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Histoires de Q
11 septembre 2007

Retour de vacances

Quelque chose me tire de mon engourdissement. Je me dis que ce doit être un coup de frein ou un écart du volant.
J'ouvre un œil, mais tout semble normal sur l'autoroute, pas de bouchon, pas de voiture escargot à doubler, rien que la nuit que percent les phares.
C'est alors que je m'aperçois que j'ai été réveillé par une main qui s'est posée sur ma cuisse. La main de Violaine. En même temps, je me rends compte que Violaine, qui doit dormir, s'est effondrée sur mon épaule, comme elle l'aurait fait sur l'épaule de son mari. Persuadé que sa main s'est posée sur ma cuisse par hasard quand Violaine a bougé en dormant, je m'apprête à la saisir doucement pour le reposer sur le siège. Mais juste à cet instant, je sens la main qui remonte rapidement sur ma cuisse et vient se poser sur mon sexe en appuyant légèrement dessus puis en le caressant du bout du doigt !
Aucun doute, ma voisine n'est pas endormie et elle sait très bien ce qu'elle fait…
Je suis néanmoins persuadé qu'elle ne sait pas que José et moi avons changé de place et je me dis qu'elle croit que c'est son mari qu'elle caresse et qu'elle va arrêter dès qu'elle va se rendre compte de son erreur.
Le bruit de sa respiration me dit qu'elle est réveillée. Je tourne la tête vers elle et nos regards se rencontrent. Elle me sourit, me fait un clin d'œil et avec un doigt sur la bouche, me fait signe de me taire. En même temps sa main devient plus insistante sur mon sexe.

Pendant une deux secondes qui me paraissent une éternité je ne sais pas comment réagir. Violaine est mon amie, celle de ma femme, l'épouse de mon meilleur ami. C'est vrai aussi qu'elle est belle et attirante, elle a tout juste 36 ans et elle est dans la gloire de sa féminité. J'avoue avoir parfois eu l'envie passagère et éphémère de "faire des choses" avec elle. Mais ça n'a jamais été plus loin et ces pensées se sont vite estompées. Violaine est une amie, point final. Mais dans cette voiture… cette fois-ci … ce sourire… cette main si doucement envahissante… cette sensation d'être un collégien qui peut cueillir le fruit défendu qu'on lui tend…

J'en suis encore à me demander si je vais… si je ne vais pas… si je dois… si je ne dois pas que la main de Violaine baisse le zip de mon pantalon.
Cette fois, toutes mes inhibitions sont levées. Après tout, c'est elle qui me cherche, je ne suis pas responsable. En plus, Violaine a réveillé mes hormones et je sens mon manche qui durcit entre ses doigts. Tant pis pour elle, tant mieux pour moi, elle veut de la bite, je vais lui en donner.Il serait bête de ne pas se laisser faire et de ne pas profiter occasion aussi inattendue…

