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Histoires de Q
1 mai 2019

Mon frère m’a déflorée

 

C’était l’été de mes 13 ans. Depuis deux ou trois mois j’avais réalisé à quel point mon corps changeait. J’avais mes règles depuis un an et c’est alors que mes ses seins se sont mis à pousser. Mon maillot de bain de l’année d’avant était devenu bien trop petit, la bikini avait du mal à abriter mes fesses et le soutien-gorge laissait déborder mes nichons ; il m’aurait fallu une ou deux tailles au-dessus.

Je me suis rapidement aperçue que les garçons du collège– mais aussi les hommes - n’arrêtaient pas de me regarder, de me détailler, parfois avec insistance.

Je suis dans ma chambre devant mon miroir. Je suis mince, j’ai le ventre plat mais mes fesses commence à s’arrondir. Ça me fait un joli petit derrière bien rond. J’aime bien... Et mes seins… Plutôt assez gros, – sans être énormes par rapport à ma taille - ils me font une belle poitrine dont je suis assez fière. C’est elle qui attire le plus les hommes. L’autre jour quand j’étais chez mon amie, son père n’arrêtait de passer et repasser et chaque fois il en profitait pour me mater.

 
J’entre dans la cuisine pour voir si papa ou maman peuvent nous emmener en voiture chez mes amis. David, mon frère est déjà là, en train de boire un coca. Il a trois ans de plus que moi. Il ne dit pas un mot quand j’entre dans la pièce mais je vois ses yeux me détailler de la tête au pieds. Il mate surtout mes seins. Il n’arrête pas de mater mes nichons ! Aussi, il lui arrive de se cogner dans moi sans le vouloir, dit-il, mais je sais que c’est pour pouvoir toucher un peu mes seins. Papa entre dans la pièce, me regarde, hoche la tête et quand je lui demande s’il peut m’emmener il dit oui, mais il précise : « Tu vas enfiler un tee-shirt par dessus ton maillot. Ce sera mieux pour aller chez tes amis. » Et, se tournant vers maman, il ajoute : «  Ma chérie, je crois qu’il faudrait qu’on lui achète un nouveau maillot de bain, plus à sa taille. »

Avant de partir en voiture avec papa, je vois mon frère qui me regarde à la dérobée. Un peu avant, il m’a dit que j’avais beaucoup grandi ces derniers temps et je sais bien qu’il ne parlait pas de juste de taille et de grandeur, mais plutôt de silhouette. C’est vrai que j’ai perdu ma silhouette de gamine et si ne n’ai pas encore celle d’une femme adulte, mes fesses se sont joliment arrondies et mes seins ont pris une belle forme. David m’a aussi demandé si les garçons essayaient de ma draguer, ce genre de choses. Je lui ai répondu que « oui, quelques-uns. Il essaient tout le temps de se serrer contre moi et je sais bien que c’est pour me toucher les seins.  Il leur arrive de se cogner dans moi accidentellement, ils disent, mais en fait je sais bien que c’est pour me peloter un coup. » David ne dit rien, je crois qu’il s’est reconnu !

J’ai passé l’après-midi autour de la piscine avec ma copine. J’ai pu comparer mes seins. Les seins sont bien plus petits, pas beaucoup plus que juste deux bourgeons . Son père était dans un transat ; il avait mis des lunettes de soleil et il lisait une revue. En fait, je suis certains qu’il essayait de cacher qu’il passait son temps à me regarder les nichons. D’ailleurs à un moment j’ai remarqué qu’il tenait la magasine à l’envers ! C’est arrivé juste quand j’ai sauté du plongeoir : en remontant à la surface un de mes seins était sorti du soutien-gorge et pointait bien ferme sur ma poitrine. J’ai vu le regard du père se fixer sur moi…

En fin d’après-midi, mon père est revenu me chercher en voiture, accompagné de David. J’ai remercie ma copine de m’avoir invitée et, j’ai fait exprès de me coller un peu sur son père pour qu’il puisse sentir la douceurs des seins d’une fille de 13 ans ! Dans la voiture, mon frère a reluqué mes nichons plus d’une fois, surtout que je n’ai pas remis le tee-shirt et que je me suis arrangée pour que mes seins sortent le plus possible ! En plus, je me suis étirée deux ou trois fois pour être certaine qu’il en avait plein le vue. Je trouve ça excitant de savoir que le père de ma copine et aussi mon frère ont les yeux scotchés sur mes nichons…


