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Histoires de Q
21 septembre 2019

Cousin, cousine ( partie 1)

Ce texte provient d’un site maintenant disparu ( X-show). Il était alors accompagné du texte suivant : «  Cousin cousine, écrit par Dawson et trouvé sur le net à <www.revedesexe.com> »

 

Partie 1

C’est mon anniversaire. 18 ans, une date toute spéciale…

Oncles et tantes, cousins et cousines et tout le reste la famille ont été invités à une petite fête avec les embrassades habituelles, et la remise des cadeaux

J’attends particulièrement celui de ma cousine Ludivine. Je m’entends vraiment bien avec elle, surtout qu’elle n’est que de deux ans mon aînée. Je sais que, comme à chaque fois que je la vois, elle va trouver l’occasion de me taquiner gentiment sur ma qualité de puceau, Par contre, il semble qu’elle a découvert les joies du sexe… et depuis, sa libido semble particulièrement effrénée. Pour m’émoustiller, elle ne se lasse d’ailleurs pas de me raconter ses prouesses sexuelles, constatant avec un œil narquois l’effet qu’elle me fait. Il faut dire que pour l’adolescent frustré que je suis, la simple évocation de pipes goulues prodiguées dans les toilettes de la fac, ou encore de parties de jambes en l’air dans le jardin de ses voisins, déclenche immédiatement une puissante érection. !

Fébrilement, je déballe mes paquets, pour m’arrêter sur celui de ma cousine : un lot de bandes dessinées qu’elle a accompagné d’un mot. Intrigué, j’ouvre rapidement l’enveloppe :

Cher cousin, ces bandes dessinées ne sont qu’une diversion : pour l’anniversaire de ta majorité, j’ai décidé de prendre ta vie sexuelle en main. Cette carte fait office de bon à échanger contre une bonne petite pipe d’anniversaire.

Bisous Ludivine.

Aoutch, la surprise est de taille !…

Ça ne va pas Fab ? T’as les joues toutes rouges ?
— Hein ? Euh… si, si, c’est bon… t’inquiète pas tonton…

Je dois avoir une tête d’ahuri. Ma cousine, espiègle, n’a pu s’empêcher de pouffer. Après un instant de perdition, mon esprit cartésien reprend le dessus : il doit s’agir d’une de ces farces destinées à me tourmenter, sinon pourquoi rirait-elle ?… Malgré tout, la perspective, même utopique, de me faire sucer par cette petite garce libidineuse provoque un gonflement caractéristique dans mon pantalon.

Au cours du repas, cette allumeuse ne manque pas de me narguer discrètement, prolongeant douloureusement mon trouble. Tantôt je la surprends suçant goulûment son majeur plein de sauce en me fixant avec défi, tantôt je devine son air lubrique lorsqu’elle lèche son couteau avec application. Elle semble me guetter comme un félin surveille sa proie.

Vers la fin du repas, alors que presque out le monde a quitté la table,

elle vient s’asseoir à côté de moi, et elle lâche, d’un ton détaché :

Tu devrais aller te soulager aux toilettes, tu fais peine à voir !

Elle joint ses mots de quelques mouvements explicites sur l’accoudoir du canapé, en rigolant. Quelle salope ! Comment veut-elle que j’ai l’air détendu si elle n’a de cesse de me faire bander ! Habile, son autre main profite de mon étonnement pour me glisser un papier dans la poche. J’ai du mal à dissimuler ma gêne.

De toute façon, il faut que j’en aie le cœur net. Bien malgré moi, je me conforme à ses conseils en partant m’isoler aux WC. C’est le cœur battant la chamade que je verrouille la porte derrière moi. Ma bite est fortement tendue dans mon pantalon, ce qui finit d’aggraver les saccades de ma respiration. Après deux grosses inspirations, je me décide à déplier la feuille.

Fab, mon cadeau n’est pas une blague. Après tout, je te dois bien ça, tu ne vas par rester ignorant toute te vie ! Je suis seule à la maison vendredi prochain… tu devrais passer !

Ludivine.

PS : bonne branlette !

Mon souffle est court, mes jambes flageolent. Ma queue me fait terriblement mal dans son carcan d’étoffe. Il faut que je me soulage, sinon, c’est sûr, ça va partir tout seul dans mon slip.

 

De façon précipitée, j’extirpe ma queue, pressé d’en finir avec cette colère qui bouillonne dans mon cerveau. Cette vicieuse ne perd rien pour attendre…J’entreprends une astiquation au rythme rapide.

Mmmf…mmmf…

Pour me stimuler, je m’imagine en train de la sodomiser sans retenue : quelle belle vengeance se serait d’entendre cette petite libidineuse me supplier d’être moins brutal, de la posséder moins profondément…

Mmmf… salope…. mmmh… Tu vas… mmmf… voooiir…

Une vingtaine d’allers-retours plus tard, je me cambre, suffoqué : une première giclée de foutre s’écrase contre la lunette relevée des toilettes et d’autres suivent:

Raaahhh… Aaahh… mffff…

 

Un peu calmé, je rejoins les autres. Ma salope de cousine me regarde avec un sourire moqueur.