Je jette un coup d'œil vers José. Il conduit tranquillement, sans se rendre compte de ce que se passe derrière. Quant à ma femme, elle n'a pas bougé : je la vois de profil arrière, la bouche légèrement entrouverte, les yeux fermés, plongée dans un sommeil profond.
Je glisse mes mains sous la couverture dans laquelle Violaine est enroulée et je les pose sur ses seins. Je les sens à travers le tissu de ses vêtements, doux et fermes à la fois. Violaine a de jolis seins et elle sait que je le sais. Sa tête se fait plus lourde sur mon épaule et elle se redresse et me donne ainsi un meilleur accès. Les pointes sont dures et je les sens rouler sous mes doigts. Je suppose que ça l'excite de se faire peloter alors que son mari est juste devant et pourrait tout voir.
"Une seconde," elle me chuchote et sans faire de bruit, elle soulève sa chemise, puis son soutien gorge qu'elle passe au dessus de ses seins.
Sa poitrine se gonfle de plaisir quand je lui pelote les seins et que je les lui pince. Dans la demi obscurité, je la vois fermer les yeux et se relaxer pendant que mon autre main explore son corps.
En même temps, la main de Violaine me caresse toujours le sexe, le fait durcir et, à travers mon pantalon elle le serre et le masturbe. Je me dis que Violaine a droit aussi à un traitement spécial et, glissant mon autre main sous sa couverture, je commence à lui caresser le minou à travers sa culotte. Elle semble aimer ça, car je la sens se serrer contre moi de plus près encore tout en écartant les jambes.
Violaine s'agite sur son siège, en fait c'est pour écarter sa culotte d'une main et me donner accès à son intimité. Je glisse la main entre les cuisses et avec le pouce j'écarte les lèvres largement. Une délicate odeur musquée me chatouille les sens. Je sens Violaine se cambrer en avant pour s'offrir à mes caresses. Mon doigt plonge lentement d dans sa chatoune, ressort, plonge à nouveau, ressortant tout luisant de cyprine se dirige sur son, clitoris que je masse doucement.Le jus coule sur mes doigts. Faute de pouvoir m'allonger sur Violaine pour la sucer et lui manger la chatte, je me contente de me lécher goulûment l'index. J'adore sucer le jus de femme, son goût et son parfum me rendent fou.
Rapidement, je sens le désir montre chez Violaine. Après deux doigts, j'enfile un troisième et ça commence à être étroit, mais Violaine cambre le dos et écarte davantage les cuisses. En entendant sa respiration quid devient chaotique, je sais qu'elle n'en a plus pour longtemps. Soudain je la sens se contracter avant qu'elle ne soit prise d'un tremblement incoercible. Je vois Violaine, la bouche grande ouverte qui réprime cris et gémissements quand son vagin se contracte autour de mes doigts, les enserre dans des pulsations. Ses mains se serrent sur les miennes, ses ongles se plantent dans ma chair et pendant ce qui me semble être de longues minutes elle reste cambrée et tendue avant de retrouver le calme et de se laisser aller.

A peine a-t-elle fini de jouir que je sens Violaine fouiller dans mon jean pour sortir mon sexe. Elle le prend à pleine main, le serre, puis sa main descend pour soupeser mes couilles et les prendre dans la paume. J e la vois mettre un doigt dans sa bouche et, en me fixant elle le suce un instant, puis, elle revient sur mon sexe, le décalotte et avec son doigt mouillé de salive fait de petits cercles sur le bout. C'est bon et j'ai du mal à m'empêcher de gémir. J'attrape Violaine par la tête et je la pousse vers le bas, en direction de mon sexe, pensant bien qu'il va comprendre.
Une seconde plus tard, ses lèvres chaudes se posent sur mon manche, l'embrassent et ensuite l'enveloppent. Bien décidé à profiter de ce qui m'arrive, je me laisse aller sur le siège et je ferme les yeux, savourant le délice.
La bouche chaude de Violaine est magique. Sans faire de bruit et en remuant à peine - les époux sont dans la voiture ! - Violaine me pipe avec un art remarquable que j'ai encore rarement rencontré chez une femme. Je ne peux m'empêcher de comparer avec ma femme : quand nous baisons, c'est un vrai festival de sexe , mais avec Violaine, si tout est du niveau de ses pipes, ce doit être le super-festival de la baise !

Soudain , tout en conduisant, José se tourne à demi vers moi et dit :
"Tiens, je vois que tu es réveillé. Tu veux reprendre le volant ? "
" Euh !... " C'est tout ce que je trouve à répondre tant je suis surpris.
" Alors quoi ? Je croyais que t'étais réveillé ! "
" Oui… mais non… " Je ne trouve plus mes mots. Surpris en pleine pipe par le mari de la pipeuse ! "Enfin, non… Tu peux continuer à conduire, c'est bien comme ça."
" Ca oui, tu te trouves bien comme ça avec Violaine quasiment couchée sur toi. Je parie que ça te fait de l'effet. Gros veinard je voudrais bien être à ta place !."
Je reste comme pétrifié. Cette fois c'est certain, il nous a vu ! Il sait tout! Mon sang se glace et immédiatement, je débande. En une seconde Violaine n'a plus qu'un petit bout riquiqui dans la bouche… José n'insiste pas et il s'occupe à nouveau de la conduite et de la route. Je me dis qu'après tout il n'a dû rien voir de mal, sauf Vilaine qui dormait, à demi affalée sur moi. (Ca, pour être affalée moi, elle y était puisqu'elle était en train de me pomper le dard !) José a seulement fait une plaisanterie, mais elle est tombée au mauvais moment.
Je finis par me calmer, et ma peur disparaît. Violaine tente de me faire revenir en forme, elle me suce et me lèche, amis il n'y a rien à faire ; elle n'a plus qu'un vermisseau entre les lèvres. Doucement je lui écarte la tête et l'oblige à arrêter la pipe - ou plutôt la tentative de pipe !
"Désolé ; il m'a coupé les effets " je lui chuchote.
"Pas grave. Plus tard," elle me répond dans le creux de l'oreille. Sans trop oser bouger, pour ne pas attirer l'attention de son mari, elle se relève et reprend une position plus en rapport avec l'amitié confiante (mais sans rien d'autre) qui nous lie.
Je suis certain que c'est fini et qu'il ne passera plus rien d'ici à ce qu'on arrive. Effectivement, je ne tarde pas à retomber dans la demi somnolence de laquelle Violaine m'avait tiré si agréablement.


