Un orchestre de chambre pour une symphonie sauvage

Auteur : Hornyboy   4973 mots - QQQ -  MFM - consent - hétéro - oral - anal - double pénétration 

Des premières fois ou presque pour les personnages de cette histoire ( pour elle, première fois avec deux hommes et une de ses premières soso; pour lui, première ’vraie’ pipe)

Je tourne la clé de contact, le moteur démarre, je passe une vitesse, et voilà,  je suis partie !  En route, en route pour une nouvelle ville, un nouveau travail, une nouvelle vie, loin d'un mari qui m'a quittée il y a quelques mois. Dix ans de mariage et dix ans de cocuage.... J'ai tout fait pour le garder, j'ai tout accepté de sa part, ses mensonges, ses coucheries, mais  quand ce vieux cochon de 40 ans est parti avec une nana de 18  en  m'insultant et en me menaçant, ça a été trop et  j'ai décide de mettre fin à ce mariage raté. J'ai obtenu le divorce sans difficultés et aujourd'hui. Je quitte donc les grisailles du nord de la France et je vais m'installer près de Montpellier… Ce soir je serai chez moi, dans mon nouvel appartement, vraiment libre… Une femme libre… 

Au péage à l'entrée de l'autoroute, deux jeunes hommes font du stop. Habituellement je ne prends pas de stoppeurs, mais je me sens d'humeur si joyeuse que j'en envie de partager mon euphorie du moment. Je suppose qu'ils vont à Paris, et moi, je passe par là….  Et en plus, ils sont propres et bien mis, pas le genre routard un peu loqueteux et sale que je déteste.

Les voici dans la voiture.  Yann et Axel. Le premier me dit avoir 20 ans et être étudiant   et le second  juste 18. «  Et comme Axel ne vous le dit pas car  il n'aime pas se vanter, il vient juste de  passer le bac, et avec mention 'bien'. »

« Vous êtes des frères ?

«  Non, des copains mais c'est comme si on était des jumeaux, on se connaît depuis la maternelle. » On parle, on bavarde et j'apprends qu'ils partent dans le midi pou un festival de musique près d’Avignon.  

« Quel genre de musique ?  Plutôt rock ?  Rap ? Folk ? Ou quoi encore ? »

« Non, classique. Nous faisons partie de l'Orchestre des Jeunes des Hauts de France. Moi je  joue du violon », dit Yann » et lui de la flute.  On va avoir des master class et on finit en donnant un concert  public.»

Ouah ! Ces garçons me la coupent…  « Et vous faites tout ça, plus vos études ? »

« Oui, pas toujours facile de  mener les deux de front, les études et les heures de conservatoire. il ne reste pas beaucoup de temps pour autre chose. »

« Comme pour les filles, par exemple... »

Oui, c'est vrai, c'est  assez calme de ce côté-là, » précise Axel.

« Mais on compte bien profiter des vacances et se rattraper le temps perdu... » ajoute Yann.

Plus on parle, plus je me dis que ce sont vraiment des garçons comme on n'en fait plus, sympa et gentils Pour le coup je leur propose de les emmener  non pas jusqu'à Paris mais jusqu'à Montpellier. Ils sont ravis d'avoir trouvé un transport qui les emmènera presque à destination.

A mon tour, je leur parle un peu de moi. Je passe rapidement sur mon mariage malheureux, et je leur explique que je commence une nouvelle vie, que je vais m'installer près de Montpellier où j'ai trouvé un travail et,  j'ajoute même qu'ils pourraient venir m'aider à vider les cartons de mon  déménagement et installer mon nouvel appartement. Les garçons sont immédiatement d’accord et quand je leur dis que je plaisantais, Yann me répond que je leur rends service en les transportant en voiture  et alors qu'il est bien normal que eux, à leur tour, me rendent un service.  

« Merci, c'est très sympa de votre part mais je ne voudrais surtout pas vous transformer en déménageurs ou installateurs d'appartement. Vous êtes en vacances, profitez-en... »

Les kilomètres défilent, la fatigue vient aussi  et comme Yann a son permis, je lui laisse le volant pour pouvoir me reposer un peu.

