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Histoires de Q
6 décembre 2006

Clémence, épiosde 3

Episode 3:
Randonnée en montagne

Sans pudeur mas aussi sans ostentation, Clémence raconte des moments de sa vie intime. Les épisodes de la série (environ 2500à 3000 mots chacun) peuvent être lus indépendamment les uns des autres, mais ils sont conçus pour former un tout.

Le chemin se fait plus raide à travers les rochers et le groupe de randonneurs commence à s'étirer. Comme je ne suis pas une très bonne marcheuse, je suis déjà à la queue en compagnie de Mathis qui reste à côté de moi. Je crois qu'il y a encore une ou deux personnes derrière nous. Le reste du groupe a disparu devant nous depuis longtemps et nous essayons de presser le pas pour le rattraper. Soudain , nous arrivons à un embranchement. Un chemin part à droite et l'autre à gauche. Lequel prendre?
"Sors ta carte, qu'on regarde un peu", je dis à Mathis.
Il fouille dans son sac à dos et finit par me dire qu'il ne la trouve pas et qu'il a dû l'oublier. C'est alors qu'arrive Lilian, qui nous annonce qu'il est le dernier du groupe. Il a une trentaine d'années et je le connais à peine. Lui non plus n'a pas de carte. Nous discutons et le ton monte rapidement. C'est plutôt rare car Mathis est d'humeur assez calme et je l'ai rarement vu se mettre en colère. Mais cette fois, ça claque !
"C'est de ta faute, si tu avais emporté la carte ! Je te l'avais pourtant dit hier soir ",je le lui lance.
"Et toi si tu te magnais un peu plus le cul, on n'aurait pas été les derniers."
"Ca va être de ma faute si t'es toujours à la bourre. Qu'est-ce qui a dû s'arrêter pour refaire son sac qui était mal chargé ? Moi peut-être ?" je réplique.
Ca continue comme ça pendant une minute ou deux et finalement Lilian nous met d'accord en nous faisant remarquer que la direction générale de la rando est plein Est, et que le chemin de droite va vers l'Ouest alors que celui de gauche est au Nord-est. Ca semble donc logique de prendre celui-ci.
Nous avançons une bonne demi-heure tout en continuant à échanger des mots aigres-doux et toujours personne. A la fin le chemin devient un petit sentier envahi d'herbes et il est clair que personne n'est passé par ici depuis des jours. Il faut donc faire demi tour. Comme il est près de midi, je propose qu'on en profite pour déjeuner.
Bien installé à l'ombre des sapins, nous tirons nos paquets du sac, et bientôt la discussion de plus belle reprend sur les responsabilités.
"T'es vraiment nul, je t'avais dit de prendre la carte."
"Madame se croit plus intelligente que les autres.
"Et puis quelle idée de prendre le chemin de gauche. On a été con de t'écouter" , j'envoie à Lilian, qui commence aussi à m'échauffer les oreilles.
"Tu préférais écouter ta pétasse de copine ?", lance Lilian.
"La pétasse, elle t'emmerde !" je lui réplique vertement.
"Dis donc, ma jolie, t'es bien énervée."
Puis se tournant vers Mathis : "Ta copine, elle aurait besoin d'un bon coup de bite pour la calme."
"C'est bien un truc de mecs. Ils croient tous qu'un coup de queue va tout régler. Ils ne pensent qu'à ça !"
"Toi, t'es une chieuse. Tu ne disais pas ça la dernière fois où on a baisé ensemble !"
"Manquait plus que tu la ramènes, Mathis, espèce d'obsédé sexuel ! Y a en marre de vous, les gars, je vais repartir seule, ça sera plus sympa que de voir vos gueules !"
J'ai aussitôt l'impression d'être allée trop loin, mais c'est trop tard. C'est vrai que depuis tout à l'heure, j'ai plutôt asticoté les deux gars, mais ils l'ont bien cherché.
"Tu veux te tirer ? Je voudrais voir ça ! " s'écrie Mathis en se jetant sur moi de tout son poids et en me bloquant les bras par les poignets.
Lilian s'approche de nous, peut-être pour me défendre au cas où Mathis me ferait vraiment mal. J'essaie de bouger et de me libérer, je crie, je donne des coups de pieds.
"Tiens-lui les jambes " crie-t-il à Lilian. " Allez, vas-y ! "
Ils réussissent à me tenir immobile et je reste allongée sur le sol, haletante, mais je ne me tais pas :
"Fichez-moi la paix, lâchez-moi, Toi Lilian, j'te connais même pas, alors fous-moi la paix. Et toi, tu n'as toujours été qu'un sale petit con ! T'étais moins fier quand tu étais le P'tit Couillu !"
Je sais bien que ça va le faire explose, mais tant pis. Il déteste vraiment qu'on l'appelle comme ça. C'était le surnom qu'on lui vait donné à l'école et je suppose que ça lui rappelle de mauvais souvenirs d'enfance. C'est la pire injure qu'on puisse lui faire, mais je me dis qu'il l'a bien cherchée.
"P'tit couillu ! " je répète.
Effectivement, il explose ! Voilà qu'il me bloque les bras sous ses genoux, qu'il sort ma chemise de mon jean et la remonte, dénudant ainsi ma poitrine.
"Enlève-lui son soutien gorge " ordonne-t-il à Lilian.
"Hein ? Quoi?"
"Enlève-lui le soutif, j'te dis" insiste-t-il.
"Tu crois que… "
"Vas-y. Elle a besoin d'une bonne leçon et on va lui donner. On va la mettre à poil !"
"Non, Mathis, non ! " je crie.
"Vas-y, Lilian." insiste Mathis.
Lilian hésite une seconde puis il soulève le bas de mon soutien gorge et le remonte jusque sous mon cou.
Je commence à prendre peur, j'ai beau me débattre, ils me tiennent bien et malgré tous mes efforts, ils baisent mon jean.
"Le slip, maintenant ! Soulève-lui les reins… descend-le, je la tiens bien."
En quelques secondes, je suis complètement exposée à leur regard, le soutien gorge remonté, les seins à l'air, les jambes a demi écartées.
"Tu me paieras ça, Mathis!" je lance, "Laisse-moi partir, ça suffit."
"Bon d'accord. Que ça te serve de leçon !"
Est-ce que c'est vraiment ce qu'il a prévu de faire ? M'humilier devant un quasi inconnu et arrêter là ? Ou a-t-il décidé d'aller plus loin ?

