Trois sœurs, trois chaudasses

Auteur : hornyboy – 2757 mots –  Le narrateur, un garçon de 20 ans à bien du mal à satisfaire trois filles  qui sont vraiment très gourmandes – Mf   MFFf  baise, oral anal, gode  

J'avais 20 ans à cette époque et j'habitais une petite ville de 5000 habitants dans laquelle tout le monde connaissait presque tout le monde. Avec ma famille je vivais au deuxième étager d'un petit immeuble. Dans le même immeuble habitaient aussi les Lechartier, qui avaient trois filles de 15, 17 et 19 ans.  Une fin d'après-midi d'été, un jour où il faisait très chaud, je revenais  chez moi, tout en en sueur, chargé d'un gros sac à provisions. Juste devant la porte de l'immeuble il y avait deux des filles Lechartier (Lucie et Océane). En me voyant, elles me donnèrent  un petit bonjour et, quand  je passai devant elle, je les entendis rire un peu bizarrement, mais je n'y prêtai pas  spécialement attention. Arrivé au premier étage, je tombe sur la troisième fille ( Carine) et elle me demande « Euh.. est-ce que tu aurais envie de sortir  en boite ce soir avec moi ? »  «  »Ben…euh... oui… pourquoi pas... »

« D'accord, à tout à l'heure, dans une bonne heure ? Je t'attendrai en bas . » 

Je rentre avec mon sac de couses et je prends une douche . En même temps, je me mets à repenser à Carine les fois où je la vois descendre l'escalier : on devine ses seins, de beaux nichons plutôt assez gros qui dansent de droite et de gauche à chaque marche.  Juste comme je les aime. Ummmh ! Voilà  une idée qui m'excite. Je sens ma queue grossir et durcir. Bientôt elle est dressée à la verticale et je m'amuse à jouer avec sous le jet d'eau. Je branle  doucement mon manche raide en pensant à Carine et bientôt je suis sur le point de jouir… Puis le temps me semble passer trop lentement mais enfin c'est l'heure d'y aller. Je descends. Carine est déjà là à m'attendre.

« On y va », elle me dit, « Tu ne connais pas la boite tu m'as dit, mais je suis certaine que tu vas aimer.
On  a dansé presque toute la soirée en souvent j'ai senti ses seins  frotter contre ma poitrine.  Vers les deux – trois  heures du matin on rentre à la maison en parlant de notre soirée.  Sur le pas de la porte je lui donne un gros baiser, bouche contre bouche, un baiser chaud et sensuel.  Ma main glisse sous son chemisier et j'essaie de la peloter les seins, mais elle ne veut pas.

« Tu peux passer demain , mes parents ne seront pas là, » elle me dit. 
« Bon… D'accord... A demain. »

Le lendemain matin je me réveille avec une belle érection : j'ai dû rêver de  Carine et imaginer que j'allais me la taper. Le temps passe  lentement,  j'ai du mal à attendre deux heures de l'après-midi pour monter au troisième étage. Je sonne la porte s'ouvre. Lucie, la plus jeune des trois m'ouvre avec un grand sourire. « Entre. »

Je passe le seuil.   « Ta sœur est  là ? »
« Hein ? » est sa réponse.
« Carine. Elle est ici ? Elle m'a dit de passer la voir cet après-midi. »
« Elle est juste sortie quelques minutes, elle ne va pas  être longue à revenir. Viens t'asseoir », elle me dit en me montrant  le living-room de sa main.

Je m'assois sur un grand canapé de cuir et je regarde autour de moi pour voir comment la pièce est décorée. Lucie s'est installée en face de moi sur un gros pouf et elle me  détaille de la tête au pieds.

« Vous vous êtes embrassées hier soir, » elle demande en rigolant.
« Oui mais ça ne te concerne pas. »
« Carine est ma sœur et on se raconte tout… Vous l'avez déjà fait ensemble ? »
En même temps elle se fourre un doigt dans la bouche et se ronge l'ongle. Je ne comprends pas vraiment ce que la petite cochonne veut savoir et où elle veut en venir. A cet âge on est beaucoup plus direct et on n'hésite pas à y aller franchement et elle me sort:

« Tu ne vas être étonné quand tu sauras ce que Carine a préparé pour toi aujourd'hui » elle me dit  avec un rire un peu bizarre.

