Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Histoires de Q
17 juillet 2020

Discussion entre filles -4 : Ejaculation

 Jocelyne continue à égrener ses "souvenirs"  - qui sont souvent aussi ses conseils pqu'elle donne ( comme elle me l'écrit)  aux  " pauvres hommes ignorants ou (ou aux) femmes "mal baisées" (par des hommes)". .

Je dois vous conter ce qui m’est arrivé hier après midi. Avec mon mari, on a décidé de ranger le garage… Vaste programme ! On a tout sorti, le jardin ressemblait à un vide grenier ; Et la poussière !!! Une fois constitué le tas « déchetterie » et rangé le reste, le garage était presque vide, mais nous, on était vidés et crasseux. Donc direction la douche, juste tiède avec la chaleur, quel plaisir. Nous voilà nus tous les deux avec une peau lisse et fraiche ; circonstance apte à éveiller chez mon mâle libidineux des pensées dont vous devinez la teneur. (Chez moi aussi, soyons franche).

Nous voilà debout l’un contre l’autre. Nos langues se cherchent et se trouvent. Je sens que ça bouge sur mon ventre. Le gars démarre au quart de tour, comme d’habitude. Il me fait des bisous dans le cou, me mordille l’oreille, il me murmure : « je vais te sucer la chatte »…

Voilà une proposition qu’il n’est pas besoin de me faire plusieurs fois. Vite, je me retrouve les fesses au bord du lit les jambes largement écartées et avec la tête de mon mec au bon endroit. Pour être plus précise, avant de poser ses lèvres sur mes lèvres, il m’a fait des petits bisous partout. Sur les seins, le ventre, l’intérieur des cuisses… Il sait y faire le coquin. Il ne fait pas des trucs extraordinaires. Sa langue écarte mes grandes lèvres pour parcourir l’ouverture de bas en haut et de haut en bas, s’attarde un peu en haut sur mon bouton, descend pour s’introduire à l’entrée de mon vagin. Tout cela est de nature à m’émouvoir d’autant plus que, sentant que je bande, il s’est mis à aspirer mon bouton tout en introduisant le bout de l’index à l’entrée. Il me masse le clito de l’intérieur. Mes mains s’agrippent à ses cheveux, je gémis de plaisir. Il s’arrête et me demande : « t’as mal ? »… « Non, non continue ! ».

C’est un jeu entre nous. Quand il sent que mon plaisir devient intense, il s’arrête et fait semblant de prendre mes gémissements pour des gémissements de douleur. Cela ne fait qu’exacerber mon désir et le plaisir, quand il reprend son activité s’accroit encore plus. Quand il joue à ce petit jeu plusieurs fois de suite ; je deviens folle de désir ; c’est ce qu’il a fait hier. Quand je l’ai supplié de venir me pénétrer, il a enfin obéi à mes suppliques. Sa bite était dégoulinante de prémices et j’étais trempée de mouille. C’est rentré sans difficulté dans la bonne vieille position du missionnaire. Je m’attendais, et j’avais envie qu’il me pilonne avec force et puissance. Mais non. Il a fait coulisser son membre en douceur, lentement, appuyant bien quand il arrivait au fond. Finalement, oui j’ai eu envie aussi de prolonger cette délectable union de la bite et du vagin, ce sublime assemblage, j’ai envie de le savourer le plus longtemps possible. Il m’a ensuite placé les jambes sur ses épaules. Comme ça, je sens encore mieux son membre vivre en moi. Il alterne les mouvements doux et suaves avec les coups de reins violents qui envoient ma tête cogner contre la tête de lit. Il arrête ce manège, sans doute parce qu’il sent qu’il va jouir s’il continue. Il se retire et met mon vibromasseur en place c’est le gros, le wand avec sa grosse tête qui me secoue tout le sexe. Il est énorme ce truc, mon mec peut difficilement me pénétrer sauf en levrette. Alors je me retourne à quatre pattes mais ce n’est pas sa bite qui vient se poser sur ma fleur mais son doigt. Il reprend son massage de l’intérieur. Avec le vibro à l’extérieur, ça monte, ça monte… Je jouis, je jouiiis ! Et là j’inonde tout, ça part brusquement, deux, trois jets puissants. Sa main est trempée, il l’enlève pour me prendre les hanches et enfin sa bite vient s’enfoncer. C’est la grosse frénésie ? Chaque coup est plus fort que le précédent. Je croyais qu’il allait jouir à son tour très vite mais non. Il continue à me pistonner. Il faut dire que la porte est grande ouverte et ça baigne la dedans. Enfin un coup de rein plus fort encore me soulève carrément et le liquide chaud tant désiré me rempli la chatte.

Il y avait longtemps que je n’avais pas éjaculé une telle quantité, aussi je pense qu’il est utile de mettre les points sur les I au sujet de ce phénomène Ô combien fantasmé par les hommes… Et les femmes.

Tout d’abord, je n’aime pas trop employer les mots tels que vulve, vagin, pénis, phallus… Etc. Ils ont une connotation scientifique ou médicale qui peut donner à mon discours un aspect trop didactique voire pédant. Aussi je préfère parler de chatte, de bite, de foufoune ou de queue. Il faut cependant employer des mots scientifiques quand il n’y a pas d’équivalent en langue vulgaire. C’est le cas de la glande de Skene qui est un organe diffus situé au voisinage du méat urinaire et qui n’existe que chez la femme. En fait chez l’embryon, le sexe est, au départ, indifférencié. Les gènes font que chaque partie du sexe se développe de façon différente. Chez les garçons, la bite se développe pendant que chez nous le clitoris vient entourer l’entrée du vagin. Ces glandes de Skene sont un vestige de la prostate comme les aréoles sont un vestige de nos seins pour les garçons. Cette prostate féminine comme la prostate, joue son rôle lors de l’orgasme et elle émet ou pas un liquide proche de la liqueur séminale de l’homme.