Epuisée, je ne me débats plus. Et même quand les deux hommes lâchent leur prise, je reste allongée, immobile. Nous sommes tous silencieux, on n'entend que ma respiration haletante. C'est Lilian qui remarque soudain :
"T'as vu elle a les pointes des seins qui se dressent."
"C'est vrai... Elle doit aimer ça qu'on la force un peu ! Ca lui fait de l'effet."
Ils me regardent de plus près et je suis livrée à leur regard lubrique. Je me sens tellement faible et vulnérable que je ne pense même pas à me protéger en posant mes mains sur mon bas ventre ou sur ma poitrine.
Lilian pousse un sifflement d'appréciation et dit :
"Pas mal", en me détaillant sans oublier la moindre parcelle de mon corps. "Je parierais qu'elle mouille."
Encore une seconde ou deux pendant lesquelles nous restons immobiles, tous les trois et soudain, tout bascule.
Mathis tend la main vers moi et pose un doigt sur le bout d'un de mes seins et il se met à jouer un peu avec. Je gémis, pas de plaisir, je peux le garantir, mais je ne peux pas bouger et tenter de balayer cette main d'un revers de bras. Ce serait si facile, mais, mon esprit est trop paralysé pour réagir et ma main est lourde pour bouger.
Je sais que je pourrais peut-être encore tout arrêter d'un geste ou d'un mot. Je sais aussi comment ces deux hommes vont me prendre contre mon gré si je ne fais rien. Mais je suis complètement paralysée, incapable de parler et de bouger. C'est un peu comme si je m'étais dédoublée, avec une partie de moi qui regarderait froidement et sans intervenir ce qui arrive à l'autre partie de moi. Je regarderais ce pantin inarticulé qui gît sur le sol et que les deux hommes vont violenter. Et je ne peux rien faire !

Mathis continue à jouer avec mes seins, plus sensuellement cette fois, et, il ne leur faut pas longtemps pour que les pointes soient vraiment raides et dures. Il s'exclame que j'ai de beaux seins, ce qui est vrai d'ailleurs, et approchant sa bouche commence à festoyer avec lèvres et bouche pour titiller et tourmenter mes seins et les pointes, donnant même parfois de petits coups de dents. Malgré moi, malgré ma faiblesse et mon état d'abandon, je me mets à apprécier un si doux traitement.

Lilian, qui est resté sur l'expectative, le regard braqué sur mon entre jambes, soudain se penche à son tour vers moi et pose une lèvre sur ma cuisse avant qu'elle ne remonte lentement vers mon sexe.

