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Histoires de Q
9 avril 2016

Mon anniversaire

  Auteur : Hornyboy  -  5017 mots - QQQ -  Deux chaudasses aident un senior à fêter son anniversaire. Une vraie renaissance pour ce vieux qui va même découvrir le poppers et le gode-ceinture - MFF FF gode domine  sodo pipe  cuni 

 

 C’est aujourd’hui mon anniversaire. une année de plus, dont je me serais bien passé... Pensez-donc, voilà que j’ai soixante-dix ans!  Je me sens vieux, rhumatisant, fatigué, usé, incapable de faire grand chose en dehors des tâches routinières de la vie de tous les jours.  Dans l’après-midi j’ai eu  un coup de téléphone des enfants pour me souhaiter un  bon anniversaire.  Mes deux garçons  habitent  loin d’ici et je les vois rarement, eux et les petits enfants.  Je le regrette mais c’est la vie. Elle n’a pourtant  pas été trop dure avec moi malgré la mort de ma chére épouse il y a une douzaine d’années.  Mon mérier m’a apporté une petite aisance financière, sans être la fortune j’ai tout ce qu’il me faut . Tout irait bien  avec 20 ou 30 ans de moins ! Alors ce soir va être comme  tous les autres. Je viens de finir de dîner, j’ai fait ma petite vaisselle, je me suis mis en pyjama avec un robe de chambre - cadeau d’un de mes fils à Noël dernier. Je vais regarder la télé, puis préparer ma tisane du soir pendant les publicités et ensuite soit regarder quelque programme soit lire un livre. Je sais que je serai au lit vers 22 heures... Parfois je repense à mes jeunes années, ce ne sont plus que des souvenirs qui s’estompent peu à peu. J’ai eu une jeunesse heureuse  plutôt protégée, une adolescence facile. Puis il y eu le temps des filles... J’en ai conquis plus d’une  avant de  trouver celle qui allait devenir mon épouse. Aujourd’hui encore j’aime jetter  un coup d’oeil sur les  filles, surtout l’été quand  elle ne portent pas grand chose, imaginer leur  petit cul bien ferme, deviner leurs seins, durs et haut placés.  Non, je ne suis pas un obsédé sexuel, c’est tout ce qui me reste, mis à part regarder quelques vidéos porno ou bien imaginer,  laisser mon imagination divaguer et rêver...

 

 Je rêve...On frappe à la porte. Je n’attends personne, surout à cette heure un peu tardive. Qui ça peut être ? Je me lève du canapé, et je vais à la porte. que j’ouvre. Deux jeunes fillds sont là. Je crois  les reconnaître, elles habitent au bout de ma rue. Je les croise de temps à autre et nous nous saluons à chaque fois d’un bonjour, joint à un sourire.  Elles doivent avoir dans les 17 - 18 ans, pas plus. Je ne connais même pas leur nom - juste deux voisines souriantes - et jolies: lj les ai un détaillées une fois ou deux cet été  alors qu’elle allaient en vêtements légers... Deux belles plantes, c’est certain. Elles ne doivent pas manquer de soupirants...

«Vous n’auriez pas vu notre chien, par hasard, il s’et enfui cet après-midi, et on le cherche partout ?» demande l’une d’elle, une blonde.

«Quel chien ?  Il est comment ?»

«Un fox terrier blanc avec quelques taches foncées.» 

«Non, ça ne me dit rien. Désolé. Vous allez certainement le retrouver. C’est  trop triste de perdre un animal...»

«Bon tant pis, merci, monsieur....Dites, puis-je vous demander ? On pouurait entrer une minute chez vous pour se réchauffer, il ne fait pas bien chaud dehors avec ce vent.»

«Oui, bien sûr, entrez.»

Je leur fais signe de s‘installer dans la canapé si elle veulent.

«C’est gentil de votre part de nous faire entrer.... Je parie que  vous ne savez pas nos noms ?»

«Non, effectivement. Je vous connais de vue, mais c’est tout.»

