Avec mon frère (2)
Partie 2
Auteur: Hornyboy - 1723 mots - Nick continue a initier son frère qui ne tard pas à perdre son pulcelage. (MM, inceste, oral, sodo)
Il me dit de m’allonger sur le lit. Je suis sur le dos, et j’écarte les jambes quand il s’approche de moi avec une queue si dure qu’elle est à la verticale. Il s’allonge sur moi, sa bite sur moi et il commence à se frotter sur mon ventre. En un rien de temps, on nous entend gémir tous les deux.
«Maintenant, à toi, tu fais pareil. tu t’allonge sur moi et tu frottes ta bite sur la mienne,» m’ordonne-t-il.
Cette fois, je suis sur lui, ventre contre ventre et je me frotte sur lui pendant quelques minutes. je suis tout prêt de l’orgasme. Je gémis, je crie sans arrêt.
«Nick, j’vais jouir. C’est trop chaud, je tiens plus!»
«Jute pas tout de suite, on n‘a pas encore fini, retiens-toi.»
Il se dégage de dessous moi, approche son visage, de ma queue. Il l'avale et lèche tout autour de mon gland congestionné. C’est si doux et si chaud... Comment un frère hétéro peut me donner tant de plaisir, je me demande. Je n’ai encore jamais ressenti quelque chose d’aussi merveilleux. Il finit par abandonner ma queue.
«Tourne-toi et allonge-toi, je vais te baiser. N’aies pas peur, relaxe-toi, tu vas aimer ça...»
Commnt pourrais-je ne pas avoir peur. Son gros truc épais, il va le mettre dans moi ? Comment pourra-t-il me pénétrer sans me déchirer? Je vais hurler de douleur.
«Il faut que tu mettes un capote,» je parviens à dire, espérant vaguement que ça l’arrêterait.
Il se met à rire.
«Pas de capote, non rien ! Je vais te prendre à cru. Ça fait si longtemps que j’ai envie de faire du bareback. La bite au cul... direct!»
Puis sur un ton plus sérieux, il ajoute:
«T’inquiète pas, tu es le premier, je suis clean. Les filles que j’ai eues ont toute voulu des capotes. Et puis je voudrais sûrement pas te faite courir un risque, tu sais. Mais tu vas quand même me prendre dans le cul, à fond, bien à fond... Le grand jeu, quoi..."
Il me dit de me mettre à genoux par terre et de poser ma poitrine sur le canapé. Il se place derrière moi entre mes jambes et il commence à enfoncer sa bite dans mon cul, mais sans y parvenir. Alors il crache un peu sur mon trou et se met à le frotter avec un doigt. Il remet de la salive, et peu à peu parvient à insérer un doigt mouillé. je pousse un cri quand je sens qu’il pousse pour s’enfoncer plus loin.
«Relaxe, je t’ai dit, sinon ça va te faire mal.» Il fait aller et venir son doigt plusieurs fois et bientôt il peut l’enfiler en entier et facilement dans mon cul . Et en même temps, je trouve que ça fait de moins en moins mal, même si c’est encore douloureux.
«T’es prêt ? C’est maintenant que tu perds ta virginité... Tu sens comme ma bite est dure et grosse tellement tu m'excites? J’ai toujours rêvé d’ouvrir un cul vierge. Ça va être le tien...»
Je ferme les yeux en pensant à l’énorme mandrin qui va me labourer. Je ne serai plus puceau... avec mon frère... Oui, après tout, pourquoi pas avec lui? Au moins je suis certain qu’il ira doucement, plus doucement que d’autres ne le feraient.
Il se met à pousser pour me pénétrer, mais en vain. J’ai mal. je lui demande en geignant de s’arrêter mais il est si excité qu’il n’en a pas envie.
Toutefois il retire sa queue et me dit :
«Ne bouge pas, reste comme ça. Je reviens dans deux secondes.»
Il disparaît et revient peu de temps après avec une bouteille à la main - la bouteille d’huile de la cuisine ! il en verse quelque gouttes sur sa queue et sur mon trou du cul ( oui, ça fait du bien ...) et à nouveau il me doigte le trou.
«Bon, ça va être OK maintenant. Tu vas voir, comme dans du beurre. T’inquiète pas si ça fait encore mal un peu. Je sais bien que le première fois qu’on fait ça, c’est pas facile.»
Ses deux ou trois premières poussées semblent ne pas avoir d'effet mais je sens le muscle de mon cul qui s’ouvre. Nick enfile son gland dans mon trou encore vierge. Je le sens s’enfoncer peu à peu, lentement mais sans s’arrêter jusqu’à ce que tout son manche soit dans moi, avec ses couilles à me toucher les fesses.
J’ai une sensation étrange mais agréable dans le cul; c’est bon, c’est chaud, c’est mouillé ça glisse tout seul - oui, et j’ai une bite entière plantée dans moi !
