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Histoires de Q
7 janvier 2020

Baisée et violée ce soir.

 

Non, ça n’aurait pas dû se passer ainsi et Justine en était consciente.

Quelques jours plus tôt, elle en aurait presque pleuré de joie quand le frère aîné d’une copine de son collège l’avait invitée à venir à cette fête de fin d’année des étudiants. Ainsi donc, s’était-elle dit, ils avaient bien vu qu’elle n’était plus une gamine comme elle entendait parfois dire à son propos. Elle avait beau être encore une collégienne, elle se sentait plus âgée, plus mûre, capable de se mêler à un autre monde.
Alors elle avait raconté à ses parents qu’elle allait passer la nuit chez une copine, mais en fait elle était allée attendre Johan au coin de la rue, le garçon qui devait l’emmener à la fête. En rejoignant celui qu’elle voyait comme son ‘boyfriend’, et en montant dans sa voiture, elle se sentait forte, prête à affronter le monde entier et à profiter des plaisirs qu’il offre mais qu’il refuse aux enfants...

Mais maintenant, quelques heures plus tard, elle sentait bien qu’elle s’était trompée. Et pourtant, tout avait si bien commencé ! A peine arrivée, devant la porte de la salle où se tenait la fête une bande de garçons l’avaient entourée, lui avait fait la bise, lui avait dit qu’elle était belle et qu’elle leur plaisait… Puis, elle s’était bien amusée ensuite, même si son « boyfriend’ semblait l’avoir abandonnée. Elle ne l’avait pas vu depuis au moins une demi-heure. Elle avait dansé avec d’autres, avait bu du rhum-coca, tiré deux ou trois bouffées d’herbe. L’un des garçons lui avait même offert un petit comprimé blanc.
« Qu’est-ce que c’est ? » avait-elle demandé avant de l’avaler..
« Une espèce de vitamine, un truc comme ça.
Ça te donnera du peps pour toute la soirée ! » Elle avait dansé encore et maintenant, après les verres qu’on lui avait offerts et les taffes sur lesquelles elle avait tiré, elle commençait à ne pas se sentir très en forme. A cet instant elle ne voulait plus qu’une chose : rentrer chez elle.

La fête continuait et maintenant Justine avait de plus en plus de mal à ce concentrer sur ce qui se passait autour d’elle. Toutes les conversations semblaient me fondre jusqu’à n’être plus qu’un bruit de fond général et la musique semblait ralentir et se faire plus sourde. Elle ferma les yeux, s’appuya sur la dossier de sa banquette et elle s’endormit.

* * *

Elle se réveille brusquement et se rend compte que tout est devenu plus calme, plus feutré. Même la musique est plus douce et les lumières tamisées, qui laissent une partie de la grande salle dans une semi-pénombre. Elle ouvre les yeux et s’aperçoit qu’un couple est installé sur la banquette, tout près d’elle. Ils sont enlacés dans un baiser langoureux. Justine s’aperçoit aussi que la main de la fille caresse doucement l’entrejambe du garçon. Elle se sent rougir, elle détourne son regard, espérant que le couple ne l’a pas vue les observer. En face d’elle, elle voit une fille allongée sur le sol entre deux garçons. Son pull est remonté sur sa poitrine et un des garçons joue avec ses seins nus. L’autre garçon embrasse la fille et. En fait, partout où elle regarde, elle voit des des couples s’activer. Une magnifique noire chevauche un homme. Un peu plus loin une femme danse, coincée entre deux hommes. Elle est nue et eux sont habillés. Le contraste est surprenant. Elle entend le bruit d’une fille qui gémit et pousse de petits cris et, elle parvient à deviner dans un coin plus sombre la présence d’un couple occupé à faire l’amour. Personne ne fait attention aux autres. Cela paraît naturel d’avoir des occupations sexuelles les uns à côté des autres .

Soudain, arrivant d’on ne sait où, apparaît Johan, une bouteille à la main. Il s’assoit à côté d’elle et le couple sur la banquette se pousse un peu pour lui faire de la place. Justine les regarde à nouveau et s’aperçoit que la fille a maintenant le sexe du type dans la bouche et elle le suce avec gourmandise.