Soudain la porte de la salle de bain s'ouvre et Océane en sort, complètement nue. Jolie ! Une belle jeune fille craquante.  Elle est blonde avec ces cheveux mi-longs,  des yeux bleus,  ces seins bien faits avec des tétons foncés de la taille d 'un petite pièce de monnaie, un  délicieux petit cul et de langues jambes  fines.  

«Lucie, pourquoi tu ne m'as pas prévenue qu'on avait de la visite », s'écrie Océane, sans  toutefois se couvrir  les seins ou le pubis.
 Lucie réplique en lui disant qu'elle est à la maison et pas en train de se balader  sur une plage nudiste, comme elle le fait souvent et que c'est à elle de veiller à ne pas sortir nue de la salle de bain.

Mais en fait, j'ai vraiment l'impression que Lucie s'amuse bien en voyant  sa sœu  à poil devant elle et moi.  Quant à moi, pour être honnête, je trouve le spectacle très agréable à regarder et mes yeux ne quittent pas le corps d'Océane que je mate avec beaucoup de plaisir.

Je sens ma queue durcir dans mon pantalon  comme si elle ne voulait pas manquer ce spectacle, et j'ai une belle  bosse entre les jambes. Océane s'en aperçoit, vient lentement vers moi et s'assoit sur le canapé à côté de moi. En s'asseyant elle fait une sorte de bruit de mouille, comme lors d'un baiser,  car sa peau n'est pas encore complètement sèche.  Je suis si excité que rien que ce bruit là aurait pu me faire  juter !

Océane regarde mon pantalon et et voit parfaitement ce qui se passe dedans.

« Enlève tout, toi aussi, parce que si tu as vu Océane à poil, il est normal qu'elle te voie aussi pareil » me dit Lucie d'un voix  pleine d'énergie et d'autorité.
J'hésite une seconde ou deux... A poil devant elles… Ces filles  me tournent la tête… Je me sens obligé de faire comme cette drôle de petite cochonne le demande et je commence à ouvrir les boutons. Juste quand je termine  il y a soudain comme une explosion et mon caleçon se dresse,  soulevé par  une puissante  érection.

« Je crois bien que tu aimes ça, hein ? »m dit Océane en prenant ma main pour la poser sur sa poitrine.
Ummmh ! Quelle jolie petite poitrine avec ses petits nichons ronds et ses tétons déjà bien durs.  La situation est étrange : j'ai un rendez-vous avec Carine et et me voici en train de peloter  sa sœur, plus jeune de deux ans. Tout compte fait, c'est bien agréable ! Je  caresse doucement les seins d'Océane quand  Lucie  se met derrière moi et  et d'un coup baisse mon caleçon. Mon zob jaillit, gros et dur devant le visage d'Océane. Elle se met à rire. Non pas parce que ma bite est trop petite, au contraire elle est de belle taille, mais ça amuse Océane de la voir se balancer devant elle. Elle la prend dans sa main : elle a du mal à en faire le tour, tellement elle est gtosse. Et  mes belles cochonnes savent la faire grossir encore : Océane tire  sur le prépuce et va et vient un peu sur le gland. Elle hésite une ou deux secondes puis elle me prend dans sa bouche.  Ça me faisait une sorte de picotement en sentant sa langue sur mon gland. Elle me suce et me lèche et me suce encore un bon bout de temps et j'ai bien du mal à me retenir jusqu’à ce qu'elle  arrête.

« A toi maintenant. Tu vas goûter aussi à ma crème, »elle me dit. « mets-toi à genoux et déguste un peu ma chatte à ton tour. »
A peine  a-t-elle fini que ma tête disparaît entre ses cuisses chaudes. Sa chatte sent si bon et et son jus a le goût de de miel  Du pouce , je lui écarte les lèvres pour mieux pouvoir sucer son clito.  Ma langue  joue avec un peu, et rapidement, un petit gémissement

m'indique quelle aime ça. Sa chatte commence à se contracter et et la mouille se met à couler jusque sur la cuir du canapé.

