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Histoires de Q
3 avril 2016

Voyage de noces

Auteur : Hornyboy - 2240 mots - QQQ - Un voyage de noces qui tourne au  cauchemard - MMMMF oral, sodo,viol

 

Encore une cinquantaine de kilomètres. La voiture avance lentement, trop lentement à leur goût. Ils traversent le magnifique paysage du Périgord mais n'ont pas beaucoup de regard pour lui. Romuald et Yanice viennent de se marier, cet après-midi même et après la réception, ils se sont discrètement éclipsés, en route pour une lune de miel - et d'abord leur nuit de noce ! C'est vrai, comme beaucoup de jeunes mariés, ça ne va pas être une vraie nuit de noces 'comme autrefois' puisqu'ils ont déjà fait l'amour ensemble, mais ça n'en reste pas moins un moment symbolique, important et combien attendu ! 
" Dis donc ", dit Yanice, " il faudrait que tu arrêtes la voiture quelque part pour me changer. Je n'ai vraiment pas l'intention d'arriver à cet hôtel en robe blanche. De quoi nous aurions l'air ! " 
" La jeune vierge offerte au sacrifice ! " répond Romuald en riant. " Non, bien entendu. Je connais un petit endroit pas loin d'ici. Il y a un joli panorama, ça vaut le coup de jeter un œil et il n'y a personne en général. On pourra se changer là-bas. "

Encore quelques kilomètres et une pancarte indique 'Point de vue à 500m'. Romuald engage la voiture dans le petit chemin. 
" Ca sera parfait ici. On n'allait quand même pas se pointer toi en robe de mariée et moi en costard gris et nœud pap pour dire à la réception de l'hôtel 'On vient pour la nuit de noces'. Romuald et Yanice rient à l'idée du personnel de l'hôtel qui passerait la nuit dans le couloir à essayer de regarder par le trou de la serrure de la chambre ! 
En arrivant près du point de vue, ils aperçoivent deux voitures stationnées là. Instinctivement Romuald remarque le numéro d'immatriculation et se dit que ce sont des gens du pays. 
" Tant pis, on ira se déshabiller ailleurs. Mais puisqu'on est là, allons quand même jeter un coup d'œil. Tu vas voir, Yanice, la vue est belle et ça ne prendra qu'une minute. "

Ils garent leur voiture, descendent et aperçoivent cinq hommes assis autour d'une des tables de pique-nique. Des chasseurs car leurs fusils sont appuyés contre un arbre. Isl sont en train de boire et de manger, "un petit casse-croûte avant de renter à la maison " se dit Romuald. L'arrivée des deux jeunes leur fait lever la tête et accueillent joyeusement Romuald et Yanice. 
" Des mariés ! " 
" La belle mariée ! " 
Ceux-ci répondent par une bonjour et un petit sourire et s'attardent sur le belvédère à regarder le paysage, les hauts rochers dressés au dessus de la vallée, les tours ruinées d'un château féodal et au fond, coule une rivière bordée de hauts peupliers.Une voix les fait se retourner. C'est l'un des chasseurs qui arrive tenant deux verres et une bouteille. 
" Vous trinquerez bien avec nous à la santé de la mariée. " 
Les deux jeunes reviennent jusqu'à la table de pique-nique où sont installés les quatre autres hommes. 
Ils tous entre trente et cinquante ans, des paysans l'air plutôt rustre. 
" Tenez, goûtez-nous ça " dit le plus vieux. " Ici, ça n'est pas le bordelais, mais ça se laisse boire. C'est Raymond qui le récolte, vous m'en direz des nouvelles ! " ajoute-t-il en désignant de la main un homme barbu, mal rasé, le verre à la main. 
" Oui, je suis pas mécontent de ma dernière cuvée ", fait-il en clapant de la bouche pour déguster son vin. " Hein qu'il est bon ? " 
" A la vôtre ! " 
" C'est vrai, il est frais et léger " admet Romuald. 
" Et la petite dame, comment elle le trouve ? " 
" J'aime bien, merci. " répond Yanice. 
Le verre bu, les deux jeunes gens veulent prendre congé, mais les hommes récriminent : 
" Et la bise çà la mariée ? Vous ne pouvez pas partir comme ça. " 
" La bise. " 
" La bise à la mariée ! " 
Yanice doit s'exécuter.Ce n'est pas que ça lui plaise vraiment, mais c'est une sorte de coutume, de tradition à laquelle une jeune mariée ne peut pas échapper. Et, en plus, ces hommes là, ne sont pas vraiment appétissants, pas très propres, sentant plutôt mauvais, 'de vrais ploucs' se dit-elle. 
Le plus jeune lui applique deux baisers sonores sur les joues, un second fait de même et quand arrive le tour de Raymond, celui-ci cherche à la prendre dans les bras et à l'embrasser sur les lèvres. Yanice se détourne, le repousse, mais il insiste. Romuald veut s'interposer, mais un homme lui barre le chemin. 
" C'était juste un petit baiser…" grommelle Raymond. 
" Ca suffit, on s'en va ! " crie Romuald. 
" Comment tu t'appelles, ma jolie ? " demande un des hommes, un petit brun, l'air buté et méchant, cherchant à attirer Yanice contre lui. 
" Tu ne veux pas me le dire ? Moi c'est Marcel. " 
" Bon, s'il vous plaît, laissez-nous. On va partir. " 
" On voulait juste s'amuser un peu. C'est pas tous les jours qu'une mariée vient nous rendre visite. " 
Yanice qui a réussi à se dégager veut rejoindre Romuald, mais elle est arrêtée par le grand blond - d'apparence toute aussi fruste et négligée que les autres. 
" Pas si vite, ma belle, j'ai pas encore fait la bise. " 
Il attrape violement Yanice, la serre dans ses bras et colle ses lèvres sur les siennes. 
" Romuald… ! " hurle Yanice pour lui demander de l'aide. Celui-ci réagit aussitôt et se jette sur l'homme en criant. Un des chasseurs le tire en arrière, une courte lutte s'engage et juste au moment où Romuald va en fin parvenir à maîtriser l'homme, il reçoit un coup de poing dans la poitrine qui l'envoie rouler par terre et le laisse à demi étourdi. 
Des mains se tendent vers Yanice, qui terrifiée ne peut plus réagir, des bras la serrent, des bouches cherchent la sienne. 
Le grand blond plonge une main dans le décolleté de sa robe pour toucher ses seins et les peloter. Marcel a plaqué sa main sur le bas ventre de Yanice et cherche à la toucher entre les cuisses. 
Romuald se redresse lentement mais est à nouveau envoyé à terre par un coup de pied dans le dos qui lui arrache un cri de douleur. En une seconde il se retrouve les mains liées par une ceinture passée derrière un arbre et attachées ensemble, si bien qu'il ne peut plus rien faire d'autre que hurler, tant et si bien qu'un des hommes lui enfonce un mouchoir dans la bouche pour le faire taire.

