Plus on est de fous, plus on jouit!

Ma femme et moi sommes ensemble depuis une dizaine d’années et nous sommes totalement fidèles l’un à l’autre, ce qui ne nous a jamais posé aucun problème car nous nous aimons et, du point de vue sexe, tout va bien entre nous.

C’est vrai qu’elle était vierge quand nous nous sommes rencontrés et, il faut le dire, un peu coincée.

Mais peu à peu elle a laissé sa libido s’exprimer jusqu’à me surprendre parfois par certaines réactions que je n’aurais jamais attendues de sa part. Par exemple, je lui demandais depuis longtemps de se raser la motte, mais elle ne voulait rien entendre. Je m’étais même rasé aussi en me faisant de belles couilles roses pour essayer de la convaincre, mais en vain. Jusqu’à un certain soir où, en rentrant du travail je la trouve en train de jouer avec son minou avec deux doigts, mais surtout un minou complètement rasé, avec une belle fente bien visible entre deux grosses lèvres. Inutile de dire que ce soir là on ne s’est pas endormi de bonne heure ! Ce fut un peu pareil pour ce qui est du sexe anal. J’en avais envie depuis longtemps, mais ça ne disait rien à ma femme. Elle était d’accord pour me mettre un doigt par là et me doigter un peu mais pas que moi je mette ma queue par derrière !Et puis, quelle surprise un soir ! Je venais de lui faire un massage sensuel, j’avais bien insisté sur son minou, je lui avais aussi caressé la rosette ; j’avais bien chauffée ma chérie. Elle se trouve alors allongée sur le ventre et du bout de ma bite, je m’amuse à la pénétrer brièvement par la chatte avant de ressortir ou à faire glisser ma bite sur toute la longueur depuis son clito jusqu’à la raie des fesses. Au cause du massage tout est plein d’huile, donc bien lubrifié,à un moment ma bite se pose sur sa rosette. Je pensais qu’elle me repousserait mais au contraire, je la sens pousser du cul contre moi. A mon tour, je pousse un peu et le bout de ma bite de force le muscle de l’anus et s’enfonce dans le cul. A nouveau je m’attends à une réaction négative, un refus, des cris mais au contraire je suis stupéfait de constater qu’elle continue de pousser jusqu’à ce que presque toute ma bite soit enfoncée dans son cul...Elle se retourne et me fait un grand sourire tout en passant une main derrière elle pour me caresser les couilles.

« Vas-y mon chéri, encule-moi. Prends- moi par là, » elle me murmure. Comment refuser une si charmante demande ? Je la bourre et en quelques minutes je lui envoie une belle décharge qui lui remplit les entrailles. Quand je décule, je ne peux m’empêcher de regarder fixement ce trou béant et mon foutre qui en recoule doucement.

Avec ces petits jeux et toutes les bonnes idées et toute la bonne volonté (!) de ma chérie, vous comprenez pourquoi je ne me suis jamais ennuyé dans ma relation strictement monogame. Pourtant il y a certains fantasmes que je garde secrets. Des fantasmes de sexe à trois ou même à plus encore mais je n’en ai jamais parlé à ma chérie. J’aurais trop peur qu’elle ne voie pas que c’est juste un fantasme et qu’elle comprenne qu’elle ne me satisfait pas et que je veux aller avec une autre femme. Non, je ne veux pas qu’elle croie ça !

Un soir, nous étions au lit et nous regardions une vidéo . Il y avait une scène dans laquelle un couple faisait l’amour devant un autre couple. La scène était bien chaude et elle nous a donné des idées salaces. A un moment ma femme a fait cette remarque : «  Tu nous ’imagines avec un autre couple en train de baiser là, juste devant nous ? Ça doit être excitant. » Et ce soir-là elle a eu une orgasme super explosif...

Malgré ce qu’elle a dit ce soir-là, je suis resté persuadé que le sexe en groupe ne serait jamais plus pour elle qu’un vague fantasme, rien d’autre, et que jamais il ne lui viendrait jamais à l’idée de faire ça avec un autre couple, et encore moins de de participer à une partouze… Le simple fait d’en évoquer l’idée - que ce soit avec avec un couple d’amis ou avec des inconnus - non ce serait impossible…

Il se trouve que l’été dernier nous sommes partis en vacances avec un autre couple, Marc et Tia. En fait, ce sont plutôt des amis de ma femme alors que moi, je ne les connais moins. Ma femme et Tia ont longtemps travaillé ensemble et sont devenues de vraies amies, des copines, je pourrais dire. Quant à Marc et Tia, ce sont des camarades de classes depuis le collège et ils se se sont mariés un an après nous. Tout comme nous, je suis à peu près certain que ni l’un ni l’autre ne sont jamais allés avec d’autres.

