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Histoires de Q
11 juin 2016

Bangkok : des filles surprenantes (Partie 2)

 Auteur : Hornyboy - 2572 mots - QQQ - En visite à Bangkok, quoi de plus naturel que de prendre une prostituée. Encore qu’elle puisse réserver une surprise fort dérangeante - au début du moins. MF MM prostituée, oral, sodo

 

PARTIE 2  il est, je crois, très souhaitable d'avoir lu la première partie pour aborder celle-ci.)

 

Cette fois, la seule chose que je veux maintenant, le seule chose qui m’ importe c’est d’aller jusqu'au bout, de lui doigter le chatte et de la préparer puis de l’enfiler et de la baiser. Je pose la main sur sa cuisse sous sa jupe et je remonte.. Et là, je sens quelque chose d’étrange... Elle a... elle a une bite... Non je ne me trompe pas, en plus je sens ses couilles... Je lève les yeux vers elle: elle tourne la tête. Putain, ça me fait flipper. Cette nana, c’est un travelo ou un trans. Pourtant elle est vachement canon, mais la salope... c’est un mec...

Je reste une ou deux secondes si abasourdi que je ne réagis même pas. Puis c’est la colère mêlée au dégoût: je me suis fait sucer par un mec. J’ai embrassé un PD !

«Salope... Sale PD! Non mais quoi, qu’est-ce tu croyais ? Que j‘allais te sucer? Encore un peu et m’aurais enculé... Espèce de fiotte !» Je l’engueule en français. je sais bien qu’il (ou qu’elle ?) ne comprend pas un mot, mais mon ton ne laisse aucun doute sur ma colère et mon humeur.

Je la vois se tasser dans un coin, apeurée - surtout que je fais facile une tête de plus qu’elle. Je ne vais quand même pas lui taper dessus; mais qu’elle disparaisse, cette pute... Qu’elle se barre... J’attrape ses vêtements et je les lui lance.
«Reloque-toi et fous le camp !»
Elle me regarde toujours avec ces yeux de chien battu et elle commence à remettre son soutif puis enfiler sa chemise. Ces seins qu’elle a, c’est pas possible qu’un mec ait des nichons comme elle. Petits, mais parfaits, ronds, fermes, hauts perchés avec de belles pointes roses. Et ce cul ... les fesses
pas trop bombées à la courbure parfaite. Vraiment une belle fille. Dommage qu’il ait ça entre les jambes.

Soudain une idée me traverse l‘esprit.
«Arrête. Fais voir comment c’est foutu une lope de ton espèce !»
Il ( ou elle ?) ne comprend pas ce que je lui dis. Je reprends plus lentement et plus clairement:
«Reste et remets-toi à poil ! Fais-moi voir ta bite. »

Tualek ne comprend toujours pas ce que je veux, qu’elle s’habille ou qu’elle se déshabille, qu’elle parte ou qu’elle reste. Elle hésite, m’interroge des yeux. Par un certain côté, elle me fait pitié : un mec obligé de faire la pute et de jouer au travelo... un mec qui doit crever de honte et de peur à chaque fois qu’un de ses clients découvre qu’il a autre chose qu’une chatte... Et puis elle reste une créature super canon, et quelle pipe somptueuse elle m’a fait.... Je m’approche de Tualek, je la prends par la main et je lui demande, cette fois, avec calme et peut-être même un soupçon de gentillesse dans la voix, de se sortir sa bite et de me la montrer. Elle me sourit - j’ai beau savoir que c’est un mec, elle une gueule d’ange.

Presque timidement, elle lève sa jupe et baise à demi un mini slip rose. Elle est rasée, pas un poil, et en bas je découvre un sexe de mec, une queue molle mais respectable et assez épaisse et ses couilles, deux belles prunes. Cette petite salope, si fine et si jolie est plutôt bien équipée.

il essaie de me parler, de s’expliquer mais je n’entends rien?.
Je ne sais plus quoi penser. Me voilà en train de baiser avec un mec, et pour un peu il m’aurait enculé...

