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Histoires de Q
21 novembre 2017

Découverte ( 2ème partie)

Découverte - Partie 2

 Auteur ; Hornyboy - 2599 mots - QQQ-  MM - oral, sodo

 

  

C’est Colin qui me ramène à la réalité.

«Vous voulez vraiment voir la vidéo, monsieur Leclerc ?»

«D’abord,  assez de monsieur Leclerc, moi c’est Thomas, comme toi c’est Colin. Ensuite, oui,  j’aimerais regarder  cette vidéo avec toi.... Passes-en un peu, juste pour voir... Par curiosité...»

 « OK...  Je remets au début.... Mai je vous ai prévenu, ça va être chaud...»

 La vidéo démarre : on voit deux  jeunes hommes  en train de parler et soudain l'un met la main dans l’entrejambe de l’autre. Il se laisse faire, ils s'embrassent, se mettent à poil. Quelles belles queues, déjà bien dures...

Je ne dis rien, mais j’ai les yeux rivés sur l'écran.,   Et arrive alors LA scène, celle que je n’avais jamais envisagée : l'un des deux commence à sucer l’autre. Un troisième, un beau garçon, vient  s'empaler sur le  manche du suceur et se fait ravager  par derrière...  

Je m’attendais à être surpris et peut- être même choqué par le spectacle, mais je m’aperçois que, non seulement  je suis tout à fait à l’aise mais que je trouve du plaisir  à admirer ces beaux garçons, leurs  corps emmêlés et des scènes excitantes. 

L’effet sur Colin st tout  aussi évident: il une jolie ligne de poils blonds qui descend du nombril  jusqu'à son maillot et alors... Je le vois... Le bout de sa queue  a soulevé l’élastique de la ceinture et déborde dehors !  

Je sens qu’il m’arrive la même chose, ma queue grossit et  elle ne trouve pas sa place dans mon maillot de bain.   J’y mets la main pour mettre droite. Colin jette un oeil sur moi et me sourit.

 Je reviens à la vidéo, mais elle ne me m’attire plus autant. Je  lève les yeux vers Colin. Je vois que lui aussi me regarde te je me rends compte que j’ai toujours la main dans mon maillot, posé sur ma queue qui grossit à toute vitesse. Il me fait un nouveau sourire, tout en se touchant le manche à travers son maillot.

Mes yeux sont fixés sur sa main et sur la bosse qu’il caresse doucement.

«Passez-moi  la crème solaire, s’il vous plait. J’attrape vite des coups de soleil, comme tous les blonds,»  il me demande. Je lui tends le tube qui était posé derrière moi.  Quand il le prend, se sens sa main effleurer mon sexe une fraction de seconde. Ça aurait pu être accidentel mais  je suis certain qu’il en a fait exprès. Juste ce bref contact suffit à me faire basculer : je bande furieusement et ne peux même pas le cacher à mon voisin.  Il me regarde, baisse les yeux et les garde fixés sur ma queue. Il  relève enfin les  yeux,  me fixe et dit :

« Elle doit être très belle. Oui, très belle...»

 Colin pose les mains sur mes hanches. C’est comme si on m’avait jeté un sort, je suis incapable de bouger ou de dire un mot.

«Ça va... Laissez- vous aller  aller,» il me dit d’une voix  douce. « Juste un coup d’oeil...»

Je suis comme paralysé. Ses doigts trouvent  l'élastique de mon maillot et  il baisse le devant. Il regarde mon sexe qui  palpite à l’air.  Il  regarde... Mon manche et mes balles, exposés à son regard !   Je remarque une goutte de pré-foutre  s’est formée au bout de ma queue.

«Oui, c’est  beau», il dit. Je sens son souffle sur ma  queue. Je sursaute quand son doigt frôle mes  balles.

«Calme-toi», il me dit dune voix douce et apaisante. «Laisse-toi aller.» 