Nous étions chacun dans un petit appartement en bord de mer, Deux apparts mais avec une entrée commune. Nous étions chacun chez soi , mais il était facile d’aller boire un verre chez l’autre et de passer la soirée ensemble. On passe toujours de bonnes vacances avec des amis, surtout quand ce sont des gens sympa et cool comme Marc et Tia.

Un soir, alors qu’on était tous les quatre sur la terrasse , on a fait quelques petits jeux, écouté de la musique, regardé deux ou trois vidéos, etc tout en buvant des cocktails que Marc sait si bien préparer. Une bonne soirée probablement un peu trop arrosée... J’ai fini par m’apercevoir que que Tia devenait très amoureuse quand elle était un peu partie. Toute son attention était dirigée sur Marc qui, lui, semblait apprécier les petits gestes de tendresse.

Vers minuit, j’étais assis sur la canapé, ma femme à côté de moi. Elle avait posé la tête sur mon épaule. Marc était sur le canapé en face et Tia, dansait au milieu de la pièce. Quand la musique s’est arrêtée, elle est venue s’asseoir sur les genoux de Marc, se blottir dans ses bras et ils se sont mis à s’embrasser. Elle avait une robe d’été légère et courte ; elle nos tournait le dos si bien que quand Marc a voulu lui caresser le dos et les fesses, sa robe a fini par remonter et exposer son derrière à peine caché par un string tout mini.

J’ai regardé ma femme en me disant qu’en les voyant ainsi occupés l’un avec l’autre, elle allait partir pour les laisser ensemble en toute intimité mais je me suis aperçu qu’elle gardait les yeux fixés sur Marc et Tia, fascinée par ce qui se passait en face d’elle. Je suis sur la point de lui dire qu’on devrait les laisser seuls, quand je sens la main de ma femme se poser sur mon paquet et le serrer doucement. Ma bite, qui avait déjà commencé à prendre du volume avec qui se passe en face, se met à gonfler encore plus vite et se dresse bien droite rapidement.

Marc a complètement relevé la robe de Tia, il a allongé sa compagne sur le canapé et le voilà qui commence à baisser son string ; C’est alors qu’il se tourne pour nous jeter un coup d’œil puis, il met sa tête entre les longues jambes de Tia et se met à lui manger le minou. Au même moment, je sens ma femme qui baisse mon zip et cherche à sortir mon bâton d’amour adoré (!)

Un coup d’œil au couple sur l’autre canapé : il enfonce sa langue aussi loin qu’il le peut et lui titille le bouton. le bouton entre ses doigts ; sa langue lèche la fente sur toute sa longueur, s'enfonce dans la chatte trempée, remonte embrasser l'œillet, y enfoncer le bout de la langue.

Le plaisir de Tia semble proche, les gémissements s'amplifient et, la première, et elle jouit dans une longue plainte qui la laisse quelques instants incapable de bouger.

Ma femme se met à me sucer, sortant parfois mon manche de sa bouche pour lécher les couilles, elle m’engloutit le plus loin possible, ses mains caressent mes couilles, s'aventurant même jusqu'à ma rosette dans laquelle un doigt tente de s'enfoncer. Mes gémissements couvrent les autres bruits.

Soudain ma femme bondit du canapé et se met nue en deux secondes et elle se tourne vers Marc en écartant les jambes pour lui faire voir sa chatte dégoulinante de mouille, puis elle se jette littéralement sur moi et se place de façon à ce que ma bite puise la pénétrer. Un coup de reins et, accueilli par un "ah" de plaisir, les couilles collées sur ses fesses , toute la longueur de mon manche s’enfonce dans elle. Je la lime plusieurs minutes minutes sous les yeux de nos amis. A la fin, je lui donne deux ou trois derniers grands coups de reins et un orgasme la secoue. Ceci déclenche une réaction en chaîne chez moi et chez nos amis : j Je sens mon corps se crisper, et je me libère et me répands en elle, lui emplissant la chatte de ma crème chaude, le meilleur de moi même...

En même temps ou presque, j’entends Tia parvenir à un nouvel orgasme dans un long cri.

Je me souviens vaguement que ma femme se lève et disparaît avec Tia dans la salle de bain. Je suis encore à moitié habillé la bite encore fièrement dressée et mon short autour des genoux. Marc et moi, nous nous regardons et nous nous mettons à rire. Les filles ré-apparaissent peu de temps après, complètement nues et tout à fait à l’aise, semble-t-il, dans cette tenue devant les maris.