"Suce-moi !" m'ordonne soudain Mathis en présentant sa bite devant ma bouche. Comme je ne réagis pas assez vite, il réitère son ordre et pousse sa bite entre mes lèvres. Mais je comprend pas véritablement ce qu'il veut et je ne réagis toujours pas. Mathis me donne un coup, une gifle, pas très forte, mais suffisante pour me réveiller et mécaniquement, instinctivement, j'ouvre la bouche et j'avale le gros gland.
"Suce maintenant !" dit-il en m'attrapant impatiemment la tête et en la poussant contre son ventre. Je sens sa bite grossir et palpiter sous ma langue et je commence à aller et venir sur le manche .
"Oui, c'est ça, pompe-moi le dard… Tu t'y mets bien… Pompe encore."

En même temps, Lilian me caresse la fente avec un doigt, le fait aller et venir de nombreuses fois avant de laisser ce doigt chercher à l'ouvrir, s'y introduire et s'enfoncer loin dans mon trou chaud et humide. Puis il ressort son doigt et cette fois, il en met deux. Il explore soigneusement l'intérieur de ma chatte avant de se mettre à ma branler le trou, dedans, dehors, dedans, dehors et encore. Quand il s'arrête et ressort ses doigts gluants de cyprine j'ai comme une sensation de manque, le manque de quelque chose d'agréable.
J'entrevois Lilian qui baisse son jean et sort son membre. Il bande tellement qu'il a du mal, d'autant plus que sa queue est particulièrement grosse, longue et épaisse. Et quand elle jaillit, elle se dresse, énorme, violacée, raide, menaçante.
Il passe un doigt sur ma toison blonde et siffle entre ses dents:
"Relaxe-toi, je vais te baiser comme jamais."
"Non, pas ça, s'il te plait, pas ça!" je me force à dire faiblement, mais sans conviction.
"Mais si, tu vas aimer ça, une grosse bite qui te défonce la chatte !" reprend-il crûment. "Tu en as de la chance, aujourd'hui on est deux à s'occuper de toi. "
Je suis comme hypnotisée par la taille se sa bite. Ne n'avait jamais imaginé qu'il put en exister d'aussi grosses et d'aussi longues. Il m'écarte les jambes le plus possible, se couche à demi sur moi et, d'une main, guide son énorme truc sur l'entrée de mon vagin.

Je finis par trouver un certain plaisir à pomper Mathis. Sa queue est douce et chaude, raide et flexible à la fois, son odeur d'homme et son goût salé me grisent et j'oublie où je suis et comment il m'a prise malgré moi.
Une main sur les couilles, Je embrasse sa belle bite, la lèche, la suce, la touche, l'explore, la pompe aussi. Mmmmmh, c'est bon !
Je l'avale aussi loin que je peux et alors commencent des va et vient profonds et lents. Je descends sur ses couilles rondes et pleines, je joue avec puis je remonte sur la queue dure et droite. A nouveau sur le gland si doux, si chaud et ma langue l'entoure et en titille le bout.En même temps d'une main, je lui branle le manche et Mathis gémit longuement en enfonçant sa bite loin dan ma bouche.

Je suis comme hypnotisée par la bite que j'ai entre les cuisses, qui cherche à me pénétrer, et dont le gland finit pas ne nicher à l'entrée de ma chatte qui dégouline de jus. La taille de cette bite, plus grosse que mon poignet n'est pas être insurmontable car, d'un seul coup de reins un peu appuyé, Lilian m'empale, et en un ou deux coups, il me remplit totalement.. Ca me fait mal au début quand ma pauvre chatte distendue doit s'étirer assez pour recevoir l'énorme paquet. Mais en quelques secondes ça va mieux et finalement je n'ai guère eu le temps d'avoir vraiment mal, malgré la façon dont ma chatte est tendue et gonflée. Je sens que j'ai un gros ventre ; comme si j'étais enceinte de six ou sept mois ! Ce n'est peut-être pas la bite la plus longue du monde, mais c'est sûrement une des plus grosses !
J'ai l'impression que tous les organes vont éclater quand il s'enfonce et qu'ils vont rejaillir de moi tant je me sens pleine. D'un seul coup, je me mets à jouir. Ca ne m'était encore jamais arrivé si vite, mais là c'est une baise complètement différente. Me voyant jouir, Lilian me fait un grand sourire et continue à me remplir le ventre, en excitant toute ma chatte autant que cela est possible.