«Moi c’est Natacha» dit la blonde «et ma copine c’est Fleur. Et vous c’est Bernard, ça je le sais.»

«Comment vous savez ?»

«Tout le monde vous connais dans la rue. Depuis le temps que vous habitez là, et en plus, tout le monde vous aime bien.»

Je leur propose un verre. Je n’ai pas grand chose, jus de fruit ou bière à leur offrir.

«Vous n’avez pas  de coca ? On pourrait faire un rhum -  coca.»

«Non désolé, je ne bois jamais de coca.»

«Bon, ben... OK pour  une  bière.» Avant de passer dans la cuisine préparer les verres, Natacha me demande :

«Ça ne vous gêne pas si j’enlève mon parka; sinon j’aurai froid en ressortant de chez vous.» 

Avant même que je réponde, le parka lui glisse des bras et se retrouve par terre. 

Là,  j’en ai plein les yeux... Une fille à peine vêtue et quelle fille ! 

Elle a une robe décolletée, à mi cuisses  .  Je la reluque encore :  grande, 1,70 m peut-être, blonde, sexy de grands yeux bleus, des petits seins bien fermes  - on voit les tétons qui pointent sous le tissu; et de jolies fesses bien arrondies.  Une fille à se faire violer sur place si j’avais eu trente ans de moins... Mon vieux  sang ne  fait qu’un tour, il n’en faudrait pas beaucoup plus pour que ma bistouquette ne retrouve la vigueur des temps passés.... 

Je pars tout de même à la cuisine préparer les boissons, non sans avoir jeté un dernier coup d’oeil à cette quasi-bombe sexuelle et  je ne peux détacher mon regard de ses fesses.  Deux minutes plus tard, je reviens dans la salle avec un plateau chargé de verres et de bière. La pièce est vide, les deux filles ont disparu. J’entends des chuchotements qui viennent du fond de la maison  et je me rends compte qu’elles sont parties dans ma chambre.  J’y vais, à la fois décontenancé, mécontent  et surtout curieux de savoir ce qu’elles font là. 

Là, un nouvau choc !  Près de la porte, Fleur semble m’attendre. c’est une grande brune, très jolie avec ses yeux bruns foncés et ses cheveux sombres,  mais ce que je remarque en premier c’est un petit  short  blanc avec de jolies jambes bronzées qui émergent plus bas et un petit haut rouge en coton lui découvre le ventre et le petit nombril,  le tout sans soutif, elle n’en a pas besoin avec sa menue poitrine bien ferme.  Quant à Natacha, elle  est allongée sur le lit, nue . J’en ai les yeux écarquillés. une fille nue, et quelle fille !   Un canon comme je n’en ai pas vu depuis ma jeunesse..

«Putain, ces nanas, qu’est-ce qu’elle veulent?» je me dis.

«Ça va pas les filles... qu’est-ce que vous foutez là ? Je veux pas avoir d’ennuis avec vos parents s’ils apprennent ça. Je croyais que vous cherchiez votre chien et maintenant vous voilà  ici, presque comme des putes !»

«D’abord on n’ a pas  de chien,» affirme Fleur, «et ensuite on est majeures, toutes les deux. Les parents n’ont rien à voir. D’ailleurs  comment  sauraient-ils qu’on est ici si  toi tu ne leur parles pas. Enfin, c’est pas gentil de nous traiter de putes.  On veut juste s’amuser un peu avec toi pour ton anniversaire.... Allez, viens avec nous sur le lit...»  En même temps, elle me pousse. j’essaie de résister,  mais à mon âge je n’ai ni la force ni la vitesses. La fille  me fait tomber sur le lit, juste à côté de l’autre qui y est allongée. Elle roule sur elle même et vient m'écraser de tout son poids. Avant que je m’en rende  compte, elle m’a  mis des sortes de menottes et m’a attaché les bras au montants du lit.  L’autre fille fait de même avec mes pieds et je me retrouve sur le dos, en croix sur le lit. Je n’ai même plus la force de crier, juste de pousser un long gémissement.   Fleur, la grande brune,  met un doigt sur ses lèvres pour me faire signe de me taire. 

