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Histoires de Q
24 octobre 2015

Un festin d’anniversaire

Histoire par Hornyboy - 1848 mots - QQQ - une épouse aimante fête l’anniversaire de son mari en lui réservant une réception particulièrement érotique ( MF fromantique oral)

 

En rentrant du travail, ce soir là, j’ouvre la porte d’entrée de la maison et machinalement j’appuie sur l’interrupteur pour allumer la lumière. Rien ne se passe. Je grommelle un juron et me dit que l’ampoule doit être morte et qu’il faudra que je la change. Comme je connais bien la pièce, même dans une quasi obscurité, je me dirige vers la petite table sur laquelle je pose mes clés, comme d’habitude, j’enlève ma veste et je passe dans la salle. J’ouvre la porte,  ma main appuie sur l’interrupteur. Rien ! Je grommelle de plus belle, pensant que c’est une vraie panne, que je vais passer des heures à essayer de la réparer au lieu de passer une soirée à regarder tranquillement la télé. Et je me rends compte que la pièce n’est pas dans l’obscurité, comme elle aurait dû l’être sans l’électricité. Un feu ardent brille dans la cheminée, les flammes montent et éclairent la pièce d’un lueur rougeâtre qui fait danser les ombres sur le mur. Une silhouette apparaît au fond, qui se dirige vers moi. Bien entendu, je reconnais tout de suite ma femme, Lisa. Je me prépare à me plaindre, à rouspéter, que sais-je... Mais elle ne m’en laisse pas le temps et me dit :

" Bon anniversaire, mon chéri. " 

Ah oui, mon anniversaire ! Je suis tellement occupé par mon travail que j’avais oublié. Mais pas elle... 

" Merci, c’est gentil d’y avoir pensé.... Qu’est-ce ce qui se passe ? Il y une panne de lumière ? "
" Mais non, je t’ai préparé une surprise."

Nous nous approchons l’un de l’autre, et, avant même de l’embrasser ; je remarque sa tenue. Au lieu de son habituelle chemisier ou pull et d’un pantalon, elle est vêtue d’une sorte de grande cape qui lui tombe jusqu’aux pieds et qui est fermée autour du cou par un cordon.

" Bah ! qu’est-ce que tu as mis ? "
" Un habit de fête, pour ton anniversaire... Viens, assois-toi, j’ai préparé un dîner spécial ! Ce soir tu seras mon maître, je serai ta petite esclave qui ne pense qu’à te satisfaire."

Elle me montre la table, et c’est seulement maintenant que je vois les bougies allumées, la vaisselle, les verres en cristal qui flamboie à la lueur des flammes du feu et des bougies. Je m’approche d’elle pour l’embrasser et la remercier du mal qu’elle s’est donnée. Stupeur ! je vois sa cape s’entrouvrir, et elle est nue dessous ! La cape qui s’est écartée laisse apparaître sa silhouette toute en courbes sensuelles, ses seins, petits, doux, fermes et tellement tentants ! Son ventre est complètement exposé et montre une jolie tache de poils bruns, juste au dessus de son minou. Plus bas, ses longues jambes attirent un instant mon regard qui remonte vit admirer la poitrine et le ventre. Mon regard revient vers son ventre. Même les jambes serrées, je vois clairement sa motte et je devine les lèvres déjà humides d’impatience et de désir, de bonheur ultime. En une seconde, moi aussi, j’ai envie d’elle et je me mets à la caresser. Mes mains courent sur sa peau et la touche partout. J’ai déjà la bouche sur ses seins qui, j’en suis certain, brûlent de désir. Je les lèche et les suce. Dans mon pantalon, je sens mon sexe qui grossit jusqu’à faire une énorme bosse. Lisa pose une main dessus, le presse un peu, et mon manche grossit encore, devient plus long, plus gros, plus dur et plus exigeant. Mes mains descendent sur le ventre de Lisa et cherchent sa fente. Lisa s’écarte vivement de moi et me dit :

" Un peu de patience... Ce n’est pas encore l’heure... Viens manger, assois-toi. "

Un peu dépité, je m’assois. Je ne sais quoi dire. Toutes mes pensées sont orientées vers le sexe. Vers le mien qui me rappelle constamment qu’il existe, qu’il est énorme et tendu, qu’il voudrait qu’on s’occupe de lui. Vers Lisa dont les seins qui se balancent devant moi m’affolent, vers son minou que je devine chaud, mouillé, fébrile et accueillant.