C'est un coup de frein qui me réveille. Le feu vient de passer au rouge. J'entrouvre un œil et je reconnais où nous sommes. Nous entrons en ville. Encore deux ou trois minutes et nous serons arrivés.
Effectivement, peu après nous voici devant notre maison. Je descends ouvrir la grille pendant que les dames se réveillent lentement.
En quelques minutes, nous sommes dans la maison, la voiture est à demi déchargée et chaque couple se dirige vers sa chambre, impatient d'aller se coucher. Un coup d'oeil sur ma montre me dit qu'il est un peu plus une heure du matin.

Ma femme ne tarde pas à se mettre au lit. Ayant ma petite idée derrière la tête, je traîne un peu et je finis pas lui dire que je n'ai pas sommeil puisque je viens de prendre un acompte dans la voiture, et que je vais aller prendre un verre et peut-être faire quelques pas dehors en attendant que le sommeil me revienne. J'ai à peine fini de lui expliquer ça qu'elle est déjà profondément endormie…

Je descends l'escalier et je vais voir ce qu'il y a à boire. J e déniche une bouteille de whisky et je vais dans la cuisine chercher des glaçons.
Entendant quelqu'un arriver, je me retourne et je vois Violaine.
" Chut, " elle me fait, "José est là haut, mais il dort déjà. "
"Ma femme aussi, elle est tombée dans le lit comme une bûche."
" Alors il n'y a plus que nous à être encore éveillés," remarque-t-elle avec un sourire qui laisse bien des choses.
Et aussitôt, elle ajoute,
"Tu sais, tout à l'heure, je n'ai pas pu résister. Tu ne m'en veux pas ? Et ça faisait longtemps que … mais je ne savais pas comment commencer. Et là, c'est venu tout seul, naturellement, pour ainsi dire. "
"Ce serait idiot de ma part de te le reprocher. C'était une surprise, mais une surprise agréable ! Ce serait si merveilleux, si elle se renouvelait de temps à autre," je réponds en m'approchant de Violaine et en déposant un long baiser dans son cou.

En réponse, Violaine s'active sur la ceinture de mon pantalon pour l'ouvrir et elle me chuchote à l'oreille ;
"Léve-toi, je veux la prendre dans ma bouche et cette fois je vais te faire juter, fais-moi confiance."
Je me lève, et en un tour de main je baisse le pantalon, le caleçon; la chemise ne tarde pas à voler dans un coin de la pièce et je reste nu devant elle.
" Ummmh ! Exactement ce qu'il me faut," dit-elle en regardant mon sexe qui commence à prendre une forme plus intéressante.
Une seconde plus tard, elle est à quatre pattes sur le canapé et je suis debout devant elle. Tenant ma bite qui durcit rapidement, je la lui enfile dans la bouche et je me laisse aller, regardant Violaine s'activer avec ses lèvres suceuses et sa langue habile comme un serpent. Par instants elle me regarde de ses grands yeux marrons et je lui dit que c'est bon, que j'aime ça, qu'elle est une super pipeuse - ce qui est tout à fait vrai. J'accompagne s les mouvements de sa bouche en remuant les hanches lentement pendant qu'elle me suce et qu'elle me lèche. Parfois ses lèvres m'enveloppent en entier, parfais sa langue darde sur mon bout,parfois encore elle me suce les couilles… Ses cheveux châtains encadrent sa figure. J'aime ce spectacle d'une femme en train de sucer son homme, j'aime cette impression de puissance quand, dominant ma partenaire, je possède par la bouche.

