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Histoires de Q
27 janvier 2018

Frère et soeur : découvertes ensemble

 

Auteur : Hornyboy- 4372 mots - QQQ- mf , consent, 1ere fois, inceste,  baise, oral 

 

Je m’assois à demi dans mon lit et je jette un coup d’oeil par terre à côté, là où mon frère jumeau Quentin est  couché. Il dort ici avec moi pendant trois jours car ma tante Brigitte et mon oncle, qui  sont chez nous  pour les fêtes, ont pris sa chambre.

«Quentin», je  lui dit à voix basse, « c’est Ok si t’as envie de venir dormir ici avec moi.»

«Merci c’est sympa Lolo,» (en fait je m’appelle Elodie, mais c’est ainsi que toute  la famille m’appelle)  dit-il en grimpant dans  mon lit.  Maman  dit qu’à 13 ans on ne peut plus coucher dans le même lit, mais il ne doit pas faire chaud à  dormir par terre.  Nous nous entendons très bien,  sûrement mieux que beaucoup de frères et soeurs, probablement parce que nous sommes des jumeaux et que nous avons grandi ensemble et tout partagé ensemble. Il s’installe dans mon  lit et se colle contre moi pour se réchauffer. «Merci, tu me sauves la vie, dit-il en riant.

«T’inquiète. Il faudra juste que tu redescendes demain matin avant que maman n’arrive pour nous réveiller.»

Ni l’un ni l’autre n’ont encore sommeil, nous bavardons un moment et comme ma chambre est un peu àl’écart du reste de la maison, il n’y a pas à craindre qu’on nous entende.  Tout en parlant je me dis que c’est quand même marrant d’être  ensemble dans un même lit et de parler du collège. Ça me fait rire.

«Qu’es-ce qu’il y a de si drôle ?»

«Je ma disais que demain au collège tu vas pouvoir  en mettre plein la vue à tes copains  en leur disant que t’as passé  la nuit dans le lit d’une fille.»

Il rit aussi, puis  en soulevant un peu la couverture. Il regarde ma chemise de nuit à demi relevée sur mes jambes et il ajoute: « Surtout avec une fille qui n’ a pas grand chose sur le dos.... J’parie que Léo aurait donné cher pour être ici. » Léo, le grand Léo, est un copain d’école de Quentin.

«Pas si sûre que ça?Je crois pas qu’il m’aime beaucoup.  D’ailleurs tu crois qu’il a déjà dit qu’il avait envie de sortir avec moi ?»

«Non,»  admet Quentin «mais s’il en avait envie ça m’étonnerait qu’il m’en ait parlé. C’était juste une idée que j’avais. A voir la façon dont il te parle.Et  toi, t’aimerais sortir avec lui?»

«Euh...non!» je dis. « pourtant il est pas mal, mais non. Et t’as vu le boudin avec qui il sort ?  Je préférerais en crever... Je suis certaine qu’il sait qu’il ne me plait pas. Il ne m’a jamais demandé et n’a sûrement pas envie de  gâcher un  billet de cinéma pour moi.»

«Oui, c’est vrai, mais c’est mon copain, c’est tout. Et puis il n’ y a pas que des histoires d’amour entre garçons et filles dans la vie... Et puis surtout, tu es ce que les garçons  appellent une  ‘gentille fille’...»

«Ah oui? C’est quoi?»

«C’est... Comment dire ? ... Quand on est en présence d’une ‘gentille fille’» on évite d’être trop grossier ou trop vulgaire.On se permet pas n'importe quoi.»

Je vois... Je vous fais pas fantasmer, j’vous intéresse pas... J’dois être trop moche... J’parie qu’on dit que je suis un boudin ?»»

«Le prends pas comme ça,» il me dit, «C’est pas ce que je voulais dire. T’as l’air sage, très sage  mais ça ne veut pas dire qu’on ne te trouve pas très jolie. Je réfléchis à ce qu’il vient de me dire et je lui dis:

«Je peux te poser une question, Quentin? «

«Oui, vas-y.»