Lentement il commence à faire des va-et-vient et il va un peu plus vite. C’est extra - je ne trouve pas de mots pour dire comme c’est bon, inhabituellement mais merveilleusement bon ... Tout ce que je veux à cet instant c’est que que ça ne s’arrête jamais. Au bout de quelques minutes Nick est super excité et il ne peut plus se contrôler. Il m’encule plus vite, plus fort, il gémit comme un fou. Le fait de savoir que c’est mon frère qui me fait ça et qui trouve son plaisir avec moi double mon propre plaisir. Il entre et sort en variant la vitesse et la force, c’est lui qui me domine, je suis juste là pour lui. Parfois, je tourne la tête pour le regarder mais il m’attrape par les cheveux et me repousse la tête sur la canapé. Ses grosses couilles tapent sur mes fesses à chaque coup et il me pistonne de plus en plus vite et de plus en plus fort.
Il me remue et me secoue dans tous les sens. Je suis sans défense. Je suis sa chose. Il fait de moi ce qu’il veut : parfois il me claque fort les fesses, parfois il se penche et m’embrasse tendrement dans le dos.
Ça me semble durer une éternité, une éternité de soumission et de pur plaisir. A la fin, mon frère crie en pleine extase et gicle dans moi. Quand c’est fini, il est vidé. Mon grand enculeur est écroulé. Son corps se fait lourd sur le mien, il pose son front sur ma tête et je sens son souffle rapide et chaud sur mes épaules. Finalement il sort sa queue ramollie de mon cul dépucelé.
« Désolé, pt’tit frère, tu m’as trop épuisé pour que je te fasse jouir à ton tour.»
«C’est pas grave. C’était trop bon, tu sais. J’ai adoré.»
«Pas un mot au Vieux ou à la Vieille...»
«Bien entendu, j’suis pas fou... Dis-moi, tu es aussi bon avec tes amies qu’avec moi ?»
«Les filles, tu veux dire?»
«Tu sais, c’est plus facile de faire jouir une fille qu’un mec. Trois ou quatre coups dans la chatte et elle couine de plaisir.»
«Et moi, je suis le premier? Je veux dire ta première baise gay?»
«Oui, plus ou moins. On s’est déjà tripoté un peu avec les potes au foot, une branlette parfois, une ou deux pipes mais jamais plus.»
Nous avons continué à parler pendant un quart d’heure. Pour la première fois, je me suis senti proche de mon frère. Très proche, même, vu les moments d’intimité que nous venions juste d'avoir.
On a commencé à se rhabiller. Je suis en caleçon et Nick a remis son slip pour aller se doucher. Je sens du liquide qui me sort par l’anus. Je me doute bien que c’est le sperme que Nick m’a généreusement offert. Je mets un doigt pour m’en assurer : il est mouillé et gluant. Nick m’a bien rempli comme il me l’avait promis...
«C’est pas étonnant que tu se sentes vidé. Tu t’es vidé les couilles jusqu’à la dernière goutte.»
«Fais voir !» Je baisse mon caleçon pour lui faire voir la grosse tache au fond.
«Pas mal, c’est plus que je ne pensais. Je t’ai enculé à 100%... Il faut que tu laves ton calebar, sinon maman va se douter de quelque chose. Elle a rarement dû voir quelqu’un éjaculer par le cul!»
«Ouais, t’as raison, j’vais faire ça...»
Je suis toujours devant Nick, à poil et je trique comme un fou. Nick , comme souvent, se moque de moi.
«Tu bandouilles encore ? J’e me demande ce qu’une p’tite bite comme la tienne peut juter.»
«Assez pour te remplir le cul, en tout cas ou te juter partout ! Tu ferais mieux de me sucer, j’ai vraiment besoin de me vider les boules.»
«Pas de problème. Je vais te faire ça. Je peux rien refuser à mon petit frère. Ce sera un plaisir pour moi... et pour toi. Allonge-toi et laisse-moi faire. Tu vas bvoir ce qu’est une bonne pipe....»
Il touche ma queue, à peine un frôlement d’abord, puis il la prend à pleine main et me branle un peu, décalottant bien le gland, qui suinte de pré-foutre. Il se baisse, ouvre la bouche et...
Merde ! C’est extra bon! C’est chaud, c’est doux, ça glisse tout autour de mon gland en contraste avec ma queue si tendue a l'extrême qu’elle me fait mal. Il lèche doucement à grands coups de langue, je soupire, je pose la main sur tête, l’invitant à continuer cette belle pipe. Il me surprend en me titillant les boules ; ça me fait gémir doucement. je sens bien que je ne vais pas durer longtemps.
Quand je gémis trop fort, il s’arrête, laisse un peu la pression baisser et recommence à me sucer. Je lève les yeux verts Nick et lui fais un sourire.
Il me suce si bien que je sens mon plaisir monter dune manière incroyable et, ne pouvant plus me retenir, je le laisse venir tout en poussant le bassin en avant et an écartant les cuisses davantage. Un frisson me traverse et je sens mon éjaculation arriver dans sa bouche. Nick continue à sucer pendant tout le temps que je jouis, il avale au fur et à mesure et même après il continue. Je sens sa langue passer et repasser avec la délicatesse du velours sur mon gland devenu terriblement sensible. Il finit par ouvrir la bouche et me laisser ressortir.
«Tu as été merveilleux. Quelle pipe ! Tu m’as fait jouir comme jamais. Merci...»
Nick me fait un grand sourire, m’embrasse sur le front - un baiser innocent, celui d’un frère - et me laisse pour aller se doucher.
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