Tournante au pensionnat - Histoires de Q

Histoire trouvée sur le net à cette adresse : chezandre112.blogspot.fr/

Tournante au pensionnat

Rêve ou réalité ?

En tout cas les garçons en ont bien profité

pour prendre leur pied!!

DOMINIQUE
Voici une histoire qui m'est arrivée. J'avais de la peine à la raconter mais, maintenant, les faits s'étant déroulé il y a cinq ans, j'en suis bien libérée.
Je m'appelle Dominique. Comme ne le dit pas forcément mon prénom, je suis une fille. Cela peut vous sembler un détail mais en fait il est très important dans l'histoire.

J'avais quelques problèmes scolaires. Mes parents ont décidé de m'envoyer dans un internat pour y remédier. J'étais studieuse, mais j'avais de grandes lacunes en math et en langues. On m'a donc envoyé en Suisse alémanique (la partie germanophone du pays), dans une école réputée.
Je suis arrivée en cours d'année. La première journée s'est très bien passée, mais lorsque je suis arrivée devant ma chambre, je me suis rendu compte qu'elle se trouvait à l'étage des garçons. Surprise!
L'administration s'était tout simplement trompée. Faut dire que c'était pas trop grave, vu que c'était une chambre individuelle et que je pouvais la fermer à clé. Les contacts avec les garçons se faisaient au niveau des communs, c'est à dire un salon et la salle de bain.

On était huit sur tout l'étage, sept garçons et moi. Lorsque j'ai averti à l'administration, on m'a dit qu'il fallait attendre deux semaines en raison de travaux dans la seule chambre de fille libre pour le moment.
Des directives ont été données pour que tout se passe bien à notre étage, notamment pour que j'aie un accès respectueux (c'est à dire seule) à la salle de bains.

Le contact s'est très bien passé avec les garçons. J'ai vite sympathisé. J'ai bien remarqué que certains me draguaient et que j'avais de l'effet sur plusieurs d'entre eux. Mais j'avais mon copain resté en Suisse romande (la partie francophone du pays) et je voulais lui rester fidèle.
Point question pour moi de faire des folies durant ces deux semaines donc. Au bout d'une semaine, il y a eu mon anniversaire. Le soir, après les cours, les gars sont venu me chercher pour une surprise.
Ils avaient acheté un gâteau et des bouteilles de champagne. Les sept de l'étage étaient présents. On a mangé le gâteau et pas mal bu il faut dire (ce qui était évidemment interdit par le règlement!).

Après quelques instants, un garçon a sorti un petit paquet. J'ai déballé et j'ai vu que c'était un maillot de bain bikini. Il était très court et j'étais plutôt gênée car je suis assez pudique. Bien sûr, tous m'ont demandé de l'essayer.

Après qu'ils aient longtemps insistés, je leur ai concédé de le mettre et faire un tour de table rapide; "mais personne ne touche, compris!" avais-je bien rajouté.
Dans ma chambre, lorsque j'ai essayé le bikini, j'ai un peu regretté, car il était vraiment minuscule. Mais j'ai tout de même retourné avec les garçons car il ne s'agissait que de quelques secondes, juste le temps de faire mon petit tour de table. C'est donc sous les regards admiratifs que je suis passée, d'un pas assez rapide, devant chacun des garçons.

Lorsque je suis arrivé devant Stephan, le plus baraqué de tous, les choses se sont gâtées. Il a pris un spray au poivre et m'a aspergé le visage. Mes yeux me brûlaient énormément et je me suis arrêtée, totalement aveuglée.
J'ai tout de suite senti quelqu'un qui empoignait ma main alors que d'autres criaient de m'attacher. J'ai senti quelque chose de métallique à mes poignets: des menottes.
Les gars avaient bien préparé leur coup. Ils m'ont couché sur le dos sur la table. Heureusement ils m'ont vite nettoyé les yeux et m'ont dit de ne pas crier, sinon ils "resprayeraient". J'étais terrorisée.
J'avais les sept gars autour de moi, les mains attachées dans le dos et je ne savais pas ce qu'il allait advenir de moi.
Johan a alors pris des ciseaux et a coupé le haut de mon bikini, laissant apparaître mes seins, relativement petits, aux yeux des garçons admiratifs. Ils se sont mis à les toucher, parfois sans grande délicatesse ce qui me fit mal.

Stephan avait toujours le spray à la main, ce qui me dissuadait de crier à l'aide. Le bas du bikini a rapidement subi le même sort. Et les quatorze mains se sont alors dirigé sur mes fesses et mon sexe.
Leur doigt me tripotaient et me pénétraient. Ils se sont ensuite déshabillés. Je me retrouvais avec leur sept sexes juste devant moi et je me demandais ce qu'ils allaient leur passer par la tête.
Ils m'ont ensuite bandé les yeux, me disant que ce serait une surprise. Je ne voyais plus rien lorsque j'ai senti quelque chose s'introduire en moi.

Un des gars, je ne sais pas qui, était en train de me violer. Ce n'était que le début de mon calvaire. Lorsqu'il eut finit, ce fut le tour d'un second, puis d'un troisième, etc.
Tous m'ont pénétré, ce que ne peux que présumer. Je ressentais de la honte surtout que je commençais à jouir dès la quatrième pénétration. J'ai eu plusieurs orgasmes ce que je ne croyais pas possible lors d'un viol.
Bien sur, les gars ont vu ça et cela n'a fait que les encourager.
Alors que tous étaient passés dans mon sexe, j'ai entendu Martin demander de me retourner.
- On va la prendre par derrière
Je n'avais jamais pratiqué la sodomie, mon copain et moi trouvant cela répugnant. "Je me suis plainte alors. "SVP, non, pas ça".

Après une brève concertation, les garçons m'ont proposé un marché. Je devais tous les sucer et ils laisseraient mon anus tranquille. J'ai accepté. J'ai alors compté les sexes, encore remplis de sperme me rentrer dans la bouche.
Tous m'ont déchargé dans la bouche ou sur le visage. J'étais crevée.
"Merci" m'ont-ils dit.

Je croyais ma peine terminée, mais visiblement, ils avaient oublié notre marché. Un des gars m'a introduit du beurre dans mon cul pour pouvoir mieux s'introduire. Et là aussi, tous y sont passé.
Burinant l'un après l'autre mes fesses. J'ai d'abord serré les dents en raison de la douleur, mais le trou s'étant par la suite élargi, j'ai moins souffert. Je n'ai pas eu d'orgasme.

Alors que le septième était encore en moi, un autre et venu devant pour me faire une double pénétration. J'ai alors joui comme jamais, ce que je ne voulais pourtant pas. Tous ont alors crié de joie.
Lorsqu'ils ont en eu assez, ils m'ont alors enlevé mon bandeau. Ils m'ont introduit un gode dans le sexe et dans le cul et ont pris des photos.
" Ces photos seront distribuées dans toute l'école si jamais tu devais raconter quelque chose" m'ont ils averti.

Voilà pourquoi je n'ai jamais raconté ma vraie soirée d’anniversaire

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