemple le spectacle qui s’offre à moi. Un véritable baisodrome. Ça nique dans tout les sens, les filles se lèchent ou lèchent des queues , elles se font enfiler par tous les trous, elles se délectent de sperme.

 

Je suis à peine là depuis dix secondes qu’une femme s’arrête devant moi.

 

« Tu viens d’arriver, mon lapin ? » et sans me donner le temps de lui répondre, elle ajoute : «Tu es seul , mais je vais m’occuper de toi, si tu veux. » 

 

Nus tous deux, nous nous regardons: elle n’est pas mal faite, une poitrine plutôt importante qui heureusement ne tombe pas du tout ( je n’aime pas les grosses boites à lait!). Son bas ventre ornée d'une toison bien entretenue me donne envie de la sauter.

 

 Elle me demande de venir avec elle dans un petit coin tranquille, si l'on peut qualifier de tranquille un endroit dans un coin à la vue de tous.

 

Nous nous étalons sur l’un des matelas les plus proches. Elle se jette alors à mon cou et me donne ses lèvres gourmandes ; nos bouches se sucent avidement, elle gémit se frotte contre moi, ne demandant qu’à se faire caresser, baiser et jouir.

 

Rapidement, elle se penche pour me sucer et dégage le gland emprisonné. La sensation de sa langue qui tourbillonne autour de ma queue et la vue de ses seins qui se balancent pendant qu’elle me suce font raidir et gonfler encore ma pine dans sa bouche, un beau morceau assez impressionnant quand je bande comme à cet instant. Elle gémit joyeusement en réponse.

 

C’est alors que je sens d’autres mains me toucher puis une langue qui descend sucer et mordiller mes tétons tout en caressant mes abdos et mon torse avant de me lécher et me sucer les couilles.

 

Deux filles qui s’occupent de moi ! Je sens le plaisir monter par vagues et je me tords de volupté.

 

 L’une des filles suce moins bien mais elle a une bouche plus douce et ses lèvres pulpeuses me font gémir. Je lui appuie sur la tête pour la forcer à me sucer toute la bite et n’hésite pas à aller au fond.

 

Près de moi, les cris d’une femme qui se fait enfiler par deux hommes ne cessent pas, ce qui m’excite encore. J’aime l’entendre gémir pendant qu’on me donne du plaisir. Une ombre passe devant moi. Je tends la main et je sens la peau dure et poilue d'un homme qui, je crois, vient s’occuper des mêmes femmes que moi. D’ailleurs, l’une d’elles abandonne ma queue et s’écarte pour aller avec l’homme. L’autre, une petite un peu boulotte, me suce le comme une affamée, s’occupe de mes boules en le suçant à fond et en les caressant. Elle alterne les cadences, et me branle par moments puis revient sur le gland qu’elle suce et qu’elle excite en donnant de légers coups de langue ; et quand vient la jouissance je ne peux m’empêcher de gicler sur son visage que je couvre de trois ou quatre longues traînées blanchâtres qui coulent doucement sur ses joues et son menton.

 

Elle se nettoie un peu avant de m’embrasser et de partir se faire sauter ailleurs.

 

 

Je repère une petit groupe de trois filles en train de boire une verre. Je m’approche d’elles et deux minutes plus tard je finis par me retrouver à genoux entre les cuisses douces et lisses  d’une jolie blonde; sa chatte est parfumée, chaude, humide, ouverte à mon toucher. Je me penche en avant, et ma langue suit les contours de ses lèvres. Je trouve son clitoris, enterré parmi les plis, plus chaud que le reste d'elle, et je l’attaque du bout de la langue. J’entends la femme haleter pendant que je la doigte avec plaisir. J’ai commencé à débander après ma première éjac mais la la blondasse est une vraie chaudasse,

 

Son minou me donne envie et je ressens le besoin urgent d’y insérer ma pine gonflée et durcie à nouveau par le désir.