 Assise sur la banquette arrière, je somnole à demi. A un moment je me surprends en train de penser à Yann. Je l'entends rire. J'entrouvre les yeux  pour apercevoir ses épaules et sa carrure. Juste à cet instant j'’aimerais pouvoir m'appuyer sur son épaule. Elles pourraient signifier, puissance, protection virilité... Je  repense à lui un peu plus tôt lors d'une halte : l'allure et la la démarche d'un  mâle conquérant avec sa poitrine large ses hanches fines, ses fesses rondes… Je repense aussi au petit sourire dont il m'a gratifiée un peu plus tôt et qui a eu le don de faire naître dans mon dos un long frisson, un frisson presque érotique, presque un frisson  de désir, un frisson qui fait que je me sens vivante, pleine d'énergie, vivante, neuve.  Je rougis quand je détaille comment se garçon est fait…. J’ai brusquement envie qu’il me mange.

Et Axel !  Ses boucles blondes. En fermant les yeux je  m'imagine son corps, un corps d'ado qui n'a pas encore la fermeté de celui d'un adulte mais qui est toutefois masculin, comme seuls les jeunes hommes peuvent le paraître.  Le genre de garçon qui doit rendre fou les filles de 15 ou 16 ans…  Je me secoue : je ne vais quand même pas me faire des idées pour ce gamin… Son petit short accentue la forme de ses fesses à la fois fermes et voluptueuses et ses cuisses fines et bien musclées. 

Je ne peux plus chasser de ma tête toutes ces images qui montrent le désir ou l'envie de leur plaire… Et en plus, ils sont deux… Quelle nana n'a pas fantasmé d'avoir deux beaux mecs en même temps ! Etre l'objet de toutes les attentions pendant deux fois plus longtemps, le paradis ! 

J'entends Yann et Axel  parler : ils cherchent sur leur portable un terrain de camping où je pourrais les déposer et où ils passeraient la nuit. Oui, nous sommes presque arrivés à destination et nos chemins vont se séparer.  Je me sentais bien avec eux, avec ces deux garçons qui auraient pu être les enfants que je n'aurai jamais et dont j'ai rêvé ou peut-être les amants que je n’ai jamais connus….  

Je sais bien que toute rationalité est en train de me quitter, et je m'abandonne… il faut que je leur dise… Ils sont brutalement devenus l’objet de mes rêves et de mes tentations, presque une obsession…  

Je me sens totalement submergée par un désir auquel je ne peux résister. Il faut que je me lance, il le faut.

« Dites, les  garçons, vous m'avez proposé plus tôt de me rendre un  service et de venir  déballer mes affaires et ranger l'appartement.  Alors, si vous êtes toujours d'accord, pour moi c'est d'accord aussi... Mais euh… j'ai un autre service à vous demander. ...Je crois que vous trouverez que c'est un service super cool. » Je sens que mes joues se sont  empourprées. Pour me donner une contenance face à une demande qui me fait peur mais qui m'obsède, je fouille dans mon sac et je leur débite d'un seul trait sans les regarder :  « Voilà, j'ai tellement envie de vous. J'aimerais qu'on couche ensemble. Qu'on fasse  l'amour., tous les trois... » Je ressens des frissons parcourir mon corps, 

Ils me regardent presque avec effarement. 

La demande les a tellement surpris qu'ils restent sans voix pendant quelques secondes,  et c’est Yann qui  parle le premier :

«  Qu’est-ce que vous dites ?  Vous voulez qu'on bai… qu'on fasse l'amour   ?»

« Oui, avec vous deux… Tous les trois ensemble. »

Je le vois  détourner son regard vers son copain avant qu'il ne revienne  vers moi pour m'observer avec de grands yeux étonnés.  Je continue :

« J'ai envie d'être seule avec vous deux  et on pourrait  découvrir beaucoup de choses coté sexe … et à trois c'est plus sexe ! C'est plus fun -  les garçons ! - Vous n'avez pas envie  de vous faire une femme  dans votre lit pour une nuit qui pourrait être torride ? »  Ils ne répondent  toujours pas. Je continue : « Sauf, bien sûr, si vous trouvez que je suis trop vieille eu trop moche. » Une seconde plus tard,  Axel répond :

«  Non, vous êtes si belle et si...  attirante et sexy...»

« Vraiment ? Tu me trouves excitante ? » Il n'ose pas répondre. Je pose la  question à Yann qui se tait lui aussi.

« Allons réponds-moi, n'aie pas peur. Ca me plaît quand on me dit que je suis attirante. »

* * *

Inutile de dire qu'il n'a pas fallu longtemps pour que Yann et Axel surmontent leur surprise, acceptent et commencent même à me toucher, à me caresser tout en conduisant Nous nous retrouvons rapidement dans un hôtel en bordure de l'autoroute, une chambre pour trois, évidemment.