Je ferme les yeux. Son souffle revient et à nouveau je sens  sa main toucher mes balles  avec légèreté.  Il les embrasse, tout en douceur. Sa bouche se déplace sur mon manche dressé, un frôlement sur la peau si sensible à cet endroit. Des doigts enserrent  délicatement l’extrémité de ma queue et une décharge électrique me traverse le corps. Je ne peux m’empêcher de pousser un petit gémissement.

 Soudain, mon sexe est est dans sa bouche.  Tout ce que je ressens c’est de la chaleur, quelque chose humide, chaud et doux, tellement doux autour de ma bite. Il l’a  avalée en entier, quelque chose  que jamais ma femme ne m’avait réussi à faire quand  je bandais à fond.

«Oui, oh oui...» je m’entends dire, «C’est si bon !»

 Tout en me tenant par les hanches, sa bouche va et vient, ma bite  entre, sort et entre à nouveau. Sa bouche fait des merveilles. C’est si rapide, si doux mais aussi si fort que je sens ma sauce se mettre à bouillonner dans mes roubignoles. Il va me donner un orgasme en  moins de deux minutes !

«Arrête, s’il te plait. Ça va partir», je murmure. « Tu vas ma faite jouir.»

Il baisse mon maillot jusque sur mes genoux et sa main s’enroule autour de ma queue. Je pousse  un nouveau gémissement.  Puis Colon se lève, m’enserre de son autre bras et m’attrape par les cheveux. Puis il m’embrasse. Je n’ai jamais embrassé un autre homme, je n’ai jamais imaginé que j’en embrasserais un.  Mais avec sa main qui serre ma  bite et ses lèvres sur les miennes je me sens étourdi, pris par une sorte d’euphorie. Sa langue  s’infiltre entre mes lèvres et vient explorer ma bouche.  Je n’ai plus de force, je me sens  faible et fragile entre ses bras. C’est la seule façon que j’ai de  décrire ce qui m’arrive. Il est fort et il me tient serré contre lui. Puis il baisse complètement mon maillot et  et me dit de me relever et de m’asseoir. 

 Puis son maillot disparaît dans la seconde qui suit. Il est presque complètement rasé, seule reste une fine touffe de  poils blonds et pour la première fois je vois son corps  entier, nu, bronzé,  musclé et sa belle bite. Elle est un peu plus grosse que la mienne, et aussi dure. Mes yeux sont fixés  sur  cette bite...   Il est agenouillé devant moi, juste à ma hauteur sa belle bite dure au bout de ses grosses couilles pleines danse devant mes yeux.

«Tu as déjà touché la bite d’un homme ?» il me demande doucement.

«Non,» je  murmure.

«Regarde comme tu bandes. Tu vois bien que t’en as envie.» 

Pas moyen de le lui cacher, ma bite est engorgée, dure comme un roc, dressée à la verticale avec le bout brillant avec la salive que Colin a déposée.  Ma respiration est irrégulière, haletante. Je lève les yeux vers lui.  Une main me saisit la tête pour m’empêcher de bouger. Le bout de sa queue approche de plus en plus. Il me semble que je sens  sa chaleur sur mes lèvres. J’avance une main tremblante et je la touche légèrement du bout des doigts. C’est la première bite que je touche !   J’ai attendu d’avoir plus de 40 ans pour ça !  

Elle st chaude et douce comme de la soie. Mes doigts l’entourent. C’est tout dur sous la soie. Je tire un peu sur la peau, je la serre, je la pince doucement. Mon autre main prend ses balles, lourdes et grosses, et les  touche délicatement.

 J’entends Colin gémir doucement. Je me sens tout fier d’être capable de lui donner du plaisir, du plaisir à un  homme. Il s’approche encore de moi jusqu’à amener sa queue à un centimètre de mes lèvres. Il me tient toujours la tête.

«Embrasse-la» il m’ordonne. «Juste le bout. Touche-la  avec tes lèvres.»

Mes yeux cherchent les siens. Je ne peux pas m’empêcher de faire ce qu’il me dit.  Je me penche un peu et mes lèvres touchent le bout de sa queue. Je les laisse là quelques secondes, le temps de sentir le sexe d’un homme sur ma bouche. Ma langue touche l’extrémité, apprécie la douceur. Puis j’ai un bon goût salé sur les lèvres, et ça me fait drôle  dans tout le corps quand je me rends compte que je suis en train de goûter du pré-foutre. Colin attend un peu , puis il avance les hanches  vers moi de quelques centimètres et le gland passe  entre mes lèvres.

