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Histoires de Q
29 décembre 2015

La soirée du nouvel An

Auteur : Hornyboy - 4080 mots - QQQ -   Comment un mari et un ami du couple souhaitent une bonne année à une jeune femme. (MMF, consent, oral, sodo, double pénétration)

 

Ce fut une belle soirée de réveillon, Une soirée un peu courte, j’en conviens car nos hôtes sont des personnes d’un certain âge et ils ne voulaient pas  organiser un vrai réveillon qui aurait duré toute la nuit.    Nous avons tous attendu les douze coups de minuit pour nous souhaiter une bonne année   et  nous sommes tous repartis dans la demi-heure qui a suivi.  Donc pas un vrai réveillon mais une bonne soirée néanmoins avec  des gens sympathiques et plaisants pour la plupart. La maîtresse de maison avait prévu  un beau buffet garni de délicieuses petites choses  et la boisson ne manquait pas, en particulier le champagne,    un cru prestigieux, en tenue de soirée dans un seau à glace argenté et le maître de maison veillait à remplir les coupes  à peine étaient-elles vides.  Puisque nous en sommes  au chapitre des boissons,  il y a la question du retour des invités au sortir de la réception.  Ils reprennent leur voiture même s’ils ont  (certainement ) bu  un peu trop !  L’idéal est que celui qui raccompagnera sa famille ou ses amis se soit abstenu de boire de l’alcool pendant le soirée. 

C’est mon cas,  je suis celui qu’on appelle de ce nom idiot de ‘capitaine de soirée’ - depuis qu’un de mes amis les plus proches a été tué dans un accident  impliquant un conducteur éméché. Donc ce soir là, je suis chargé de ramener, outre ma femme, un couple un peu âgé et un jeune homme qui habite dans notre quartier, pas très loin de chez nous.

 Conversations, plaisanteries, rires et flirts avaient animé toute la soirée.  Une soirée agréable somme toute, même si la moyenne d’âge était un peu élevée par rapport à celui de notre couple.  Adeline a tout juste 28 ans et moi 29 et mis à part Laurent, le jeune homme que je  dois ramener chez lui, la plupart des autres invités  avaient plutôt la cinquantaine.  A cause  de cela, ma femme et moi, nous sommes rapprochés de Laurent et avons passé  une bonne partie de la soirée  en sa compagnie.  Une compagnie des plus sympa, du reste. Laurent, 25 ans, qui fait des études de médecine, est aussi du genre à faire tourner la tête à toutes les filles avec sa belle gueule auréolée de longs cheveux blonds en broussaille... D’ailleurs j’ai bien vu qu’il flirtait avec ma tendre  Adeline  qui serait peut-être tombé dans ses filets si je n’avais pas été là. Mais tout est resté dans les limites d’un honnête flirt peut-être plus que mondain, plutôt un peu poussé, mais  qu’Adeline avait paru apprécier...  

 

Vers les une heure du matin ,  le ‘capitaine de soirée’ que je suis, fait un petit détour pour ramener chez eux (en toute sécurité ?) le couple, comme prévu, et je reprends la direction de notre quartier.   Il reste Laurent à déposer chez lui. Adeline lui propose de monter chez nous prendre un dernier verre avant que je le reconduise. D’accord pour un verre, mais il me fait remarquer qu’ensuite il pourra rentrer seul à pied, il habite à moins de 10 minutes de chez nous. Parfait, je me dis, n’ayant plus à prendre la voiture, le capitaine de soirée que je suis va pouvoir  boire un whisky ou deux, car  fêter la nouvelle années au jus d’orange, comme je l’ai fait, c’est quand même un peu  tristou... 

Adeline est légèrement partie. Elle a bien apprécié le champagne de nos hôtes , c’est évident... L’alcool la rend amoureuse, je m’en suis aperçu depuis longtemps. Ce soir elle ne manque pas de me toucher, de me caresser, de me bécoter pendant que je conduis. Elle a même mis une main sur ma cuisse et ses doigts se sont rapidement retrouvés sur mon sexe. J’e n’aime pas trop tout ça quand je suis au volant, je trouve qu’il vaut mieux être attentif à la conduite.  Nous arrivons sans encombres, je mets la voiture au garage et nous montons à l’appartement tous les trois.