Je ne peux détacher mon regard de cette pute, en partie par colère et en partie parce qu’elle est super chaude. En mettant de côté ce qu’il vient de me faire - ou peut-être en partie à cause de ça - une vague soudaine de désir me saisit - à la fois désir de me venger, de lui faire mal et désir sexuel pour cette fille tellement sexy malgré son paquet entre les jambes. Je n’ai plus qu’une idée, c’est de défoncer son cul de salope pour quelle se souvienne de moi.

J’allonge une main pour lui toucher la bite, mais j’hésite et je la pose sur son ventre. Elle a une peau tellement douce que c’est un vrai régal de pouvoir la toucher. Ses cuisses, ses hanches, ses seins... A lui seul, ce contact suffirait à faire rebander un vieillard décrépi.

«Mets-toi à poil !» je lui ordonne. Je sens qu’elle est terrorisée et ça me plaît de la voir ainsi. Il ne lui faut pas longtemps pour enlever le peu de vêtements qu’elle a encore.
«C’est bien, maintenant, fais-moi bander, et bander dur et après, p
etite pute, tu vas recevoir ma bite entière. J’te promets que tu vas danser...»

Je lui présente ma queue à sucer: il s’approche et saisit ma bite molle. Il la tient à l’horizontal, ouvre le bouche et et referme ses lèvres. putain, c’est vrai que ce mec - ou cette nana, peu importe - sait sucer! En plus ses mains ne restent pas immobiles et ajoutent au plaisir qu’il me donne. Pour un peu, je le laisserais continuer jusqu’au bout, mais non, je veux enculer son cul de mec putassier.

«Ça suffit, maintenant mets-toi à quatre pattes sur le lit, le cul en haut et écarte-toi les fesses..

Je crache sur son cul et, sana ménagements, j’enfonce un doigt tout entier, puis un deuxième doigt. Je les fais aller et venir et tourner dans son cul.

Je tente d'y introduire mon gland, je force, je souffle, mais la salope est étroite . Je l'entends souffler fort, elle gémit - de douleur, j'espère bien - et j'essaie de pénétrer pour m'enfoncer profondément.
« Ton cul va bouffer ma bite, sale petit PD, il va le bouffer.... », je dis en m’énervant.

J’appuie de toutes mes forces, le cul s’ouvre sous la poussée. la salope beugle. Ça doit lui faire mal. Tant mieux! Elle me supplie d’arrêter, mais au contraire je pousse encore, j'appuie de tout mon poids sur son corps, et je m’enfonce plus loin et son anus se referme sur ma queue. Ensuite, lentement d’abord, puis plus vite je lui baise ce cul pas préparé et pas lubrifié. Je dois la déchirer, mais il faut qu’elle me prenne en entier dans son cul de PD. Je sens la fille s’agripper aux draps et elle hurle.

«Feme-la et ouvre ton cul, j’ai pas fini avec toi ! » je lui crie en lui envoyant un grand coup de reins qui m’enfonce totalement dans elle.

Ma bite va et vient dans son trou avec force et je le défonce et et je lui casse le cul à grands coups sans m’inquiéter de ses cris.
J’y vais aussi fort que je peux, prenant plaisir à maltraiter cette salope de pute à bite. J’y vais de plus en plus fort,

Mais très rapidement Tualek ne dit plus rien et répond même à chacune de mes poussées. En fait, elle a tellement l’habitude de se faire enculer qu’elle a le cul bien préparé qui se détend facilement et j’ai beau la pistonner à grands coups;de reins, elle me surprend en résistant et j’ai l’impression qu’elle pourrait tenir encore plus .. En même temps l’idée de ma bite enfoncée tout au fond du cul de cette fille me chauffe l’esprit et me fait bander encore plus dur. Rapidement je sens que je vais jouir. La fille encaisse encore deux ou trois coups donnés de toutes mes forces et j’explose dans elle, prenant plaisir à emplir son trou de mec de mon foutre bouillant. Je foutre tellement que ça ressort de son cul autour de ma bite.

