Rêve de Noël
Minuit va sonner dans quelques minutes en cette veille de Noël. Tu es allongé nu sur ton lit. Dehors la neige tombe silencieusement, et les flocons brillent doucement à la lueur de la lune.
Tout est calme et paisible, sauf toi. Tu ne parviens pas à dormir, tu tournes et du retournes dans ton lit, en poussant parfois un soupir. Le sommeil ne vient pas alors que ton esprit est déjà presque parti dans ses rêves...
Tu ne sens pas ta couette glisser et tomber sur le sol... Maintenant tu dors... et il est clair que tu as une belle érection.
A quoi rêves-tu donc ? Voyons un peu si je peux le deviner...
Pendant que tu es là, allongé dans ton lit, à peine endormi, tu entends un bruit étrange qui vient de la cheminée, puis le bruit de quelque chose de lourd qui tombe sur le sol. Et alors une voix se fait entendre :
« Oh,la, la, que cette cheminée est étroite. Dans quel était je suis, mes vêtements sont sales, plein de suie. Il va falloir que je les enlève.»
La neige a cessé de tomber et la lune brille plus fort. A sa clarté, tu vois que c’est une femme vêtue d’une grande robe rouge bordée de fourrure blanche. Elle ôte son bonnet de père Noêl et arrange rapidement ses longs cheveux blonds, puis elle se penche pour regarder ses hautes bottes de cuir qui lui montent jusqu’aux genoux. Avec les hauts talons qu’elle porte, c’est un miracle qu’elle soit descendue de la cheminée sans se rompre le cou.
« Bon, ça va, dieu merci. Elles n’ont rien, je peux les garder. »
Elle relève la tête et te voit.
« Ça, ça alors... Qu’est-ce qu’on a ici ?»
Elle se tourne pour mieux te voir.
« Et bien... Bonjour, mon gros tigre, » elle dit avec un sourire malicieux. « Il me semble que ça te plait bien de me voir, non? »
Effectivement, ça te plait bien. Il y a au moins une une partie de toi à qui ça plait particulièrement, déjà à demi dressée au dessus de ton ventre. A peine ses longues jambes sont-elles apparues et ses jolis seins se sont-ils révélés sous la robe trop serrée que ta queue, déjà de belle taille, a redressé la tête pour mieux voir les trésors qu’elle offrait.
«Comme c’est agréable d’être aussi bien accueillie! Mais avant que je ne te donnes ton cadeau il faut que je vérifie. Tu as été un gentil garçon ? Ou bien un vilain, très vilain garçon ? Un vilain garçon, j’espère car je n’ai des cadeaux que pour les petits polissons. D’ailleurs, tu n’as pas besoin de répondre, je sais que tu es un grand polisson.... Bien, juste le temps d'enlever cette robe et je te donne ton cadeau...»
Lentement elle baisse le zip de da robe et la laisse glisser au sol. Dessous elle porte un soutien-gorge sans bretelles de satin rouge et une minuscule culotte. Il y a un pompon de fourrure sur le soutien-gorge, juste entre les seins. Cette femme est magnifique... Ta queue pense aussi de même car elle a atteint toute sa taille, joliment dressée sur ton ventre, impatience d’entrer en action. Du bout de sa botte, elle pousse la robe plus loin, elle s’agenouille sur ton lit et lentement se met à ramper vers toi : cela te permet d’admirer ses beaux seins ronds qui se balancent dans leur écrin de satin rouge à chaque mouvement qu’elle fait.
«Tu peux m’appeler Mère Noël, mon lapin, » dit-elle d’une voix un peu enrouée. « Alors, dis-moi mon chéri, as-tu été un vilain garçon pendant toute l’année ? Dis-moi, tu as été un vrai garnement avec les jeunes filles. Je veux savoir ? Tu as eu des fantasmes ou des rêves érotiques? As-tu joué avec ton gros outil en regardant des images interdites aux petites filles. Quelles méchantes choses as-tu eu envie de faire à ces femmes ?»
Elle est maintenant si proche que tu peux sentir son parfum, un parfum inhabituel, musqué, sensuel, épicé et sauvage : ta queue tressaute, elle anticipe ce qui va arriver. La femme se baisse, elle juste contre toi, son visage est à quelques centimètres de sa bite bandée et tellement dure - une friandise gourmande à goûter de toute urgence. Elle pose une main sur ta jambe et tu frémis, comme si elle t’envoyait une décharge électrique.
«Tout va bien , mon gros bébé. On a tout le temps...A moins que tu n’attendes quelqu’un ?»
Sa main glisse lentement vers l’intérieur de ta cuisse, avec un toucher aussi léger qu’une plume. Juste au moment où tu pensais qu’elle allait continuer à monter jusqu’à toucher ton érection, elle repart en arrière, puis elle remonte encore, et cette fois, ses ongles vernis de rouge s’enfoncent dans ta peau. Tu as mal sur le coup, tu gémis mais rapidement ce gémissement devient un signe de plaisir.Ton coeur accélère, tu es de plus en plus excité.