Je me suis douchée puis je suis descendue dîner. Ensuite nous avons regardé la télé,et je suis montée dans ma chambre. Puis j’ai enfilé un tee-shirt et juste une culotte et, hop, au lit. J commençais à m’endormir quand j’ai entendu quelque chose. La chambre de mon frère et la mienne ouvrent toutes les deux sur une salle de bain. Quelqu’un vient d’entrer dans ma chambre en passant par là.

Une silhouette arrive devant mon lit et vient s’asseoir sur le li à côté de moi. C’est David.

Je me tourne vers lui et je lui demande ce qu’il vient faire. Comme je dois avoir l’air un peu agitée, il me dit de me calmer, et ajoute qu’il n’ a pas pu s’empêcher de venir, il ne tenait plus. Il me dit à mi-voix qu’en me voyant cet après-midi en maillot de bain il a eu une idée qui le turlupine. : Il me dit qu’il voudrait toucher ma poitrine, sentir l’effet que ça fait. Il me dit qu’il sera très doux et il me demande si il peut toucher mes seins, juste une minute. Mon cœur se met à battre et et il me faut une minute avant de pouvoir répondre. Je lui dis que ça me fait tout bizarre mais que c’est OK, qu’il peut me toucher, mais juste une minute, et c’est tout. Il s’est lové contre moi et il n’a qu’à passer son bras gauche derrière moi pour prendre en main mon sein gauche. Je sens la chaleur de sa main à travers le tissu de mon tee-shirt. Il serre délicatement mon nichon, c’est tout doux et je ferme les yeux. Il me murmure à l’oreille qu’il ne s’était pas bien rendu compte de leur taille, que mes seins sont aussi gros que ceux des filles de sa classe – pourtant bien plus âgées que moi, qu’ils sont doux et chauds… Je trouve ça bien agréable de sentir sa main sur mon nichon , mais brusquement il la retire. Je me dis qu’il pense en avoir assez fait et et je suis un peu déçue. Mais pas du tout : sa main descend un peu s glisse sous mon tee-shirt et revient sur mon sein nu. Le contact de sa peau sur la mienne est électrique. Ses doigts ne tardent pas à trouver le mamelon. Il est déjà tout dur ; il le pince et tire un peu dessus. Je crois que j’ai dû pousser une petit cri ou un petit gémissement. Il change de sein et s’occupe pareillement de l’autre en serrant le globe rond et en pinçant ou tirant sur le téton. Je lui avais dit juste une minute mais maintenant je voudrais qu’il n’arrête jamais. Mais tout a une fin ; il m’embrasse sur la joue, me dit un grand merci et retourne dans sa chambre, me laissant seule.

 Je suis toute émoustillée et je ne peux pas retrouver le sommeil. Ma malin descend sur ma culotte et passe dedans. Je suis toute mouillée et mes doigts trouvent mon clitoris gonflé et chaud. Je me masturbe plus ou moins depuis quelques temps et cette fois je n’ai pas besoin de longtemps pou me faire jouir. Je pense aux mains de mon frère sur mes seins et mon orgasme fait tressaillir tout mon corps. Calmée enfin, je me demande si cela restera un épisode unique ou s’il recommencera…. Je m’endors enfin...


