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Histoires de Q
7 mars 2018

Les souvenirs de Jocelyne (2 - 2)

 

Je vous conseille  de lire d’abord la partie qui précède, car la  coupure entre partie 1 et 2  est purement «technique», alors que les deux «parties» ne font véritablement d’un.

 

Chapitre 2 - partie 2

 

J’ai pris la queue de ce jeune gars dans le vagin et l’envie a été tellement forte que je lui ai pissé dessus. Sa réaction  m’a estomaquée. Je m’attendais à être traitée de tout et je m’apprêtais à me confondre en excuses. Il m’a regardée au contraire avec émerveillement… « Tu as joui !!! Tu as joui !!! » Il a répété ça plusieurs fois. Visiblement, c’était la première fois qu’il faisait jouir une femme. Du moins le pensait-il. Je n’ai pas eu le courage de le décevoir. Je lui ai dit : « à toi, viens maintenant ». Même si je n’ai pas d’orgasme j’adore être pénétrée par un sexe d’homme et les va et vient correctement lubrifiés constituent un réel plaisir. Ce fut effectivement délicieux. Il ne s’est pas fait prier pour me pistonner avec fougue jusqu’à la conclusion extatique. Après, il fut très disert : « tu es merveilleuse. Tu as joui, tu es belle quand tu joui, tu m’as fait bander ». J’ai accueilli tout cet épanchement verbal avec le plus grand plaisir en me disant qu’il fallait vraiment peu de chose aux hommes et je suis sûre que je lui ai laissé un souvenir impérissable. Au vrai, lui aussi a gravé ma mémoire mieux qu’un disque dur.

Je n’avais jamais entendu parler d’éjaculation féminine ni de femme fontaine et j’ai considéré cela comme un petit truc qui me permettait sans difficulté de simuler vis à vis d’amants qui s’échinaient en vain à essayer de me faire jouir. Tous me faisaient part de leur satisfaction, certains avec des mots très touchants, d’autre d’une façon un peu plus triviale voire vulgaire. Avec mon mari, cela ne s’est pas du tout passé comme ça. Peut-être ai je pressenti que c’était lui l’homme de ma vie… Toujours est-il que lors de notre première fois, je me suis abstenue de lui pisser dessus, surtout, je pense, parce que ça s’est passé chez moi, dans mon lit, et que c’est moi qui lave les draps et ça ne me faisait pas rire d’avoir un matelas plein de pisse à faire sécher. Je conterai peut-être un jour dans un autre chapitre mon évolution orgasmique dans le couple que nous formons depuis plus de quarante ans ; là n’est pas le sujet. Je n’avais rien oublié et, en général,  je me vidais consciencieusement la vessie avant de faire l’amour. Le status quo aurait perduré si nous n’avions, à l’initiative de mon mari, introduit les sextoys dans nos ébats amoureux. J’avais alors soixante ans.

Après plusieurs essais j’ai retenu un petit œuf vibrant très léger dont les vibrations étaient très puissantes en amplitude et donc très efficaces sur mon bouton. Mon mari, de son côté avait une prédilection pour un gode de belle taille qu’il aimait m’enfoncer dans le vagin pendant que je me masturbais avec mon petit vibro. Je dois dire que le fait d’être pénétrée par ce machin en caoutchouc, froid de surcroit, ne m’enthousiasmait pas outre mesure. Je lui en fis la remarque et il le mit donc à réchauffer dans un grand verre doseur rempli d’eau chaude en compagnie du tube de lubrifiant. Je ne sais pas ce qui s’est passé en moi. Précisons que depuis toujours, connaissant l’orgasme depuis l’adolescence, j’ai fait l’amour en contrôlant mes réactions. La perversion de mon mari à laquelle je m’abandonnais avec plaisir avouons le ; Le fait aussi qu’il savait y faire le vicieux…  En fait, il jouait à l’entrée avec la pointe du membre artificiel tout en me caressant les seins ou les cuisses. De temps en temps il me demandait : « tu le veux ? »… « oui oui !!! je le veux » et il l’enfonçait doucement jusqu’au fond, il appuyait légèrement par saccades, puis le retirait tout aussi doucement. Pendant tout ce temps, j’avais continué avec mon vibro sur le bouton. Et le manège recommençait, il attendait de plus en plus longtemps entre chaque pénétration Tout cela fit que, à un certain moment j’ai lâché prise totalement. J’ai perdu le contrôle. J’ai senti monter les signes annonciateurs de l’orgasme…« mets le moi ! vas y, mets le moi !!!! » ET là il l’a enfoncé d’un coup. 

Quel orgasme ! j’ai senti que j’expulsait quelque chose avec force. « ça alors ? ça alors, » il restait là sans bouger à regarder vers le pied du lit. « Qu’est ce que tu fais ??? Viens, viens ». Sans se faire prier plus longtemps, il a retiré le gode et l’a remplacé avec son sexe. Il a joui très vite et s’est relevé aussitôt pour aller voir sur le parquet le résultat de mon expulsion. Poussée par la curiosité je l’ai vite rejoint sans prendre garde à son sperme qui me coulait le long de la cuisse. Etant tous les deux des scientifiques, nous avons examiné cette flaque conséquente de liquide comme deux ethnologues penchés sur un spécimen inconnu. Nous avons approché notre nez à toucher le sol pour sentir, trempé notre doigt dedans pour goûter « ça ne sent rien, ça a un goût doucereux légèrement salé »… «Un peu comme ton sperme mon amour »… « ça a giclé à plus de deux mètres tu as vu ?»… « Non, là où j’étais, je ne pouvais pas ».