En entrant dans la chambre, je suis à la fois excitée et nerveuse. Les garçons ne le savent pas mais ce sera ma première fois avec deux hommes en  même temps. Il a fallu que j'attende d'approcher la quarantaine pour en arriver là…

On se trouve tous les trois debout au milieu de la pièce.  La gêne est palpable, je sens qu'il faut que prenne l'initiative.

« Je vous sens bien tendus, … Mettez vous à l’aise. Je vais prendre un douche pendant ce temps là. »  Par la porte restée entrouverte, j'entends quelques bribes de conversation «... une cochonne... » « lui défoncer la chatte... »  Tu t'es déjà fait une vieille comme elle ? »« une pipe juteuse » « Ok, et moi dans le cul... »  Je me rends compte que la soirée va être chaude… c'est bien ce que je voulais…  

« Ils veulent se faire une cochonne », je me dis, «  ils vont en avoir une. »  Je sais comment exciter un homme presque jusqu'à ce qu'il m'implore de le faire jouir et je me dis que je vais bien m'amuser  avec les deux garçons, surtout Axel, qui n'a encore pas beaucoup d'expérience.

Je réapparais quelques minutes plus tard enveloppée  dans une serviette qui   cache tout juste ma poitrine et mon ventre mais laisse deviner des courbes que je sais être appétissantes...

Yann et Axel se sont mis torse-nus  mais gardent encore pudiquement  leur slip. Je m'assois sur le lit et je leur fais signe de venir s'asseoir de part de d'autre de moi.

D’une main, j'ouvre la serviette qui tombe sur le lit et me laisse nue devant  eux, exposant à la leur vue deux beaux fruits mûrs prêts à déguster et une   chatte  bien visible. 

Yann me serre dans ses bras. Il a des bras puisants, le genre qui plait aux femmes qui aiment se sentir ainsi protégées.  Ses yeux sont d'un bleu profond, le genre dans lequel les femmes aiment à sa perdre. Ses lèvres sont douces, du genre que toutes femmes rêvent d'embrasser. Je ne peux détacher mon regard de lui et soudain je me penche vers lui et mes lèvres frôlent les siennes. Sa bouche s'ouvre et cherche la mienne, nos langues se se trouvent. Nos mains couvrent nos corps de caresses, nos corps se pressent l'un contre l'autre, ses mains courent sur mon dos, mes hanches, mes cuisses. Je sens une chaleur érotique m'envahir.

Pendant que nous continuons à nous embrasser, je prends la main d'Axel et je la pose sur ma poitrine. Je l'entends respirer rapidement et avant peu il prend l'initiative : il prend un sein en sa main il me caresse  les tétons et les pince  légèrement. Je le laisse faire et je sens ma cyprine qui commence à  me mouiller le minou. À présent, un doigt zigzague sur ma chatte puis entre mes lèvres bien offertes.  

Mes mains  trouvent la queue des garçons, et je sens une belle bosse  dans le slip de Yann,  laissant présager de bons moments à passer avec.  Chez Axel aussi  le slip est tendu, le garçon bande déjà fort, 

«  Hé, les garçons ? … Vous ne  trouvez pas que vous êtes un peu trop a habillés pour les circonstances ?  A moins que vous ne soyez trop timides pour montrer votre gros kiki ? Mais ce serait dommage…»

D'une main je dévoile l'intimité de Yann :  la queue jaillit encore souple et pourtant d’une belle taille taille  épaisse  avec de lourdes couilles  bien pleines.  Une belle pièce ! Je jette un  oeil vers Axel :  une beau  manche  long et droit, le gland tout gonflé  et, comme je viens de m'en apercevoir, il bande dur, si dur que la bite est comme collée à son ventre…

