Le lycée (2)

Ceci est la suite directe de la première partie  mise en ligne il y deux jours. Je vous conseille de lire d'abord cette  première partie avant celle ci-dessous.

 Auteur : Hornyboys - 1468 mots - QQQ - Les éléves mettent toujours autant d'ardeur dans leurs cours d'E.S.A. Cette fois, ce sont des filles qui vont apprendre des choses... (mf, etud, oral)

La semaine suivante, les élèves  sortent du cours précédent et commencent à se rassembler devant la salle de TP d’ESA. Tous ne sont pas encore arrivés. Il y  a là Pierre, un garçon timide et réservé qui ne parle pas beaucoup,  Rémi,  le boute en train de la classe, toujours prêt à  faire une plaisanterie, Maxence,  une espèce de gros ours mal léché, Boris, Fouzia, Louise,  ma meilleure copine, et quelques autres. Florian n’est pas encore arrivé. J’espère qu’il ne va pas tarder car c’est avec lui que je veux  faire les TP d’aujourd’hui.... 
La  sonnerie retentit, le professeur nous fait entrer. Je reste quelques secondes dans le couloir, espérant voir Florian arriver, mais non. Le professeur me fait signe de venir. Je vais à ma place. Les élevés s’installent deux par deux pour se mettre au travail, mais, je reste seule. Voyant cela, le professeur me dit de me mettre avec un autre groupe. Il cherche avec qui  me placer : 
« Voyons, qui pourrait  vous prendre avec lui ?   Maxence, je pense qu’il est capable de s’occuper de vous en plus. Mettez-vous avec lui et Nina» 
« Oh, non, pas ... » 
« Allez Clémence, ne discutez pas, mettez-vous au travail. » 
Maxence m’accueille avec une plaisanterie grasse de mauvais goût. Ca commence bien ! 
Le professeur nous explique  les travaux pratiques du jour : 
« Jusqu’à maintenant, les garçons se sont occupés des filles, mais aujourd’hui on change. Les filles vont apprendre à satisfaire les garçons manuellement puis bucalement.. » 
Quelle horreur ! Il va falloir que je touche ce malotru de Maxence, que je le caresse, que je le prenne dans ma bouche ! je suis certaine  que Nina pense la même chose que moi car elle n’a pas l’air emballée  à l’idée de s’occuper de ce garçon. 
Il  s’allonge sur la table, s’y étend comme un maître, nous ordonne de nous placer de chaque côté de lui et de nous mettre les  seins à l’air. 
 « Comme ça , je pourrai vous poignasser les miches, ça me fera bander.. Et puis après, sortez- moi la queue et bouffez la ... j’vous garantis qu’y en aura pour les deux petites salopes...  Alors, toi, qu’est-ce t’attends, paluche moi la bite ... J’vais vous y mettre tout, même les couilles...Y aura du foutre pour vous deux... plein la gueule. Ah ah ah ! » 
Je suis presque au désespoir. Je vais devoir  caresser, masturber et même sucer cet individu grossier qui me répugne. Ma voisine vint d’ouvrir le pantalon du macho et une forte odeur monte à mon nez. Une odeur âcre, l’odeur  de sexe pas lavé. 
« Pouah !  tu pues. Tu ne t’es pas lavé depuis des semaines ! » 
« Justement , vous allez me faire une toilette complète. » 
Non, je ne pourrais jamais emboucher cet engin. Tout me répugne, le garçon, ses manières, sa saleté, son gros manche couvert de veines violacées de haut en bas. 
« Allez pipe-moi le chibre, salope. 
Il va bien falloir que je m’exécute... 

A cet instant, la porte de la salle s’ouvre et Florian entre. Il se dirige vers la professeur pour expliquer son retard, me  cherche des yeux, me voit et me sourit.  Tout de suite je me sens mieux. IL est là ! Pour lui, je suis prête à tout.  Je regarde  le professeur  qui me signe de venir avec Florian. J’abandonne le gros Maxence  avec un immense plaisir : tant pis pour Nina, elle va falloir  qu’elle se le tape, mais je la plains  sincèrement.

J’ai eu si peur avec l’autre garçon ! Comment est-il :possible de faire l’amour avec lui ? Je me jette dans les bras de Florian, à moitié en riant, à moitié en pleurant , je me serre contre lui, ma bouche cherche la sienne pour un long baiser dans lequel nos langues s’entremêlent. Nous nous séparons enfin, et Florian commence à se déshabiller. Le voici torse nu. Mes mains courent sur sa poitrine, j’y  pose mille baisers avides. Et j’entreprends de baisser son jean.  Un grosse bosse apparaît dessous, la promesse de notre bonheur. Il lève les pieds l’un après l’autre pour finir de retirer le jean. Vêtu de son seul slip noir, Florian est magnifique. Musclé, bronzé, les épaules larges, le ventre plat et plus bas, oh oui , plus bas les formes de son sexe déjà raide. Mes doigts courent sur ces formes, cherchent à deviner ses formes et je le sens  durcir davantage. Enfin je baisse son slip. Son sexe est si dur que j’ai du mal à le faire passer, je dois tendre l’élastique au maximum. Et soudain, il est là, devant moi !  Libéré du slip qui le contenait, il danse sous mes yeux et  se dresse.

