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Histoires de Q
16 mars 2016

Laureen (1) et son fuck-buddy

PARTIE 1 - Laureen et son fuck-buddy   

 Auteur : Hornyboy -  2169 mots  - QQQ - Une jeune femme, dont le mari est absent pour plusieurs mois, doit tout de même satisfaire un certain besoin.  MF oral  consent 

 

 

Le téléphone sonne. Je regarde ce que dit l’afficheur. C’est Ben.

«Allo,  Laureen ?»

«Bonjour, Qu’est-ce ce qui se passe depuis hier ?» je lui demande. En effet je l’ai vu  la veille au soir chez ma belle-soeur. Il ne répond pas, j’entends seulement sa respiration au bout du fil. Je reprends, me demandant un peu ce qui se passe.:

« Tu vas bien ?»

Deux ou trois longues secondes avant que je n’entende sa voix.

« J'ai envie de  baiser. J’arrive dans une demi-heure.»

J’ai bien entendu ? Il me faut   quelques secondes pour bien comprendre. Il  bien dit qu’il venait me  baiser ? Il arrive,  et je dois être à s disposition...Est-ce qu’il espère que je vais l’attendre nue, prête à lui ouvrir la porte quand il arrivera ?  C’est vrai qu’avec Ben c’est toujours comme ça. Pas parce qu’il est un macho qui ne  se préoccupe pas  de ce que sa partenaire peut penser, mais seulement parce que c’est sa façon de faire, sa façon de vivre.  il me suffirait de lui dire ‘non’ et il n’insisterait pas. Ben, Benjamin, en fait,  c’est presque quelqu’un de la famille.  Il est plus ou moins cousin avec ma belle famille et je l’ai rencontré il y a  plusieurs années.  Hier soir encore,  j’étais invitée chez ma belle-soeur ( la soeur de mon mari) et il était là lui aussi - et comme  l’habitude  il m’a m'envoyé des œillades et fait des plaisanteries salaces durant la soirée. 

Je viens d’entendre ses mots : « J'ai envie de  baiser. J’arrive dans une demi-heure.»  Sa voix mâle  qui me parle de «baiser» réveille quelque chose en moi. une envie de sexe m’étreint soudain. Le sang me monte au visage et mes seins durcissent  immédiatement.  Je sens mon  clito, je le sens frotter sur les coutures de mon jean.

Au téléphone j’entends Ben  respirer plus fort.

« Je pense à toi depuis que tu es partie hier soir; j'ai envie de te faire l'amour.  Ça te tente ?

Les jambes se dérobent,  je dois m'asseoir. Il ajoute une seconde plus tard:

«T'as juste un mot à dire et je suis chez toi. Allez, s'il te plait dis moi oui.»

Dites-moi auriez-vous résisté à ça? J'hésite encore mais mon envie est trop forte et je lui dit:

«D’accord, je t’attends.» 

Voilà, j’ai donc donné rendez-vous à mon amant! Mon amant ? Je n’aime pas ce mot, je crois qu’il ne convient pas  dans mon cas. Avoir un amant sous-entend que les choses ne vont pas bien avec le mari, qu’on ne s’aime plus ou plus  beaucoup, qu’il y a  de l’incompréhension, du désenchantement  et de la tension dans le couple,  si bien qu’on va voir ailleurs, là où l’herbe est toujours plus verte...  

Mon couple est tout autre: après dix and de mariage, nous nous aimons comme au premier jour, notre entente est parfaite et jamais il ne me viendrait à l’idée de «tromper» mon mari.   La difficulté dans notre couple c’est les longues séparations pour des raisons professionnelles : mon mari est ingénieur dans le pétrole en plein coeur de l’Afrique dans des conditions où je ne pourrais pas le suivre, même si je le voulais.  et quand il revient  c’est pour six semaines, six semaines de bonheur complet .  Quand il est au loin, le plus dur c’est la solitude.  il y a les enfants, mais eux aussi souffrent de l’absence de leur père et ça ne m’aide pas vraiment.  Ma famille et ma belle famille  habitent  assez près de chez nous si bien que je peux compter sur eux au moindre besoin.  Mais tout de même, mon mari et moi, nous formons une équipe et soudain je me retrouve seule sans mon équipier. 

Je l’ai reconduit à l’avion la semaine dernière. Mon  petit dernier, qui a six ans, m’a demandé quand on reverrait  son papa.

«Dans quatre mois». «

«C’est quand quatre mois ?»

« Quand le froid sera fini, que les arbres auront des feuilles et le beau temps sera revenu...»