« Alors tu fais quoi ? » Johan demande gentiment.
Le son de sa voix la fait sursauter.
« Euh… rien, j’ai dû m’endormir » répond Justine.
Johan se penche vers elle et l’embrasse doucement sur la joue.
« Tu sais, je suis un peu fatiguée, tu pourrais me ramener chez moi ? » demande-t-elle.
«  Oui, bien sûr... Qu’est ce que tu as dit à tes vieux pour pouvoir venir ici ? » 
«  Que je couchais chez une copine. »
« Bon, alors on a encore un peu de temps. Je vais te dire… on reste encore ici un peu, et je te reconduirai chez toi après.
Ça te va ? »
« Oui, c’est d’accord. »
Il prend la bouteille qu’il avait posée sur le sol.
« Tu veux un verre ? C’est de l’orange avec peu de… Ça va te réveiller, tu te sentiras mieux... »
« Ouh, c’est fort », s’exclame-t-elle en vidant le verre…
« Tu veux faire quoi ? » il lui demande.
« Je sais pas... » répond Justine.
Elle se sent bien avec Johan. Elle a déjà été avec un garçon et il l’a même embrassée, mais il était aussi nerveux et mal à l’aise qu’elle. Elle a déjà entendu ses copines parler de sexe et dire qu’elles étaient allées jusqu’au bout mais elle se doute bien qu’elles devaient mentir. Et d’ailleurs Johan est un garçon sympa, elle est certaine qu’il ne la poussera pas à faire quelque chose dont elle ne veut pas. Avec lui c’est différent... Elle sent le bras de Johan se glisser derrière elle, la prendre par l’épaule et la serrer contre lui. A nouveau,Johan l’embrasse doucement, mais cette fois en la serrant plus fort. Puis, elle sent sa langue se poser sur ses lèvres. C’est son premier « vrai » baiser , celui qui lui fait connaître le contact de lèvres sur les siennes, le contact d’une langue sur la sienne. Elle en a le vertige.

« Relaxe, laisse-toi aller, » il lui murmure à l’oreille.
Justine laisse ses lèvres s’entrouvrir et sent la langue de Johan entrer dans sa bouche . Elle sent bien qu’elle ne peut pas résister : elle a bu, probablement en peu trop, fumé de l’herbe, même si c’était assez peu, et par dessus tout, elle se sent si fatiguée… Mais pourquoi résister ? Ce baiser est si bon, elle ne sait plus où est la limite entre sa bouche et la celle de Johan, entre sa chair et la sienne…

En même temps qu’ils s’embrassent, Justine sent la main de Johan se poser sur un de ses seins et le caresser. Personne ne l’a jamais touchée ainsi et elle ne peut retenir un petit soupir que Johan comprend comme l’autorisation d’aller plus loin. En prenant tout son temps, il commence à déboutonner la chemise de Justine en commençant par les boutons du haut. Celle-ci essaie faiblement de lui attraper les mains mais il se libère facilement et continue jusqu’à que la chemise soit complètement ouverte.

Soudain, Justine se rend compte que l’agrafe de son soutien-gorge vient de s’ouvrir. Johan n’a plus qu’à le remonter au dessus des seins. Justine est prise d’un frisson quand elle sent le garçon se pencher en avant et prendre un mamelon entre ses lèvres. Elle jette un coup d’œil circulaire dans la salle, persuadée que tous le monde à les yeux braqués sur elle. Mais, à sa grande surprise, personne n’a rien remarqué. Bien au contraire, les autres semblent bien plus occupés encore qu’avant à de nouvelles explorations. Les trois sur le sol devant elle sont maintenant complètement nus et la fille est à cheval sur un des garçons pendant que l’autre est agenouillé devant elle. Dans la pénombre, Justine parvient à voir deux sexes qui vont et viennent dans la fille, l’un en haut, l’autre en bas… Juste à côté d ’elle un couple se caressait un peu puis tôt mais maintenant la fille a la queue du garçon dans la bouche et elle la suce

L’attention de Justine revient vers Johan. Elle sent qu’il la pousse pour qu’elle soit presque allongée sur la banquette. Puis elle sent la main de son boyfriend se poser sur son entrejambe et la caresser doucement à travers le tissus du jean.