« Laissez-moi faire pour commencer. Après, vous pourrez prendre l'initiative, si vous voulez, » je leur dis en attrapant les deux queues, une à droite l'autre à gauche.  La paume de chaque main glisse lentement sur les bites en érection, soupèse les roubignolles, remonte, enserre  les manches que je sens durcir encore plus, puis je commence à les branler.. Mes mains montent er descendent lentement, les deux garçons accompagnent le mouvement en  remuant les hanches.   Après une minute ou deux, je me penche ver Axel. « J'aime bien ta bite, je le trouve très belle. J'en follement envie de l'embrasser…. »  Un coup de langue sur le bout, tout autour du gland et surtout sur sa partie sensible, le long du frein. Il ferme les yeux.  j'écarte les lèvres et j'avale son gros bout rougeâtre que je suce, j'embrasse et  je lèche  avec un plaisir non dissimulé.  Axel pousse des espèces de grognements «  ouh, c'est bon...Suce-moi bien... Huuum … ouiiiii … »

 Il est dur comme du fer il réagit à chaque coup de langue. Et moi, j'adore sucer  ce trésor que je viens de découvrir. Je m'interromps juste pour lui dire : «  Elle est bonne  ta queue, tu sais ! »

Yann me donne un  coup de coude et m'appelle : 

- Et moi... ? Suce-moi ! »

Ma bouche abandonne alors la queue d'Axel, remplacée par ma main qui le branle  pendant que je vais m'occuper de son ami.

Je lui caresse les couilles, mes mains enserrent le haut du manche  et je tire un peu en arrière pour faire sortir le gros champignon   il a déjà une goute de pré-foutre qui sort du méat, et  ça a pour effet d’aiguiser mon appétit.

Une fois décalotté je lui donne  premier coup de langue :  sa queue  est parcourue par une sorte de spasme.  Puis je donne des petits coups langue autour de son gland. Je vois  Yann baisser la tête vers moi et me regarder droit dans les yeux  

« Suce ! » me dit-il en posant ses mains sur ma tête. J’ouvre la bouche en grand et j’avale la grosse bite épaisse  en un seul mouvement. 

«Oui, c’est ça, suce moi, pompe-moi à fond. Je savais bien que t’étais une bonne  pipeuse...»

Il me remplit toute la bouche mais c’est bon comme ça., pour moi et pour lui, car je sais l’effet que fait une gorge étroite sur  une queue qui y est introduite. Je sens la gland palpiter tout au fond de ma bouche. Heureusement, je me dis, que j’ai appris à enfoncer une bite jusque dans ma gorge sans avoir des haut-le-coeur. J’ouvre la bouche encore plus, je tire la langue  et je parviens à le léchouiller entre les couilles. En remontant je me sers de mes lèvres pour tirer la peau du prépuce et recouvrir le gland, que je décalotterai en redescendant... Je garde la gros bout entre mes lèvres, je le suce et le lèche, parfois vite parfois lentement avant d’avaler à nouveau tout le manche. Yann  accompagne chacun de mes mouvements et il me baise la bouche.   Il n’est bientôt pas bien loin de jouir. Je sens son corps se contracter quand je l’ai en entier dans la bouche et que mes lèvres touchent son ventre.  Mais j’ai encore une surprise pour lui et je suis certaine de le faire exploser avec ça... Je me mets un doigt dans la chatte pour bien le couvrir de ma mouille, pour qu’il soit bien lubrifié. Puis ma main descend, caresse ses couilles, les contourne et alors je trouve le trou que je cherchais. Mon doigt appuie sur la rosette.  Je sens sa bite se contracter violemment. Je continue à pousser et je parviens à ouvrir son trou assez pour introduire mon doigt dans son cul. Presque immédiatement, je sens son orgasme qui démarre, avant même que sa sauce ne jaillisse dans ma bouche. Bien qu’il bouge beaucoup, je parviens à garder sa queue dans la bouche  pour recevoir sa sauce chaude et  avec mon doigt toujours  enfoncé derrière, je lui branle  le cul  plusieurs fois ce qui a pour effet de relancer sa  jouissance, comme s’il avait des orgasmes multiples.   Il s’arrête enfin, il ressort complètement sa merveilleuse queue de ma bouche et retombe sur le lit, presque épuisé, semble-t-il.   Mais ce n’est qu’un impression car après une minute,  je l’entends grogner :

« Allonge-toi, je vais te baiser. Te baiser jusqu’à ce que tu hurles de plaisir. Tu vas voir, et tu vas aimer... Ecarte les jambes ».  

 Je pensais qu’il avait terminé mais il a à peine débandé  et son gros mandrin est prêt à me labourer !  J’aime bien qu'un homme soit en forme longtemps: je peux en  jouir davantage . Pour lui je suis sans doute une salope, pour moi c’est une bite qui me fait jouir.    