Le lendemain, je me sens toute nerveuse. Ce n’est pas que je me sente coupable, mais c’est vrai, les frères ne sont pas censés peloter les nichons de leur sœur ! Je lui souris, il me réponds quand je le vois dans la cuisine pour le petit déjeuner. Papa et maman sont là, il ne faut pas que notre intimité de la veille se voie : mon père tuerait David s’il connaissait notre petite secret. Si nous voulons continuer notre petit jeu, il va falloir faire attention de ne pas se faire prendre. J’essaie d'avoir l’air normale pendant la soirée et de ne pas paraître excitée à l’idée d’aller au lit. Une fois couchée, j’essaie de ma calmer et j’attends. Je finis par me dire qu’il ne viendra pas quand la porte s’ouvre enfin et il entre. Il s’installe dans le lit à côté de moi et me dit à l’oreille qu’il a dû attendre pour être sûr que nos parents soient endormis avant de venir me rejoindre. Je lui dis qu’il a raison et j’enlève immédiatement mon tee-shirt. Je suis allongée sur le dos, il peut me toucher la poitrine comme il veut. Il commence a me peloter en serrant, pinçant, tirant, à pleine main ou avec deux doigts/// et soudain il fait quelque chose d’inattendu. Il se baisse et prend mes tétons dans la bouche.

Sa bouche est chaude et humide et il m’agace un téton à du bout de la langue , aspire et suce puis passe à l’autre pour faire de même. Il joue avec mes seins pendant peut-être une demi-heure puis il me donne un baiser et quitte ma chambre. Se faire sucer les nichons, comme c’est bon ! D’une main je me caresse les seins pendant que de l’autre je joue avec mon minou et mon clitoris. Je jouis à nouveau, comme la nuit précédente. Je suis tellement heureuse que mon frère ait décidé de continuer nos petits jeux nocturnes.
Et pour ce qui est de continuer, ça, il a continué les jours suivants, sans manquer un seul soir.

 

Deux ou trois jours plus tard, alors qu’il est en train de me sucer le nichon, je sens sa main se poser sur mon ventre descendre lentement jusqu’à arriver à la ceinture de culotte. Elle hésite un instant et lentement les doigts se glissent sous l’élastique, continuent à descendre jusqu’à toucher les lèvres de mon minou. Quelle sensation ! J’ai envie qu’il me touche juste comme moi je me touche. Cette fois, c’est bien autre chose que juste jouer avec les nichons de sa sœur. Sa bouche quitte mon sein juste le temps de me demander si j veux qu’il continue. Je lui fais ‘oui’ de la tête. Ses doigts écartent mes lèvres et il se rend compte que je suis toute mouillée. Son index parcourt toute la longueur de ma fente. Il s’enfonce lentement dans moi mais s’arrête ne sentant que c’est comme bouché. c’est que je suis encore vierge. Il retire le doigt et le pose sur mon clitoris. Comme mes seins, il est assez développé pour mon âge. Il sort de son petit capuchon et David joue avec tout en me caressant la minou. Ça me fait décoller et pour le première fois de ma vie, je jouis des caresses d’une tierce personne. Les caresses de mon frère…

Quand ma jouissance s’arrête et que je me calme, il m’embrasse et me laisse. Voilà ! Il a touché mon minou et il ma donné un orgasme. Nos jeux secrets viennent de franchir une nouvelle étape. C’est bien plus sexuel et ça doit rester encore bien plus secret. Je n’arrête pas de me dire qu’il faut que nos parents ignorent tout de nos activités nocturnes. Sans que je ne me le dise clairement, je crois savoir jusqu’où David veut aller, et j’ai bien l’intention de l’y accompagner..

 

Les deux soirs suivants, David est venu me rejoindre dans ma chambre. Je me suis mise nue dans le lit avant qu’il n’arrive pour lui permettre de jouer plus facilement avec mon minou. La veille ont s’est mis à s’embrasser avec la langue. Il m’a dit que je faisais ça très bien. Nos langues se sont mêlées et ça a augmenté notre passion mutuelle.

 

Le troisième soir, je l’attends comme les autres soirs. Il arrive et monte dans mon lit. Je viens me lover contre lui. J’aime qu’il serre mon corps nu mais quand il m’ a serrée contre lui, je m’aperçois qu’il est nu. Jusqu’alors il a toujours gardé son boxer, mais cette nuit il est nu, tout comme moi. Il doit avoir quelque chose en tête mais je ne sais pas exactement quoi. Je me tourne vers lui et je me serre contre lui : je sens la chaleur de son corps nu contre le mien. Je sais que sa bite devient raide et dure quand il joue avec moi. Je ne l’ai encore jamais vue et jamais touchée volontairement. Mais aujourd’hui, nus l’un comme l’autre, je sens son manche dur collé sur moi et je le sens grossir . Il m’a attrapé par les fesses pour mieux se serrer contre moi, et j’ai fait de même. Nos bouches sont jointes dan un baiser qui n’en finit pas, mes seins sont écrasés contre l sa poitrine et je sens ses doigts glisser sur mes fesses pour arriver jusqu’à mon minou. Sa bite est maintenant super dure et je peux dire qu’elle est très grosse. Je n’en ai encore jamais touché et j’en ai vu une ou deux par hasard, celle de garçons à peine de mon âge. Rien de comparable . Certaines de mes copines on déjà joué avec des garçons et à entendre ce qu’elle ont dit sur la taille de la bite des garçons, celle de David c’est autre chose !