Voilà le côté anatomique de la chose. Maintenant, dans l’acte d’amour, la femme recherche, inconsciemment ou pas, le plaisir de son homme comme l’homme recherche, inconsciemment ou pas, celui de sa partenaire. La meilleure preuve que l’on a obtenu cet orgasme de l’être aimé c’est l’éjaculation. Alors pour la femme, c’est facile, ça marche à tous les coups… Ou presque. On a la satisfaction intellectuelle de voir la bite de notre homme émettre ce jet de liquide visqueux quand on lui fait une petite branlette ou de le sentir nous remplir la chatte. Sans parler de quand il se répand sur notre ventre, nos seins ou nos fesses suivant l’humeur du moment. Ceux qui m’ont lu avec attention savent que je n’apprécie pas vraiment quand c’est dans ma bouche ou sur mes lunettes. Passons.

Pour les hommes, il en va tout autrement. D’abord, il faut bien dire que ces messieurs, souvent par méconnaissance, croient que le va-et-vient de leurs bites suffit à notre contentement, ça arrive, mais ce n’est pas la majorité du genre. Et puis moi, et je ne suis pas la seule, j’ai tendance à exprimer vocalement mon plaisir de façon assez bruyante même si je n’ai pas d’orgasme ; ce qui je le répète n’est pas obligatoire.

Il y a peut-être des exceptions, mais l’éjaculation est concomitante à l’orgasme. Donc, pas d’orgasme, pas d’éjaculation. Et moi, j’ai eu des dizaines, des centaines, des milliers d’orgasmes sans éjaculer quoi que ce soit. C’est pas simple.

Mon homme, grand amateur de porno, m’a montré une vidéo où une fille explique comment faire éjaculer une femme. Et elle se masturbe assez banalement devant la caméra. Elle jouit est elle envoie un liquide qu’on ne peut évidemment pas identifier. Je ne sais pas si c’est réel ou simulé mais s’il suffisait de se masturber pour éjaculer, moi, j’en aurais émis quelques hectolitres depuis que je pratique l’auto-érotisme. Non ! Il n’y a pas de recette pour faire éjaculer une femme Ce qui est vrai pour l’une ne l’est pas pour une autre ; ce qui est vrai avec un mec ne l’est pas avec un autre et ce qui est vrai une fois, ne l’est pas forcément quinze jour plus tard. Tout ce que je peux affirmer c’est que, chez moi, certaines circonstances ou pratiques favorisent l’émergence du phénomène.

Il faut vraiment que je sois très excitée. Ce n’est jamais arrivé au cours d’un petit coup vite fait. On fait comment ? Pour que je sois très excitée ? Me direz vous. Si vous lisez attentivement le récit qui débute ce texte, vous verrez que mon homme m’a sucé longuement, (un bon quart d’heure). Après il a continué à faire monter la tension en y allant très doucement, en se retirant et revenant pendant encore un quart d’heure et puis, il m’a finie « au doigt ». J’adore ça car je n’ai pas à me soucier de son plaisir. Bref, il a pris son temps. Mais je peux être très excitée quand on danse des slows au cours de soirées dansantes. Une heure de frotti-frotta c’est pas mal aussi surtout si c’est très romantique.

Un autre aspect réside dans les circonstances. La plus grosse éjaculation que j’ai jamais eue, c’est quand il m’a mis un gode pour la première fois. Une fois aussi c’était quand il m’a entrainé dans un hôtel Formule 1 comme si on était un couple illégitime. C’était follement excitant. Il y a un autre aspect, C’est la quantité. Je me rends compte que, en fait, à chaque orgasme j’ai une éjaculation et ce sans doute depuis mes premières expériences d’auto-érotisme mais la quantité émise est tellement faible que je n’ai jamais rien remarqué parmi le flot de mes propres secrétions seules ou mélangées avec celles de mon partenaire. Ajoutez à cela que je n’ai eu conscience du phénomène que relativement récemment. Tout cela fait que ce n’est pas simple du tout.

La dernière clé réside dans le lâcher prise, l’abandon total. Ne penser à rien est surtout pas à rechercher le plaisir. Je vais citer Coluche (ce n’était pas au sujet du plaisir mais c’est tellement vrai) : «C’est comme le sucre dans le lait chaud, … , plus on le cherche moins on le trouve »

Reste le problème de l’orgasme. Beaucoup de femmes ne savent même pas ce que c’est, n’ont jamais ressenti cet extase. Le centre du plaisir, c’est le clito ou le bouton. Je dis au filles : « n’hésitez pas à vous masturber pendant que votre homme vous pénètre ». Et je dis aux hommes qui auraient des réticences vis à vis de cela : « acceptez ça, vous n’en serez que plus satisfaits. » Mon homme me dit que son plus grand bonheur c’est de me voir me tordre de plaisir quand je jouis.

Publicité
Publicité
Commentaires
Histoires de Q
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 1 014 562
JE VOUS LE RECOMMANDE

Je viens de trouver un blog photo que j'ai bien aimé. 100% amateur et joliment 'cochon' : Minet bi

 Le blog se présente ainsi: "Blog adulte de photos et vidéos de garçons et jeunes hommes bisexuels. Bienvenue aux Gay et Hétéros. Du cul, de la bite,de la baise entre mecs chauds ou avec de bonnes cochonnes."

Ouch ! ça promet d'être chaud  et de compléter joyeusement les Histoires de Q !

 http://minetbi.canalblog.com/
Publicité