Bon, mais tu promets de me dire la vérité, même si elle n’est pas agréable?»

«Oui, promis.»

« Tu trouves que je suis jolie ?  Dis-moi comme tu me trouves. C’est pas facile de savoir avec la famille ou les copines, tout ça.»

Quentin semble surpris par ma question.

«Bien sûr, Lolo, tu es jolie. Tu le sais bien d’ailleurs.»

«J’sais pas. Des fois j’me trouve moche...»

Bon, écoute-moi. Tu est très belle et si j’étais pas ton frère j’ hésiterais pas une seconde pour que tu sois mon amie et que nous sortions ensemble.  Et quand nous nous baladons ensemble, je suis plutôt fier d’être à côté d’une belle fille que plein de garçons regardent...»

«Merci. T’as répondu à ma question.  A ton  tour, si tu veux m’en poser une.»

 Il ne répond pas. J’insiste. J’ai envie de parler avec lui, de choses à la fois intimes et sérieuses.

« Oublie un peu que je suis une «gentille fille», tu peux me demander ce que tu veux, même si c’est très personnel.» 

Là j’en reste ba-ba  quand il  me dit.

«Oui... Bon...  Tes seins, ils sont gros comment ?»

Ça me la coupe ! Je lui donne un coup de coude: « Quel gros pervers tu fais,» je réponds en riant.

«T’es choquée? J’aurais pas dû dire ça.»

Non, juste surprise, Je m’attendais pas à ça. Mais j’t’ai promis de répondre. Alors je fais du 34a - C’est une petite taille, tu sais.Mais j’les aime bien comme ils sont.» 

Puis il me vient une idée; « A mon tour maintenant,»  je luis d’un ton détaché, comme si c’était un jeu.

«Oui, vas-y,» il dit. Je suis un peu surprise et déçue qu’il ne commente pas ce que je viens de lui dire. Il va falloir que je trouve une bonne question.

«Euh... Oui...  Tu te fais des choses combien de fois par semaine ? Tu sais, tu te... A la main... Ton zizi.» 

Cette fois c’est lui qui a l’air surpris et choqué. « Ne dis pas non, je sais que tu le fais.»

Quentin hésite, puis se lance : Euh... Une fois par jour en général... Et toi , combien de fois?» 

J’aurais voulu me taire mais  puisqu’on est partis comme ça, je me sens obligée de continuer.

«Deux fois la semaine, dès fois trois.... Et toi, quand tu le fais tu penses à qui ou à quoi ?»

«A des filles à l’école... Souvent à Clara...»

«Ah, oui, Clara ?  Oui, elle est jolie.»  Un joli visage, oui, mais un corps encore très  infantile, la poitrine plate,  je n‘aurais jamais crû qu’elle pouvait faire de l’effet aux garçons, J’aurais plutôt vu Manon, un fille avec des courbes, pas mal  d’ailleurs,  et la réputation, vrai ou fausse, d’aller facilement avec les garçons.  J’ai failli répondre à Quentin en lui avouant que moi  je pensais à Hugo, le grand brun de la 4ème C et que je l’imaginais me faisant un examen gynécologique mais j’ai reculé. A la place je lui affirme:

«Tu sais que j’tai déjà vu le faire.... C’était chez Grandmère....Par la petite lucarne de la salle de bain, en montant sur des vieux bidons, J’ai pas bien vu parce que c’est un peu loin, mais quand même... Je sais que j’aurais pas dû, mais la curiosité  a été la plus forte...» Quentin  me dévisage  bizarement. «Tu me pardonnes ?»  j’ajoute.

Soudain, le petit jeu cesse d’être un jeu, il n’est plus drôle. Il bougonne quelque chose, puis reprend d’un ton sec: « C’est quoi ta prochaine question?»

«Oui, bon... Quentin, je sais que tu as le droit d’être en colère et de  m’en vouloir, mais allez, c’est quand m^me pas  si grave que ça.Excuse-moi.»