Cette fois, je me sens mieux et ma colère, est retombée. Je me dis même que j’y suis allé trop fort avec elle. je la prends dans mes bras, je lui parle, elle me parle, oui je lui ai fait mal, mais elle a connu pire encore avec de vraies brutes. En fin de compte cette fille n’est pas une pute ordinaire qui compte en clients et en billets de banque : elle serait même une fille sympa si elle pratiquait un autre métier. Et ce métier, elle le fait bien... Je finis même par apprendre que c’est de ma faute si j’ai levé une ‘ladyboy’ car il est, paraît-il, bien connu que la bar à filles où elle travaille est spécialisé dans les trans. J’aurais dû le savoir... Elle m’explique aussi ce qu’est une ladyboy, quelles opérations elle a déjà subies et quelles autres sont prévues encore, cette fois pour lui enlever le paquet et lui créer un vagin artificiel, etc..Bref, la soirée se termine bien, nous sommes un peu comme un mec et sa copine qui bavardent tranquillement au lit.. Tualek me propose d’autres divertissements à sa façon mais je suis crevé - voyage, décalage horaire, etc - et nous nous endormons les dans les bras l’un de l’autre.

*

* *

Le lendemain matin, je me réveille en prenant conscience qu’on est en train de jouer avec ma bite. Le temps de reprendre mes esprits, de me souvenir que j’ai une pute à bite dans mon lit et la petit cochonne me fait déjà bander. Me voyant éveillé, elle me sourit me lance un grand ‘bonjour’ et se met à me piper. Les yeux à peine ouverts, je la vois se pencher sur moi et passer sa langue deux ou trois fois sur le bout de ma queue . Puis elle met les lèvres, dépose une gentil baiser sur la gland avant de l’avaler lentement.

«Tu es vraiment une belle cochonne, oui. Une jolie pute,» je lui dis, la voix déjà pleine de désir. «Oui, une bonne cochonne.»

Soudain, j’ai envie de la sucer et de la faire juter. cette queue au lieu de me repousser comme hier soir m'excite au plus au point.

Je sais que je suis dans le délire. Un mec qui suce une queue, c’est un truc de gay. Oui, mais sucer celle d’une belle femme c’est pas pareil...

«Attends, je vais te sucer d’abord. J’ai envie de savoir comme net ça fait de prendre une bite de ladyboy...»

«Tu veux qu’on continue en 69?»
«Non, tu ne me suces plus. Je veux me concentrer tout entier sur toi. Tu sais, je suis hétéro, je n’ai jamais fait de pipe à un homme. Je veux me concentrer tout entier sur toi.»

Elle n’insiste pas et s’offre à moi. Et avec un gémissement étranglé je touche sa bite d’une main tremblante.

Le contact me fait tout drôle. Ça fait combien d’années que je n’ai pas touché la bite d’un mec? La dernière fois, je devais avoir 14 ou 15 ans et mon partenaire pareil. Bien sûr, il y a moi, je me paluche régulièrement mais ce n’est pas pareil. Sa queue est toute douce et elle grossit rapidement dans ma main. C’est une sensation que j’adore: un manche chaud, vivant et à la fois dur et doux, des couilles douces et bien pleines. Je commence à bander…
Je tire en arrière la peau du prépuce et apparaît un beau gland rougeâtre , une belle cerise. Je branle un peu le manche, je caresse le gland en tournant, et Tualek bande encore plus fort, très raide maintenant.

Moi aussi je suis devenu tout rigide. Ma main descend sur ma queue je me caresse : je me titille le zob sans pour autant me branler. Voyant ça, Tualek, repousse doucement ma main et me remplace. Immédiatement je retrouve les merveilleuses sensations que cette fille sait donner à un homme et qu’elle m’a déjà données la veille. L'excitation monte vite.

Je dois la prévenir:

«Non, ne me fais pas jouir trop vite. Vas-y doucement. Fais-moi durer.»