«tTu vois, ça y est Thomas. T’as ma bite dans la bouche.  C’est bon, hein ?»

Oui, c’est bon.  Mes lèvres encerclent le manche et  et ma langue se met à explorer le gland, doux comme de la soie.  Je suis  pris d’une pulsion incontrôlable :  j’agrippe Colin par les reins et je le tire contre moi pour  enfoncer sa  queue au maximum ans ma bouche.

«Oui, c’est bien comme ça, baise-moi la  bite,» il grogne.

Ses deux mains me tiennent toujours la tête et  et il commence à ma faire aller et venir sur son pieux. Je sens le manche, rendu tout glissant par ma salive, qui entre et sort de ma bouche, entre mes lèvres.  A chaque poussée,  sa bite me touche le fond de la gorge. Puis, soudain sans prévenir, il resort de moi, me soulève et me met debout devant lui.  Il me regarde  droit dans les yeux.

«Je vais te prendre, » il me dit. Je vais te prendre comme une femme. Je vais te baiser à fond. Tu vas être ma femme? Tu  veux bien, hein ? »

Ce n’est pas une question, je le sais. Je lui fais oui de la tête.

«Dis-le, Thomas !»

«Oui, je te veux.»

«Tu veux quoi?»

«Je veux que tu m’enc... Que tu me baises.»  

Il me prend dans ses bras, et sa bouche me mordille dans le  cou. Je  me sens complètement perdu, comme si j’étais  en dehors de mon corps. Sa main trouve  ma queue , la serre fort. Ça fait un peu mal mais c’est bon, je voudrais que ça n’arrête jamais.

«Comment tu veux que je te baise, Thomas,»

«Comme une femme. Comme ta femme. Baise-moi comme ta femme.»

«Comme ma bonne salope ? Tu veux que j’te baise comme ma petite salope ?»

Comment sait-il que c’est juste ce que j’attends, ce que j’espère ? Je ne peux même plus parler. Je ne peux que le regarder et lui faire oui de la tête.  Il m’embrasse goulûment et je lui réponds tout aussi goulûment. Il me dit de m’allonger et il s’agenouille à côté de moi, me tenant par les cheveux d’une main et en m’empoignant la bite de l’autre. Puis sa main se glisse entre mes jambes et les écarte. 

«Ecarte-les, écarte grand. Il va falloir que tu apprennes à jouir avec les jambes écartées.»

Il se met à me masser le périnée, tandis que sa bouche gourmande s’empare de la mienne.  Ma main finit par  se poser sur sa bite que que tiens, je serre, je branle, sans la quitter. 

Je le vois fouiller d’une main dans son sac et y prendre quelque chose et quand il a recommencé à m’embrasser , je sens  quelque chose de froid et humide entre mes jambes. Il est en train de me masser entre les jambes avec une huile. 

«On va te faire toute douce et toute mouillée, ma jolie. Il faut que ma jolie petite pute soit douce et toute mouillée.»  

Je ne cherche pas trop à comprendre ce qu’il dit, je me laisse emporter par les sensations, sensations inconnues et  dont j’ignorais même  qu’elles puissent exister. Ses doigts huilés se mettent à masser  mon petit trou contracté et fermé.   En même temps, je tiens toujours sa bite avec laquelle je joue et je lui rends ses baisers quand, soudain, son doigt trouve la passage, l’ouvre et commence à s’enfoncer dans moi.

Ça me fait mal et je me crispe !

«Ouh...» il me murmure à l’oreille, « ça va venir. Relaxe-toi et ouvre-toi, laisse-le entrer.»  

J’essaie de me relaxer et. Il continue à appuyer, doucement mais sans arrêter et son doigt glisse plus loin dans moi.  Soudain il fait quelque chose qui  fait réagir tout mon corps; il me touche la prostate et la masse du bout du doigt. Ça m’en coupe le souffle un instant.