Il ne me faut pas longtemps pour que je sente la crème monter, et je dis à Violaine que je vais jouir.
"Oui, vas-y, jouis pour moi, jute sur moi, partout. "
Brutalement, je pousse un cri de plaisir et mon liquide jaillit, gicle dans sa boucher en longs jets chauds. Je me dépêche de sortir ma bite jaillissante et de finir de juter sur ses seins. Quand c'est fini, je prends ma bite à la main et j'étale soigneusement le foutre épais et collant sur toute sa poitrine. Violaine me regarde faire avec un air d'intense satisfaction.
"J'aime le foutre, tu sais, j'aime en être couverte, j'aime quand plusieurs hommes giclent sur moi." me confie-t-elle. "J'aime voir les hommes m'utiliser comme vide couilles… Tu ne peux pas savoir comme c'est jouissif de sentir le foutre chaud … Tout à l'heure dans la voiture tu n'as pas pu, mais cette fois, tu m'a gâtée. Merci. "
Je lui réponds :
"Attends, on n'a pas fini ! Je vais te gâter encore. Mets-toi debout. Appuie-toi contre le mur si tu veux pour une petite gâterie."
"Pourquoi ? "
"Je veux te manger, te manger le chat comme on te l'a jamais mangé encore ! "

Pas la peine de lui faire un dessin, Violaine se cale contre le mur, les jambes bien écartées et je me mets à genoux devant elle. Je commence par l'embrasser sur les cuisses et je remonte vers son ventre et je promène mon doigt autour de son minou.
" T'as une joli petit chat, je l'adore …"
Ma langue parvient enfin au bord de sa fente et je la lèche sur toute sa longueur. En remontant, tout en haut, je trouve son bouton, rose et dur et ma langue presse sur cet endroit ultra sensible. Violaine pousse un gémissement. Un doigt s'enfile dans sa chatte, tout droit pour commencer puis recourbé pour bien la remplir sans que je cesse de lui sucer le clitoris. En moins d'une minute, Violaine se met à mouiller et à couler et j'en ai plein la figure.

J'adore manger une femme, je pourrais faire ça à longueur de journée tellement ça me plait !

Je la mange, je la suce, je l'enfile, je la lèche, sur les lèvres, dans la chatte, sur le clito, avec de petits coups de langue vifs, avec de grandes léchouilles, plein de douceur sensuelle ou plein de furie sexuelle…
" Tu sais manger une chatte " fait-elle en haletant.
En même temps, elle m'a saisi la tête à deux mains et me la pousse contre son ventre et je sens bien qu'elle est toute proche.
" Oui… suce plus fort… je… je vais jouir… " râle-t-elle, en levant les hanches vers ma figure.
Soudain elle se contracte, et, poussant un cri aigu, elle jouit de tout on corps et je sens son orgasme la balayer…

Avec un pareil spectacle, quand je me relève, je bande ultra dur à nouveau. Je lui caresse doucement les fesses en lui disant :
"J'ai envie de toi… " et comme je veux me donner un maximum de plaisir, j'ajoute : "Je vais te prendre en levrette." Violaine est tout de suite d'accord et elle se met en position sur la canapé pendant que j'enfile une capote.
Debout derrière elle, je presse ma bite dure sur sa chatte mouillée, et poussant doucement, j'ouvre la fente et je m'y introduis.
"Oui, c'est bon," je grogne, en sentant sa chatte chaude m'envelopper. . Et Violaine partage mon point de vue.
"T'es gros et t'es chaud… Prends-moi fort."
Non pas tout de suite! Je vais et je viens lentement , sans la pénétrer à fond, juste le temps de chauffer Violaine et de l'exciter plus à fond et c'est seulement après deux ou trois minutes que je m'enfonce tout au fond de son petit trou tout chaud et que je prends de la vitesse. Je sens Violaine me répondre en poussant les fesses contre moi au même rythme. Puis, je passe une main devant elle, et je glisse un doigt entre ses replis pour lui caresser le clito. Violaine grogne et gémit de plus en plus fort et elle me dit de la baiser plus vite. Je commence à la pistonner, mes couilles claquent sur ses fesses et je sens rapidement ma tension augmenter et mes couilles prêtes à éclater. Encore plus vite, encore plus à fond, nous baisons comme des bêtes en chaleur et j'ai des sensations intenses et par dessus tout, cette pression énorme dans mes couilles qui s'apprêtent à lâcher la sauce.
Pour relâcher un peu cette pression et pouvoir durer un peu plus longtemps, je décide de changer de position. Je sors et je dis à Violaine de se mettre sur le dos. Je me place entres se jambes, elle les lève et les pose sur mes épaules. Sa chatte me paraît encore plus serrée qu'elle ne l'est et je la pistonne dans cette position.
" Ouiii , baise-moi… vas-y… " gémit Violaine, "fais-moi jouir avec toi…"
Cette fois, elle va en avoir ! Je la baise fort et vite, clac… clac… clac… et Violaine n'arrête plus de crier. Je la sens m'attraper la base de la bite et la serrer. Ca me fait un effet fantastique et à nouveau, je sens le foutre bouillonner en moi. Violaine est complètement déchaînée, elle crie, elle se tord dans tous les sens et elle explose finalement avec un grand cri. 'Bien en même temps', je me dis et moi aussi j'orgasme, et je remplis la capote de longues giclées. Je grogne comme une bête et je spasme de tout mon corps tout en jouissant. Ca n'en finit pas je continue à baiser Violaine qui crie elle aussi en prolongeant sa jouissance. J'ai l'impression que ça doit durer une minute jusqu'à ce qu'elle redescende.
Epuisés, nous roulons sur le canapé. Mon cœur bat la chamade et il me faut un peu de temps pour que ma respiration redevienne plus normale.