Je sens sa main caresser ma chatte, ses doigts ouvrir les lèvres,  et caresser mon clitoris. Je pousse un petit cri de plaisir. « Ok , Yann, tu me fais du bien, Ouiiii... » Il me doigte la chatte, j'ouvre davantage les jambes et il m'enfonce deux doigts. Je lui crie de me baiser, de me prendre comme une chienne. Il enfonce ses doigts et me doigte fort et me prépare ainsi à recevoir sa grosse bite.

Puis il s'allonge sur le lit et me dit de venir m'empaler sur son pieu.  Mais je veux l'avoir sur moi, je veux sentir un homme m'écraser et me prendre. Nous changeons de position, il me monte et place sa bite dure à l'entrée de ma chatte, puis il se serre contre moi.   Sa queue est bonne, bien dure et belle. C'est si chaud, si doux, si dur.   Elle remplit ma chatte, je le sens bien, et lui de s’exclamer : « Putain elle est trempée, ça glisse comme dans du beurre...» 

Ses mouvements sont doux, lents mais puisants. C'est si bon, ça me fait du bien.  En quelques secondes nous trouvons notre rythme et bientôt je me mets à gémir à chaque coups de reins et je lui crie des choses du genre «  Baise-moi, baise-moi, défonce-moi la chatte, ouiii,vas-y... » Et de crier comme ça m'excite encore plus.Je n'ai pas été baisée depuis si longtemps.  J'avais presque oublié l bonheur d'avoir une bite dans moi.  C'est autre chose que de  se branler la chatte, même avec un gode ; rien de comparable....

Avant peu, l’orgasme arrive : ma chatte se contracte autour de sa bite  , mes jambes enserrent sa taille, je l’attrape par les cheveux , tout mon corps se crispe, je pousse un grand cri orgasmique et j’explose. La jouissance m’étreint, retombe un peu avant de repartir encore et encore, pendant  sa longues  secondes de pur plaisir....

Puis c’est le tour de Yann : au bout de quelques minutes, qui me semblent êtres passées bien trop vite - sa queue grossit et durcit encore et, dans un grand cri,  il explose et je le sens m’inonder de jute chaude. Puis, il continue à me pistonner comme s’il voulait tasser le foutre au fond de moi ....une sensation super jouissive. Merci Yann, tu baises comme un dieu...

En même temps qu'il a commencé à m'enfiler, il m'a dit sucer Axel   et de le faire jouir dans ma bouche. Il m’aexpliqué que son copain s'est fait sucer deux ou trois fois, mais les filles avec qui il est allé n'ont  pas voulu aller jusqu'au bout et  boire son foutre si bien qu'il  a envie de découvrir ce qu'est une vraie pipe. Ça, je sais faire, et je suis certaine que je vais l'envoyer au septième ciel...

Axel s’approche de moi, s’agenouille au dessus de moi et me présente sa belle bite dont j’ai envie de m’occuper.Je tourne la tête vers elle et je mets mes lèvres sur  le gland,  je respire l’odeur  : j’aime le parfum des queues, c’est si bon... « Ummmh !» je fais avant d’ouvrir les lèvres et de garder le gland quelques secondes sans bouger, juste pour profiter de la sensation. Puis ma bouche descend, remplie par cette belle queue  chaude.

Il a les couilles gonflées et pleines à ras bord de bonne sauce chaude et je vais les vider complètement. Je le suce, ma bouche monte et descend sur son manche, je l'entends gémir et grogner et j'ai déjà la langue couverte de  pré-foutre. Je l'avale plus à fond jusqu'à ce que ses couilles soient sur mon menton. J'attrape ses mains et je les place sur ma tête pour lui indiquer qu'il peut me guider à son goût . Bientôt, je sens ses reins qui commencent à aller et venir pour accompagner mes propres mouvements. Plus je le suce, plus il gémit.  Je sais qu'il ne va pas tenir longtemps, surtout comme, à ce que m'a dit Yann, on ne lui a jamais fait  eu une vraie pipe. Alors que cette fois,  c’est une vraie ! Il a les yeux fermés et la tête rejetée en arrière. Soudain je ses ses balles se durcir. Sa bite pourtant déjà dure comme du fer, durcit encore et je sens dans la bouche ce goût de quelque chose de salé qui indique toujours qu'on arrive aux derniers instants avant l'explosion. Je fais tout ce que je peux pour l'avaler encore plus, plus à fond et lui m'y aide en appuyant sur ma tête.