L’atmosphère romantique et sensuelle que crée la lumière rougeoyante du feu, les ombres qui dansent augmentent mon désir. Mon excitation monte, menaçant de m’emporter. J’ai besoin de son corps, je la désire, elle le lit dans mes yeux....

Lisa sert des asperges à la crème, s’assoit face à moi et les mange avec une évidente lubricité. Elle en prend une , ouvre les lèvres et y introduit le bout, le fait aller et venir dans sa bouche, le ressort, le lèche, le mordille avant de le reprendre dans sa bouche. En même temps, elle fait de petits gémissements, des grognements de plaisir, comme si un orgasme la prenait en suçant. Une autre asperge, le même va et vient évocateur dans la bouche, comme un petit sexe d’homme qu’elle mangerait, et deux gouttes de sauce blanchâtre et crémeuse coulent au coins de ses lèvres. Elle vient vers moi m’embrasse et nos bouches se cherchent encore, s’unissent pendant que nos langues s’emmêlent. Mes mains caressent tout son corps à la recherche de sa chaleur et de son intimité, mais bientôt, elle s’écarte et se replace en face de moi : là, elle flatte ses seins de ses deux mains et en caresse les pointes durcies. En même temps, sa bouche se fait sensuelle, elle passe la langue sur ses lèvres comme une invitation à lécher...

Peu après, elle se lève pour me servir à boire, ses seins dansent sous mes yeux, son bassin ondule sensuellement, elle cambre la poitrine, les seins en avant et ses longs cheveux blonds volent autour d’elle. Ses seins ! ronds, blancs, les pointes dures formant un petit cercle brun sur les mamelons. C’est comme une musique divine ! Tout en remplissant mon verre, sa main passe lentement entre ses jambes et elle soupire de plaisir. Puis sa main touche mon sexe, le caresse à travers le tissu augmentant encore ma tension.

" Qu’il est gros ! Je ne sais pas comment il peut tenir enfermé dans ton caleçon . Il faut le faire sortir, lui donner de la place ! "

Elle défait ma ceinture, ouvre le bouton, baisse le zip.

" Soulève les fesse, aide-moi à le baisser. "

En une seconde je me retrouve le pantalon et le caleçons baissés autour des chevilles, le sexe à l’air, droit, rigide, le bout mouillé par le désir. Lisa se penche, caresse les couilles. Il me semble que je vais exploser. Déjà je suis tout mouillé, de grosses gouttes s’étalent au bout. Mon amour avance un doigt, touche le liquide brillant et d’un mouvement circulaire l’étale sur tout la gland. Mon ventre tressaillit et ce toucher me coupe le souffle. Lisa se penche davantage et sa langue se pose sur le gland, elle embrasse doucement le bout... et m’abandonne là à bander comme un fou, le feu dans le ventre et le désir qui me tord .

Comment rester là immobile devant cette femme nue qui me provoque et m’excite au plus haut point ? Les ombres jouent sur son corps, ses seins sont durs et dressés, je voudrais les prendre dans ma bouche, les envelopper de ma langue, en mordiller les pointes agressives. Je voudrais aussi toucher sa chatte, y enfoncer un doigt, sentir a quel point elle est mouillée, puis, y enfoncer mon sexe qui glisserait si facilement et la remplirait jusqu’au fond et enfin déverser en elle mon amour, répandre ma semence en longues pulsations qui n’en finiraient pas. Mon sexe est devenu énorme tellement il est tendu, et il ne cesse de palpiter ; je ne peux m’empêcher de geindre. Ma main descend sur ma hampe, trois doigts l’enserrent et commencent à aller et venir dessus.