«Oh, je me sens fatiguée,» se plaint Adeline, « et mes pieds me font  un mal ! Les talons hauts c’est quand  même pas l’idéal pour rester debout toute une soirée.»  

Elle enlève ses souliers et pousse un ‘ouf,’ de soulagement. 

«Mon petit Laurent, pourrais-tu me masser les pieds quelques instants? Tu serais un  chou.»  Je m’aperçois que Laurent et Adeline ont fait du chemin depuis le début de la soirée, ils se tutoient maintenant et ça ne me serait pas venu à l’idée de demander à un quasi-inconnu de me masser les pieds!  

Il tend le bras et prend le pied droit dans ses mains.  Il masse doucement, puis fait de même sur l’autre pied. Sa main entoure aussi les chevilles... Adeline semble apprécier. Elle est à demi allongée sur le canapé, la robe relevée bien au dessus des genoux et Laurent ne doit rien manquer du spectacle des ses cuisses entre-écartées qui laissent voir un string tout mini. Je suis certain que si je laissais faire, ils termineraient au lit.  Est-ce que ça me déplairait pour autant ?

Ca fait des semaines qu’Adeline et moi on parle de parties à trois, nous deux et une autre homme, ou bien nous deux et une autre femme. Bien sûr, tout ceci est resté à l’état de paroles, de fantasmes et  de projets vagues, mais il n’empêche, l’idée d’Adeline  au lit avec Laurent (et moi, bien entendu) ne m’est pas  choquante, plus encore, je la trouve amusante et et même  jouissante...

A demi allongée sur le canapé, Adeline répond au toucher des mains de Laurent. Elle se laisse  aller en poussant un petit soupir : 

«Laurent, tes mains sont vraiment douces. Tu me fais fondre...»  

Là, je pense que le flirt est de plus en plus évident...

Je m’approche, il m'aperçoit, me regarde, mais je ne bouge pas. Il doit alors se sentir encouragé et, tout en massant ma femme, ses mains montent lentement sur le mollet et plus haut encore. 

Je leur demande ce qu’ils veulent boire , puisque telle était la raison de la venue de Laurent ici,  et je passe dans la cuisine préparer les verres en me demandant ce que je vais voir en revenant. 

Laurent semble bien connaître l’art de la séduction: aller lentement vers le but et cette fois je le trouve en train de masser les deux jambes  de ma femme, en montant presque jusqu’en haut, presque à toucher l’endroit secret. J’entends Adeline roucouler:

«C’est bon, tu me fais du bien. Tu a des mains de velours.»

De son côté il cocoone ma femme, l’enveloppe de gentillesse; la complimente, bref, il la «baratine» dans le genre :

«Tes jambes sont magnifiques. on voit que tu fait du sport et que tu les soignes bien... Peu d’hommes ont jamais eu le plaisir de toucher un tel trésor... Ca te donne une silhouette de rêve...»

 Je viens m’installer sur la canapé, du côté de la tête d’Adeline. Je lui caresse les cheveux, les temps, le visage et , me baissant, je l'embrasse du bout des lèvres dans le cou puis  je remonte vers son oreille que je lèche  avant de venir prendre ses lèvres avec amour.. 

Laurent me regarde, mais je ne bouge pas. Il doit alors se sentir encouragé et, il reprend ses caresses.  Il remonte la robe  bien haut et maintenant qu’elle est juste au niveau du string, les mains de Laurent  s’égarent   vers la fente humide encore cachée bien que les lèvres gonflées débordent assez  volontiers de chaque côté du string. 

Laurent et moi continuons à masser et caresser Adeline, moi sur sa tête et son buste, Laurent sur ses jambes.  Mes mains caressent ses seins et ses mamelons , durs et dressés sous le fin tissu du soutien gorge.  Adeline ne reste pas  passive, bien au contraire : je vois un de ses pieds jouer sur l’entrejambe de Laurent, qui ne cherche pas à éviter ce pied baladeur...

Brusquement  Adeline  me regarde . Ses yeux m’interrogent.  Je comprends qu’elle se demande s’il ne serait pas préférable de tout arrêter, tant que c’est encore possible.   Je lis  dans ses yeux un mélange de plaisir  et de peur et son expression montre clairement qu’elle comprend où elle est et  ce qui va arriver si  elle, Laurent  et moi  continuons encore.