«Voilà, on y va, » il me susurre.

Il remet de l’huile et m’écarte les jambes davantage.

«Ecarte bien et laisse-toi aller.» il me dit.

 Sa main  pleine d’huile revient entre mes jambes et  deux doigts m’ouvrent davantage et s’enfoncent  doucement.  Je lève les yeux vers Colin, il me sourit et se met à aller et venir  avec deux doigts. Mon dos se cabre  et mes hanches tressautent à chaque coup dans moi.

 Un troisième doigt  arrive. Cette fois, je suis ouvert, étiré, distendu et prêt. Il installe un  une serviette en boule sous mes reins pour les soulever, reprend la bouteille d’huile , s’en enduit la bite... Je sais ce qui a va arriver ensuite...  Il se met sur moi. Oui j’ai tellement envie qu’il vienne  dans moi. Ma main guide sa bite entre mes jambes jusqu'à  mon trou bénat et  dégoulinant d’huile. Je  sens son poids peser sur moi et le bout de sa bite qui pousse pour entrer. Il  donne deux ou trois coups de reins.  Son gland est à moitié engagé dans mon trou.

«<Voilà, tu es à moi maintenant. Ma bite est  dans toi. T’es ma ptite pute...»

«Tu me fais mal», je dis en sanglotant à demi. «Arrête, s’il te plait.»  Il arête et ressort complètement.  Je suis submergé par  des sensations  des envies, des  émotions. Je me sens mieux maintenant que mon cul n’est plus distendu par son énorme manche, mais j’ai tellement envie qu’il revienne et qu’il me remplisse à nouveau.  Il  remet de l’huile, frotte sa bite sur mon anus, la  remet en place, pousse et il m’ouvre à nouveau. Je suis encore  tendu, mais moins qu’avant. Il est couché sur moi, il passe ses bras autour de moi et me tient  bien serré ; il m’embrasse doucement puis il couvre ma bouche avec la sienne  et il pousse un grand coup. Sa bite me pénètre jusqu’au fond, me défonce. Je pousse un grand cri.

«Ça  y est,  tu m'appartiens, tu es à moi, me dit Colin.»

 Il reste quelques secondes sans bouger puis il commence  à aller et venir. La douleur d’estompe et devient autre chose, du plaisir.  Je l’accompagne dans ses mouvements de pénétration et  grâce à ça,   sa bite  va encore plus loin; plua à fond dans moi.

«Oui, c’est ça,  vas-y aussi avec moi... C’est ce que tu veux, hein?» 

«Oui, oui... Baise-moi. Baise-moi fort.»

 

Maintenant, je ressens une union totale avec Colin. Ce n’est pas juste une sensation agréable,  pas seulement  le fait de sentir son souffle chaud dans mon cou ou le poids de sa poitrine sur mon dos.  C’est plus que tout cela,  c’est  savoir que  je suis devenu un peu lui  et lui, un peu moi et qu’on  ne fait plus qu’un.  A chaque coup de bite qu’il enfonce dans moi, il m’envoie une décharge électrique dans  ma queue, mon cul et tout mon ventre;

«Oui, baise-moi,oui...» c’est tout ce que j’ai la force de dire. «Plus fort, oui... c’est bon comme ça !»

Je veux qu’il me pénètre encore plus loin, plus loin et je veux  sentir son sperme jaillir dans moi.

 Soudain il  ne se contrôle plus et  il se met à me baiser vraiment vite et fort. Mon corps se raidit et se tend quand je le sens jouir dans moi et  son foutre chaud me remplir.

 

Alors que sa bite  toujours dure reste enfoncée tout au fond de moi, j’attrape sa tête et ma bouche s’empare de la sienne pour un  long baiser. Peu à peu sa  queue perd sa vigueur et nous restons  allongés pour le seul plaisir de nous sentir l’un contre l’autre, corps contre corps dans l’euphorie de notre union.

«Colin, on peut recommencer chaque fois que tu en as envie, tu sais...»

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