Nous avions lu des descriptions du phénomène et vu sur des sites pornos dont il est friand, des vidéos le documentant à loisir. Je n’avais pas caché à mon mari ce que j’en pensais au regard de ma propre expérience. « Il faut te rendre à l’évidence, tu avais tort, ma chérie, tu viens de m’en apporter une preuve irréfutable »… J’admets. Pendant une semaine, il n’a pas arrêté de me rebattre les oreilles en me disant à quel point il était heureux et fier de m’avoir fait éjaculer de plaisir. Dans le même temps, nous avons fait des recherches documentaires là dessus. Des scientifiques avaient effectivement traité le sujet et des communications très sérieuses avaient été faites par des universités américaines. Les glandes de Skène existent bel et bien. 

Nous avons repris notre traintrain amoureux et au fil des mois, mon homme ne cachait pas sa déception de ne pas voir se rééditer mon orgasme éjaculateur. Je le réconfortais en lui disant que, à bien analyser mes sensations, malgré le fait que ces moments soient peu propices à la réflexion scientifique, je pensais que lors de mes orgasmes, j’éjaculais une petite quantité de liquide, toute petite et qu’elle se mélangeait avec ma mouille par contre très abondante surtout à l’approche de l’instant suprême. Il était assez dubitatif là dessus jusqu’au jour où lors d’une escapade en bord de mer, dans une chambre d’hôte, nous avons rejouer le scénario pour la énième fois. Et là, quand il a enfoncé le gode… Super méga orgasme (comme diraient mes filles) (si elles savaient ce que je fais) et éjaculation, deux fois. Comme il se tenait en face de moi entre mes jambes, il a tout pris sur la poitrine. Il s’est rué sur moi  pour me pénétrer et nos deux corps se sont retrouvés inondés par ce liquide toujours mystérieux. On en avait partout sur le ventre, les seins, les bras, la bouche. Il glissait sur moi comme sur un toboggan. Il m’embrassait avec avidité. « Mon amour, comme je t’aime, comme j’aime te faire jouir … » Mon dieu que ces mots sont doux à entendre lorsque nos deux corps se mélangent dans le plaisir.

Il faut bien redescendre sur terre à un moment ou à un autre. Nous étions complètement englués, le lit aussi et le drap me collait aux fesses. Quelle catastrophe, je me voyais mal inventer un évènement pour expliquer à nos hôtes ce qui s’était passé. Il y avait un canapé, nous nous sommes réfugiés dessus sans le déplier. Je me suis blottie dans les bras de mon homme sous une couverture et nous avons dormi dans cette position. Une envie pressante m’a réveillée au petit jour. Après l’avoir satisfaite, reprise par l’angoisse, je suis allée palper le lit… Rien, pas la moindre trace d’humidité ou d’une matière plus ou moins collante. Sur moi ? Rien non plus, comme si je sortais de la douche. Le corps féminin recèle encore bien des mystères. La psychologie aussi ; j’ai tenté une explication que j’ai soumise à mon mari. Je crois bien qu’il faut des circonstances inhabituelles ou bien une situation particulière pour que mon subconscient provoque cet abandon et cette débauche sensorielle. 

Je crois bien n’être pas loin de la vérité puisque la dernière fois que j’ai éjaculé, il y a peu, c’était à l’hôtel, « IBIS budget » pour ne rien vous cacher. Il n’y avait pas un chat dans l’hôtel en ce dimanche après midi. De peur de nous cogner la tête dans le lit d’appoint propre à ces hôtels, je le prenais en levrette au pied du lit. Il appliquait les bonnes vieilles recettes en jouant à l’entrée avec son gland pendant que je m’activais sur mon bouton avec mon œuf. Il entrait de temps à autre et faisait gonfler sa bite en contractant ses sphincters. Merveilleux ! En même temps, comme il est à la mode de dire actuellement, un doigt fureteur s’immisçait du côté obscur.

Quand je lui ai annoncé que j’allais jouir, il s’est enfoncé, et là grosse inondation ; comme jamais… Jamais sa queue n’avait aussi bien glissé dans ma chatte. Nos deux sexes ne faisaient plus qu’un quand il m’a remplie d’un flot de sperme… Deux, trois, quatre, cinq contractions et à chaque fois une giclée abondante qui m’envoyait au delà des nuages. J’ai vite repris mes esprits pour endiguer les débordements avec une serviette. Après avoir récupéré, je n’ai pu que constater les dégâts, une tache énorme d’au moins cinquante centimètres de diamètre ornait le drap. Je ne me faisais pas trop de soucis. Nous sommes allés nous promener, manger au resto, et le soir au retour, plus rien !!!

C’est vraiment sensationnel ce truc…

 

A SUIVRE...

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