«Laisse-toi faire, on ne te fera pas de mal, Au contraire  on veut que te faire du bien. On est venues pour ton anniversaire.»

Je ne comprends toujours pas.

«T’as pas envie d’avoir deux filles dans ton lit et jouer avec elles? Je parie que ça ne t’es pas arrivé depuis  longtemps. On ne te plait pas ?  Sûr que  tu bandes déjà, mon gros cochon. »

Elle pose sa main sur mon paquet mais  elle doit bien constater que non, je ne bande pas !  Je commence à crier pour appeler au secours

Immédiatement la fille me met une main sur la bouche; et me dit sèchement:

«Tu la boucles! Sinon je vais te mettre un bâillon. C’est ça  que tu veux, que j’te mette ma culotte dans la  bouche pour te faire taire ?» 

Vaincu, j’abandonne.  

Je vois l’autre fille, la blonde - comment s’appelle-telle déjà ? ah, oui, Natacha -  fermer la porte, allumer des bougies et éteindre la lumière.  Fleur se met nue devant moi, lentement, un numéro de strip tease très érotique: elle passe le petit haut rouge  par dessus sa tête et ses  petits nichons durs pointent vers moi comme s ‘ils voulaient réveiller mes vieilles ardeurs;  sa poitrine est douce et ferme, « Ça doit être un vrai régal au toucher !», je me prends à penser.   Et ce ventre, joli  petit ventre bien plat et un adorable petit nombril au milieu. Plus jeune, j’aurais aimé y donné un  coup de langue... Puis le  derrière tourné vers moi, elle baisse son short dévoilant peu à peu ses formes cambrées, ses fesses rondes... Un string sexy, juste une espèce de ficelle dans la raie du cul. Un  cul !  Un cul !  je ne me souvenais pas qu’un cul puisse être aussi beau...  

Quand elle se commence à se retourner vers moi, je vois sa motte avec sa petite chatte rasée  de derrière puis de côté avant qu’elle ne soit de face  et que le string ne finisse de glisser sur ses longues jambes- Qu’elle est belle cette chatte ! Je n’avais plus le souvenir de pareille merveille...  

«On va te mettre à poil, te branler, te sucer et tu vas ensuite pouvoir nous baiser aurant que que tu voudras. Les putes dont tu parlais tout à l’heure vont faire jouir le vieux que tu es avec plaisir....» 

«Pourquoi vous faites ça ?»

«On te l’a dit, c’est ton anniversaire. Tu vas te souvenir de quand t’avais 15 ans.  Et puis, moi j’aime le foutre de vieux.... Dis donc t’en as ? Tu jutes bien au moins ?»

«Ben, oui, j’me branle encore un peu de temps en temps.»

T’inquiète, ça va être mieux qu’une branlette. Deux chattes en chaleur rien que pour toi.»

 

Cette fois, je commence à comprendre ce que les filles veulent. L'idée m'excite et m'angoisse à la fois... Je suis encore partagé, car je suis attaché et j’ai un peu peur de ce qu’elles vont faire de moi, surtout qu’il se cache peut-être quelque chose derrière ces belles paroles. D’autre part je me dis qu’un coup comme comme ça n’arrive qu’une fois, autant en profiter.
«Pourquoi vous m’avez attaché?  Je peux même pas vous  toucher. J’ai envie de toucher votre peau de satin, de vous caresser,de vous peloter...» Et j’ajoute sur un ton qui se veut fort et autoritaire, puis voyant que ça ne marche pas sur  un ton plus radouci :

« Vous allez arrêtez vos conneries, détachez moi maintenant,»
« S'il te plait Natacha, je t'en supplie, détache-moi. Je ferai comme vous voulez.»
«OK, puisque tu promets d’être sage...» et en  deux tours trois mouvements je retrouve ma liberté. 

La-dessus, les deux filles s’attaquent à moi et en un tour de main ma robe de chambre et mon pyjama partent.  Je suis certain qu’elles ne doivent pas trouver le même plaisir à me voir nu que je trouve en les voyant à poil.  Peau grisâtre et ridée, muscles flasques, varices sur les jambes, le tableau ne doit pas être brillant.