Cette queue e cette femme, qui m’avait tant repoussé, m'excite maintenant au plus au point. Je ne peux plus attendre, il faut que je la prenne dans ma bouche et que je la suce. Mon coeur bat à toute vitesse. Je n’aurais jamais imaginé de faire une telle chose. Me voici prêt à sucer un homme. Mais Tualek n’est pas un homme, c’est une femme avec une bite et cette contradiction me rend fou de désir.

J’approche ma bouche je l’ouvre et ma langue glisse sur le gland. C’est étonnamment doux, bien plus que je ne le pensais.

Je me mets à sucer Tualek avec mes lèvres et ma langue sur le manche. Mais il est clair que je manque d’expérience car, une fois que j’ai toute la bite dans la bouche, j’ai l’impression qu’elle va m’étouffer. Heureusement cette sensation désagréable s’arrange rapidement . Mes lèvres suivirent le contour du gland et continue le long du manche. Je trouve un plaisir inconnu à sucer : sentir ce gros mandrin dans ma bouche et le lécher pour le faire juter, c’est juste trop bon. C’est génial comme sensation, c’est très excitant et ca me fait bander encore plus dur. J'adore l’odeur de cette queue , sa texture, sa forme, je joue avec dans ma bouche et avec ma langue. Je comprends à présent pourquoi la plupart des garçons sont dingues de piper leur copain; je comprends aussi ces femmes qui disent aimer sucer des queues.

Je lève les yeux vers ma petite pute de mec et je vois qu’elle a la tête rejetée en arrière et les yeux fermés. Je lui fais donc un bel effet, je suis plutôt content de moi. Me voici passé pipeur presque professionnel ! Sa bite est totalement bandée, comme de l’acier, et en même temps elle si douce et presque moelleuse.

Je me concentre sur le gland, sachant que c’est la partie la plus sensible. Je fais tournoyer avidement ma langue autour et ferme les yeux de plaisir.

Une main sur ses couilles; je les caresse doucement puis je les suce quelques secondes avant de remonter sur le manche: ma tête monte et descend, ma langue lèche frénétiquement et je sens sa queue gonfler de plaisir dans ma bouche.

J’entends Tualek gémir de plus en plus fort et de sa jolie petite voix elle me dit qu’elle va jouir.

«Vas-y, envoie tout, salope, oui... » je lui réponds, préférant toutefois qu’elle ne me jouisse pas dans la bouche. Alors je la laisse jouir sur mon visage.

Je suis surpris par la quantité de foutre qu’elle m’envoie : elle a beau être une ladyboy, c’est quand même une purée de mec aux couilles bien pleines qu’elle m’envoie. Elle me gicle sur le visage, sur mes joues, mon nez, mon front. J’en ai même dans les cheveux.

En même temps, Tualek, qui n’a pas cessé de me palucher, empoigne ma queue à pleine main, elle me branle plus vite, encore plus vite plus vite, plus vite.

Je pousse des gémissement, l'excitation est au max, ma bite dure comme un roc et je me laisse aller. Je sens la sauce jaillir, un beau jet blanchâtre, une autre, d’autres encore. je pousse des cris de plaisir tout en jouissant. Mon foutre a giclé sperme ses seins bronzés, laissant de longues traînées collantes que je regarde dégouliner lentement.

«Ohhhh,» je gémis un dern!ère fois avant que mon corps ne commence à se calmer.

 

Ensuite ? Et bien c’est fini. Ma belle a fini sa nuit de travail pour laquelle je l’avais payée. Elle a pris une douche - soyons honnête, nous avons pris une douche ensemble, ce qui a été l’occasion de quelques caresses et autres attentions... Puis elle est partie après que nous ayons échangé un denier baiser. Une chose est sûre, mon point de vue sur ces filles a changé. Des filles ou ces garçons ? Je ne sais pas, disons alors des personnes qui

allient la grâce, la féminité et une certaine fragilité, avec une virilité plus ou moins explosive. C’est aussi un des aspects mystérieux mais attirants de la Thaïlande.

 

 

 

 

 

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Ouch ! ça promet d'être chaud  et de compléter joyeusement les Histoires de Q !

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