 

 Je suis si excité que je prends les choses en main sans m’occuper de savoir ce qu’elle en pense et je la fais mettre à quatre patte pour la prendre en levrette. Elle doit certainement ressentir mon excitation à travers les grands coups de bourre que je lui prodigue aussitôt. Car elle répond bien à chaque coup de piston. Elle gémit à chaque poussée. En m^me temps je passe un main sous elle pour lui astiquer le clito et elle se met à couiner encore plus fort.Alors que je la bourre de toute mes forces, un homme s’approche de nous ; il a la bite un peu molle, soit que personne ne s’est encore occupé de lui, soit qu’il vient de jouir et n’a encore rebandé. Il se plante devant la tête de la nana que je suis en train de niquer et agite sa bite comme pour lui faire comprendre son désir. Immédiatement cette chienne ouvre la bouche pour engouffrer cette nouvelle queue qui lui est offerte pendant que je continue à la pistonner pour prendre mon plaisir Je sens rapidement venir la jouissance ; je sors ma queue et j’éjacule sur ses fessesn rondes. Je gicle si abondamment que mon foutre recoule dans sa raie du cul. Ensuite, je m’écarte pour laisser la place au sucé qui la réclame lui aussi pour la sauter à don tour.

 


À ce moment, je sens une main sur mon cul ; une main qui explore mes fesses, en glissant habilement dans ma fissure, en passant par mon anus, jusqu'à ma queue et mes couilles. La main caresse mes roubignoles, et saisit fermement mon zob. Cette main anonyme sur ma bite a commencé à pomper, à caresser
avec une prise solide et ferme.

 

 Soudain, la main m’abandonne et une seconde plus tard le type se dresse devant moi. Malgré la pénombre de la pièce, j’ai les yeux rivé sur lui , sa grande taille d’allure sportive, son visage viril, ses yeux de jais et je lui trouve une sorte d’attirance magnétique immédiate. Et en bas de son ventre, un spectacle magnifique  : sa queue se dresse à la verticale au-dessus de poils frisés noirs, semblant presque trop grosse pour me convenir, mais j’ai tellement envie d’essayer. Ses doigts courent à travers mes cheveux, Immédiatement, ma tête est tirée vers ma gauche et son énorme érection se pose sur ma joue. Il passe une main derrière ma tête et me dit doucement mais fermement :
" Suce-moi. "
Je m’approche de sa queue, je n’ose pas ouvrir la bouche, son gland touche mes lèvres et je l’entends me dire:
« Allez, n’aie pas peur, suce-moi "
J’entre ouvre légèrement la bouche il m’appuie sur la nuque et insère lentement sa queue dans ma bouche.
Ça fait si longtemps, des années et des années, que je n’ai pas goûté à la bite d'homme mais je retrouve instantanément tout le plaisir de cette chair élastique, chaude et douce... Je me mets à le sucer doucement.

 

Je fais rouler ma langue sur l’extrémité de sa queue, je titille la petite fente, je prends touts le gland chaud dans la bouche, tantôt j'aspire le gland, tantôt je le lèche, tantôt je le prends le plus loin possible dans ma bouche et je le suce en pressant de plus en plus fort.

 

Peut-être parce qu’il craint de jouir trop vite, au bout d’un moment il me lâche la tête et me dit:
"Lèche-moi un peu les couilles "
Je soulève donc sa queue et je me mets à passer ma langue sur ses boules très volumineuses tout en le branlant d’une main. Après quoi il me dit :
"Maintenant, j'ai envie que tu me fasses jouir "
Je commence à le branler très fort pour le faire gicler mais il m'arrête tout de suite et me dit :
" Pas comme ça, je veux jouir dans ta bouche "
Et il me tend sa queue. J'avoue qu’à l’origine je n’avais pas prévu ça mais l’excitation aidant, je me dis que je n’aurai peut être pas d’autre occasion alors pourquoi pas.Je reprends donc sa queue dans ma bouche et me remets à le sucer avec ardeur. Très vite il se met à gémir de plus en plus fort. Je sens tout à coup ses deux mains agripper ma tête. Il appuie fort, je résiste un peu, son gland gonfle très fort et là, il se met a gicler en de longs jets de sperme qui n’en finissent plus de m’inonder la bouche. Il continue de me maintenir la tête jusqu'à ce qu’il se soit vidé entièrement dans ma bouche. Je finis de nettoyer sa queue avec ma langue puis il me remercie et il repart comme si de rien n'était.