Sans dire un mot il me donne un coup de poing dans  l’épaule.  Ça ma fait mal, je me frotte l’épaule.

«Ouais... J’te pardonne,» mais le ton de sa voix contredit ce qu’il affirme. Et il ajoute d’une mauvaise voix:

 «On arrête de parler de tout ça...Tu sais Lolo, je commence à être fatigué. On pourrait dormir maintenant.»

«Ecoute »,je lui dis. Je sais bien qu’il n’est pas fatigué. « J’tai dit que je m'excusais, et c’est sincère. Qu’est-ce que tu veux que je fasse pour que tu cesses de m’en vouloir ?» Il ne dit rien. D’ailleurs il a plutôt raison. Tout le monde dit ‘excuse-moi’ et pense que ça suffit alors que l’autre a de vraies raisons d’être mécontent ou en colère.  Il veut quelque chose comme la preuve que je reconnais que j’aurais pas dû l’espionner... Soudain me vient  à la tête une idée un peu étrange et tordue, mais je me dis que ça pourrait arranger les choses. 

«Chacun son tour. Je  t’ai regardé le faire. Et si je te laissais me regarder?» je lui propose.»On serait quitte...»

«Hein ? Qu‘est-ce tu dis?». Là, je suis certaine d’avoir attiré son attention.

«Et si j’te laissais me regarder faire ça... Devant toi?» Je me dis que ce n’est pas quelque chose d'extraordinaire, il m’a vue nue plusieurs fois, il sait que je ma caresse là,  et c’est juste que ce soit chacun son tour. Non vraiment, ça ne me gène pas, surtout si c’est ce qu’il faut pour qu’il arrête de faire la tête. 

«C’est vrai ?»  il demande. « C’est pas juste des mots en l’air, un  truc fumeux ? T’es sérieuse ?» 

«Oui, très. SI j’te laisse me regarder me toucher le minou, tu me pardonneras? 

«Euh... OK.» Il est nerveux, je crois que je l’ai déstabilisé.

Je pousse la couverture et je remonte ma chemise de nuit jusque sur mon ventre. J’attrape ma culotte et je commence à soulever mes fesses du lit et juste avant de baisser ma culotte, je lui dis :

«Mais j’te préviens, si jamais tu  parles de ça à n’importe qui, je te casse en mille morceaux.»

«Oui, c’est compris.»

Quentin a l’air plutôt excité. Je pense que pour avoir tant envie de me voir m’humilier devant lui, c‘est qu’il est très en colère contre moi.  Sur le moment, je ne me rends pas compte qu’il doit avoir d’autres raisons d’être excité : ce n’est pas tous les jours qu’une fille propose de se caresser devant lui !

Bon je me dis, puisqu’il va regarder, autant lui faire un grand numéro... Je me souviens d’une scène que j’ai vue dans un film et j’essaie de l’imiter en en passant lentement ma culotte sur mes fesses, sur mes cuisses  avant de la faire glisser sur mes chevilles. Puis je m’assois sur le lit et, je plie une jambe : j’expédie la culotte au loin dans un grand mouvement suggestif. Elle vole à travers la pièce et retombe sur le tapis.  On aurait crû que je m’étais entrainée à faire ça depuis des mois. Puis je pivote vers mon frère et j’écarte les jambes. Il a les yeux exorbités.  Ça  doit lui plaire !

«Tu as déjà vu une fille comme ça avant ?» je lui demande.

«Euh... Des photos et des vidéos, mais c’est tout. Et c’est pas pareil...»  

Je n’ai pas encore beaucoup de poils pubiens, mais  j’ai tout de même passé le stade su duvet de la fille pré-pubère.  Comparé aux autres filles de la classe, je suis dans la moyenne. 

«Tu aimes ce que tu vois ?»je lui demande et aussitôt je me trouve idiote. C’est vraiment une question stupide.

«Euh... C’est à dire que ... Euh.. Tu es..très belle.» Je n’arrive pas  à y croire: c’est moi qui suis presque nue et c’est lui qui est mal à l’aise.Il se met à  tripoter la couverture. 