 
Je l’entends respirer fort. Tout en jouant avec mon minou, il me demande de lui faire quelque chose. Je luis dit oui et il me demande de prendre sa bite dans ma main et de jouer un pu avec. Il me dit de le faire seulement si je suis d’accord mais il ajoute qu’il est certain que je vais aimer ça. Je lui dit que c’est OK et je lui demande de me montrer ce qu’il veut que je lui fasse. Il se met sur le dos et se redresse. Même si la pièce est dans l’obscurité, on voit un peu clair et pour la première fois de ma vie je peux voir de près une bite en érection. J’ai posé la main sur son ventre, sur son nombril. Son manche est aussi gros que mon bras. Je le regarde fixement. David me tient la main et me la met dessus.

C'est très bizarre pour moi.. C’est chaud et c’est vivant – je veux dire c’est dur mais c’est deux en même temps et ça palpite doucement. La peu est à la fois douce et dure. Je n’ai jamais touché rien de pareil. Je passe doucement la main sur toute la longueur, de bas en haut. Le bout est plus gros, tout chaud et gonflé. Je le touche à l’endroit où il fait son pipi et je sens une sorte de vibration.

Sa bite est trop grosse pour mes mains et je dois me servir des deux pour jouer avec. David me montre comme il aime se faire branler. Pendant que je fais comme il me demande, il continue à s’amuser avec mon minou .

Au fil des va et vient, ma branlette s’améliore et commence à exciter mon frère. J’alterne la vitesses et les mouvements pour lui donner le plus de plaisir possible. Je joue avec sa bite depuis environ une demi-heure quand soudain je l’entends se mettre à grogner. David sent qu’il perd le contrôle qu’il avait jusque-là et il me dit qu’il va gicler. Je sais ce qu’il veut dire, car si je n’ai jamais vu un garçon le faire, mes copines m’ont raconté ce qui se passe, que son… comment il dit ?... son foutre allait jaillir par le trou à pipi ; et j’ai aussi vu des vidéos sur internet. Mais le voir pour de vrai… Et maintenant que c’est sur le point de se passer, j’ai vraiment envie qu’il jute. Je le branle un peu plus vite, il ferme les yeux. Mes deux mains enserrent son manche, elles montent et descendent dessus et je le sens frisonner. Je ne sais pas exactement ce qui va se passer, peut-être juste deux ou trois gouttes. Une énorme giclée jaillit du bout de sa bite et ça m’arrive dans les cheveux. Je ne lâche pas le manche et une deuxième éruption jaillit aussi fort que la première. Il y en a tellement, je n’en crois pas mes yeux. Je me dit que David va se vider, tant il jute. J’en suis couverte, et mon frère aussi.

Je reste là sans bouger et sans pouvoir dire un mot. J’entends sa respiration saccadée. Il ouvre les yeux et me regarde. Puis il me prend par la main et m’emmène dans la salle de bain. On se nettoie l’un l’autre, non sans se faire quelques caresses. Même une fois molle, sa bite est surprenante : elle pend comme une trompe d’éléphant.

 

C’est ainsi que chaque nuit est un moment pour nous retrouver, pour qu’il joue avec mes seins et s’occupe de mon minou et moi pour que j’entoure sa bite de mille attentions.

C’est qu’il m’a appris à embrasser sa queue et à la sucer. « Tu fais comme si c’était une sucette » m’a-t-il dit.