" Attends encore un peu, mon amour, garde-toi pour ta petite esclave d’amour... " 

Je m’arrête, ma respiration est irrégulière, tout mon ventre me brûle. 

" Lisa, maintenant, s’il te plaît, viens ici, viens vite ! "
" Alors c’est le moment du dessert. Je suis certaine que tu vas l’apprécier ! "

A la lueur rougeoyante de la cheminée, je vois Lisa se glisser à quatre pattes sous la table. Que fait-elle, je me dis. Et soudain, je comprends. Un frôlement entre mes jambes, une main saisit mon sexe, l’abaisse et aussitôt je sens une bouche chaude qui l’entoure, qui l’aspire, qui le presse, qui le lèche ou qui le suce. Elle alterne les plaisirs, des coups de langues et ensuite elle lèche toute la longueur, elle accélère le mouvement ou le ralentit, passe la langue sur le bout et sur le frein. Je me laisse faire, offerte à la caresse. Sa bouche quitte mon sexe en feu. C’est déjà fini ? Non, la pointe de sa langue descend toute la longueur de ma hampe et décrit des cercles sur mes bourses, pendant que sa main va et vient sur mon sexe, me donnant un double plaisir . Elle me reprend dans sa bouche et sa chaleur et son humidité me fait presque jouir. Mon extase jaillit en un long gémissement et j’essaie d’enfoncer mon sexe loin dans sa bouche.

" Que c’est bon, continue ! " je luis murmure.

J’aime cette situation : une femme à genoux entre mes jambes, occupée à me donner du plaisir. C’est comme si j’étais au sérail avec mon harem, avec des femmes soumises qui s’activent dans l’ombre en ne pensant qu’à satisfaire les besoins sexuels de leur maître et seigneur. C’est bien un fantasme d’homme, je l’admets volontiers, mais il est drôlement bandant. Et c’est exactement ce que je ressens à cet instant. De nouvelles caresses encore plus fortes viennent m’arracher à mes rêveries de harem : elle a repris ma queue dans la bouche et me lèche d’une langue molle, onctueuse et douce ; la jouissance monte en moi, insidieuse et irrésistible. Un spasme traverse mon ventre et mon sperme chaud jaillit sans retenue dans sa bouche, une éruption puissante et ininterrompue qui me brûle le manche et qui me déchire tout le corps pendant que je ne peux m ‘empêcher de crier violemment.. Lisa boit, avale et suce encore jusqu’à ce que les dernières gouttes gargouillent autour de ses lèvres et coulent même sur ses doigts qui m’enserrent. Quand j’ai enfin fini de couler, elle garde encore mon manche dans sa bouche, avant de le sortir et de le passer sur son visage. Je la devine en train de sourire tout en passant et repassant mon sexe encore dur sur son menton, sur ses joues pour y étaler mon jus crémeux . Je me sens bien, la tension dans mon ventre s’est enfin calmée, je me sens vide, faible, mais tellement bien !

Lisa émerge de sous la table. Le feu est tombé dans la cheminée, les bougies éclairent à peine. Et pourtant, je la vois venir vers moi, l’œil allumé. J’aime la voir ainsi, chaude, amoureuse, cochonne, vicieuse, une bête d’amour. Son visage est luisant, luisant du sperme qu’elle a étalé dessus. Un petit filet blanchâtre et crémeux coule lentement de ses lèvres. Elle revient vers moi, se penche sur ma bouche, m’embrasse goulûment, partageant dans ma bouche le nectar qu’elle vient de boire....

Un bel anniversaire vraiment, d’autant plus que ce que je viens de vous raconter n’était que le début de la soirée !

 
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