 A ce stade, je me dis qu’il faut accélérer les choses et puisque je suis complice de ce petit jeu de séduction et de sexe, je crois que c’est à moi relancer la balle.  je l'embrasse sur les lèvres, un baiser appuyé pour lui faire comprendre que je suis  avec elle quoi qu’elle fasse, et je lui murmure tendrement que je l’aime.

«Ma chérie,» je lui  dis aussi, «tu devrais  enlever ta robe. Tu serais plus à l’aise.»

Sans même attendre sa réponse, je commence à baisser le zip dans le dos, puis je fais descendre la robe, dévoilant  un  petit soutien gorge  en dentelle qui laisse  deviner une poitrine pas très volumineuse, mais ferme avec les  pointes déjà dures et saillantes. Une fois le haut de la robe rabattu sur  la taille, je demande à Adeline de se soulever un peu. Laurent me prête mainforte pour faire glisser la robe sur les hanches,  non sans en profiter pour caresser les flancs de ma jeune femme.

C’est alors que ma main croise celle de Laurent posées sur le ventre d’Adeline. Il esquisse un mouvement de recul et m’adresse un regard interrogatif. Un sourire le rassure et il poursuit ses caresses, sa main descendant vers le petit triangle de poils bien coupés que le string peine à cacher.

« Magnifique, tu es vraiment splendide, tu n’as  pas honte de cacher ce corps magnifique... » s’extasie Laurent. 

«Je n’ai jamais dit que j’allais le cacher!» proteste Adeline, et sans attendre la fin des compliments et elle se met nue, dégrafant le soutien gorge qui tombe sans un bruit sur la parquet puis le string déjà mouillé par l'effet que lui produisent ses caresses et la chaleur de  deux hommes tout à son service,  puis elle ferme les yeux et écarte les jambes pour s’offrir. 

Je vois les doigts de Laurent fouiller les lèvres, les ouvrir  et   s'enfoncer dans le sexe humide d’Adeline toujours plus loin dans son  intimité.  D’avance  elle commence à se tortiller de plaisir et connaissant ma femme, je me doute qu’une fois lancée elle va baiser jusqu’à ne plus  pouvoir tenir debout! Laurent   se penche maintenant,  sa bouche et sa langue passent sur sa foufoune. elle pousse de petits cris. C’est merveilleux de voir comment sa langue  virevolte sur les lèvres gonflées de désir, les ouvre, va et vient entre elles et attaque enfin le clito. Adeline pousse un grand cri quand elle sent la chaleur de la langue  le titiller, l’agacer. Du bout de la langue il fait des cercles autour jusqu'à ce que le bourgeon se dresse. Elle écarte largement les jambes pour se faire mieux manger la chatte. Le visage d’Adeline est tout rouge, elle tremble. 

Je  regarde son ventre d’agiter, monter et descendre, se tordre sous les caresses qui l’ont pénétrée  et lui donnent du plaisir.   Elle a jeté la tête en arrière contre moi et, pendant que je continue à lui peloter les seins, je sens mille vibrations parcourir son corps.  A un moment, quand Laurent continue à la doigter et et la lécher plus goulûment ,  elle ouvre brutalement les jambes, pousse un cri, et s’abandonne comme une salope  à la jouissance que cet inconnu lui procure. 

 

Pensant qu’il va falloir passer aux choses sérieuses,  je leur demande de se lever et de venir sur le lit dans la chambre. Adeline passe la première, suivie de Laurent qui lui pelote les fesses tout en marchant. Elle s’allonge sur le dos. Il ne faut que quelques secondes à Laurent et à moi pour nous désaper et grimper sur le lit.  J’en profite pour observer   Laurent : ses grands cheveux blonds, son corps juvénile aux longs muscles et une belle bite, bien droite, longue et sans défaut, je comprends de mieux en mieux tout l’attrait que ce garçon peut exercer sur les filles - et je me dis qu’on pourrait comprendre que des garçons l’apprécient aussi.  Je sens son regard  me détailler, moi aussi. Mais je sais bien que mon physique n’a rien d’extraordinaire, je suis vraiment monsieur Toulemonde, mais savoir qu’un autre homme regarde ma nudité me trouble légèrement...