Ma femme s’assoit à côté de moi et se met à me branler le manche. Elle me regarde et demande si je suis prêt pour la suite.

« Oui, en route pour une deuxième tournée », je dis.

« Parfait », dit-elle « parce que Tia veut que tu la prennes par derrière, dans le cul, pendant que Marc va lui enfiler la chatte. »

J’en reste ba-ba… elle veut que je l’encule…
Pas vraiment certain d’avoir compris ce qu’elle me dit, je me tourne vers ma femme, l’air interrogateur.
« Vas-y mon chéri, prends la, dans le cul… une sodo. C’est ce qu’elle veut !»

D’abord, il faut que je rebande et après l’orgasme que je viens d’avoir, ça ne sera pas facile…

Tia me masturbe à deux mains pendant que ma femme me caresse le torse, le dos, les fesses. Elle frotte son corps contre ma peau et grâce à ces deux bonnes cochonnes, je suis très vite au garde-à-vous. Je m’approche de Tia qui a un air de chaudasse dans le regard. Elle finit de branler Marc qui maintenant est aussi aussi dur et raide que moi. A peine suis-je à sa portée qu’elle tend le bras, m’attrape la bite et se met à l’embrasser et à la lécher, du gland jusqu’aux couilles. Après une minute ou deux, je passe une main dans son dos jusqu’à son joli cul. Je tourne la tête pour voir ce que fait ma femme : elle joue avec son clito et sur le visage elle un un air de putasse en chaleur aussi visible que sur celui de Tia.

Mon doigt est maintenant posé sur le trou du cul de Tia et d’une poussée j’enfonce l’extrémité. Elle pousse un grognement. La facilité avec laquelle mon doigt est entré me fait penser que les femmes ont dû mettre du lubrifiant pendant qu’elles étaient dans la salle de bain. Juste un coup de reins et ça pénètre. C’est chaud, humide et serré. En même temps, Tia se fait enfiler par son mari, qui lui pistonne la chatte. Je sens Tia repousser un peu Marc pour me faire de la place et bientôt elle est enculée à fond avec mes couilles posées sur ses fesses. Puis Tia pousse lentement sur Marc et je sens sa bite glisser contre la mienne, séparée par seulement une fine membrane. Lui et moi, on prend le rythme et comme je viens de jouir, je n’ai pas de mal à m’y mettre : quand je rentre, lui il sort, et inversement, ce qui permet à Tia de s’adapter à nous en remuant les hanches pour bien nous recevoir. Une double pénétration douce et lente qui lui donne un maximum de plaisir si bien qu’elle enchaîne les séries de convulsions orgasmiques qui la tétanisent, la laisse pantelante, le ventre agité de soubresauts, empalée, ouverte par deux pines en feu.

A un moment, je sens qu’on me touche le dos. Je jette un coup d’œil ; c’est ma femme qui vient se joindre à nous. Je sens son genou appuyer sur mon dos, elle se baisse et se met à me bouffer les couilles, les lécher, les prendre dans sa bouche et jouer avec en les roulant avec la langue. Et à la façon dont Marx grogne de plaisir lui aussi, je comprends qu’en même temps que les miennes, elle lui mange aussi les roubignolles.

Brusquement Marc s’exclame qu’il est sur le point de jouir et Tia lui demande de la remplir. Je ne suis pas loin derrière, mon orgasme approche. Je sens Marc changer de rythme, accélérer et biter Tia plus fort et plus à fond. Soudain, elle s’écrie qu’elle sent les giclées de foutre lui arriver dans la chatte.

Ça me chauffe furieusement dans les baloches, surtout que le cul de Tia me serre la bite : je sais que je vais bientôt jouir quand ma femme m’écarte les fesses et se met à me lécher le trou du cul. C’est trop, c’est plus que je peux supporter et après deux grands coups de piston, j’explose dans la ventre de Tia, En lâchant un puissant cri de jouissance, je me vide dans elle sans me retenir, la bite palpitante…. Je sais qu’il faut que je retire ma queue à la fin, mais elle continue à palpiter et mon plaisir se prolonge encore. Le pied !

A la fin, complètement vidé, je décule et je m’écroule sur le canapé. Et alors, j’en prends plein les yeux : le cul de Tia tout ouvert qui commence à laisser couler mon foutre qui s’étale sur les couilles de Marc et ma femme qui, sans perdre une seconde, lèche et lape avidement ma sauce chaude et gluante.

Ummmh,voilà ce que j’appelle de bonnes vacances !