Plus tard dans la soirée, après m’être vidé les couilles encore une fois, il me faut quelques moments pour récupérer et pour recharger mon pistolet. J’en profite pour me balader au milieu des groupes emmêlés, des corps en sueur, agglutinés par deux ou plus, des hommes emmanchés l’un dans l’autre jusqu’aux couilles, des femmes qui s'offrent aux mecs affamés, que ces baiseurs remplissent, bouche, chatte et cul .. Il y a même une salope qui se retrouve avec le goulot d'une bouteille dans la chatte

 

 

 

Dans un coin, je tombe sur un spectacle extrêmement jouissif. Une fille seule avec cinq mecs , cinq queues rien que pour elle. Elle se fait double pénétrer tandis qu’elle branle deux mecs et en suce une autre. A cette vue je suis excité comme un fou et ma bite indique le plafond

 

Quelqu'un à ma droite jouit, bruyamment. Il y a un ricanement à gauche en réponse. Soudain je sens un contact dans mon dos. Je tourne la tête :le corps nu d’un femme, son pubis rasé, ses seins parfaits, doux, aux aréoles brunes, les tétons dressés. Elle se serre contre moi, collée sur mes fesses et cela me donne chaud : je la serre contre moi, mes mains juste en bas de ses reins et son ventre commence doucement a se frotter contre moi. Je la prends, la soulève ; je m’allonge sur le dos et elle vient s’empaler d’un coup sur mon pieux, alors qu’elle me tourne le dos. Et d’un coup je suis à fond dans sa chatte trempée serrée autour de ma bite. Et je commence à aller et venir en elle doucement mais profondément. Rapidement, elle couine de plus en plus fort et elle halète. Ça dure encore un peu puis elle crie de plaisir juste en même temps que moi : on se serre fort et je crache tout mon jus au fond de sa chatte. Probablement satisfaite, la femme veut se lever mais je le retiens., la laissant juste retirer ma bite de son con. Mon sperme collant et son jus de chatte sont accrochés au bout de ma queue . D’un doigt je rassemble le jus collant puis je ramasse encore plus de jus sur les lèvres de la chatte. Il y en a beaucoup ! Tout en la regardant dans les yeux, je pousse mon doigt dans sa bouche avec son jus, sa mouille et ma foutre. Elle engloutit le jus collant et je l’embrasse : nos langues dansent ensemble, pleines de jus de sexe avant que nous l’avalions tous les deux.

 

 Pendant que je finissais de batifoler avec la nana, j’avais aussi remarqué que l’ambiance semblait de calmer dans la pièce : Les bruits de l’excitation sexuelle s’atténuaient, devenaient de faibles geignements, gloussements et gémissements, et même un peu plus loin à ma droite, un ronflement ! J’étais fatigué moi aussi, et je me suis traîné jusqu’à l’entrée du baisodrome, j’ai soulevé le lourd rideau qui le fermait et je suis revenu dans le long couloir où se trouvait la petite pièce où je m’étais retrouvé, lors de mon arrivée.

 

 Mes vêtements étaient là, bien pliés sur la table. Je les ai mis et j'ai essayé d'ouvrir la porte d’entrée.Elle était verrouillée. J'ai frappé deux fois à la porte, et il y a eu un bruit de un loquet qu’on tourne, et la porte s'est ouverte. Le majordome m’a fait un signe de tête : "Monsieur, par ici, s'il vous plaît." Il m'a conduit à la sortie.
"Ne posez pas de questions", murmura-t-il. "N'essayez pas de contacter
d'autres personnes, sinon aucune autre invitation ne vous sera faite.",
En secouant la tête pour lui dire que j’ai compris, je me suis dirigé vers ma voiture. J'ai remarqué que beaucoup de voitures ét
aient déjà parties, mais qu'il en restait quelques-unes.
Pendant un moment, j'ai pensé à m’attarder quelques instants pour essayer de savoir qui avait participé. Mais cette menace de ne pas être ré-invité m’a arrêté :
"Oui", pensai-je, "J’ai vraiment envie de revenir un jour."
Je suis monté dans ma voiture et je suis parti.

 

 


Publicité
Publicité
Commentaires
Histoires de Q
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 1 014 550
JE VOUS LE RECOMMANDE

Je viens de trouver un blog photo que j'ai bien aimé. 100% amateur et joliment 'cochon' : Minet bi

 Le blog se présente ainsi: "Blog adulte de photos et vidéos de garçons et jeunes hommes bisexuels. Bienvenue aux Gay et Hétéros. Du cul, de la bite,de la baise entre mecs chauds ou avec de bonnes cochonnes."

Ouch ! ça promet d'être chaud  et de compléter joyeusement les Histoires de Q !

 http://minetbi.canalblog.com/
Publicité