« Baise-moi,maintenant, »elle me dit dans un soupir. A nouveau, je fais comme elle me demande. Elle se tourne, se couche sur le ventre, le cul en l'air.
« Je ne prends pas la pilule, alors tu vas me le faire dans le cul. » 
Je ne m'attendais pas à ça mais comment refuser ce genre de  demande ? Je  mets un doigt dans ma bouche  pour le mouiller puis je lui enfile dans le trou du cul.  Je lui branle cul une seconde puis je remouille avant de présenter ma queue. Je pénètre lentement  ma partenaire en faisant bien attention de ne pas lui faire mal.  J'ai moi-même le cul exposé et soudain je sens  la main de Lucie se poser sur mes fesses et et son majeur d'enfoncer doucement dans mon propre trou. Ouch ! Voilà quelque chose que je connaissais pas, une  merveilleuse nouvelle sensation. C'est la première fois que j'ai quelque chose  de ce côté-là… et j'aime bien…  Lucie se met aussi à  m'enfiler le doigt, à m'enculer en sorte,  bien en rythme  avec moi qui encule sa sœur !!!

 Soudain j'entends une clé tourner dans la serrure et  je sursaute de frayeur.

“Salut, y a quelqu'un ici?” demande une voix.
Je suis à demi rassuré en reconnaissant cette voix : c'est celle de Carine. Mais, merde ! Qu'est-ce qu'elle va dire en nous voyant tous les trois?   C'est vrai que que suis en train de me taper sa sa sœur,  et par le cul, encore - pendant que son autre sœur, tout juste quinze ans me doigte le cul…

 Carine est déjà arrivée à la porte et elle va me voir… Ça va être horrible...

Et au lieu de la tempête à laquelle je m'attendais, j'entends Carine dire à ses sœurs d'un ton parfaitement calme 

« Comment, vous avez déjà commencé sans m'attendre. C'est pas sympa, ça. » 

Cette fois c'est moi qui suis complètement horrifié  : elles ont tout préparé, elles me voulaient et elles m'ont eu… Les salopes !!!

« Allez, continue à me baiser, » m'ordonne Océane. 

«  Comme tu veux », je lui réponds et je l'encule aussi fort et aussi vite que je peux.  Elle se met à gémir de plus en plus bruyamment,  et peu après c'est à moi de  gémir à mon tour quand ma bite jute et  envoie des giclées droit dans  le cul d'Océane.  Je sors ma queue et le foutre recoule doucement  du trou. Je prends mon manche en main et je passe sur tout le cul pour le badorer de ma sauce gluante. Puis, j'entends Carine, à demi couchée sur le canapé, dire qu'elle a besoin d'enlever tous ses vêtements. Elle commence à se s déshabiller puis elle s'aperçoit que ma queue  a perdu de sa superbe et qu'elle est déjà a moitié molle,  

« J'vais  te remettre en forme... » elle me dit en venant s'asseoir  entre mes jambes écartées et commence  à  redonner vie à mon zob. Elle me prend dans sa bouche, lèche, suce,  monte et descend sur le manche qui  retrouve rapidement une belle forme. Je jette un coup d’œil sur les autres filles: Lucie est en train  lécher Océane,  à grands coups de langue, allant  depuis le trou cul jusqu'à la chatte et retour. Elles semblent aimer ça toutes les deux !  Lucie s'aperçoit que je les regarde et elle me dit :

« Viens me sucer » elle fait en baissant sa culotte. Elle   s'agenouille au dessus de ma tête puis s'assoit sur mon visage si bien que j'ai ses poins mais aussi sa fente juste devant le nez. 