«C’est long !»

Oui, c’est long. C’est long pour les enfants, c’et long aussi pour la femme, seule dans son lit...J’ai froid toute seule dans mon lit et j’aimerais tellement pouvoir me blottir dans des bras. C’est vrai, je peux toujours me reluire le berlingot, comme on dit parfois, C’est une  petite récréation jouissive  qui me satisfait parfois, mais certains soirs je n’éprouve pas un plaisir à la hauteur de ce je souhaite et quand je pense que j’ai encore huit ou dix semaines à attendre avant que mon mari ne revienne... 

 

C’est ainsi que ça  a commencé avec Benjamin un soir où j’étais vraiment en manque de bite.  Ça faisait déjà un moment qu’il tournait autour de moi et il était évident qu’il me cherchait.  Alors j’ai décidé d’avoir un fuck-buddy. Vous savez un mec qui vous baise  de temps à autre et  rien que ça. C’est le plaisir d’avoir  du plaisir sans  autres attaches ou obligations. 

Je sais bien qu’on dit que pour les femmes une relation sexuelle est toujours chargée d’émotions et qu’une femme a le plus grand mal à séparer l’action physique de baiser d’un attachement émotionnel.

Oui, je sais qu’il faut savoir naviguer dans les eaux difficiles  où se mélangent sensations physiques et émotions et éviter celles-ci.  Voilà plus de  deux ans que Ben et moi nous   baisons - je baise avec lui, et fais l’amour  avec mon mari - et nous avons réussi à maintenir la distance  qu’il fallait. Notre relation n’est pas  purement sexuelle, ni purement amicale, mais  entre les deux et ça marche bien comme ça.  En général c’est moi qui l’appelle quand j’ai besoin d’avoir un homme pour me serrer contre lui et me donner ce dont j’ai envie.  Cette fois, c’est lui qui m’a appellée.

 

Alors là, c’est la course : je saute dans la douche, je me lave, un peu de parfum... Je passe un tee shirt, pas de soutif, je n’en ai pas besoin, mes seins sont encore parfaits, même à 35 ans, et d’ailleurs, à quoi bon en mettre pour  l’enlever presque  tout de suite. Idem pas de jean, juste un string - c’est déjà beaucoup...  Je me vois déjà , une belle blonde bien faite qui a  tout pour plaire, à genoux devant lui  en train de la sucer. Je le vois tendu, prêt à éjaculer dans ma bouche. Si je ne savais pas que Ben va arriver d’une minute à une autre je me fourrerais deux doigts dans la chatte pour  évacuer la tension que je sens dans mon ventre.

 

Par la fenêtre, je le  vois descendre de voiture. Je me précipite pour lui ouvrir la porte. Tout de suite, je suis dans ses bras.  Juste le temps d’un petit baiser et déjà son pantalon est ouvert. Sa bite est si dure, si grosse... et si proche de ma bouche. J’ai tellement envie de  le prendre, de le sucer jusqu’à ce qu’il m’envoie sa crème chaude et qu’il me remplisse la bouche. 

Mais Ben  a  une autre idée.  il m’entraîne dans la salle et me fait asseoir sur une chaise.

«Mets-toi ici... Ecarte les jambes. Ecarte-les bien.»

il s’agenouille devant moi , prends les cuisses et m’écarte les jambes le plus complètement possible. Ce mouvement ouvre les lèvres de mon vagin et ouvre aussi ma chatte toute pleine de mouille, puis il  écarte mon string.

«Oui, c’est ça, mange-moi  le minou, Ben. Fais-moi jouir. J’ai besoin de sentir un homme s’occuper de moi.»

Ça ne tarde pas et il m’enfile un  doigt  et je le sens passer  partout dans ma chatte bouillante.. Oh que ça fait du bien !   Je ne jouis pas immédiatement mais je suis si trempée de mouille que  Ben murmure  que cette chatte là a vraiment besoin  qu’on s’en occupe et il me fourre un deuxième doigt. Sa bouche se baisse jusqu’à mon ventre et il me suce le clito tout en  me doigtant.  En quelques secondes, voilà que je jouis,  je jouis fort, violemment,  et je sens mon jus couler entre les cuisses. Ben attend à peine que je finisse et déjà le revoilà entre mes jambes. il est beau au milieu de mes jambes grandes écartées, sa langue est douce et habile. il n'y a que du plaisir à prendre, qu'un bel instant à vivre. Sa sa langue dans  ma chatte tout en m’ayant glissé un doigt dans le cul, il me fait haleter et gémir comme une  porn star dans les films et je jouis à nouveau. 