« Ne te retiens pas, vas-y, c’est ça une vraie pipe ! » je lui dis malgré ma bouche pleine. 

Je n’ai pas le temps de dire autre chose, je suis  interrompue par un cri. Tout son corps tremble. Au fond de ma gorge, je sens son gland et son manche gonfler, puis il explose dans sa bouche  et viennent des  jaillissements de jus épais et collant - une dizaine de saccades de plaisir. Il reste immobile, comme paralysé par jouissance  avant de me dire d'une voix presque faible :  «  Putain c'était bon, tu sais. Je savais pas que que ça pouvait être comme ça.  T'es vraiment  bonne… Merci. »

Peu à peu, le calme revient … Des sourires sur nos lèvres

«Dites, les musiciens, je vois que vous savez effectivement vous servir de vos instruments. Yann tu  as un fameux coup d’archet et toi Axel, ta flute est enchantée... « Merci des compliments, fait Yann, « mais notre chef d’orchestre nous a magnifiquement dirigés.»

« Et elle sait aussi comment se servir d’une flute.... Tu m’as pipé comme ne je n’avais jamais connu...» 

« La nuit est loin d’être finie, on a encore le temps de jouer deux ou trois autres morceaux... Un trio de musique de chambre, par exemple !»

«Oui, mais  avec un petit entracte d’abord,» je demande

J’ouvre une bouteille de vin et je remplis des gobelets en plastique. « Je n’ai pas mieux comme verre.  Nous buvons en mangeant deux ou trois bricoles. La bouteille est vite terminée.

On se caresse encore. Des bouches partout, des mains partout , sur ma bouche, sur mes seins, sur  mon ventre, sur ma chatte et en retour ma bouche et mes mains jouent avec le corps des deux garçons. Je m’amuse avec leur  sexe encore mou, mais qui ne va pas le demeurer longtemps.…

A un moment,  Yann se met à jouer avec mon trou du cul : ses doigts vont et viennent entre entre ma chatte mouillée et pleine de sperme et mon anus :  je le sens  appuyer doucement dessus.

«Je suis certain que tu as  un cul superbe, étroit et doux. Il faut que je l’essaie !»  il  m’annonce.

 « Je  ne sais pas si je vais aimer ça, » je lui dis, «  je ne l'ai pas  fait souvent et   mon mari était plutôt brutal. Tu arrêteras  si je le le demandes ? » mais il ne répond rien; il continue et sans hésitation s’empare de mon passage arrière :  ça me fait mal quand son doigt s'enfonce dans moi. Il me  dit de me relaxer.  Son doigt va et vient et peu à peu s'enfonce plus loin. « Non pas ça,  s'il te plaît, » je lui dis  mais il ne m’écoute pas et même il ajoute un second doigt. Soudain la douleur disparaît et et je me mets à aimer avoir ses doigts dans mon cul et plus encore, je pousse mon cul contre son doigt. Il s'en rend compte et me dit : 

« Alors tu aimes bien que je te doigte... Attends  un peu,  la suite va être encore meilleure. »  il bande comme un fou  et il se penche sur mon cul et  dit : « Tu as un très joli cul... je vais te le défoncer et te faire jouir par là. Tu vas voir... ». Je sens ses mains écarter mes fesses, et un souffle chaud  sur mon trou. Sa langue presse ma chair et il se met à me lécher le trou. Je pousse un gémissement de plaisir, je n'ai jamais connu cette caresse.  Sa langue finit par  me pénétrer et j'ai des sensations incroyables.

« Oui,  encule-moi,  oui... » je gémis pendant qu'il me prépare à recevoir sa grosse bite juteuse.

Pendant qu'il me pistonne, Axel nous regarde et fait des « ouh ! C'est chaud… Ça me fait bander …  Vas-y fourre-la... » Tout en me pistonnant,Yann demande à  Axel : »Tu veux que je te laisse la place ? Elle est bien ouverte, tu peux prendre ton pied dans son cul. »

« Je sais pas trop, tu sais, je n'ai jamais enculé quelqu'un, fille ou garçon…. Ça ne me dit trop rien… enfin pour le moment… Non, ça serait trop cool , mais je vais  la prendre par la chatte… une bonne baise dans le fion, un vagin ramoné, c'est jouissif assez. »  Bon, pour  se  défoncer à trois ensemble on  change de place et on se ré-installe. 