Heureusement pour moi, la réunion de famille touche à sa fin, et c’est avec un soulagement certain que je regagne la voiture paternelle avec mes sœurs et mes parents.

* * *

Le jour fatidique arrive enfin. Je marque une courte pause devant la porte de la maison de mes cousins. Le doute me taraude toujours mais, constatant qu’il n’y a pas de voiture dans l’allée du garage, je me décide à sonner, un peu rassuré.

Salut Fabrice !

Sss… salut…

Merde ! Qu’est-ce qu’elle fait là celle-là… Dans l’entrebâillement de la porte, Audrey me regarde, interloquée par mon manque d’entrain à la revoir. C’est la cousine de Ludivine, du côté de sa mère. En d’autres circonstances, j’aurais été ravi de la revoir, mais là, elle contrecarre franchement mes plans. Pourtant, elle fut la première fille dont je suis tombé amoureux… J’avais 10 ans.

Ludivine apparaît à son tour dans l’embrasure de la porte :

Entre Fab, et ne fais pas cette tête là !

Après nous avoir guidés vers le salon, Ludivine met fin à mes inquiétudes :

T’inquiète pas Fab, je ne t’ai pas menti… c’est juste que je trouvais plus sympa de faire d’une pierre deux coups !

Je ne comprends rien. Ce qui est sûr en tout cas, c’est qu’Audrey a les joues aussi rouges que moi. Ludivine poursuit en s’approchant:

Ben oui, toi t’es encore puceau… et Audrey n’est pas très douée pour ce qui est de tailler les pipes… alors je me suis dit…

Profitant de l’effet de surprise, Ludivine a glissé une main sous ma chemise pour détacher ma ceinture. Elle poursuit en me souriant:

Je pense que tu ne verras pas d’inconvénient à ce qu’elle participe ?!

Ma tête bourdonne. J’ai terriblement chaud. Sans se soucier de notre gêne mutuelle, elle fait glisser mon pantalon, entraînant dans son geste mon caleçon descendu jusque sur les genoux.. Ma timidité est là et c’est la queue tombante et la gorge nouée que je me retrouve à moitié nu face à ma cousine, et plus grave encore, face à Audrey. Ludivine feint l’indignation, les deux mains sur les hanches :

C’est tout l’effet qu’on te fait ?

Elle me pousse sur le canapé, puis reprend :

Bon, je vois qu’il va falloir t’exciter, mon gentil petit puceau !

Elle marque un temps d’arrêt puis se retourne vers Audrey :

Il n’y a rien de tel qu’un petit spectacle pour exciter les jeunes garçons lubriques, n’est-ce pas Audrey ?!

Je n’en crois pas mes oreilles… et mes yeux. Comme si il s’agissait d’une pièce de théâtre, Audrey déboutonne lentement sa chemise, le visage baissé, rouge de confusion. Visiblement, Ludivine a tout manigancé. Captivé, je ne l’ai pas vu passer derrière sa cousine. Lascivement, elle entoure d’un bras la taille d’Audrey, et glisse une main sous le chemisier entrouvert. Rhooo ! C’est pas possible !? Le souffle d’Audrey s’emballe.Ludivine accélère ses mouvements sous le tissu de la chemise. Audrey renverse sa tête et laisse échapper quelques râles troublants:

Mmmhhh

Sous les assauts répétés, son chemisier s’est complètement ouvert. Deux mains expertes la cajolent, lissant méthodiquement les tétons érigés à travers le soutien-gorge. Il n’y a aucun doute, Ludivine doit savoir y faire, car Audrey gémit de plus en plus fort :

Mmmfff… mmmh… mmmh…

Ses gémissements plaintifs ont raison de ma timidité. Mon sexe trouve de la vigueur, et pointe joliment au milieu mon ventre. Ludivine s’en aperçoit, et satisfaite, arrête ses caresses malgré les soupirs appuyés d’Audrey qui lui lance un « déjà ? » plein de regrets.. Elle revient asseoir à ma droite J’ai un soubresaut lorsqu’elle prend dans sa main ma tige fièrement tendue. Cette fois, c’est sûr, elle ne m’a pas fait de blague…Elle se penche tendrement vers mon oreille :

Bon anniversaire, cousin ? j’espère que tu vas apprécier ton cadeau...…

Elle embrasse ma joue, et descend lentement son visage à hauteur de mon gland. Ma respiration s’emballe. Je me tends vers sa bouche, en apnée. Elle ouvre ses lèvres pour baiser l’extrémité de mon sexe. Après un instant qui me paraît une éternité, elle m’embouche totalement le nœud.

Mmmh…

La sentir décalotter mon gland délicatement d’un mouvement de lèvres est un vrai supplice. Que c’est bon ! Ses lèvres charnues épousent parfaitement la forme de mon bâton raidi.