 En baissant ma culotte de pyjama, Natacha pousse un soupir de satisfaction en constatant que la vieillard que je suis n’est pas indifférent aux charmes qui m’ont été dévoilés.  Je ne peux pas dire que je suis  dur comme de l’acier, mais ma vieille queue est loin d’être le petit bout tout  rabougri qu’on aurait pu craindre; je crois qu’avec quelques attentions supplémentaires, je pourrai honorablement tenir le rôle que ces demoiselles attendent de moi.

Les deux filles m’entourent et quatre mains et deux bouches s’occupent de moi.  Un déchainement de baisers et de caresses sur tout mon corps. A mon tour de  toucher leur peau douce comme de velours, une peau jeune,  souple, tendre, satinée.  

De la paume de la main ou u bout des  doigts, je parcours la courbe des seins, la cambrure des reins,  la douceur des fesses, et je ressens la chaleur de l’intérieur des cuisses.   Un tendre voyage sur deux corps  à la peau, si fine et parfumée.

Mes mains caressent un ventre,  des  seins si beaux, un cou, et des bras,

Elles se glissent entre les cuisses et mes doigts caressent, frôlent, découvrent le velours d’un pubis et s’enfoncent dans le puits de tendresssed’un joli sexe  chaud.

Je profite  au maximum de cette situation. Il est là mon plaisir, découvrir chaque parcelle des corps  féminins dont j’avais oublié la douceur et le satin, le parfum et les pulsions. Je retrouve  l’élan de mes vingt ans, quand je tiens entre mes mains les deux corps   qui déjà s'arquent pour mieux s’ offrir à mes caresses et quand je sens  leur parfum enivrant et l'odeur de leur excitation.

Les deux filles se frottent sur moi en ondulant,  leurs seins frôlent mes lèvres. Je sens la douce chaleur d'un nichon sur ma queue. Natacha fait balloter ses seins sur ma poitrine pour la caresser. Un frôlement tout en douceur descend sur mon ventre et elle glisse ses petits seins fermes sur ma bite.  Ces caresses sur mon corps et surtout sur ma queue et mes couilles ont vite fait de me mettre en forme; une belle érection  comme je n’en ai pas connu depuis longtemps.  Elle me fait mal tellement elle est dure.

C’est une vrai branlette espagnole qu’elle me fait  maintenant avec ses seins qui vont et viennent. A l’aller,  à chaque coup  ils décalottent ma queue avant de repousser la peau de prépuce  au retour.  

 

Je sens parfum fleuri de la peau d’une fille de 17 ans. La chair fraiche... Elle sent si bon. Fleur m'embrasse délicatement du bout des lèvres.  Puis sa langue s'insère délicatement en moi, tournant, explorant...

 

Je ne pense plus à rien, je ne réfléchis plus. Je m’abandonne à ces deux nymphettes du sexe qui me font me tordre de plaisir dans tous les sens.

 

Je  me serre contre elles  pour être encore plus près de leur corps, pour sentir toute l'excitation des filles, et sentir leur haleine, une haleine animale, chaude, une incitation à la baise...

 

Fleur change de position et elle s’installe la chatte à quelques centimètres de mon visage. Je regarde  un instant cette fente humide et à entrouverte qui attend  que je m’occupe d’elle.

 