Axel s'allongera sur le dos, je m'allongerai sur lui, qui me mettra, et Yann passera par derrière pour m’enculer, Je me mets sur le premier, bien empalée sur son pieu et quand je l’ai bien au fond, je me couche sur lui. Je me sens déjà bien remplie. Enfin je sens Yann venir sur moi. 

il pousse sur ma rondelle, m'arrachant un gémissement et je le sens déjà bien inséré. il commence à limer mais il n'est pas entré en entier et il  continue à me forcer doucement. «Ummmh! Tu es serrée, mais je vais  tout te mettre...» Soudain il s'enfonce d'un coup, jusqu'à la garde.

 « C'est bon, ta bite dans mon cul, elle est dure, aussi grosse. Vas-y défonce-moi...»: 

Au début, je sens les mouvements désordonnés des deux queues  Les deux bites s’agitent et se cognent dans mes entrailles pendant qu’Axel  me mordille les nichons.  Ils m’ont prise en sandwich un peu n’importe comment pendant une minute ou deux. Il faut trouver  le bon rythme, celui que donne Yann dans mon cul, qu’il me transmet, à moi qui suis presque impuissante entre les deux bites, et que reprend alors Axel sans ma chatte.Le vrai plaisir arrive enfin quand les deux sont dans le même tempo pour me pistonner, un coup c'est l'un qui pousse, le coup d'après c'est l’autre et moi qui suis les va-et-vient et  en allant alternativement à la rencontre de leurs bites solides comme des rocs.  

«J’te sens la queue... A travers elle !» s’exclame Axel «C’est trop cool !» Le contact de l’autre sexe l’électrise. 

Je me sens totalement remplie, et complètement soumise à mes hommes.  Ils sont forts, et moi, prise en sandwich par devant et par derrière, je suis leur chose et leurs vide-couilles. Ce que je ressens est indescriptible. L’intensité des sensations que m’apporte la bite d’Axel dans mon vagin est augmentée par la pression qu’exerce Yann qui m’encule. Je sais que je vais jouir avant longtemps. Je n’ai même pas besoin de faire bouger, je n’ai qu’à les laisser me prendre, se servir de moi pour approcher de la jouissance. 

Je leur dis de me baiser fort, comme une salope et ils se mettent à me pistonner cul et chatte. Je gémis de plus en plus, Yann s’enfonce en entier dans mon cul, je sens ses couilles taper sur  ma chatte à chaque va-et-vient. 

Yann approche aussi de l’orgasme: il augment la vitesse et la force de son enculage, ce qui se répercute sur Axel qui me pine vigoureusement et qui est près de l’orgasme lui aussi et ainsi  nous allons jouir ensemble ou presque tous les trois....Je suis la première à orgsmer et les garçons me bourrent devant et derrière comme si j ‘étais une  une poupée gonflable qu’on peut défoncer à tout va. Je jouis et je jouis encore, je n’arrête pas de  jouir. Je sens Yann qui explose dans mon cul ; de longs et puissants jets de sperme bouillant giclent dans mes entrailles et je continue à  orgasmer, secouée de spasmes et de frissons de plaisir.  Je ne sais pas si c’est une succession d’orgasme ou bien le même qui se prolonge, mais peu importe. Puis je sens Axel qui y va à son tour... On est tous les trois en train de jouir ensemble, c’est incroyable !   A la fin je sens Yann qui s’effondre sur moi, les couilles vidées, et Axel cesse aussi ses coups de butoir.

Nous restons immobiles, vidés par la jouissance  alors que je sens encore les dernières vagues de plaisir qui font  vibrer ma chatte et mon clito.

«Les gars, ça a été un moment merveilleux!»
«Oui, et tu sais, ton cul est sensationnel»
«Tu me l’as bien défoncé et je déborde de foutre... Ummmh, Et j‘espère que j’ai été à la hauteur pour vous deux et que j’ai bien fait jouir mes deux  étalons....  Axel, tu ne dis rien ? Je t’ai pourtant senti y aller avec enthousiasme.»

« Non, c’est que je me disais que tu n’en as pas fini avec nous, avec moi du moins  et que puisque tu veux de la queue, je vais t’en donner. Laisse-moi juste cinq minutes et je vais te refaire le coup de la flute enchantée, à moins que tu ne préfères la baguette du chef d’orchestre et qu’on joue quelque chose comme la symphonie sauvage des bites en feu ? »