La MILF qui aime lé pénis des ados

Toc- toc – toc… On frappe à la porte de derrière et Marion se dit que ce doit être Clément qui vient rendre visite à voir son copain Robin. Sans attendre la réponse, Clément pousse la porte et entre dans la cuisine.

«Bonjour madame Legrand. Robin est là ? »

« Bonjour Clément. Non, je suis désolée pour toi, » répond-elle, « il est sorti avec son père pour faire des courses… il devrait être revenu dans 30 – 40 minutes. Mais si tu veux l’attendre, tu peux aller dans sa chambre. Tu regarderas la télé en attendant. Ou bien il a une console de jeux. »

Le jeune homme de 18 ans environ hésite, en dansant d’un pied sur l’autre puis dit :

« Bon, je peux monter l’attendre alors ? » 

« Oui, bien sûr. Je lui dirai que tu es là aussi tôt qu’il arrivera. »

En le regardant sortir de la cuisine, Marion se fait la remarque que c’est un beau garçon et qu’il doit plaire aux filles. « Qui sait ce que j’aurais aimer faire avec lui si j’avais eu vingt ans de moins, » se prend-elle à se dire...

Il monte l’escalier, va dans la chambre de Clément, attrape la télécommande, s’installe dans un fauteuil et allume la télé. Il cherche quelques secondes et finit par tomber sur une chaîne qui passe une film X vraiment chaud. Il regarde quelques minutes et, se sachant seul, il se laisse emporter par le film : ses doigts s’aventurent sous la ceinture du pantalon et vont déclencher des pulsions qui ne demandaient qu’à s’exprimer à cet âge. Son érection monte rapidement, gonflée par un désir de plus en plus fort, à mesure que les caresses se précisent.

Il ouvre sa chemise pour dégager sa poitrine, baisse son jean et son slip jusque sur ses chaussures et, il commence à s’astiquer le nœud à pleine main en regardant la scène sexy sur l’écran. Depuis des années, lui et Robin passent souvent un bout de temps à se branler en regardant des vidéos porno,. Parfois ils font un concours, à qui jutera la plus vite ou le plus loin. Aujourd’hui, il se laisser aller, ferme les yeux et se branle doucement, sans hâte, juste pour le plaisir de ces sensations animales entièrement sexuelles. Il n’entend pas Marion Legrand qui monte lui dire que Robin a téléphoné pour prévenir qu’il rentrera un peu plus tard que prévu. Naturellement si le jeune branleur avait entendu les pas, il aurait eu le temps de changer de canal à la télé et de remonter son pantalon pour dissimuler son sexe.

En entrant dans la pièce Marion, est surprise en voyant les images crues à la télé, mais plus encore elle elle est ahurie en voyant Clément à demi-allongé dans un fauteuil, presque nu, les yeux fermés, la chemise ouverte, le jean et le slip baissés autour des des chevilles, occupé à branler son gros manche d’ado. Elle ne peut s’empêcher de trouver la vue de ce garçon en train de se masturber le spectacle le plus érotique et chaud qu’elle a vu depuis bien des années : Clément est en effet un beau gosse avec un corps musclé taillé en V, une queue dressée et de belles grosses couilles qui dansent de droite et de gauche au rythme du branle. Presque instantanément la femme déjà d’âge mûr, se sent traversée par une sensation d’excitation qui envahit tout on corps et son vagin se met à déborder de cyprine, lui semble-t-il.

Elle est surprise de voir la taille de la bite, même si elle n’est peut-être pas aussi épaisse que celle de son mari : Clément a un super mandrin, long et dur ; une belle bite droite avec un gland massif. Bien qu’elle a toujours eu une vie sexuelle active avec son mari, le seul fait de voir une autre queue en érection lui donne des sensations dans la chatte comme elle n’en a pas connu depuis longtemps. Sur l’écran de la télé, une blonde sexy est en train du sucer un mâle magnifique… La respiration de Clément est saccadée. Sa main va et vient à toute vitesse sur on manche...

Clément excite Marionau plus haut point et elle sent un intense plaisir monter en elle. Elle soulève rapidement sa jupe et glisse une main dans sa culotte pour trouver un clitoris durci et qui réclame qu’on s’occupe de lui. Au moment où deux doigts pénètrent dans sa grotte et surtout où son doigt touche le petit organe et caresse le bouton magique, Marion pousse un petit gémissement de plaisir ,. Clément l’entend ! Il se tourne et voit Marion.
La panique s’empare de lui. Ses mains s’agitent, cherchent à cacher son sexe en remontant son slip, mais celui-ci est tombé autour des ses chevilles. Son visage devient instantanément tout rouge et il essaie de bredouiller une explication. Il tente de cacher son érection en la couvrant de ses mains. C’est alors qu’il s’aperçoit que la mère de son copain a la main sous sa jupe et qu’elle se masturbe en même temps que lui !

« Non, continue à te branler » elle lui dit d’une voix sourde. « Laisse-moi te regarder et je te montrerai ma chatte ! » Pas très sûr de ce qu’il doit faire,à la fois embarrassé par la situation et aussi les yeux écarquilles et brillants d’intérêt, il la voit soulever sa jupe et lui monter la culotte repoussée sur le côté pour dégager sa chatte et deux doigts enfoncés dedans.

« Vas-y, branle-toi ! «  elle lui ordonne, « j‘veux te voir jouir et foutrer. » Encore deux ou trois secondes d’hésitation et Clément se rend compte qu'il a là une belle occasion comme on n’en a pas souvent. Il enlève les mains : sa bite est toujours presque aussi dure, le manche aussi droit, le gland aussi décalotté et rouge d’excitation. Marion a les yeux rivés sur ce sexe en érection et elle oublie immédiatement toutes les convenances qui voudraient qu’elle se montre une «  dame respectable.» Affamée de sexe comme elle l’est , elle tombe à genoux et saute sur cette belle queue offerte qui perle déjà sous l’excitation et qui n’attend que sa bouche gourmande. Elle lape goulûment cette goutte de plaisir, entourant son gros gland violacé de ses lèvres pulpeuses.