Nous nous couvrons de petits baisers mais tout a une fin…

Nous nous rhabillons en silence et nous nous embrassons encore longuement avant de nous séparer, un peu gênés l'un comme l'autre d'être passés du stade d'amis à celui d'amants - et pire encore, d'amants qui trompent époux et épouses. Il faudra nous y faire… Nous nous y ferons, j'en suis certain car j'espère bien que ça ne restera pas simplement un souvenir - merveilleux mais unique…Non, il faudra que … on verra… peut-être même qu'on pourrait essayer de faire participer nos époux et épouses… A quatre, ça ne doit pas être mal non plus…Entre amis, on peut bien se donner quelques petits plaisirs, non ?

Note de l'auteur : Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à la condition expresse de mentionner dans ces pages web le nom de l'auteur : Hornyboy, et l'adresse du blog : http://www.histoiresdeq.canalblog.com

Je roule à une bonne vitesse constante et les kilomètres défilent, mais l'autoroute me semble interminable et la lassitude me gagne. Nous sommes partis de bonne heure ce matin et j'ai conduit la plus grande partie de la journée. La nuit est tombée depuis longtemps et je sais qu'il faut encore deux heures ou plus pour rentrer à la maison. Les amis, avec qui nous sommes partis en vacances, doivent coucher chez nous ce soir avant de reprendre leur route demain matin pour renter chez eux.
Oui, je me sens fatigué et je crois qu'il serait plus prudent que je m'arrête et qu'on change de conducteur. Un accident est si vite arrivé quand on n'est pas en forme, surtout qu'il y a encore pas mal de circulation malgré l'heure tardive. Mes passagers ont l'air endormis.A côté de moi, ma femme, Clarisse, la tête calée sur l'appui-tête dort profondément. Un coup d'oeil dans le rétroviseur me montre José qui somnole à moitié, et sa femme, Violaine qui dort sur son épaule, enveloppée dans une couverture. Je m'engage dans la première aire de stationnement que je rencontre. Le bruit qu moteur qui ralentit éveille José complètement
" Tu y'arrêtes ? Tu prends de l'essence ou bien y a un problème ? "
" Non, rien, seulement que je suis fatigué. Peux-tu reprendre un peu le volant ?" je lui dis à voix basse, ne voulant pas risquer de réveiller les dames.
" Bien sûr. "
J'arrête la voiture et je descends de la voiture. Ca me fait du bien de m'étirer un peu et de faire quelques pas. Sur le siège arrière José repousse doucement la tête de sa femme pour pouvoir se dégager, sort à son tour, fait deux ou trois pas pour respirer l'air frais de la nuit et il prend ma place au volant. Quant à moi, je m'installe derrière à côté de Violaine. La voiture redémarre, sort de l'aire de stationnement. Les deux femmes ne se sont même pas réveillées. Une fois sur l'autoroute, le ronronnement régulier du moteur ne tarde pas à me faire sombrer dans un demi sommeil.

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Ouch ! ça promet d'être chaud  et de compléter joyeusement les Histoires de Q !

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