Les idées s’embrouillent dans la tête de Justine. Elle ne sait pas si elle est prête à accepter tout ce qui lui arrive mais, elle ne voit pas non plus comment arrêter. Et puis, avoir une relation sexuelle lui paraît à la fois excitant et effrayant. Se dire qu’elle peut faire maintenant ce que les filles lui ont raconté , qu’elle peut prendre le sexe d’un garçon dans la main, et même faire plus encore, voilà qui la terrifie mais qui la fait vibrer aussi.

Ses pensées sont brutalement interrompues quand elle sent Johan lui prendre les mains pour la tirer de la banquette et la faire glisser sur le sol où elle se retrouve allongée et aussitôt Johan s’attaquer à la ceinture de son jean. Elle se dit que ça y est ; qu’elle va y passer si elle le laisse faire mais elle se sent incapable de faire quoi que ce soit pour l’en empêcher. Elle le laisse ouvrir la ceinture et déboutonner le jean. Il la soulève un peu par les hanches pour baisser son jean et son collant jusque que ses chevilles. Allongée par terre, n’ayant plus pour vêtements que sa culotte et et sa chemise ouverte sur sa poitrine nue, Justine est prise d’une envie de pleurer et ne pense plus qu’à s’enfuir pour rentrer chez elle. Mais les choses sont allées si loin ce soir ! Elle ne veut pas non plus qu’on la prenne pour une gamine, une petite jeunette, une gamine alors qu’elle joue à des jeux d’adultes. Elle veut que Johan soit un ami qui l’aime bien et, elle a terriblement peur qu’il ne le soit pas si elle ne continue pas, alors elle le laisse faire. Il est à demi couché sur elle. Il l’embrasse longuement avant que sa bouche ne vienne lécher et sucer un mamelon . Elle sent ses seins devenir sensibles et la caresse envoie une vibration de plaisir tout son corps.

 

Mais Johan ne s’arrête pas là : ses lèvres continuent de descendre. Le bout de sa langue laisse une traînée humide sur son ventre. Justine sent chaque muscle de son corps se tendre quand ces lèvres et cette langue caressent sa peau. Les voilà sur son nombril… Elle sent une main glisser sous l’élastique de sa culotte et toucher le pli de sa jambe. Un frisson traverse son corps. Sans penser aux conséquences, elle se soulève un peu pour aider le garçon à faire passer le petit morceau de coton blanc sur ses hanches, à le baisser avant de l’enlever complètement. Son ultime protection enlevée, Justine n’a pas le temps de se sentir vulnérable car à nouveau les lèvres et la bouche reprennent leur mouvement descendant avec baisers et caresses. Elle sent le garçon toucher son pubis de ses lèvres et donner de légers coups de langue. Elle laisse échapper un petit gémissement de plaisir et posant une main sur la tête de Johan, elle la lui passe doucement dans les cheveux, comme pour retenir cette tête et ces lèvres. Lentement, très lentement la langue glisse sur la fine toison, frôle les lèvres encore fermées du sexe de Justine. Elles sont déjà légèrement mouillées. Johan sait que c’est là où il faut toucher, lécher et embrasser. Cette fille sent bon, elle est fraîche et glissant le bout d’un doigt dans elle, il découvre immédiatement qu’elle est vierge.

Plus excité que jamais, Johan abandonne un instant l’adorable abricot de Justine et revient l’embrasser sur les lèvres. Et pour la première fois, elle sent sur les lèvres de Johan sa propre odeur et le goût de son propre sexe.

« Tu n’as encore jamais fait ça, hein? » murmure Johan à son oreilles.
Justine fait un petit « non’ de la tête.
«  Tu vas voir, je vais bien m’occuper de toi. Je vais te montrer des choses que tu n’as jamais imaginées. »
Justine lui sourit, sans même être certaine qu’il peut le voir dans la semi-obscurité de la pièce, et elle se love contre lui.
« On pourrait pas aller ailleurs, un endroit pour qu’on soit seuls ? »
« Tu sais, ici c’est bien. Ils sont tous tes amis ci. Tout va bien. »
« Mais... »
Elle ne peut pas continuer quand Johan se remet à l’embrasser.