Et un soir, avec un mélange d’appréhension et de gourmandise j’enfourne son pénis dans ma bouche et je referme mes lèvres sur sa hampe. Il est vraiment gros et me remplit complètement la bouche. Je le suce comme il m’a dit de la faire et comme j’ai vu faire dans des vidéos. Mes lèvres montent et descendent sur sa queue, je m’attarde sur son gland que je lèche et que je titille. Sa queue est raide comme du bois 
« Arrrrhh, ne t’arrête surtout pas maintenant , c’est trop bon. »
Ses encouragements me font redoubler d’ardeur. 

Il m’a dit qu’il me préviendra quand il sentira que son sperme va jaillir, que je ne suis pas obligée de l’avaler et que je peux retirer ma bouche à ce moment. Effectivement à un moment il grommelle qu’il ne tient plus et il essaie de se retirer de ma bouche, mais je me serre contre lui. Deux secondes plus tard, il décharge en poussant une espèce de rugissement. Je le reçois avec plaisir et j’’arrive à avaler la plus grande partie de son abondante s épaisse liqueur. Alors c’est ça le foutre ...C’est un peu salé, très épais, pluôt trop collant, mais j’aime bien. « Tu aimes ça ? » il me demande d’un ton plutôt mi-excité, mi-inquiet.

« C’est délicieux. Tu veux goûter ? »

« Je connais déjà… mais je préférerais autre chose, autre chose que toi tu vas aussi beaucoup aimer. J’ai envie de te donner le même plaisir que celui que tu viens de me donner. »

Il se baisse et sa bouche vient se poser sur mon minou. Il commence à lécher tout autour. Je ressens comme un grand coup d'électricité dans mon bas ventre. Je ne peux m’empêcher de pousser un petit cri de plaisir en sentant cette caresses encore inconnue. Il continue à faire aller et venir sa langue en essayant de l’enfoncer un peu.. Je me sens toute drôle tellement c’est bon ! Ummmh ! Et sur le clitoris ! J’écarte largement les cuisses pour lui faciliter l’accès.

« C’est bon… ohhhh ! »

En même temps, il me pince et me tortille les nichons, ce qui m’excite encore plus. J’en deviens presque folle.

Je ne peux me retenir de gémir en sentant toutes ces décharges de plaisir qui me strient le corps Je suis toute trempée de mouille, il me lèche, me suce le bouton, fait claquer sa langue dessus, me doigte, me lèche encore… Je pousse un dernier cri, mon ventre se contracte de plus en plus et j'explose comme une fontaine dans sa bouche. L’orgasme m’emporte, me laissant une minute sans réactions.

« Ça va ? »me demande David.

Inerte sur le lit, je lui murmure quelque chose comme « C’est trop bon » et je me laisse aller…

 

Encore quelques jours… On est maintenant en octobre et je vais avoir 14 ans. Comme les autres jours, ce matin-là je descends à la cuisine prendre le petit déjeuner et je souris en pensant à ce que nous faisons et au fait que personne ne se doute de rien, mes parents en premier, bien que maman m’ait une fois ou deux posé des question sur mes draps. David et moi, on a toujours essayé de les nettoyer mais je suppose qu’il a pu nous arriver d’oublier une tache. Mais comme elle n’a jamais insisté sur cette histoire de draps, on s’est toujours dit qu’elle ne suspectait rien… Avec David, nous sommes devenus très intimes et chacun connaît chaque centimètre carré du corps de l’autre. J’adore cette histoire secrète qui nous unit et j’adore donner du plaisir à mon frère et, naturellement, en recevoir de lui. Tout cela a commencé deux mois plus tôt, simplement parce qu’il avait voulu toucher mes seins. Ce matin là, je sens qu’il est d’humeur très câline et profitant qu fait que maman a quitté la cuisine quelques instants, il m’embrasse, me glisse à l’oreille qu’il a hâte d’être à ce soir.