Ce n’est pas la  première fois que je le vois, mais chaque fois, je m’émerveille. Le gland, brillant, déjà humide ; la hampe, longue et grosse, juste ce qu’il faut ; les testicules, deux belles boules chaudes à prendre dans la main.

Florian veut monter sur la table pour s’y allonger, mais je lui demande de rester debout. Je veux être à ses pieds, je veux être entre ses jambes, je veux qu’il me domine, qu’il soit mon maître, je veux être sa servante  agenouillée devant lui,  ne pensant qu’à le satisfaire, je veux être sa chose, son esclave pour son plaisir. C’est dans cette position, à genoux devant lui, ma tête juste à la bonne hauteur que je veux lui donner du plaisir.

Je prends son sexe dans ma main. Il est chaud et palpite sous ma caresse.  Ma main monte et descend dessus lentement tandis que l’autre  masse ses couilles. Florian frémit. Je le sens tout prêt. Non pas  tout de suite... non, laisse-moi te caresser encore... j’ai à peine commencé... je voudrais que tu exploses  dans moi... Mes lèvres commencent  à toucher son gland, ma bouche s’ouvre pour l’avaler, ma langue tourne autour du bout, le lèche, puis l’aspire. Entre deux gémissements de plaisir, Florian me  dit qu’il aime, que c’est parfait, que je suis une bonne pipeuse.. Plus il me montre que  ce que je fais lui plaît, plus je m’applique à faire mieux et plus je m’échauffe moi même. Je ressens tout le plaisir que je donne à Florian. Oui, mais moi ?  J’ai aussi besoin de prendre mon pied, qu’on s’occupe de ma chatte brûlante, pleines de picotements. 
 
D’une main j’ouvre la ceinture de mon pantalon, j’attrape la main de Florian et je le guide jusqu’à ma culotte. Bien entendu, il comprend tout de suite ce qu’il faut faire. Sa main s’infiltre jusqu’à mon sexe, ses doigts forcent ma fente  chaude et mouillée et le pouce cherche mon clitoris pour le masser. La dextérité de Florian est irrésistible et je suis tellement chaude qu’il ne m’en faut pas plus  pour réagir , le plaisir m’irradie et je m’abandonne  à ma jouissance.... 
J’engloutis cette belle queue, je fais de longs va et vient en serrant les lèvres pour qu’il me sente mieux.. Je le masturbe aussi. Pour changer un peu, ma bouche abandonne la queue et vient sucer ses couilles. Florian me montre qu’il aime ça, surtout quand je lèche le dessous et la zone près de son anus.

Ensuite, je continue à pomper sa queue, lentement, sensuellement, puis j’accélère et Florian m ‘accompagne en s’enfonçant au même rythme. Peu à peu j’arrive à l’avaler en entier J’ai toute sa bite dans ma bouche,  et avec les poussées que fait Florian, le bout finit par entrer dans ma gorge. Par moments j’ai un peu l’impression d’étouffer mais c’est tellement nouveau et je sais bien que c’est pour Florian. Il s'est  enfoncé jusqu’à la garde, il m’a empalée par la bouche ! Je sens bien que Florian est tout prêt de la fin, qu’il approche de l’extase finale. 
Je pose  alors une main sur ses couilles et je les caresse doucement. Florian grogne. J’ai la bouche sur son manche, une main sur ses couilles, mais l’autre main de reste pas inactive. Je la glisse entre ses cuisses, entre ses fesses et je cherche son anus. L’ayant trouvé je le frotte en faisant de petits cercles et alors Florian semble exploser. Son corps se tord, ses hanches montent vers ma bouche, ses grognements deviennent des cris. Je le suce plus à fond, en l’avalant à nouveau aussi loin que je peux  et soudain  c’est l’éruption. Sa bite tressaille dans ma bouche, il me la remplit de tant de crème que je n’arrive pas à tout avaler. Ca rejaillit par mes lèvres et ça me couvre toute la figure. C’est chaud ; c’est épais ;c’est bon ; c’est doux . J’en voudrais encore plus, je voudrais que Florian me noie dans sa sauce d’amour... 

Je  garde Florian dans ma bouche jusqu’à ce qu’il redevienne mou et, lentement, je le laisse sortir. Je lève les yeux vers Florian, transfiguré et rayonnant. Il se penche vers moi et m’embrasse longuement, partageant avec moi la crème d’amour que je viens de recevoir....

 
A SUIVRE

(mise en ligne probable le 15 janvier)