Il me baise à grands coups et les sensations ont si fortes que je crie à chaque fois qu'il entre et je jouis encore, et encore…

Puis, Lilian me dit qu'il veut changer de position et me prendre par derrière en levrette. Il me fait mettre debout, les jambes écartées, le buste en avant, appuyée sur un rocher, et immédiatement, il me pénètre à nouveau. Cette fois, sa bite monstrueuse entre sans mal tant il m'a dilatée, et à nouveau, c'est le bonheur, surtout que maintenant je sens sa bite qui va encore plus loin et plus profond qu'avant.
Je perds la tête dans ma jouissance à répétition. Toute ce qui m'intéresse à ce moment, c'est cette énorme bite qui me prend, qui me remplit et qui me donne tant de plaisir. Le reste n'existe plus. Tout ce que je veux c'est qu'il me baise, encore, toujours.
"Baise-moi fort ", je lui crie, "Baise moi avec ta grosse bite de salaud."

C'est alors que j'entends Mathis s'exclamer soudain :
" Ahhh ! Je vais jouir… Ca vient… ! Je veux te voir avaler mon foutre. J'adore regarder quand la fille étouffe à moitié en avalant des litres de foutre et que ça lui rejaillit de la bouche, que ça lui dégouline sur le menton… "
Ca me rappelle que Mathis est entrain de s'occuper de ma bouche. Je l'avis un peu oublié tant mon esprit était fixé sur ma chatte.Et presque immédiatement Mathis pousse un cri. Sa bite tressaille dans ma bouche et il se met à gicler sa sauce. Ca me semble intarissable et j'avale ce que je peux, j'en recrache autant, et comme il l'avait dit, ça ressort par le coin des lèvres et ça coule en filet gluants sur mon menton et mes joues.
"T'as aimé ça, hein ? " me fait-il avant de sortir sa bite. Oui, j'aimé et je la retiens une seconde pour pouvoir lui donner un dernier baiser sur le gland encore palpitant.

Lilian ramène ma pensée vers lui quand je sens sa bite de mammouth qui étire ma chatte, l'envahit et la remplit jusqu'au fond de mon ventre. Lilian me regarde pendant qu'il me pilonne et doit voir dans mes yeux des éclairs de plaisir.
Je sens la toison poilue de Lilian qui frotte sur mon clitoris engorgé et. avant même de me rendre compte de ce que je fais, mes hanches se mettent à onduler au rythme des coups que m'inflige l'énorme pieu durci et je mets à flotter entre terreur et bonheur, entre douleur et plaisir. Il y a quelque chose de si érotique à se faire baiser sur un chemin par un quasi inconnu. Du coup, une vague de plaisir me submerge et je ne peux m'empêcher de crier que c'est bon. Lilian est trop satisfait du compliment pour s'arrêter en si bonne voie et il m'enfonce sa bite loin au fond de moi en longs coups puissants qui s'enfoncent bien à fond, jusqu'à ce que ses couilles claquent sur moi. En même temps, son pouce glisse sur mon clitoris gonflé. Il n'en faut pas plus pour que mes lèvres laissent échapper de nouveaux gémissements et que mon corps tressaille dans l'extase orgasmique. J'entends ma propre bouche crier mon plaisir, je sens mon corps trembler puis se contracter avant de se détendre. C'est une cascade d'orgasmes qui me prend et me laisse pantelante au moment où Lilian se finit dans moi, avec cinq ou six coups plus forts de son énorme engin et gicle en longs jets interminables, bouillants et puissants dans ma chatte ouverte et défoncée qui tressaille encore de mes orgasmes répétés.

Mathis et Lilian se relèvent, satisfaits d'avoir vidé leurs couilles. Voilà, c'est fini. Ils en ont fini avec moi.
Les deux hommes restent là, évitant mon regard, immobiles, ne sachant que faire ou quoi dire. Ils se rhabillent lentement. Je me lève et je m'éloigne de quelques pas pour m'isoler un peu d'eux. Avec un mouchoir, je fais un minimum de toilette, essuyant la sauce qu'ils ont crachée sur moi et je me rhabille. Là bas les deux hommes ont l'air gênés et mal à l'aise. Il va falloir qu'ils s'expliquent, qu'ils me parlent Et moi, que vais-je leur dire ? Qu'ils m'ont donné beaucoup de plaisir et que j'ai bien joui ? Et si c'était à refaire, comment est-ce que je réagirais ? Est-ce que je regrette véritablement ce qui m'est arrivé ? Ou ne serait-ce pas que je regrette que ce soit déjà terminé et qu'ils ne m'aient pas prise un fois de plus ? Je ne sais plus…

Note de l'auteur : Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à la condition expresse de mentionner dans ces pages web le nom de l'auteur : Hornyboy, et l'adresse du blog : http://www.histoiresdeq.canalblog.com

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Ouch ! ça promet d'être chaud  et de compléter joyeusement les Histoires de Q !

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