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Histoires de Q
6 avril 2020

Confinement ( suite)

Jocelyne continue à  raconter sa vie sexuelle même si elle est un peu "clairsemée" en ce moment.
Mais,dit-elle " c'est vrai que mon côté exhibitionniste souffre lui aussi de confinement."  Toutefois, le confinement n'empêche oas, bien au contraire, de gros calins. Jocelyne le prouve dans cette page.

Ça y est, on arrive à trois semaines de confinement. On n’a pas à se plaindre, on sort comme on veut dans le jardin qui , soit dit entre nous, n’a jamais été aussi beau depuis des années. Les enfants nous ont interdit formellement de sortir même pour aller chercher du pain ; C’est notre fils qui nous ravitaille.

Et côté sexe ? C’est calme plat. Mon homme a eu une période de toux… Pas très intense. Son médecin lui dit que c’est peut-être le COVID. Moi rien ! Mis à part le fait que je suis tombée dans le jardin et j’ai un genou qui ressemble à une pastèque. Tout cela n’encourage pas à la bagatelle et la mention « santé reproductive » de l’I’phone reste vide… Ou presque, l’homme a recommencé à me peloter un peu partout dans la maison et même dans le jardin au vu de tout le monde. Le mec était chaud bouillant, et le petit jeu du frotti-frotta a fini par provoquer une chaleur dans le bas ventre que je connais bien.

Après la douche, je suis allée m’allonger sur le lit complètement à poil et j’ai commencé à me caresser doucement la vulve. Comme d’habitude, monsieur s’est fait attendre et quand il est entré théâtralement dans la chambre je mouillais déjà avec abondance. Il s’est approché au bord du lit. Sa robe de chambre entrebâillée laissait dépasser une bite déjà bien raide. Je l’ai aussitôt prise en main. Je précise tout de suite que je ne la secoue pas comme un shaker ; On voit les filles faire ça dans les pornos. Moi non, je la caresse délicatement du bout des doigts et il aime ça le bougre. Mes doigts pour l’heure étaient bien occupés, à droite par la tige de plus en plus dure de mon homme et à gauche par mon sexe de plus en plus chaud lui aussi.

Je me rendais bien compte que tout cela n’allait pas durer très longtemps, j’avais envie d’être pénétrée. La sensation de mon doigt glissant entre mes lèvres maintenant bien glissantes m’incitait à en vouloir plus. J’avais envie de son gland brûlant. J’avais envie qu’il le promène à l’entrée comme un pinceau.

Petit problème : Avec mon genou lui aussi brûlant, mais pas pour les mêmes raisons, pas question de me mettre à genou pour le prendre en levrette comme je le préfère par dessus tout. Alors tant-pis j’ai ouvert mes cuisses au maximum et je l’ai attiré sur moi, à la papa. Pas question de prendre un vibromasseur ou quoi que ce soit. C’était trop urgent. Il s’est agenouillé entre mes jambes et a commencé ses travaux de peinture. Ce moment est vraiment délicieux. Y’avait de la mouille partout. Je lui ai caressé le torse, les bras, les fesses, le cou, partout, partout. Enfin il m’a pénétrée. La hampe a glissé doucement jusqu’au fond. Puis il est ressorti. On sait tous les deux que bientôt ce sera la grosse frénésie mais on retarde le plus possible le moment pour mieux le savourer.

Je n’aime pas trop cette position car il est en appui sur ses deux mains et il ne peut pas me toucher. Moi, par contre, je ne m’en suis pas privée. En me contorsionnant un peu je lui ai caressé les couilles par en dessous. Ça l’a excité encore plus. Il s’est penché pour poser sa bouche sur la mienne. C’est moi qui ai mis ma langue entre ses lèvres pour l’inciter à en faire autant plus bas. Je n’avais pas beaucoup de liberté de mouvement mais je donnais des coups de bassin vers l’avant pour qu’enfin il rentre pour de bon… Message reçu cinq sur cinq.

« Tu veux des coups de bite ? Tu vas en avoir. »

« Oui, oui, oui défonce moi, bourre moi la chatte »

Il a commencé à me donner des coups de rein puissants. Nos pubis s’entrechoquaient violemment à chaque coup. Mon bouton a joué tout son rôle et plus vite que je ne m’y attendais. J’ai rarement un orgasme dans cette position mais là c’est parti tout de suite, après même pas une dizaine de coups. Ça l’a motivé encore plus, il a redoublé de vitesse et de violence (disons le mot) amplifiant mon plaisir. Je me tordais sous ses coups de boutoir et j’ai enfin senti son sexe se contracter par saccades. J’étais tellement chaude que je n’ai pas senti son sperme me remplir. Ce n’est que quand il a coulé sur mon petit trou du cul que je me suis rendu compte de l’abondance de la chose.

Il s’est écroulé à côté de moi les bras en croix. Je me suis blottie contre lui et je crois bien que l’on s’est endormi comme ça pendant un moment.

En mode grasse matinée post coïtale, j’ai relu « Astérix et la transitalique ». Vous savez comment s’appelait le héros de César ? … CORONAVIRUS ! Et le type portait un masque en plus.

Ceci dit, j’espère qu’on a eu le virus et que l’on va pouvoir se déconfiner rapidement.

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