 

Je suis déjà couchée et je l’attends. La porte s’ouvre sans bruit, une silhouette se glisse dans mon lit et se serre contre moi. Nos bouches se cherchent et se trouvent, nos mains s’égarent pour jouer sur le corps de l’autre. Il me dit qu’il veut me demander quelque chose. Il me demande si je trouve ça bizarre qu’un frère une sœur fasse ce qu’on fait. Je lui dit qu’au début ça m’ a un peu gênée car je sentais bien qu’on ne faisait pas comme les autres, mais que j’aimais lui faire plaisir et que je trouvais qu’on était si bien ensemble.Il me sourit, dépose un léger baiser sur mes lèvres et me murmure que je suis bien plus pour lui que sa petite sœur et qu’il ne fait rien sans être certain que je vais aimer ça et que ça va nous rapprocher davantage... Puis il me dit qu’il va demander autre chose ; qu’il adore que je le branle et que je le suce mais qu’il a besoin d’autre chose. En entendant, mon coeur se met à battre la chamade. Il voudrait essayer de mettre son sexe – au moins le bout – dans mon minou.

Je pense à la taille de sa bite,. Comment peut-elle entrer dans moi ? Je lui dis que j’aimerais bien essayer mais je suis certaine que ça ne marchera pas, sa bite est trop grosse. Il me réponds qu’on peut tout de même essayer, il pense que ça ira et puis, il a en tellement envie , ajoute-t-il. Je veux savoir si je serais encore vierge s’il ne rentre que le bout de son engin.Il en dit que oui tant que le pucelage n’est pas brisé. Finalement j’accepte l’idée et je lui dis que c’est d’accord, il peut se mettre dans moi. J’ai déjà vu des vidéos avec différentes positions mais je ne sais pas quelle serait la meilleure dans notre cas. Il me dit que le mieux serait certainement qu’il se mette sur le dos et que je m’accroupisse sur lui pour le chevaucher. Ainsi, je pourrais le prendre à mon rythme et m’arrêter si ça me faisait mal.Il pourrait aussi tenir sa bite pour qu’elle soit au bon angle. Je regarde David, hoche la tête et me met à rire. Comment sa grosse… son gros manche va-t-il réussir à entrer ?

Cette discussion m’a chauffée et je mouille fort. Je dis à David d’aller voir si nos parents sont bien endormis. Il sort du lit, ouvre la porte du couloir, disparaît un instant avant de revenir pour me dire qu’il les entend ronfler. Il remonte dans le lit; se met sur le dos et se branle quelques secondes pour redonner à sa manche toute la rigidité qu’il souhaite. Je m‘installe à califourchon sur lui. Installée comme je suis, en regardant en bas, c’est entre mes seins que je vois sa bite en pleine érection, dressée pour me pénétrer. Je me dis qu’il est temps d’essayer. Je me mets à genoux de part de d’autre de ses hanches. Il prend son lourd manche en main, le tient dressé bien en position. J’avance un peu et je le sens toucher mon minou. J’arrête, le temps de me dire qu’il est maintenant trop tard pour reculer . Je frotte son bout contre ma fente pour le mouiller et le lubrifier. Il ma dit que tout va bien et qu’il faut seulement que j’y aille doucement.

Je sens son gos bout posé sur l’entrée de ma fente. Je me dis que, tout compte fait, vu la taille, ça devrait rentere sans trop de mal. Je reteins ma respiration en le sentant appuyer. J’ai même pas 14 ans et me voilà en train d’essayer de faire entrer la bite de mon grand frère dans moi ! Le gros bout à la fois dur et doux commence à m’élargir et maintenant, je n’ai plus qu’une seule envie, l’avoir complètement dans moi. Je dois m’arrêter quelques secondes puis je pousse à nouveau. Je me sers de mon poids pour m’enfoncer. Il me dit que je fais ça très bien et qu’il n’y a plus qu’un petit bout à mettre. Les muscles de son ventre se crispent quand je pousse à nouveau sur cette tige qui me pénètre peu à peu. Je sens que tout le gros bout est passé. Je n’arrive pas à y croire, la grosse bite de mon frère est dans mon minou. Je ne bouge plus, juste pour ressentir cette sensation d’être remplie, une étrange sensation inconnue.

Je me rends compte que son gros est enfoncé jusqu’à mon pucelage. Je suis encore vierge, strictement parlant, mais plus pour très longtemps.