Justine le tient serré dans ses bras et elle se demande si c’est ce qu’on ressent quand on est amoureux. Elle se dit qu’il doit aimer être avec elle. Et par dessus tout, et elle s’émerveille d’avoir su attirer l’attention d’un étudiant, un adulte, un homme - rien à voir avec les ados un peu boutonneux de son collège qui cherchent parfois à l’embrasser dans un coin de la cour. Elle sent Johan qui s‘écarte légèrement d’elle. Elle s’attend à ce qu’il revienne lui embrasser la poitrine, mais cette fois il s’agenouille et ouvre la ceinture de son pantalon. Elle le regarde le baisser et l’enlever complètement. Elle se rend compte qu’il a baissé son slip en même temps.
Elle sait ce qu’il veut ; elle l’accepte.
Il prend la main de Justine et la pose sur sur son sexe déjà tout dur.
« Prends-la. Vas-y. Doucement.Tu vas aimer, » lui murmure Johan.
Elle tient délicatement le membre dans sa main et elle le sent palpiter. Instinctivement sa main le serre un peu et se met à monter et descendre dessus.
« Oui, ma chérie, oui, c‘est ça... » entend-elle Johan lui murmurer à l’oreille.
Il passe un bras derrière elle et la pousse un peu pour qu’elle se retrouve avec la tête posée sur sa poitrine. Malgré la pénombre elle jette un œil vers le ventre du garçon pour regarder cette chose qu’elle tient à la main. Bien sûr, elle a déjà vu des bites, celles de deux copains de classe qui exhibaient leur petit bout dans la cour du collège mais elle n’a encore jamais vu le sexe d’un adulte. Il est gros, il est droit et dur, le bout est joliment arrondi… Il est beau... Il est à la fois effrayant et attirant...

Johan lui caresse doucement la tête en appuyant légèrement dessus. Parce qu’elle a déjà entendu ses copines en parler, parce qu’elle a vu des vidéo sur Internet, elle sait ce qu’il attend d’elle. Et soudain ceci ne lui semble plus être une horreur, comme ça l’a longtemps été à ses yeux. Tout ce qu’il lui a fait jusqu’ici, elle l’a aimé. Alors, ça aussi, ça lui plaira et elle appréciera. Et d’ailleurs elle est tellement persuadée qu’il l’aime qu’elle n’irait pas lui refuser quoi que ce soit, au risque de le perdre. Alors, elle essaie de se comporter comme si elle ne manquait pas d’expérience.

Lentement, et tout en embrassant sa poitrine et son ventre, Justine baisse la tête en direction du manche de Johan. Arrivée à quelques centimètres, peut-être parce qu’elle hésite encore, elle pose sa joue sur le ventre et continue à caresser la bite avec sa main. Johan lui appuie sur l’arrière de la tête, la langue effleure l’extrémité du sexe, puis les lèvres l’embrassent doucement 
« Oui c’est bien… c’est ça , ma petite chérie ...» dit Johan en gémissant de plaisir.
« Oui, comme ça... »
Justine se rend compte qu’il a parlé à voix haute et que tous ont dû entendre dans la salle, mais elle s’en moque. Elle avance encore la tête, lèche le bout déjà tout humide et s’aperçoit que ça a un goût salé. Johan lui tient la tête appuyée et elle lèche et embrasse le gros bout tout en caressant le manche d’une main.

« Oui, c’est bien, tu le fais bien, oh oui ! » gémit-il. »

« Ce n’est pas si difficile que ça et c’est pas désagréable du tout, » se dit-elle. En fait elle aime sucer son boyfriend et elle se sent être devenue une vraie femme, capable de faire réagir un homme à ses attouchements.

« C’est bien,. Maintenant prends-en plus dans ta bouche. Suce davantage.