«Merci,» je lui dis. Il me regarde, me sourit et je remarque qu’il garde ensuite les yeux baissés sur ma poitrine. Le froid a  fait durcir mes tétons et ils pointent sous ma chemise de nuit.

Il se met à me passer un doigt sur les pointes en tournant et en appuyant plus ou moins. Je sais que ça me fais toujours de l’effet et cette fois mon corps régit encore plus vite que d’habitude. Toute cette discussion avec  mon frère m’avait déjà un peu chamboulée et Je commençais déjà à mouiller. Alors quand il me touche les seins, je ne tarde pas à à être trempée. Ça coule presque sur le lit.  Un doigt sur mon vagin... Je me caresse un peu.

Habituellement je ne fais que me frotter l’extérieur du minou, mais cette fois, je m’enfile un doigt dedans pour bien  me sentir. Er soudain, j’enlève le doigt mouillé et je me le mets dans la bouche pour le sucer. Je ne sais pas bien pourquoi je fais ça, je suppose que c’est pour jouer à la vraie femme aux yeux de Quentin. Je suce mon doigt comme une sucette. Ça a un goût un peu bizarre  mais ce n’est  pas mauvais.  J’ai vais toujours pensé que c’était ‘sale’ de faire ça, mais maintenant l’idée de faire ‘sale’ ne me déplait pas. Je sens l’orgasme qui monte. Je sors mon  doigt de la bouche et  je me caresse le sein. Mon autre main descend sur mon vagin,  les caresses s'accélèrent et se font plus précises.  Quentin s’est rapproché: et je sens son souffle sur ma main.

«Oh» je pousse dans un soupir. « Ça vient, ça vient... Je jouis !» Je sens des contractions sur mon doigt, puis  la jouissance se calme et je me détends. Je reste assise  quelques instants, le temps de reprendre souffle, pus le porte ma main à ma bouche et je lèche mon doigt complètement.  Je me sens toute chaude. C’est alors que je me rends compte que je n’ai  pas baissé ma chemise  de nuit, ni serré les jambes et même à cet instant je ne pense pas à la faire.  Je regarde Quentin et je suis surpris de voir qu’il  sa respiration est rapide et qu’il est tout rouge, tout comme moi.

«A quoi tu penses ?» je lui demande.

«Je... Si j’avais su que c’est comme ça, ça ferait longtemps que j’aurais essayé de te regarder le faire.

«Merci,» je lui dis. Et c’est sincère. Ça peut sembler  bizarre mais  ça me fait plaisir de savoir qu’il a aimé  me regarder et plus encore que ça l’a troublé.

«Oui, crois-moi,» il continue, «C’était super.... J’voudrais bien faire quelque chose pour toi, rien que pour toi. Tu veux ?» Je n’arrive pas à croire qu’il m’ait dit ça. Je m’étais promis de ne pas lui demander, mais là, comment résister à une pareille proposition...

«Bon et bien... Puisque t’en parles,» je lui dis.

«Oui, quoi?»

«Tu sais tu étais  loin, j’ai pas très bien vu à travers la lucarne.»  Je ne continue pas et je lui laisse le soin de comprendre ma question.

«Hein ?» fait Quentini. 

Puis il comprend ce que je veux dire: «Oh tu veux que... Comme toi... Moi aussi.» Cette fois c’est à lui de ne pas finir sa phrase.

«Je lui fais oui de la tête.» Si tu veux.... Je veux dire... Après tout, c’est normal, chacun son tour.»  Je vois bien qu’il en  envie et je n’en dis pas plus.

«C’est vrai, t’as raison, chacun on tour,» il me dit en poussant la couverture sur moi pour me couvrir. Jusqu’ici  j’avais trop chaud pour y faire attention.  Le devant du pyjama de Quentin est soulevé comme par un piquet. Il a vraiment dû apprécier le petit spectacle que je lui ai donné.  Je serre les lèvres en le voyant se soulever  du lit  pour baisser son pyjama.