 J’admire aussi le beau corps de femme étendu sur le lit. J’ai beau le connaître depuis des années et le voir ausssi souvent que je le veux, je ne cesse pas  de l’admirer.   Laurent hésite encore un peu et m’interroge du regard. C’est Adeline qui intervient:

«Alors les hommes, on prend son temps ?  Je croyais que vous étiez plus ardent que ça!... J'ai envie de vous avoir tous les deux. Chéri, viens me mettre ta bite dabns ma chatte  et dis à notre ami qu’il est plus que bienvenu. Que dirais-tu d’une petite gâterie pour commencer avec lui ?»  

 Nous nous installons de part et d’autre d’Adeline . Sans attendre plus tongtemps et sans autre préréparation je  mets entre ses jambes et je lui mange la chatte doucement d’abord, puis avec gourmandise.  

 Je sais que ce qu’Adeline attend maintenant - moi aussi, car ma queue me fait mal tant elle bande. Je ne peux plus attendre. Je me déplace pour pouvoir  enfoncer ma queue dans sa chatte désormais ruisselante, Je prends ma bite en main  et la  pose sur les lèvres gonflées par le désir et je pousse. Ca rentre d’un seul coup, j’y mets pratiquement tout, sauf les couilles... Je commence par des coups de reins solides mais  relativement lents...

Un coup d‘oeil vers  Laurent pour voir qu’il s’est mis à genoux près d’Adeline; il prend sa main et la pose sur sa bite. Je vois les doigts de ma chère épouse se refermer sur la queue rigide et longue   et commencer à la branler, d'abord doucement puis de plus en plus vite. Et maintenant elle le branle à deux mains, remontant sur le manche gonflé, excitant le gland de ses ongles, pour redescendre et recommencer, non sans oublier de caresser les grosses couilles prêtes à bouillonner. Ensuite, elle embrasse la bite partout, de haut de bas;

«Oui vas-y, suce moi, oui,» l’encourage Laurent. Est-ce bien nécessaire de lui  dire de sucer ? C’est seulement qu’il ne sait pas qu’Adeline adore ça et qu’elle est une experte de la pipe. Je me dis qu’il ne va pas tarder à s’en apercevoir.

 Elle lui embrasse toute la bite de haut en bas, lui suce les couilles, qu’elle prend une par une et qu’elle roule dans sa bouche, et  se met à lécher le gland avec amour en  insistant sur le méat avec des petits coups de langue bien pointue. C’est magnifique de  voir ça ! Sa bouche monte  et descend sur la bite, elle suce comme elle sucerait une glace.  En même temps, Laurent s’est mis à lui caresser les seins et lui pincer les tétines.  J’ai même l’impression qu’il pince for, mais Adeline ne s’en plaint pas. J’entends ma chère moitié grogner et gémir  malgré sa bouche pleine... 

Elle s’excite de plus en plus et suce de plus en plus goulûment.  La bite de Laurent me parait d’une longueur géante avec deux grosse couilles tendues en dessous. Elle alterne, avalant parfois toute la bite jusqu’à ce que ses lèvres  touchent les poils bouclés , parfois  ne picorant que le bout. Elle va vite,on entend la respiration de Laurent qui se fait irrégulière, il est déjà tendu, prêt de l’orgasme, tout prêt.

Tout ceci a  pour effet de faire encore monter d'un cran mon excitation. La tendresse  fait place à la passion.  je me sens bien dans sa chatte largement ouverte et dégoulinante de  mouille  tout son corps tremble à chacun de mes coups de bite, 

Je me déchaîne, chaque coup de queue  me précipitant contre  la chatte d’Adeline et la défonçant  sans pitié.

J’entends Laurent  crier que ça vient, et effectivement,  dans un grand râle il commence à juter.  il inonde de son plaisir le visage de ma femme…..

Un premier jet dans la bouche, et il sort sa bite pour lui cracher son foutre au visage. Pendant que ça lui coule sur les lèvres, un jet atterit directement sur son nez,les autres embellissent ses joues et son front.  C’est alors que je vois ma tendre Adeline, certainement affamée de sperme et devenue  une vraie vide-couilles, recueillr le foutre sur ses doigts et les lècher consciencieusement. Alors Laurent  présente à nouveau à ses lèvres sa bite encore gluante de sperme.