Ils sont tous les cinq autour de Yanice qui crie et se débat, mais en vain. Un homme arrache violemment le haut de sa robe, et tire sur son soutien-gorge, mettant à l'air deux jolis seins. 
" Pige les nichons qu'elle se paie ! " fait le grand blond, les saisissant à pleine main. 
Tous les cinq sentent un désir fou monter en eux, un désir qui anéantit tout ce qui aurait pu les arrêter encore.Ils sentent leur queue durcir et ne pensent plus qu'à la prendre, la prendre, qu'à l'utiliser pour se vider les couilles. 
Yanice crie encore, se débat mais des mains puissantes la tiennent. 
" Non, non ! " hurle-t-elle en essayant de se libérer. 
" Non, pas ça ! " crie-t-elle encore quand elle se,t les grosses mains qui paluchent ses seins.

Un autre sort sa bite encore à moitié molle et l'approche de la bouche de Yanice, l'oblige à l'ouvrir et à avaler la queue. Rapidement les trois autres se déshabillent puis déchirent le bas de la robe, arrachent le slip et se trouvent devant une magnifique petit raie joliment épilée. 
" Putain, une vraie chatte de pucelle... Je vais me la faire ! Dis moi, hein qu't'es pucelle ? " 
On lui écarte les jambes pendant que des bouches sucent ses seins et que des mains lui caressent les fesses.

Romuald tire sur ses liens, qui résistent, et impuissant et désespéré il doit assister à la scène.

Un des hommes, un brun à l'air vicieux se place à califourchon sur la tête de Yanice et il lui balaie le visage de sa grosse queue rougeâtre jusqu'à ce qu'il parvienne à l'introduire dans la bouche de sa victime. En même temps qu'il lui fait goûter sa queue, il lui malaxe les seins, tire dessus, presse les bouts et les pince si fort que Yanice gémit de douleur. Et soudain il gicle et elle doit avaler ses jets gluants qui l'étouffent à moitié et qui débordent sur son menton avant de couler dans son cou. En même temps, elle sent une bite s'enfoncer dans sa chatte et y aller et venir en tapant à chaque fois tout au fond de celle-ci. Entrouvrant les yeux, elle reconnaît Marcel, le petit brun. 
" Non… non… s'il vous plaît " essaie-t-elle de crier faiblement. 
Sous ses yeux apparaît un nouveau chibre qui pointe sur sa bouche. Yanice remarque sa taille, énorme, sa couleur, violacée, son gland gros comme un poing, et dans son désespoir, elle remarque même son odeur, infecte, celle d'un bouc. En une seconde elle ne peut même plus crier sa terreur car le nouveau chibre lui remplit la bouche et s'y active. 
" Elle a la gorge étroite " remarque l'homme, " mais je vais lui élargir et lui lubrifier ! " 
Montée et descente, va et vient dans sa bouche, au fond de sa gorge, de plus en plus vite, comme un piston. Sa gorge doit s'ouvrir pour recevoir le chibre à chaque coup de reins de l'homme. Le résultat est sa bite ainsi serrée dans l'étui étroit devient de plus en plus bouillante, de plus en plus dure et il sent ses couilles se durcir juste avant qu'il n'éclate tout au fond de la bouche de Yanice, qui doit encore avaler des litres de la sauce répugnante de l'homme. Il sort enfin son serpent gluant de foutre et le secoue au dessus du visage de Yanice. 
" Avale ça, ma jolie, " ajoute-t-il en faisant couler une ultime goutte entres les lèvres de la pauvre fille.