Justine laisse glisser la grosse tête ronde entre ses lèvres et la suce doucement. Le goût salé est plus prononcé mais elle trouve ça plutôt agréable. Elle sent Johan serrer ses hanches contre elle pour faire entrer sa bite dans sa bouche. Puis c’est elle qui continue en faisant glisser sa langue sur tout la longueur du membre. Sans se concerter, ils trouvent leur rythme, lent mais régulier, Johan donnant un coup de reins avant de laisser sa bite ressortir un peu de la bouche de sa partenaire, encore une ado avant de l’enfoncer à nouveau. Encore quelques minutes à sucer Johan, puis Justine le sent sortir de sa bouche et se relever à demi. Il pousse doucement son amie par la tête, parvient à la faire se mettre sur le dos et Justine le sent s’installer sur elle : elle se rend alors compte de ce qui va lui arriver. Johan l’embrasse sur les lèvres, un baiser appuyé et il se place sur elle, entre ses jambes. Maintenant elle sent le bout dur de son sexe placé juste sur sa fente encore fermée et vierge… Johan commence à pousser pour l’ouvrir et s’y introduire. Justine sent qu’il la pénètre et immédiatement une douleur vive la saisit ; elle se crispe. Alors le garçon s’arrête et ressort complètement.

« Ça va aller, petite chérie, ça va aller, » il lui murmure à l’oreille. « Tu te relaxes, et ça va passer. N’aie pas peur. »

« J’ai pas peur, »  elle lui murmure en retour.

A nouveau Justine sent Johan qui se serre contre elle et elle éprouve une espèce de pincement de douleur quand le gland de son sexe la pénètre. Elle se raidit mais Johan n’arrête pas, au contraire il continue à pousser plus fort. Soudain, elle est prise d’une douleur intense qui lui fait pousser un grand cri. Johan cesse aussitôt l’introduction, il reste à demi enfoncé dans elle et ce n’est que quand il la sent se détendre qu’il recommence à aller et venir, doucement, en faisant attention de ne pas lui faire mal.

Déflorer une femme est la meilleure chose qui puisse arriver à un homme, s’est-il parfois dit. Certes, Justine n’est pas la première fille qu’il dépucelle, mais elle lui semble être la plus excitante de toutes. Il se penche sur elle l’embrasse sur l’oreille. Elle sent des frissons traverser son corps. Lentement il pousse plus fort et s’enfonce peu à peu dans le corps de Justine.

A un moment, il donne un grand coup, et il sent enfin son pubis contre le sien. Il est au fond. Il reste ainsi enfoncé, se contentant de se serrer contre elle. Allongé sur elle, il sent que la jeune fille est pleine de sueur ; elle gémit doucement. Ses ongles s’enfoncent légèrement dans les bras nus du garçon.

Justine n’a plus mal du tout et elle s’habitue à sentir en elle l’organe qui l’a violée. Elle ne pense plus à rien d’autre que ce garçon qui est couché sur elle et qui lui emplit le ventre. Elle ferme les yeux ; elle sent Johan aller et venir en elle plus facilement et elle ressent aussi qu’il y a chez lui comme un sentiment d’urgence dans la façon dont il la prend. Il fait faire à son bassin des petits mouvements circulaires pour élargir la grotte de Jutine, puis il se remet à pousser doucement avant de commencer à la pistonner. Dans ses bras, de plus en plus fort, avec régularité, et son pouce se glisse entre leurs deux ventres pour aller lui masturber le clitoris. Elle pousse un cri de plasir à ce nouveau contact.

Elle se rend compte aussi du bruit qu’elle fait elle-même, ses gémissements continus qui s’échappent de ses lèvres quand Johan accélère le rythme de ses va et vient.