«Ouvre la bouche, tu vas finir ton travail en me nettoyant la queue.»

Elle lui lèche la bite encore  bandée et surtout le gland à grands coups de langue, récupérant sur sa langue ce liquide chaud et épais, et  tirant ainsi   de nouveux gémissements de plaisir de la part de Laurent.

«Merci pour ce moment de plaisir ! Tu viens de me faire jouir comme je n'avais joui depuis longtemps. Tu es super chaude,» remercie Laurent.

Pendant tout ce temps; je n’ai pas arrêté mes va-et-vient dans le con d’Adeline. Je la baise à grands coups, sans la ménager,  elle gémit, elle crie à chaque coup de boutoir, chaque fois que mon bas-ventre tape contre le sien pour la fouiller. Mis elle aussi envoie son bassin et sa chatte au devant de ma queue poiur une union profonde et totale de nos deux corps

«Encore... oui... vas -y...  fort,...baise moi fort,» ne cesse-telle de  gémir, comme si j’avais besoin qu’on m’encourage.  A la fin son corps se raidit, elle  est prise d’un immense tremblement et elle  serre les cuisses de toute ses forces; son sexe se contracte spasmodiquement autour du mien. Elle crie son plaisir et l’orgasme l’emporte

 Alors  je me déchaîne, je redouble d'intensité. Et s brutalement, je m'arc-boute; un cri, celui du rut. Les fesses serrées, mes couilles explosent, ma bite double de volume et gicle en longs jets brulants tout au fond de sa chatte jusque ce que je me sois complètement vidé dans elle.

Adeline continue de jouir  pendant que mon sperme jaillit.  Je fais encore quelques aller et retour pour le plaisir de sentit sa chatte chaude et pleine  avant de m'arrêter. 

Je me retire  laissant la chatte de ma femme dilatée et  remplie de mon foutre.   Toute sa foufounne grande ouverte est luisante de sperme, les lèvres sont rouges et gonflées à,cause des va-et vient de ma bite.  La sauce recoule lentement de son  trou: je lui en ai mis une bonne dose, ça été une vraie baise, un vrai vide-couilles.... 

Je suis tout en sueur et je m’essuie le front d’un revers de la main.  Enfin je me laisse  retomber sur Adeline,  le corps lourd et vidé. Elle aussi  est immobile, fatiguée et repue.

Laurent semble ne pas avoir eu son compte, il revient à la charge et recommence à câliner Adeline qui le lui rend aussitôt en lui caressant la bite et les roubignoles.  Elle fait de même avec  moi de l’autre main.  Quelques coups de  langue à droite et à gauche sur des queue encore molles... Quelques minutes de ce petit jeu, et nous rebandons dur, prêts pour un nouvel assaut sur ma petite Adeline qui maintenant nous attend de pied ferme. (Enfin, je ne sais pas si le pied est ferme, mais les nichons et le cul, oui, c’est certain.)  Quatre mains qui  frôlent, caressent, touchent, cherchent, découvrent, pelotent, pénètrent, agacent, pincent, frottent, écartent, excitent,  pénètrent encore. Adeline pousse de petits gémissements, ceux d’une femme sensuelle   totalement livrée aux attouchements de deux mâles en chaleur.  Comme si elle lisait dans les pensées, elle écarte les jambes  et s’offre à nous deux. 

Je lui caresse les fesses et mes doigts s’attardent sur sa rondelle. Je sais à quel point ça l’excite qu’on lui touche le cul pendant qu’on la baise.  ce cul bien galbé et ces fesses bien rondes ! J’ai  une folle envie de la prendre par derrière ! ...  Pendant que Lautrent a  un ou deux doigts qui lui fouillent la chatte, je lui penètre le cul en forçant un peu la corolle brune.   Laurent et moi nous concertons du regard. 

«Vas-y baise-lui la chatte, j’ai envie de son cul.» Inutile de demander son avis à Adeline: je sais  qu’elle va adorer cette double pénétration. D’ailleurs c’est elle même qui prend  la direction des opérations:

< Mon chéri, me dit-elle, « mets-toi sur le dos et je viendrai sur toi.»