Fleur approche son abricot de  mes lèvres les mains. appuyées sur mon front. C’est sublime, je suis follement enivré par ce parfum oublié. Ma langue ouvre le fruit dont j’avais oublié le toucher et la saveur, se glisse à l’intérieur,  et va de bas en haut  dans la fente humide et chaude. Je tiens la fille par les hanches et je la serre contre ma bouche. Je me mets à la lécher comme le ferait un chien. Sa chatte coule de  mouille. C’est salé et un peu amer; j’adore ça.  Je prends son clito entre mes lèvres et et je le lèche doucement. J'aspire doucement son bouton, je tourne encore autour puis je passe dessus. je donne des petits coups du bout de ma langue,  Fleur gémit , elle me serre la tête contre elle. Je m’arrête parfois quelques secondes pour lui mettre deux doigts dans la chatte et la fouiller. A nouveau je suce et je lèche le clito. De légers soubresauts m'indiquent que  la belle femelle  adore. Elle pousse sa chatte plus fort contre moi, j’ai la langue  qui va et vient frénétiquement sur son clito. Elle gémit, elle  grogne, elle crie. Son corps se tend soudain, se contracte  en arrière, et elle vibre sous les vagues successives d’un long orgasme. Je continue à la sucer, jusqu’à ce qu’elle me repousse quand son clito est devenu trop sensible.  Je la sens reprendre son souffle peu à peu.

 

Natacha, qui a cessé sa branlette espagnole, vient de m’embrasser  doucement le bout de ma queue. Elle y trouve une belle goutte de pré-foutre et, d’un habile coup de langue elle la boit.  C’est beau à voir des lèvres qui embrassent la bout rougeâtre d’une bite en érection puis qui s’ouvrent pour l’ avaler. Ca fait combien d’années que je n’ai pas vu cela ? Ca fait combien d’années que je n’ai pas senti une bouche gourmande s’activer ainsi?

 

Sa langue tourne autour de mon gland, elle m'aspire, elle monte et descend, Cette langue chaude et douce court sur mon vieux manche et lui redonne  vie. Je sens la chaleur et sa bouche et de sa langue;  elle m'aspire, elle monte et descend. Et voilà que Fleur vient participer à la fête: ses mains caressent l’intérieur de mes cuisses, jouent avec mes couilles,  pendant  que, pour changer, Natacha me branle furieusement le manche. 

 

Mon bassin monte et descend pour suivre le va et vient de sa bouche et je ressens le contact de ses seins lorsqu'elle redescend à chaque fois contre mes cuisses.

 

Je ne vais pas tenir longtemps, les deux petites cochonnes m’on réduit à rien en quelques secondes.  je ne voudrais pas jouir déjà, je voudrais que ça dure encore et encore...Je leur dis:

«Eh, les filles, pas si vite.  Me faites pas jouir, tout de suite. Je voudrais bien pouvoir vous enfiler aussi par la chatte. Mais vous savez, une fois que j’ai joui, c’est fini, à mon âge on ne recommence pas.»

«T’inquiètes pas,» répond l’une d’elle, « prends ton pied et jouit, et après on a ce qui faut pour toi et tu pourras re commencer.»

«Comment ça ? il me faut plusieurs heures avant de pouvoir rebander.»

«Tu vas voir, tu vas rebander comme à 20 ans.» 

Je n’ai pas le temps d’en savoir plus car  voilà qu’elles recommencent à ma caresser, me sucer comme des pros.  Puis alors que je tortille vraiment fort, signe que je suis au bord de l’explosion, Natacha  sort ma bite de sa bouche et me branle juste devant son visage. je comprends qu’elle veut que je lui jute sur la figure

 

Je ne me retiens plus. Un long cri, je me cambre et je viens dans une jouissance extraordinaire. Plusieurs jets sous pression lui arrivent sur le nez, les joues, la bouche, et un dernier jet atteint sur son cou et ses seins. C’est comme si je regardais un film porno, sauf que  c’est vrai, ça m’arrive... j’en perds la tête. 

 

Je suis  maintenant allongé sur le lit, béat, vidé. Je vois maintenant mes deux jolies nymphettes jouer ensemble, tout à leur plaisir de se toucher, d'être touchées, puis j’entends leurs gémissements qui se fondent les uns dans les autres.

 

Après quelques minutes, les deux filles reviennent vers moi pour me caresser, m’embrasser, me mignoter.