La main t’a quitté et ta peau aimerait tant retrouver ce contact. Toutefois, presque aussitôt sa bouche se pose sur l’intérieur de ta cuisse et tu sens son souffle chaud qui remonte, remonte encore: tu le sens sur tes balles durcies par l’envie, tu sens sa chaleur mais il ne te touche pas encore. Mais voici qu’une langue vient à sa suite, donnant des petits coups et remontant jusqu’à sa destination finale. Maintenant tu trembles de tout ton corps, ta bite est folle d’impatience, elle voudrait que quelque chose la touche, une main, une bouche, un souffle, des lèvre, quelque chose... Mais rien ne vient encore. La femme s’agenouille près de toi et admire ta magnifique queue :
« Et bien, quel beau spécimen tu as là. Ça va être une tâche bien agréable et dont le garderai longtemps le souvenir...Je peux le dire.»
Puis elle vient s’agenouiller entre tes jambes, passe la main dans son dos et dégrafe son soutien-gorge. Elle se redresse, prend ses seins à deux mains et te demande:
«Tu les aimes, mon petit chéri? Aimerais-tu les toucher et sentir comme ils sont doux ?»
Elle se penche sur toi, prend délicatement ta bite dans la main gauche et la place entre ses ses seins, comme dans un nid. Elle enveloppe ta bite avec ses globes tout chauds et commence à bouger doucement de haut en bas, ce qui te permet de savourer cette sensation merveilleuse d’être enveloppé dans la douceur et la chaleur de sa chair.
Oui, c’est bon si bon, mais aussi c’est dangereux... Tu ne veux pas la laisser t’entraîner trop loin, jusqu’au point de non-retour car tu sens biens qu’il y a encore plus à venir. Oui, tu as raison.
Elle s’écarte un peu de toi, en tenant toujours ta bite à la main, puis elle baisse vers toi ses lèvres rouges.. Mais elle te fait attendre, ce qui intensifie encore ton excitation et ton désir. Tu tends ton ventre et tes hanches vers ses lèvres...
«Oh ..Je vois que quelqu’un est très impatient,» elle dit en riant. Alors elle tire doucement ton prépuce en arrière et souffle sur le gland si sensible. L’air chaud t’émoustille... Enfin, elle baisse la bouche jusqu’à ta bite et tu sens sa chaleur qui t’entoure. Elle finit par fermer les lèvres. Sa bouche monte et descend sur ton manche en feu. Sa langue explore le gland, tourne autour ou picore la petite ouverture. Comme elle sait que tu es tout près de l’explosion finale, elle va lentement, doucement tout en caressant tes balles de sa main droite. Puis sa bouche descend sur ton manche, le lèche de droite et de gauche et finit sur tes couilles gonflées et prêtes à éclater; elle en prend une dans sa bouche puis l’autre.
Elle t’a tant chauffé que tu ne peux plus tenir. S’ll te plait, fais-moi jouir, s’il te plait !»
Elle s’arrête, éclate de rire et lui dit:
«Tu demandes si gentiment, comment pourrais-je te dire non ?»
Sa bouche revient sur ta bite et cette fois se met à aller et venir dessus vigoureusement pendant que sa main te tient le manche et le branle au même rythme. De son autre main elle te serre les couilles comme si elle voulait s’assurer que quand tu jouirais, elle en tirerait jusqu’à la dernière goutte de ton jus d’homme. Sa bouche va de plus en plus vite jusqu’à ce que tout ton corps soit pris de convulsions et que tu exploses, faisant gicler ta crème épaisse droit dans sa bouche. Elle avale jusqu’à la dernière goutte, lève la tête, se lèche les lèvres. Elle te tient toujours le manche à pleine main.
«Ummh! C’était bon, ton foutre a bon goût, mon gros chéri... Est-ce que tu as aimé ton cadeau ?»
Tu n’es pas capable de répondre. L’orgasme que tu viens d’avoir est diiférent de tous les autres avant, ton corps tremble encore et ton esprit n’est pas encore remis. C’est vraiment ton meilleur cadeau de Noël depuis toujours.
A près quelques minutes, quand tu t’es remis de cet orgasme stupéfiant, tu parviens à dire:
«Merci, Mère Noël , pour ce cadeau !»
«Merci, ça me fait plaisir d’entendre ça, mon gros bébé», elle répond, « mais ça n’est pas tout, tu sais ; attends la suite.»
« Le problème, mon chéri, est que tu m’excites beaucoup. Tu sais, j’essaie de ne pass mélanger travail et plaisir mais dans ton cas je vais faire une exception parce que tu es tellement mignon... Regarde comme je suis mouillée à cause de toi...»
Oui, elle excitée. Elle pose sa main sur sa motte enc haleur et plonge deux doigts dans sa chatte, qui sont aussitôt couverts de mouille, puis elle lui met ces doigts dans sa bouche.