Elle se lève à demi, me chevauche et vient s’empaler par le cul sur  ma  bite. Je sens son  trou d’élargir puis se refermer sur ma queue. Adeline  se baisse lentement, descend et se retrouve complètement empalée, ma pine entière dans son cul.  Comme elle est trempée de partout,  ma queue est entrée facilement dans le mélange de mouille et de foutre qui lubrifie son trou du cul.   Je dévide de lui baiser le cul lentement mais profondément, chaque coup allant tout au fond d’elle. Laurent s’est  mis à genoux juste devant elle: elle lui attrape la bite et la guide jusqu’à l’ouverture de son con.

«Baise-moi, baise-moi, j’ai envie de ta belle bite. Bourre-moi  la chatte,» demande-t-elle à son amant   qui  na qu’une envie, satisfaire une demande aussi  jouissive.    

Quand il est bien dans elle, il lui agace la chatte en la baisant parfois lentement, parfois à toute vitesse, parfois  bien à fond, parfois juste avec le gland enfoncé. Adeline   gémit comme une folle avec  deux bites qui vont et viennent dans dans elle  et la remplissent complètement.    

Le fait de savoir que nous sommes deux  à nous partager la femme que j’aime m’excite particulièrement. En plus,  je sens  la queue de Laurent à travers la mince paroi qui sépare  le rectum du sexe, je sens la bite de Laurent   contre la mienne presque comme s’il n’y avait rien entre nous deux.  Ça, c’est une sensation que je ne connaissais pas et elle est hyper érotique.

«Tu aimes ça ? Deux bites ensemble, rien que pour toi,» je demande à Amandine.

- Oh oui, faites-moi hurler de plaisir, toi et Laurent. Et en même temps, vous les mecs, je vais vous faire cracher tout ce que vous avez dans les couilles !

- Alors , prépare-toi, tu vas le sentir passer...»  

Laurent lui caresse le clito tout en la baisant par le con.  Adeline grimace de plaisir et pousse contre  la bite de Laurent pour mieux la sentir dans elle. Oui, on est deux à la baiser et elle adore ça.  Laurent la pistonne et la fait gémir à chaque coup. Elle répond à notre double pénétration à grands coups de reins  qui augmentent son plaisir sexuel. 

Je sens ma bite serrée dans son petit cul étroit. Bien sûr, je l’ai déjà prise  comme ça, mais jamais en double comme aujourd’hui. C’est bien plus fort, bien plus excitant. En me penchant un peu je parviens à lui embrasser les seins et à prendre les tétines entre  mes lèvres, les sucer ou les mordiller.  Je sens  Adeline se coller contre moi avec passion, m’enfoncer un max dans son  cul.  Encore quelques secondes et un  feulement violent sort de sa bouche et elle explose  en un puissant orgasme, un des plus violents que j’ai connu chez  elle.  Son visage est déformé, ses muscles sont tendus et je sens son cul spasmer autour de ma queue  en une jouissance qui semble ne jamais devoir finir. Son cul est alors si serré que que je ne peux plus me retenir et je lui envoie ma décharge au plus profond de son trou d’amour;

Laurent jouit à son tour. L’un et l’autre, on la remplit de sperme et elle continue à crier de jouissance.  Nous restons tous  empalés comme ça quelques instants. 

 Adeline est dans les vapes, écroulée sur le lit. Laurent et moi, on se regarde en souriant.  Puis nous la prenons doucement dans les bras et l'emmenons jusqu’à la douche pour la laver. Elle en a bien besoin car tout son corps est luisant de sperme  déjà séché ou encore tout frais. Nous la séchons, l’entourons dans une grande serviette et la ramenons  sur le lit où elle s’endort presque immédiatement. Nous avons juste le temps de lui  dire:

«Bonne année...  Je te souhaite plein de bonheur... et de sexe,»  commence Laurent.

«Avec toi?»

«Avec moi oui, mais surtout avec ton mari.»

«Bonne année, mon amour,» je lui murmure en appuyant doucement mes lèvres sur les siennes. «Je t’aime...»

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