Clément aussi sent la montée de la sève du fond de son corps. Il respire fort, il geint comme s'il souffrait... Il n’a jamais rien senti de meilleur avec toutes ses copines. Il soupire fort, la bouche ouverte, la tête en arrière, les yeux fermés… Il gémit : « Putain, que c’est bon ! » et, sans pouvoir s’y opposer, il explose et il remplit la bouche de Marion des énormes décharges dont sont capables les jeunes hommes. A peine a-t-il finit de décharger qu’il se met à paniquer et il ressent le besoin impératif de s’enfuir. Mais Marion le rassure aussitôt en lui disant que tout va bien, qu’elle a adoré le recevoir et ensuite elle lui demande de s’asseoir et de regarder ce qu’elle va faire pour lui. A moitié étalé dans le vieux fauteuil, il est fasciné de voir Marion se déshabiller devant lui et se mettre nue. Naturellement il a déjà vu deux ou trois de ses petites amies se dénuder pour lui, mais cette femme avec sa poitrine rebondie. ses globes magnifiques et ses tétons qui pointent lui donne des frissons. Elle se caresse de partout en se pressant généreusement les seins pour mettre en valeur ses deux tétons durcis par le plaisir et d’une vois presque timide elle lui demande : »Alors tu aimes ? »

« Oh oui, oh oui ! »fait-il en haletant.

Sa bite est dressée, bandée un max, ses couilles forment comme deux boules d’acier. Sa main se referme sur le manche et et il recommence à se l’astiquer.

« Alors si tu aimes ça, je suis certaine que tu vas aussi aimer ça, » dit-elle en écartant les lèvres de son vagin pour lui montrer l’intérieur rosé de sa chatte.

« Oh, la la… C’est beau… Ummmh ! »

« Alors, est-ce que je peux te demander quelque chose ? » dit-elle d’un ton faussement timide.

« Oui, bien sûr, » répond-il d’une voix haletante .
« Et bien, mon minou a vraiment besoin qu’on s’occupe de lui et qu’on le mange. Penses-tu qu tu pourrais me faire ça ? »

Il semble hésiter puis il répond rapidement :

« Oh oui, tout ce que vous voulez. Oui ça me dirait de vous faire ça. »

Elle s’avance vers lui, pose un pied sur l’accoudoir du fauteuil si bien que les lèvres de sa chatte trempée de mouille s’écartent, s’ouvrent pour monter ses belles lèvres et son clitoris gonflé par le désir. Cette chatte offerte à quelques centimètres du visage de Clément est comme un aimant pour sa langue . L’odeur, un parfum entêtant, affole Clément encore plus et lui semble la meilleure qu’il ait jamais senti.

Il place ses lèvres sur la fente avide et y dépose un petit bisou. Puis sa langue s’égare pour savourer goulûment l'abricot de Marion.

Elle gémit : « Lèche-moi, bouffe-moi, suce-moi, s’il te plaît, allez, vite… »

Alors il ouvre la fente à deux doigts et se met à lécher et à sucer’. Il est peut-être un peu maladroit mais elle le guide doucement : « Non, un peu plus vite, lèche avec toute ta langue, oui, comme ça, c’est bon...Ouiiii, j'aime bien quand la langue rentre bien dans la fente ... Maintenant, mange-moi le clito, Clément, le clito...»

La langue du garçon est comme magique, elle tournoie sur le clitoris. Marion sent la mouille couler de sa minette tandis que lui lapa pour ne pas en perdre une goutte.

Rapidement le plaisir remonte par à-coups, les prémices de l’explosion se font sentir. Bouche et cuisses ouvertes, d’une indécence parfaite, elle se fait brouter par ce garçon, juste de l’âge de son propre fils… et lui, soudain, il découvre ce que ça fait de sentir une femme jouir dans votre bouche : les muscles du vagin se contractent, tout le corps de Marion est saisi par u des spasmes. Des grognements et des gémissements montent du fond de sa gorge, un torrent de mouille coule dans la bouche de Clément.

Elle se sent faible, ses jambes se dérobent sous elle et elle s’écroule sur le fauteuil, à demi couchée sur Clément. En voyant la femme nue étalée devant lui, les jambes écartées, la chatte encore palpitante, il se met à rebander dur, si tant est qu’il ait vraiment débandé depuis qu’il a joui. prêt à repartir vers un nouvel orgasme. Elle n’a qu’à poser la main sur le manche ardent, aller et venir deux ou trois fois et voilà qu’il gicle à nouveau, de belle traînées blanchâtres, collantes, luisantes qui strient la poitrine et le ventre de Clément. Marion se penche et lèche avec gourmandise la précieuse crème, ne voulant pas en perdre une goutte.

L’un comme l’autre se sentent vidés, et ils restent serrés l’un contre l’autre sans bouger. Marion caresse doucement son amant, sa poitrine, son ventre, sa virilité molle, diminuée. Rapidement elle retrouve une certaine vigueur et reprend une allure vaillante. Suffisante pour se lancer dans une nouvelle fellation, pour faire glisser son joli bonbon entre mes lèvres, lui branler le manche d'une main en lui caressant les boules de l'autre.

« Ummmh ! »  se dit-elle, « C’est ce qu’il y a de bien avec les jeunes c’est qu’on ne se lasse jamais de les servir... »

Comments

[Scorpi]

En voilà une belle histoire qui fait remonter (et pas que...) des souvenirs !! Encore, encore !