«Goûte ça, mon chou, c’est pas délicieux ?»
Oui, ça l’est. C’est le nectar des Dieux, un goût d’abricot et de kaki, un soupçon de grenade, le parfum d’un verre de muscat. C’est comme un aphrodisiaque et ta bite devient dure aussitôt, prête à continuer le jeu.
«Je savais que tu aimerais ça,» dit-elle en eriant. «Je suis bien contente que tu sois à nouveau en pleine forme et disponible pour la suite. Tu vas voir. Mais d’abord, je veux que tu goûtes bien mon nectar, à pleine bouche.»
Elle s’installe sur toi, s’assoit sur ton ventre et glisse son corps en avant vers ta tête jusqu’à ce que son minou soit juste devant toi. Tu n’as pas besoin qu’on te dise quoi faire et, de tes doigts tu écarte les lèvres gonflées par le désir et tu les lèches doucement avant d’enfoncer ta langue entre elles. Et là, tu lèches la délicieuse crème, tu la lapes, tu te perds dans les odeurs. Ta langue cherche son clito puis le trouve, gros comme un bourgeon de rose niché entre deux deux lèvres chaudes.
Elle frissonne de plaisir, elle tient ta tête serrée contre elle et ses hanches montent et descendent au rythme que ta langue leur impose. Tu décrit des cercles autour du clito, tu l’agaces du bout de la langue, tu le suces délicatement, et ensuite tu recommences, encore et encore. « N’arrête pas mon gros bébé, n’arrête pas !». Bientôt tout son corps est emporté par une en énorme vague de plaisir «Aaaah!» elle gémit du plus profond de son être et tu sens son orgasme sur ta langue, et tu bois le doux nectar jusqu’à la dernière goutte.
On dirait qu’elle jouit pendant des heures et des heures et, finalement, elle s’écroule sur toi et lève la tête pour d’embrasser longuement, tout en léchant son propre jus sur tes lèvres. Un baiser profond langue contre langue et, d’une façon étrange, le moment le plus intime que vous ayez partagé tous les deux ce soir..
«Attends, je n’ai pas fini, je crois que tu vas aimer ça aussi,» dit-elle en venant s’installer sur ta queue en pleine érection. Elle la prend dans sa main gauche et et la place à l’entrée de sa chatte, la couvrant de mouille, puis elle se laisse tomber sur ton pieu dressé. Soudains tu comprends le sens de l’expression « entrer dans le palais des délices» parce que tout n’est que soie et velours à l’intérieur de sa chatoune, c’est doux comme du chocolat fondu et ferme et serré en même temps. Ta bite ne voudrais jamais quitter cet endroit si doux et si chaud, non jamais. Ta partenaire reste immobile un instant se contentant de pomper ta bite avec ses muscles pelviens. Ça t’en coupe le souffle, tellement c’est bon.
«Maintenant, mon petit chou, on va jouir ensemble. Tu vas apprécier, j’en suis sûre.»
Elle se met à monter et descendre sur ta queue en la serrant à chaque mouvement vers le haut et en relâchant la pression en descendant. Elle accélère et elle te chevauche comme si tu étais un cheval sauvage, rapidement, fort, avec une sorte de furie érotique. En même temps elle cabre les dos et fait ressortit ses beaux seins qui dansent sous tes yeux.
Tu la tiens par les hanches pour être certain qu’elle garde le même rythme animal. Mais elle ne ralentit pas, bien au contraire... Vous approchez tous les deux de l’orgasme et elle veut que vous jouissiez en même temps. Elle te surveille, elle attend que tu sois juste au bord avant de selaisser aller à un ultime galop enfiévré sur ta bite... Et soudain c’est l’explosion, une énorme explosion ; les deux corps sont pris de convulsions et emportés par une énorme vague de plaisir qui déferle sauvagement - une tempête de jouissance...
Elle reste quelques instants immobile, comme étourdie, puis elle se laisse rouler sur le lit à côté de toi.
«Tu sais, je vais faire en sorte que ce soit moi qui t’apporte to cadeau l’annnée prochaine. J’ai vraiment envie de te revoir. D’ici là, joyeux Noël, mon gros chéri.»
Un dernier baiser et elle se lève en disant : «Faut que je parte... Du travail à faire... Des gens à voir... Pas le temps de chômer cette nuit... Un peu de magie pour me rhabiller et gagner du temps...»
Elle claque les doigts et en une seconde elle est vêtue de sa grande robe rouge bordée de fourrure blanche et de ses bottes qui lui montent jusqu’aux genoux.
«Je me suis vraiment bien amusée avec toi, mon chéri. J’espère que tu as aimé ton cadeau. On se reverra à Noël prochain.... Si ça ne te gênes pas, je vais ressortir par la fenêtre car ta cheminée est vraiment trop étroite.»
Elle a ouvert la fenêtre, a appelé son attelage de rennes, a sauté dans le traineau et a disparu dans la nuit...