Les nichons de Fleur m’attirent particulièrement. Juste comme je les ai toujours aimé, pas trop gros, fermes, de quoi remplir la main...Je les  touche longuement, avec douceur et passion, en agaçant les tétons érigés du bout des ongles. Les yeux fermés, Fleur miaule de plaisir et son corps s'arque pour mieux m’offrir sa poitrine. Natacha joue avec ma bite, et tente de lui redonner vie. Elle me suce et je sens bien qu’elle est experte en la matière... Je sais bien que ça être en vain - à mon âge, on n’a plus qu’un pistolet à  un seul coup...  Ma pine finit par gonfler dans la bouche de la jeune femme. mais elle reste molle - surtout pour une pénétration.  Elle essaie de ma branler mais ça refuse encore de durcir...

Je sais qu’il va falloir qu’on arrête. Plus rien à faire. J’aurais bien voulu  pénétrer une ces deux nymphettes. je crois que j’ai oublié comment ça fait d’enfiler une chatte et de jouir dedans. mais ce n’est pas maintenant que que je vais le ré-apprendre! 

Les filles m’abandonnent  un instant,  pour se concerter. Natacha se lève, va fouiller dans son sac et revient sur le lit. J’entends la claquement sec d’une fiole qu’on décapsule. La blonde Natacha me glisse  un petit flacon de couleur brune sous le nez. 

«Renifle ça, ... vas - y, fort.»
« C’est quoi ce truc là?»
«T’occupe, renifle, ça ne fais pas de mal. C’est pour bander.»

Je respire le flacon un coup  avec précaution. J’ai à peine inhablé, que tout explose dans moi. Qu’est-ce qui m’arrive ? Brusquement ma tête se vide, je me sens relax, euphorique;  je pers toutes mes inhibitions  et  je flotte dans les délices, je nage dans un océan de sensualité et il me semble que  ma vieille bite a  vingt ans de moins.

«Mets-toi sur le ventre, le cul en l’air» me dit Fleur, en glissant un coussin sous mon ventre pour le surélever.

Direct, je sent une main m’écarter les fesses et un doigt me barde la rondelle d’un liquide froid, puis un doigt me pénètre, facilement d’ailleurs, juste  une phalange pour commencer, puis tout le doigt. Il  commence à aller et venir dans mon cul.... En même temps, en jetant un coup d’oeil à droite, je vois Fleur qui s’est équipée d’un drôle de machin, une sorte de grosse bite brune bandée, comme une bite de black,  attachée à ses reins avec des sangles.  je réalise aussitôt qu’il s’agit d’un gode-ceinture. Je savais que ça existait mais je n’en avais jamais vu, encore moi été en position d’en recevoir un. 

«Tu t’es déjà fait faire ça, c’est certain .»
«Faire quoi?»
«Une sodo. Tu t’es fait enculer par un mec...»
«Euh... non...»
«Merde, un puceau du cul. Tu te rends compte, Fleur, il est puceau.»

Je comprends ce qui va se passer, les rôles sont inversés, je vais être la femme qui se fait baiser. Je ne m’attendais pas à ça...

Avec son équipement, Fleur se présente derrière moi à demi allongée sur moi. Je sens ce gland en plastique se poser sur ma rondelle et pousser pour l’obliger à s’ouvrir. 

D’ un coup sec elle force l’entrée entre de mon cul et fait une pause. J’ai envie de  recevoir ce gode, mais en même temps, je suis mort de peur : il parait que ça fait très mal.

D’ailleurs une fois l’orifice ouvert, quand la grosse bite s’enfonce, ça commence effcetivemet à me faire mal.. Je crie;  j‘essaie de repousser Fleur. Natacha intervient avec son petit flacon miraculeux:

«Respire un coup, ça va  aller tout seul.... Vas-y...»

Je respire une fois et à nouveau des milliards de molécules  s’enflamment dans moi. Presque instantanement  je me détends et le gode rentre doucement dans mon cul vierge.  Et puis quelque chose se passe, quelque chose que je n’avais jamais connu.   La  douleur qui commençait à me déchier s’efface et fait place au plaisir, un plaisir qui palpite au plus profond de moi. Le pied total !

Je sens la fille me  goder, de plus en plus profond et de plus en plus fort. C’est bon!
«Oui, vas-y, bourre-moi le cul!,» je lui crie, «baise-moi!»