« Allez, vas-y, bouffe-moi le chatte, » elle m'ordonne. «  Fais moi jouir comme ça ! » 

Il ne me reste qu'à enfoncer ma langue dans son petit trou  étroit.Et ce petit trou est si chaud et si excitant que ma  queue  retrouve toute sa vigueur et se redresse à la verticale. Carine apprécie tellement  de voir ça qu'elle s'assoit sur ma bite et se met à monter et descendre sur mon pieu.  A chaque coup son bon gros cul rond claque sur mes jambes. Elle semble aimer ça de plus en plus et elle  à me chevauche comme si j'étais un étalon sauvage. Mais j'ai déjà  beaucoup  à faire avec la cramouille de la petite cochonne de Lucie. Je lui ouvre la chatte avec deux doigts  et maintenant voici son bouton d'amour et je l'attaque avec la pointe de la langue.  De temps à autre, je serre un peu son clito entre deux doigts et chaque fois  elle me récompense avec une petit gémissement.  Puis, pour changer un peu, j’enfile un doigt dans sa chatte et de l'autre main je lui  caresse le trou du cul avant d'y enfiler aussi un doigt… Oh, elle a l'air d'aimer ça, la cochonne. Pendant ce temps, Carine me chevauche comme une folle et elle  pousse des cris et des gémissements de plus en plus forts. Soudain :

« Ah… Je jouis ! » elle s'écrie. Et comme moi, je suis aussi prêt à partir, je sens une sorte de frisson me traverser le corps et  mon foute  gicle et de déverse dans la chatte bouillante de Carine que je sens spasmer autour de ma  queue.

Il reste une des trois filles  et celle-ci je l'ai juste devant mon nez – juste devant, au sens littéral du mot. Mais le pire est qu'elle ne fait rien pour descendre de dessus moi.

« Je vais me retirer quand j'aurai eu un orgasme, » elle le lance d'au air de défi tout en serrant ma tête entre ses cuisses. 

Bon, qu'est-ce que je peux faire d'autre que de la sucer et de la lécher tout en ayant enfilé un doigt dans son cul.  Je voudrais bien la baiser, la prendre  la chatte , mais bon , je vais faire avec.

« Est-ce que vous avez des carottes ou des concombres, des trucs comme ça ? » je demande, en me disant que c'est ma dernière chance. Océane se précipite dans la cuisine et revient en disant qu'elle n' a rien trouvé sauf des  bananes . Elle en prend une, la pèle et me la donne.

« Tourne ton cul face à moi, » je demande à Lucie.C'est ce qu'elle fait, puis elle attrape ma bite et se l'enfonce dans sa bouche, mais elle a beau  essayer de me sucer, ma queue ne veut plus se redresser…  Je prends la banane entre  trois doigts et et je pousse un peu dans son joli petit cul, sans un poil, étroit et chaud. 

Ça entre bien plus facilement que j'aurais pensé.  En plus j' enfonce un doigt dans ce petit cul rond et ferme et je branle le cul de cette petite salope de Lucie. La banane glisse merveilleusement bien dans  le cul  , monte et descend, entre et sort… la fille pousse des gémissements de plus en plus forts. A cri bref mais strident m'informe qu'elle aussi a joui à son tout. 

Après on est restés tous les quatre allongés en silence quelques minutes à profiter du simple plaisir de se sentir serrés les uns contre les autres. Un peu plus tard, je remets mes vêtements et je repars chez moi , non sans avoir à nouveau partagé quelques baisers et caresses.

Par la suite j'ai souvent été invité par les trois sœurs quand les parents n'étaient pas là  pour des après-midi ou des soirées toujours aussi sauvagement animées. Carine  était celle aux gros seins et au large cul; Océane était celle que je préferrais et qui était la meilleure pour la baise et la petite cochonne de Lucie  était celle qui avait une chatte étroite mais absolument insatiable.

Ah, ça j'en avais pour tous les goûts et pour tous mes désirs. Impossible d'avoir des voisines plus  merveilleuses. Mais environ dix-huit mois plus tard, les Lechartier ont du déménager à cause du travail du père. Quel dommage ce fut. Depuis j'ai repris contact avec eux  et surtout avec  Océane : nous nous voyons  aussi souvent que possible et chaque fois, c'est une nouvelle fête de la sensualité et du sexe !!!