Soudain sans prévenir Justine il se retire et se met à genoux devant elle. Elle ouvre les yeux et voit plusieurs visages au dessus d’elle qui la regardent. Quelqu’un a dû rallumer les lumières de la salle et elle se trouve nue exposée à la vue de tous. Johan a changé de place, il est maintenant agenouillé près de la tête de Justine, sa bite à seulement quelques centimètres de là. Justine l’examine, elle est toute luisante, pleine de sa propre mouille. Johan caresse le visage de Justine avec sa queue pleine de jus puis il la la pose sur ses lèves.Justine est traversée une seconde par une sorte frayeur à l’idée de devoir lécher cela. Elle regarde autour d’elle, peut-être pour trouver un réconfort et elle voit quatre paire d’yeux qui l’observent : il lui semble que le monde entier la regarde,

« Vas-y, prends-la dans la bouche » lui dit Johan à voix basse, « Vas-y, tu vas voir, c’est bon.».
Et il lui tapote doucement sa queue sur les lèvres.
Justine entend une voix féminine lui dire : « Oui, vas-y, c’est extra à sucer, »

Une autre voix, masculine cette fois : « Hé, Johan ça te dérange si j’me la tape aussi ? »
« Non, vas-y, baise-la ! », répond Johan. Et immédiatement Justine sent un nouveau corps qui s’installe entre ses jambes, et avant qu’elle ne puisse réagir, elle sent une bite dure qui appuie sur sa fente et la pénètre. En même temps, c’est Johan qui appuie sur ses lèvres pour les ouvrir.

« Allez, ouvre. » Le ton est est presque celui d’un ordre à exécuter de toute urgence.Comme assommée par tout ce qui lui arrive, elle ouvre la bouche, tout suite remplie par la bite dressée de Johan

« Baise-la, suce-le, baise-la, suce-le, baise-la, suce-le... » une sorte de mélopée à une voix s’élève, qui commence doucement puis est reprise par d’autres voix et bientôt par tous les garçons et filles qui entourent Justine.
« Baise-la, suce-le, baise-la, suce-le, baise-la, suce-le... »
Justine est allongée sur le dos, au dessus d’elle il y a ces visages inconnus qui la regardent. La bite de Johan va et vient enfoncée dans sa bouche et et une autre l’a prise sans trop de ménagement dans son sexe tout juste défloré.

« Vas-y, jouis, jouis-lui dedans ! » entend-elle une voix conseiller au garçon qui besogne son ventre. Elle sent alors qu’il se met à la pistonner plus fort avec des va-et-vient puissants, bien profonds et de plus en plus rapides. Chaque coup de bite fait mal à Justine. Son ventre est en feu. Il est est de même dans sa bouche : Johan a accéléré et Justine a du mal à trouver son souffle.Elle sanglote entre deux cris. Elle entend le garçon sur elle lui lancer :
« 
- Tu veux avoir de la bite ? - Tu la veux au fond de toi ? J’vais te ramoner la chatte ! » et il pousse d’un coup fort pour la prendre le plus fort et le plus profondément possible.

Soudain elle sent son Johan se crisper ; il lui serre la tête contre lui et il enfonce sa bite tout au fond de sa gorge. Brusquement elle sent sa bouche se remplir d’un liquide chaud, chaud et épais, très salé et amer. Elle étouffe, l'air ne passe plus, elle râle pour essayer d'avaler mais Johan lui tient fermement la tête et continue à plonger sa bite tout au fond de sa gorge.

Presque en même temps, le garçon occupé à la baiser se vide en elle, dans un grognement de fauve. Deux ou trois jets bouillants qui lui emplissent le ventre. D’un geste brusque, il se retire et continue à se vider en l’air. Elle tourne les yeux vers lui, juste à temps pour voir les dernières gouttes qui tombent sur elle. Elle sent le liquide chaud éclabousser sa poitrine et son ventre. Deux ou trois secondes après, le garçon a fini. Justine reste là immobile, elle sanglote. A son tour Johan sort sa bite de sa bouche et se relève. Celui qui la baisait il y a encore quelques secondes se lève lui aussi, prend une autre fille par la main et s’éloigne avec elle.

« A mon tour, maintenant... » c’est tout ce que Justine entend entre deux sanglots, avant de fermer les yeux en sentant un autre homme s’installer entre ses jambes. D’autres hommes l’entourent, leur érection en avant, attendant leur tour...

Justine n’espère plus qu’un chose, que tout ça finisse, que ça finisse, que ça finisse vite, vite......

 

 

 

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