Elle me pilonne le cul, me ramone comme un PD dans sa lope. Je crie je souffle..

Natacha vient de passer une main sous moi pour me tâter la bite. Elle ne peut  que constater l’effet  bénéfique du gode dans mon cul.
«Il bande comme un fou, il est dur, le vieux papy,» s’exclame Natacha. «Et ses couilles ! Bien rondes maintenant, alors qu’elles étaient ratatinées comme des vieux pruneaux.»
«J’ai toujours dit que la sodo c’est ce qui se fait de mieux pour les mecs. Quand ils en ont plein le cul, ils deviennent très serviables,» minaude Fleur.
«Tu pourras dire que je suis serviable, quand je t’aurai enfilée par tous les trous, chatte et cul, ma belle Fleur,» je lui lance, comme pour me venger du plaisir qu’elle me f donne.
«Je ne demande que ça,  me payer une bonne baise de salope avec toi.»

Le gode qui me pistonnait le cul s’arrête et se retire, laissant une étrange impression de vide et de manque. «Putain, c’est super quand j’avais le cul plein...» je pense en moi même.

«Natacha, veux-tu me redonner une coup de ton produit miracle. C’est comment ça s’appelle ? Et ensuite, je suis tout à vous, mesdemoiselles.»

«Du poppers», mon gros chou.»

Je n’ai jamais entendu ce mot là, mais j’admets que le  produit me fait une effet   boeuf, encore que trop passager : il faut  en  ré-inhaler souvent pour que l’excitation dure.

Un de mes plus grands fantasmes a toujours été d'avoir deux femmes pour moi tout seul. Cette fois, avec un peu de poppers, je sais que je vais  le faire. J’ouvre le petit flacon, je respire un coup par chaque narine. Je n’ai pas longtemps à attendre et  et, waou, je décolle.  En même temps les deux filles me touchent la bite et soudain toute mon attention semble se concentrer sur cette  orgueilleuse partie de mon corps. Je me mets à bander encore plus dur tellement je suis excité ; j'en ai même affreusement mal et les doigts des filles, bientôt remplacés par leur langue, m’envoient des décharges électriques dans les couilles, la pine et tout mon ventre. L’une joue avec mon gland, l’autre lèche le manche. L’une suce le gland, l’autre prend les couilles une par une dans la bouche et les fait rouler dans ses joue. L’une  me lèche la tige, l’autre me malaxe les couilles. L’une m’agace le gland, l’autre me branle le manche... C'est la première fois que je me fais piper par deux nanas : La vache… c’est super !

Pendant le même temps, mes mains vont d’une  fille à l’autre, je caresse un sein, je pelote un cul magnifique, je passe un doigt entre les lèvres intimes de l’une , j’’enfile un doigt dans la chatte de l’autre;  je malaxe les parties charnues, fesses et poitrine des deux belles.  Natacha est en train de me sucer juste au moment où je touche son clito. Instantanément, sa bouche se serre sur ma bite, presque jusqu’à la mordre, elle pousse un long râle de plaisir; et son orgasme  explose en vagues. Je ne lui laisse guère le temps de récupérer. Cette fois ça va être à mon tour de jouir avec ces deux cochonnes.  Et j’ai bien l’intention de m’amuser un peu - et même beaucoup...

Je demande à Natacha de se mettre sur le dos sur le bord du lit, les jambes pendantes dehors, la motte juste à ras du bord du lit. Puis je dis à Fleur de s’allonger sur sa copine, elle aussi les jambes pendantes  hors du lit et la motte bien à ras de celui-ci. Comme ça les feux chattes sont l’un au dessus l’autre, je n’ai qu’à me mettre devant elles et je vais pouvoir les enfiler toutes les deux, passant de l‘une à l’autre juste par un rapide mouvement. Pas loin de l‘infarctus,j’ai des étoiles plein la tête, le ventre enflammé de désir et la bite gonflée comme jamais, droite et dure comme un  roc.