 Un peu haletants, un peu mal à l’aise, nous nous regardons, David et moi. Ils est dans moi, même s’il n’y a encore que le bout d’entré. Il me demande si je l’aime et si j’ai confiance en lui. Je lui réponds que oui, naturellement. Il me dit qu’il m’aime aussi et qu’il ne veut pas me faire mal, mais qu’il ne peut pas s’empêcher de me faire ça. Je ne comprends pas clairement ce qu’il veut dire. Ses mains sont sur mes hanches. Je suis installé sur lui, en position pour la suite , sa bite dans moi qui appuie sur mon pucelage. Soudain, je comprends ce qu’il voulait dire. Je vais lui dire non, qu’il ne faut pas qu’’il le fasse, mais je le sens appuyer sur mes hanches pour m’enfoncer dans lui Brusquement mon pucelage se déchire et sa queue entre profondément en moi.J’ouvre la bouche pour lui dire quelque chose mais je ne parviens pas à sortir une seul mot.

 

Je ne suis plus vierge.

Je me mets à pleurer mais pas à cause de cela. Mais parce que ça me fait mal.Je pousse quelques cris; il me serre contre lui, sa bite toujours enfilée dans moi. Il me dit qu’il sait bien ce que ça fait mais que ça ne va pas durer et qu’après ce sera bien. Mon frère a pris mon pucelage et c’est très bien comme ça.

J’espère qu’il a raison quand il dit que ça va aller mieux mais pour le moment ça me pince et ça me pique toujours. Il me fait rouler sur le lit pour se retrouver sur moi. Il commence des va et vient très lents. Je serre les dents en sentant sa bite s’enfoncer encore plus loin dans moi. I

David essaie d’être aussi doux que possible, considérant l’état de mon minou. Il me dit que je suis super étroite mais que c’est chaud la-dedans. Je sens effectivement que tout mon ventre est en feu.

Il pousse un peu plus fort et je sens qu’il est a fond sans moi. Il m’a emplie totalement même si tout sa bite n’est pas entrée. Je me dis qu’il doit en avoir une particulièrement longue et grosse.

David avait raison une minute plus tôt : le gros de la douleur est passé. .Ça me fait encore mal, mais c’est un mal presque agréable.

Puis il me dit qu’il ne va pas durer encore longtemps. Je me demande ce qu’il veut vraiment dire, si c’est qu’il va jouir ? Alors où il va gicler ? Est-ce qu’il va juter dans mon minou ? J n’ai encore jamais vraiment pensé à ça, où il va se vider…Je finis par me dire que le meilleur endroit c’est dans moi, et je lui dis d’ y aller. Sans me répondre, je le sens me pistonner plus fort, bien à fond et se sens son foutre jaillir dans mon ventre.

On perd le contrôle tous les deux. Il jouit dans moi et moi, à peine 14 ans, je jouis à mon tour en recevant les dernières giclées chaudes de mon frère.

Lentement il retire sa bite à demi débandée de mon minou défloré. Je fais une petite grimace en le sentant sortir en faisant une sorte de ‘pop’. Je sais que mes draps doivent être tout tachés mais je m’en fiche. Nous nous serrons l’un contre l’autre et nous nous endormons. Nous sommes frère et sœur mais aussi maintenant des amants et ça change tout. Quand je me réveille, il est reparti dormir dans son lit plus tôt dans la nuit. J’enlève mes draps et je mets des draps propres avant que maman ne les voient. Je partageais déjà un secret avec David, mais maintenant nous partageons le secret suprême qu’un frère et une sœur peuvent partager. Il a pris ma virginité. Nous avons des rapports sexuels et rien ne peut changer cela.

 

Nous avons continué à faire l’amour ensemble pendant deux ans. Puis il a dû partir à l’université. La séparation a été dure, même si lors de ses premières vacances il est aussitôt revenu dans mon lit pour des ébats passionnés…Puis le temps a passé peu à peu. Si nous ne faisons plus l’amour, c’est toujours comme si nous étions amants, nous sommes restés très fusionnels, aussi proches l’un de l’autre que des vrais amoureux, qu’un vrai couple….

 

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Ouch ! ça promet d'être chaud  et de compléter joyeusement les Histoires de Q !

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