A peine est-ce fini que Yanice reprend conscience de la queue qui lui pilonne la chatte, l'ouvre sans ménagement, la défonce, tandis qu'à chaque coup de bite elle sent les couilles de l'homme lui battre les fesses. " Han… ! Han … ! Han… ! " L'homme ponctue ainsi chaque coup de rein, comme un bûcheron qui abattrait un arbre ! " Un des hommes fait même remarquer : " Doucement, Marcel, tu vas abîmer la pucelle… On n'est pas encore passés dessus. Laisse-nous sa chatte en état de marche." 
" Vous en faites pas, les gars, vous en aurez… Elle est bonne, la salope… oui, elle est chaude. " 
" Jacky, tourne-la que je la prenne dans le cul en même temps" demande l'un des violeurs à son compagnon. " Non… non " crie e
ncore Yanice, terrifiée, épuisée, mais en vain. Des mains la saisissent, la mettent à quatre pattes, les fesses en hauteur pour que l'homme puisse s'enfoncer entre elles ; d'autres mains la tiennent et lui interdisent tout mouvement pour se débattre. 
L'homme pose sa bite sur l'entrée et d'un seul coup de reins s'enfonce profondément, forçant l'ouverture sans la moindre lubrification ni la moindre préparation. Yanice hurle de douleur, mais l'autre continue à la limer à sec sans s'en inquiéter. Sa bite est comme un tisonnier rougi au feu qui perfore le ventre de sa victime. Au bout de quelques secondes, cependant, un des hommes dit : 
" Faites-la taire… " 
Alors un des hommes lui attrape la tête, y fourre sa bite et l'enfonce loin, coupant ainsi tous les cris de Yanice qui ne sont plus qu'un vague grognement inarticulé. 
La voilà enfilée de partout, pistonnée par le cul, enfilée par la chatte, remplie par la bouche, totalement livrée à l'excitation sexuelle des trois hommes qui l'utilisent pour leur plaisir comme un jouet en caoutchouc. L'un après l'autre, ils jouissent avec de grands grognements, faisant déborder les orifices de Yanice de leur jute infâme. . Yanice ruisselle de foutre sur laquelle se collent des feuilles, de la terre. 
" Merde, qu'elle est dégueulasse… Pisse-lui dessus pour la nettoyer un peu ! " Aussitôt dit, aussitôt fait… L'un de ceux qui ne bande pas trop - si bien qu'il parvient à pisser - l'arrose de son jet, lui fait ouvrir la bouche et la force à avaler cette pisse chaude et répugnante
Tour à tour, en haletant, tous les cinq se relaient dans sa chatte béante, dans son cul en feu, dans sa bouche gluante de foutre, de pisse âcre et de crasse. Ils enfoncent leurs bites gluantes de foutre, de petites bites, de grosses bites, ils vont et viennent, pistonnent, liment, défoncent et, en gueulant leur jouissance, se vident les couilles jusqu'aux dernières gouttes.

Baisée de partout, endolorie, au bord de l'évanouissement, Yanice n'est plus q'un pantin inerte. Quand le plus vieux sort enfin sa queue du cul cul meurti de Yanice en disant qu'il n'en peut plus, le blond approche sa queue à moitié molle et l'enfile dans de sa bouche pour une dernière pipe, pendant qu'un autre homme veut prendre la pauvre fille encore une fois, en missionnaire. Il la pistonne longuement jusqu'à gicler quelques gouttes dans la chatte déjà débordante de foutre. A peine s'est-il retiré qu'un dernier homme le remplace, envahit sa chatte défoncée et jouit dedans en ahanant, mêlant son foutre à celui de tous les autres, qui dégouline entre ses cuisses et ses fesses.….

Quelques secondes encore, les cinq hommes se rhabillent rapidement, rassemblent leurs affaires. Romuald, effondré, désespéré, entend leurs voitures s'éloigner pendant que, pantelante, Yanice,couverte de sperme, les jambes encore écartées, souillée, tordue par la douleur lancinante de son ventre, geint doucement tout en pleurant.

 

 

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