J’admets que je n’en perds pas une bouchée. Je n’ai encore jamais un  garçon de mon âge quand il est nu - et encore moins juste à côté de moi  - et encore moins avec une érection !  Son pénis est dur et légèrement courbé. Il est un rouge, un peu violacé. Je ne m’en était pas aperçue quand je l’avais vu chez Grandmère.  En fait, je n’avais pas vu grand chose alors. J’avais regardé parce que je savais ce qu’il faisait et j’espérais voir quelque chose. 

J’avance la main pour le toucher, mais au dernier moment je me retiens - pas assez vite, semble-t-il.

«Tu veux ? Oui,  d’accord. Je veux dire si t’as envie d’y toucher. Pour moi c’est  OK.»

J’hésite.  Bien sûr, c’est ce que je veux, mais ça va plus loin que j’ai imaginé.  Quentin reprend:

«C’est comme tu veux, mais c’est juste toucher un peu, c’est tout.Oui, il  a raison, c’est juste toucher. Rien de plus...

Je tends la main et je passe doucement le bout du doigt sur  son pénis raide. C’est plus chaud que c que je pensais. Il bouge un peu quand je le touche, comme une tremblement, comme des frissons. J’enlève rapidement la main.

«Non», fait Quentin, « C’est normal, c’est OK, tu peux y aller et remettre la main.» «Et puis, si tu veux, tu peux faire ce que je me fais tout seul....Tu veux essayer ? J’vai te montrer, si tu veux.»

«Ok.» J’avance à nouveau la main et j’enveloppe  son manche dressé.

«Maintenant tu montes et du descends ... pas trop vite... Attends, j’te fais voir. Il pose sa main sur ma mienne et me guide quelques instants, puis il me laisse continuer. Je fais attention de ne pas serrer trop fort. Je regarde Quentin et il a l’air d’aimer follement, alors je serre un peu plus et je fais  aller ma main ce  haut en bas. «Oh, c’est bon...   C’est bon, ma Lolo.»

Il ses met à gémir ou à grogner et je dois admettre que moi aussi j’aime bien ce que je lui fais.  Ma main monte et descend, mon autre main avance pour jouer  un peu avec ses boules. Il aime tellement ça que j’accélère  mes mouvements sur son ‘machin’ : «Lolo, c’est bon, c’est si bon comme ça...» Son corps s’agite, se tord, puis se tend et se crispe.

«Oh, oui... Je... Je  jouis...Oui,oui...»

Un liquide blanc, laiteux jaillit du bout de son pénis.  Plusieurs jets violents qui retombent sur sa poitrine et son ventre, mais aussi sur ma chemise de nuit. Le dernier jet, moins fort, s’étale sur ma main... Je continue à le branler jusqu’à ce qu’il commence à perdre un peu de sa rigidité. On dirait maintenant une espèce de saucisse pas cuite. Je lève la main pour regarder de près, et comme je suis très curieuse, je mets le bout de la langue dedans. C’est salé et amer, je n’ai encore jamais goûté quelque chose comme ça.

«T’aimes ça?» demande Quentin d’un ton ironique.

«C’est délicieux... Tu veux en goûter ?» je lui dis en lui tendant ma main.

«Ah, non merci,» il fait en se reculant. J’approche davantage ma main.

«Vas-y, essaie un peu. Peu-être que t’aimeras.»

«Non, Lolo, non pas ça!» Il rit, mais à moitié seulement. Je ris à mon tour, j’attrape un kleenex sur ma table de nuit et je m’essuie la main.  Quentin n’a pas remonté sa culotte de pyjama, et je ne lui demande pas de le faire. Il est encore pas mal dur et je me sens bien d’être à demi-nue à côté de lui.

«Tu sais, j’ai une idée, je lui dis. «Mais si t’en parles à quelqu’un je te casse en mille morceaux.»

«Promis juré,» dit-il n levant la main comme un scout.