Je me sens tellement bien entre ses mains que je le laisse  diriger les choses à sa idée.  en un tour de main, il finit de me déshabiller - il est vrai qu’il n’ y a pas grand chose à enlever- et il vire ses propres vêtements. je le regarde. Le visage n’est pas vraiement beau, au sens où on l’entend souvent, mais il est attrayant. Il a un corps  bien charpenté, un peu gras, juste ce qu’il faut,un joli torse, des épaules larges,  et puis il est  très bien membré. Il vient placert le bout de sa queue  sur la fente de mon abricot et il s’enfonce avec délicatesse. Il me suce un nichoin et en même temps il pistonne ma chatte et je suis est au septième ciel. Que sa bite est grosse, dure et chaude ! Et il me fait gémir de plaisir avec son gros manche 

Je noue les bras et les jambes autour de lui et il me fait jouir encore sans jamais cesser de me pilonner. Ça faisait si longtemps que je n’avais pas connu ça. J’avais tant besoin de sentir une bite dans moi....

«Baise-moi... baise-moi...vas-y, plus fort...oui... oui!» et je  pousse un cri quand une vague de plaisir orgasmique parcourt tout mon corps, de la tête aux pieds. Je sens la jouissance partout dans moi,  mon clito, mon cul, mes nichons

C’est une extase jouissive - si forte,  si explosive. Je me sens vidée et  toute amollie.

 

Ben n’en a pas fini avec moi.

 

Je suis comme saoule de sexe et jouissance et tout ce que je  veux encore c’est qu’il me baise encore et encore, qu’il fasse de moi son trou à bite.  et quand il me fait jouir une fois de plus, je n’ai même plus la force de crier.  Il me pistonne encore de trois ou quatre aller- retour et  dans mon con je sens sa bite qui  raidit un max quand il s’enfonce à nouveau dans moi. Je lui réponds par un grand doup de reins et je le sens  gicler dans moi, 

 

Il envoie un flot de de foutre énorme  qui inonde ma chatte trempée, coule sur mes fesses. Il reste là, la bite est toujours plantée dans moi. 

«T’as kiffé, ma belle ?» il me dit . Puis il sort sa bite et me la présente pour que je lui nettoie et je suce  le mélange de foutre et de mouille qui la couvre, et j’aime ça... Il  se met à débander et  je suis toute déçue, comme si j’avais espéré qu’il  resterait gros et dur commeun cheval.  

 

Mais je sais bien que Ben est un pistolet à au moins deux coups ! Je lui caresse  les tétons. Ils durcissent eux aussi. Aussi durs et pointus que mes nichons. Ça ne fait pas très longtemps que j’ai compris à quel point les hommes  ont les tétons aussi sensibles  et qu’ils adorent ça.  Je lui  caresse la queue de l’autre main, passant les doigts sur ses couilles lentement , du gland aux testicules , et il rebande rapidement.

 

Il me demande de le sucer et de lui lécher le gland, le manche et les couilles.. Résultat, j’ai à nouveau la chatte en feu et je coule comme jamais. Alors il me fait mettre a quatre pattes sur le canapé, et, debout derrière moi, et il me prend en levrette, s’enfilant dans moi jusqu’aux couilles d’un seul coup  et il me fait hurler comme une chienne, surtout qu’en même temps il m’attrape les nichons et il me baise lentement tout en me pelotant. Ça fait longtemps que je n’ai pas été baisée comme ça  et il me fait orgasmer  en moins d’une minute.  Je suis secouée par un éclair de jouissance qui me traverse de part en part. Je hurle mon plaisir... Heureusement qu’il n’y a pas de voisins proches, sinon ils auraient tout entendu...

 Puis c’est son tour, et il donne maintenant de terribles coups de reins s'enfonçant au plus profond qu'il peut et ressortant toujours totalement et il me pine de plus en plus vite jusqu'à sa jouissance et je sens encore sa jute m’inonder.

 

Quant il a  fini de se vider dans  mon con, il me remet la queue dans la bouche pour que je la nettoie. C’est un vrai plaisir que de la faire en le suçant   bien à fond. Il lui faut deux ou trois minutes pour se remettre de tout ça, et bientôt sa respiration se calme : 

«C’était une bonne baise» dit-il en conclusion. Cinq minutes plus tard, il est rhabillé et  me quitte après m’avoir roulé un patin. 

Mon corps  est rassasié  pour ce soir et je  sanglote presque de bonheur, totalement comblée.

 

 

 

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