Oohhhh…

Malgré mon plaisir, je me concentre pour ne pas fermer les yeux. Je veux pouvoir contempler ma cousine qui entreprend mon vit entre ses lèvres ourlées. Quelle salope ! D’un mouvement savoureux de la bouche, elle me tête, provoquant des bruits de succion proprement indécents. Ce traitement délicieux m’arrache spasmodiquement des soupirs de contentement :

Mmmmmf… aah… aaah

Visiblement experte, elle joue sur la pression de ses lèvres sur mon gland, alternant les profondeurs de pénétration. Relâchant son étreinte buccale, elle darde sa langue pour léchouiller le frein et tout le tour de mon gland. Je gémis sans retenue :

Mmmffff… mmmmh…

A mon grand désarroi, elle finit cependant par s’écarter. Elle me contemple, les yeux lubriques, manifestement ravie de me voir essoufflé et rougi par ces nouvelles sensations. Sa main me cajole, garantissant la dureté de mon érection. Sa bouche me manque, ma queue palpite. Elle se retourne vers sa cousine:

Viens Audrey, t’es pas là pour regarder !

Audrey s’approche à son tour et s’assied à ma gauche. Ludivine tient toujours ma queue tendue entre ses doigts. Après quelques aller-retour le long de mon manche, elle en dirige fermement l’extrémité vers d’Audrey. Fébrilement, elle se penche sur mon bas-ventre. Je perçois son souffle irrégulier sur mon méat. Quel délice de voir son beau visage si proche de mon phallus !

Commence par le lécher un peu.

Sa langue, obéissante, vient au contact de mon gland. Reprenant ma bite entre ses doigts, elle s’applique à en lisser le frein contre sa langue. Cette nouvelle caresse, divine, m’électrise l’échine :

Oooohhhhh….

Ludivine l’encourage d’une caresse dans les cheveux.

C’est bien Audrey… maintenant, tu peux le prendre en bouche… dis-toi que c’est comme une grosse sucette… ajoute-t’elle espiègle.

Toujours un peu hésitante, Audrey s’exécute : ses lèvres humides s’ouvrent sur mon gland, puis coulissent vers le bas. Ses mouvements de va-et-vient sont plus désordonnés que ceux de Ludivine, trahissant son inexpérience. Parfois, elle dérape, cognant mon gland contre son palais. Pour autant, les premiers mouvements incontrôlés de mon bassin prouvent que je suis aux portes du septième ciel :

Mmmmh… Oohhh…mmmf… mmmfff

Attends !

Surprise par l’intervention de Ludivine, Audrey me libère.

Dis donc, cochonne, t’y prends goût on dirait ?! Si tu continues comme ça, il va jouir sur-le-champ !… faut leur ménager des temps de repos, à ces messieurs… ils sont fragiles !

Sur ces quelques considérations, Ludivine me saisit entre deux doigts, et entreprend de me laper la hampe jusqu’aux bourses. D’une attention délicieuse, elle les lèche avec application. Mes tempes sont trempées. Ce n’est qu’après avoir gobé successivement mes deux couilles pleines, qu’elle finit par se redresser :

Tu vois Audrey, le secret d’une bonne pipe, c’est de savoir laisser retomber la tension… pour mieux se lancer dans le galop final !

Ni une, ni deux, elle m’embouche goulûment et entreprend des va et viens frénétiques. Méthodiquement, elle fait aller et venir le bourrelet de ma verge entre ses lèvres serrées. À chaque mouvement de tête, elle enroule sa langue autour de mon bonbon rougi. Mon souffle chavire, je sens la sève s’accumuler irrémédiablement à la base de mon phallus :

Aaaah aaaaahhhh…. Mmmh…

Elle stoppe net son mouvement, me laissant au bord de l’orgasme. Mon bassin s’agite, quémandant la libération. D’un air mutin, elle ajoute :

Maintenant, il s’agit de le faire jouir en beauté. Je te laisse faire ?
— O..oui…oui… Com… Comment j’dois faire ?

Pompe-lui le bout !

Audrey s’exécute. Ses lèvres se resserrent, non sans appréhension, à la base de mon gland écarlate. Rythmiquement ses joues se creusent, tiraillant mon bout brûlant. Bon dieu ! Quel délice ! Je lâche pied : je m’arcqueboute sur le canapé, laissant gicler mon foutre avec violence contre son palais. La soudaineté du jet l’empêche de me maintenir entre ses lèvres. La deuxième giclée s’écrase sur sa joue en une longue traînée épaisse, et les suivantes, moins violentes, finissent leur course sur le haut de ses seins, à la lisière de son soutien-gorge.

Ah… aah… aaah… ooohhhhh… mmmh… ooohhhh… … … ooohhh…

Mon orgasme, inédit par sa violence, me laisse sans force sur le canapé. Audrey constate, mi-surprise, mi-dégoûtée, le souillage laiteux de sa peau de jeune fille. Ludivine, comblée, lui flatte la cuisse :

C’est bien Audrey, il n’est pas près de l’oublier, sa première pipe !

Malgré le compliment, Audrey se défile. Elle quitte la pièce d’un pas précipité, sous le regard rieur de sa cousine. Celle-ci, visiblement satisfaite de son office, se relève et va s’asseoir en face de moi sur un fauteuil, me laissant savourer cette première jouissance buccale.

A SUIVRE

(PARTIE 2 : 991 mots ff mf baise hétéro, première fois)

 

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