«T’as déjà vu les seins d’une filles ?»je lui demande. Là, je vois que j’ai touché un point sensible.  Ses yeux s’illuminent  comme si on lui avait offert 100 ou 200euros. Il  me fait non de la tête et me dit: 

« Des photos ou des vidéos, mais c’est pas pareil. Non, j’ai jamais vu de nichons pour de vrai. » J’attrape ma chemise et je la remonte jusque sous mes bras.

« Bon, et maintenant, tu en as vus,» je lui dis tout simplement.  Il me regarde d’un façon si inhabituelle et étrange que je sens des frissons s’emparer de dans mon minou. 

«Tu peux toucher si tu veux.  Juste toucher, pas plus.»

Il allonge la main vers moi sans perdre une seconde. Il me pelote quelques instants, puis pince légèrement mes tétons. Il serre davantage jusqu’à ce que ça commence à faire mal et que je lui dise d’arrêter.  Je me souviens qu’il y a quelques mois, en jouant à un petit jeu plutôt cochon, un garçon au collège m’a pincé les nichons. Ça m’a fait mal. Il s’est alors excusé  plusieurs fois, espérant certainement que  je le laisserais recommencer. Mais cette fois avec Quentin, ça fait un peu mal et en même temps c’est bon... une sensation presque inconnue, qui mélange douleur et plaisir...  Je pose mes mains sur celles de Quentin pour les maintenir sur ma poitrine et je lui dis de continuer.

«Oh, Quentin, tes mains me font du bien!» Je sens quelque chose   grandir en moi, une sorte de frémissement dans mon ventre qui m’envahit toute entière.

«Tu peux les embrasser. Vas-y, si tu veux.»

Il ne répond pas mais il enfouit son visage dans mes nichons et il suce les pointes. Je les sens glisser contre ses dents et sa langue va et vient sur  elles. Allongée sur le dos, je me laisse aller.

«Oui... Oui, comme ça !»sa bouche est chaude et l’aime la sentir sur moi. 

«Tu aimes sucer les seins de ta soeur ?»

«Ouiiii...Ummmm,» c’est tout ce qu’il peut  dire avec un nichon dans la bouche.  Puis il le lâche, me regarde et me dit:

«J’aimerais aussi t’embrasser ailleurs.» Je sais ce qu’il veut dire, et avant de changer d’avis, je lui réponds:

«Qu’est-ce qui t’empêche de le faire ?»

Il sort la langue et commence à me lécher  doucement , descendant lentement des  seins à mon ventre, puis à mes poils pubiens. J’écarte les jambes pour lui faire de la place. Oh ! Que c’est bon, incroyablement bon ! Je ne sais pas si c’est toujours aussi bon ou bien si Quentin est particulièrement doué mais j’ai l’impression qu’au lieu de faire dix heures de massage et de plaisir sur tout mon corps on a tout concentré en quelques minutes sur  mon petit minou... Je ne parviens même plus à penser tant c’est  délicieux.  Je ne suis plus que pur plaisir d’une intensité inconnue. 

Je sens que je coule; le visage de Quentin doit en être couvert.

«Oui... Oui, lèche-moi» je parviens à dire en haletant. «Bouffe-moi la chatte, vas-y !»  J’ai du mal à  croire que je parle comme ça et que je lui dis  des cochonneries mais c’est si bon! Incroyablement doux! 

A la fin, c’est trop bon et  je ne peux même plus supporter ses caresses.  Je l‘attrape par les cheveux et je l’écarte.  Puis je viens m’asseoir entre ses jambes, face à lui. Je me penche et je l’ambrasse longuement, mêlant ma langue à la sienne tout en  caressant sa bite. Puis  je la prends à pleine main et je le guide jusqu’à l’entrée de mon minou. Je lui murmure à l’oreille.

«J’ ai envie de toi... de faire  l’amour avec toi.»

«Moi aussi,  comme un fou...»  et je le sens qui se met à pousser pour me pénétrer.