Je commence par Natacha, en dessous. Son petit abricot   bave d'excitation et  il s’ouvre facilement pour me laisser entrer. Un coup de reins et je suis tout entier en elle. Je sens soudain une chaude moiteur envelopper ma queue. C'est chaud, c'est humide et surtout c'est bon ! Deux ou trois coups de bite pour le plaisir et je sors pour passer à Fleur. Changement d’un seul coup. Autant Natacha est large, autant Fleur est étroite je je dois pousser un grand coup pour que mon gland ouvre le passage. mais une fois dedans je ne peux m’empêcher de lui dire:

«Humm... C'est chaud et étroit, j’adore quand ça m’entoure bien la bite.» 

Je sens chacun des muscles de son vagin se contracter autour de ma queue.  Je vais dans elle à un petit rythme lent, pour durer le plus longtemps possible. Je sais bien qu’à mon âge je n’aurai plus jamais pareille chance que ce soir...

Natacha se rappelle à moi en grognant qu’elle  est en manque de queue. Très vite je reviens dans elle. Elle m’attrape par les hanches et me serre contre elle. Mes couilles tapent  sur le bout de ses fesses  au rythme de notre va et vient.Toujours plus fort. Je rebondis sur elle et je m’enfonce à chaque fois plus loin, tout au fond de sa chatte défoncée. C’est exactement comme dans les films porno...

 

Puis je l‘abandonne et d’un seul coup je m’introduis dans Fleur C’est dans elle que je veux jouir: baiser Fleur c‘est le pied absolu. A chaque coup de queue, elle gémit de plaisir.   Et quel plaisir pour moi d'avoir  une partenaire si jolie et si chaude.

« Sssshhhh … Ahhh.. Merveilleux... Continue...» ne cesse-t-elle de  gémir. 

Soudain, elle se cambre et elle tressaille de partout. Je lui donne un ou deux grands coups de piston et elle  se met à jouir. Immédiatement,  je pars moi aussi. je suis certain qu’elle doit sentir mes jets de foutre tellement ils me semblent puissants et longs. Sa chatte spasme et se contracte autour de mon manche., comme pour en tirer jusqu’à la dernière goutte.  

Je reste encore en elle, et je sens  mon foutre mêlé à sa cyprine qui commence à ressortir du trou et à recouler  plus bas sur la chatte de Natacha. 

Quelques secondes jusqu’à ce que je débande dans ma petite Fleur, puis je me retire  et me recouche sur le lit. Les deux filles se lèvent, s’allongent  de part et d’autre de moi. Cette fois je suis fini, elle m’ont vidé jusqu’à la dernière goutte. j’aurais beau  sniffer encore du poppers, rien n’y ferait. Je suis crevé mais, putain, que ça a été jouissif... A mes côtés Natacha et Fleur semblent avoir encore quelqu’appétit : elles titillent leur clito d’un doigt plein de mouille, puis elle se mettent deux doigts dans la chatte pour se branler violemment.  Je ferme les yeux et je les entends gémir  doucement. Je vais m’endormir, gavé de sexe et de jouissance...

*

* *

Le jour filtre déjà à travers les rideaux quand je me réveille.  Je me sens toujours aussi vieux, rhumatisant, fatigué, usé, surtout que cette nuit j’ai mal dormi à cause d’un rêve érotique complètement idiot. Jai révé que j’ai eu des rapports sexuels avec deux jeunes filles habitant dans la rue. Des rapports sexuels !  Foutaise ! Un vieux bonhomme comme moi qui  n’a même plus d’érection depuis des années et des années...

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Je viens de trouver un blog photo que j'ai bien aimé. 100% amateur et joliment 'cochon' : Minet bi

 Le blog se présente ainsi: "Blog adulte de photos et vidéos de garçons et jeunes hommes bisexuels. Bienvenue aux Gay et Hétéros. Du cul, de la bite,de la baise entre mecs chauds ou avec de bonnes cochonnes."

Ouch ! ça promet d'être chaud  et de compléter joyeusement les Histoires de Q !

 http://minetbi.canalblog.com/
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