«Attention, vas-y doucement. J’suis encore vierge» C’est que je suis étroite et je me dis que ça doit faire comme si on essayait d’enfoncer un gros crayon dans un trou de serrure... Mais en même temps, c’est si bon de le sentir m’ouvrir de force. Il y va doucement, lentement, en me demandant sans  arrêt s‘il peut continuer.  Je finis par m’assoir complètement pour mieux le guider. Je sens quand il atteint mon pucelage et lui aussi. Il me regarde, l’oeil interrogateur. Je donne un petit coup en avant et soudain je sens mon hymen  se déchirer. C’est un  mélange de douleur et de plaisir, un mélange parfait. Oh que c’est bon de le sentir dans moi !

«Oh, oui...» je gémis  en descendant mon bassin jusqu’à ce que je le sente entièrement en moi. 

«Je bande jamais aussi vite, ni aussi dur. Tu es tellement jouissive.»

«Et moi, j’ai jamais rien ressenti comme aujourd’hui ... Oui, j’aime ta bite, j’aime l’avoir dans moi !» et j’ajoute: « On pourra baiser tous les jours ?»

«Aussi souvent que tu veux ! Si c’est ça baiser une fille, on peut même le faire plusieurs fois par jour.» 

Immobiles, nous profitons encore quelques secondes de la simple sensation d’être l’un dans l’autre, puis  je commence à bouger.

 La bite de Quentin est chaude et je  commence une danse sur sa bite, c’est bon ! Quentin trouve rapidement la façon de m’accompagner Il a l’air d’apprécier, je l’entend gémir de plaisir. Mes seins dansent devant ses yeux et ils les attrape, les serre, les pétrit, les pelote.

.«Tu as des seins sensationnels. Je bande rien qu’en les regardant.»

«Ils sont  faits pour ça, pour t’exciter, ça, oui!» J’augmente  la vitesse de mes aller et venue sur son manche dur. «Oui... Oui... Oui, baise-moi, baise-moi!... J’vais jouir !»  Brutalement je sens mon chat se contracter autour de la queue de mon frère et je pousse un grand cri. (Heureusement que ma chambre est à l’autre bout de la maison !) Je sens ma mouille couler, couler encore jusque sur les couilles de Quentin. 

Je sais qu’il va bientôt jouir et là je veux l’aider pour qu’il jouisse un max : je prends ses mains et je les pose sur mes hanches. Mon corps se met à danser sur son sexe bien dur, une danse très intense jusqu’à ce que j’entende Quentin crier: «Moi aussi,  je jouis !» Je n’essaie pas de me  démancher et de me retirer. Au contraire, je m’enfonce sur sa queue. Quelle sensation merveilleuse de le sentir gicler dans moi ! Après quelques secondes, quand je sens sa bite perdre un peu de sa raideur, je me penche en avant et je l’embrasse, un vrai baiser d’amour. A cet instant, je sais que je pourrais accepter de dire non à tous les hommes pour «Je t’aime, je t’aime», dit Quentin

«Moi aussi j’aime mon Quentin,» je réponds tout en serrant ls muscles de mon vagin autour de queue  qui est en train de devenir molle.

«C’est incroyable, incroyable ce qu’on a fait...Tu sais, on n’aurait pas dû mais on était trop excités. Mais je ne regrette rien...» Je pose un doigt sur ses lèvres.

«Tu sais, mes règles sont finies depuis moins d’un semaine, alors je ne risque rien. Mais il faudra qu’on aie des capotes la prochaine fois.»

«Tu veux dire qu’on pourra recommencer?’ il me demande les yeux éclairés par cette idée. 

« Qu’est-ce que tu en penserais si on ne le faisait pas?»

Il me fait un sourire: « Je crois que tu me casserais en mille morceaux.»

Je lui rends son sourire. «Bien vu, exact,» je lui dis presque en chantonnant et nous embrassons encore une fois.

 

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C
Hummmm terrible cette histoire!!! Ma fais bander grave!!!
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