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Histoires de Q
29 novembre 2006

Tel est pris qui croyait prendre

Mon ex a fait de moi une salope et je suis bien contente de l’avoir quittée. Bon, ça ne veut pas dire que je suis aussi toute blanche, car si j’ai du me plier à ses désirs peu conventionnels j’ai aussi trop facilement accepté de me prêter à ses petits jeux. Mais maintenant que je l’ai plaqué j’essaie de mener une vie plus " classique " avec mon nouveau mari.

J’ai rencontré Alexandre - c’est le nom de mon ex - à l’âge de vingt ans. Il m’a plu et nous nous sommes rapidement mis ensemble. Notre vie sexuelle n’était pas toujours satisfaisante pour moi, Alexandre n’étant pas un champion au lit. Souvent ce n’étaient que quelques caresses rapides, puis il montait sur moi , s’agitait quelques minutes sur mon ventre avant d'éjaculer et se retirer satisfait de lui!
Puis, après quelques mois, il a commencé à me demander d’allumer les autres hommes, de les provoquer. Il n’arrêtait pas de m’inciter à montrer les jambes ou ma poitrine. Sur la plage, en été, il en profitait pour m’exhiber en exigeant de moi que je reste les seins nus avec seulement un petit maillot qui ne cachait pas grand chose. Bien entendu, tous les hommes autour de nous n’avaient d’yeux que pour moi et me mataient comme des cochons. J’étais extrêmement gênée, mais lui, n’hésitait pas à me faire écarter les jambes pour mieux me passer de l’huile solaire, par exemple. Mais je n’avais pas été longue à constater que le potentiel sexuel d’Alexandre s’améliorait nettement les jours où il m’avait vue m’exhiber. Avoir fait le voyeur, avoir vu des hommes tourner autour de moi lui donnait une énergie et une vigueur nouvelles le soir même. Ceci fait que j’ai peu à peu changé d’attitude : au début je n’aimais pas me montrer comme lui il le voulait; mais, lentement, je me suis mise à l’accepter et, parfois même à le souhaiter, sachant qu’Alexandre allait apprécier et me combler au lit en devenant un amant de choix.

Il me demandait sans cesse d’en faire plus. Il aimait m’emmener en boite, habillée d’un robe moulante ultra courte qui s’arrêtait juste au dessous des fesse et il m’encourageait à danser avec des hommes de manière suggestive. Evidemment ceux-ci me pelotaient lourdement et Alexandre en semblait ravi et me poussait à plus encore, ou même l’exigeait. " Frotte-toi le ventre sur eux jusqu’à ce qu’ils bandent " m’avait-il dit, par exemple. Je l’ai fait . Je sentais la bite de mon partenaire collée contre moi et plus je me frottais contre elle, plus elle grossissait. Une fois, pendant que je lui faisais du rentre dedans, j’ai senti l’homme se contracter et il a joui dans son pantalon! Une fois ensemble, Alexandre exigeait alors que je lui raconte tout et que je donne le maximum de détails. Pour lui, c’était le bonheur ! Et le soir, en rentrant de la boite, c’était à mon tour d’être ravie. Il devenait un amant exceptionnel dont les mains, la langue et la queue m’envoyaient au paradis.

Il lui arrivait d’inviter des copains à la maison, presque uniquement des célibataires hommes. Il adorait les voir me toucher, me passer la main sur les fesses. Ca le faisait bander de savoir qu’ils bandaient à cause de moi ! Ces soirs là, Alexandre me demandait de mettre des vêtements particulièrement aguichants qui ne cachaient pas grand chose de mon anatomie: une fois c’était une sorte de chemise à moitié transparente, on voyait mes seins danser à chaque pas que je faisais, et une petite jupe courte, à ras de la moule si bien que, à chaque fois que je me baissais, j’avais les fesses à l’air, tant ma culotte était microscopique. Et les garçons étaient là vautrés sur le canapé avec Alexandre, occupés à boire de la bière et à s’échauffer la queue en me matant. Si seulement ils n’avaient fait que ça ! Mes seins, mes fesses et mon minou, ils les touchaient, les caressaient à chaque instant. Chaque fois qu’ils en avaient l’occasion, ils me faisaient asseoir sur leurs genoux pour m’embrasser. Parfois, Alexandre me demandait de danser devant ses amis, ce que je devais faire le plus suggestivement possible, en faisant aller et venir mes hanches comme si je baisais. Et alors il leur disait quelque chose comme :

- Elle vous plaît, hein ? Vous aimeriez bien la baiser... Si vous saviez comme sa langue est douce et chatte est chaude...

Je me souviens d’une autre fois. Nous étions sur l’autoroute, il m’avait convaincue de me mettre nue ou presque dans la voiture et de me caresser le minou pendant qu’il conduisait. Son petit jeu consistait à doubler lentement les camions, en restant le plus longtemps possible à la hauteur des cabines. Les camionneurs ne tardaient pas à repérer ce qui se passait et il fallait les voir, la tête penchée par la fenêtre du camion, plus occupés à me regarder me masturber qu’à conduire leur véhicule ! Ils semblaient apprécier le spectacle et me saluaient de grands coups de klaxon ! D’ailleurs, une fois, ça a failli mal tourner : mon exhibition, ce jour là, était particulièrement cochonne et alors que nous venions juste de finir de doubler un camion, Alexandre avait quitté l’autoroute pour s’engager dans une aire de repos. Nous étions à peine stationnés que le même camion s’arrêtait derrière nous. Deux hommes en descendirent et s’approchèrent de notre voiture. J’ai tout juste eu le temps de rabattre mon tee-shirt, mais j’avais encore la chatte à l’air. Donc voilà nos camionneurs qui s’approchent en disant à Alexandre qu’il était avec une belle cochonne et qu’ils allaient me baiser. Ils avaient l’air terriblement excités – ça se comprend après le spectacle que je leur avais donné ! Comme si nous n’avions pas compris ce qu’ils voulaient, l’un d’eux était déjà en train d’ouvrir sa braguette. Alexandre a redémarré sans perdre une seconde, mais je l’avais échappé belle !

***

Un soir, il avait invité trois de ses amis à venir regarder un match de football à la télé. Bien entendu, trois hommes, parmi lesquels Julien. Celui-ci c’était le plus cochon ! La main la plus baladeuse, c’était lui, les remarques les plus graveleuses, c’était lui encore. Il n’arrêtait pas de me suivre dans la maison pour me peloter ou passer la main entre mes jambes en me disant qu’il voulait me sauter.. Remarquez qui, si j’avais été à sa place, j’en aurais certainement fait autant car je me rend bien compte à quel point je jouais l’allumeuse.

Un autre invité était Kevin, que je ne connaissais pas très bien car il venait juste d’entrer dans le cercle des voyeurs. Le troisième ce soir là était Brice. Ah, Brice c’est autre chose ! Un joli garçon au regard troublant qui ne me laissait pas indifférente... A cette époque je n’avais jamais encore trompé Alexandre malgré toutes les occasions qu’il s’ingéniait à me trouver ! Mais, j’avoue que j’aurais facilement succombé pour Brice et ses caresses, ses attouchements me faisaient mouiller !

Donc, j’étais donc de service ce soir là pour nourrir et abreuver ces hommes – les abreuver surtout, car c’est fou ce qu’ils pouvaient boire pendant un match. ! Ca devait leur donner soif de voir les autres courir sur le terrain... Alexandre avait choisi ma tenue pour cette occasion : seulement un tee-shirt taille XL si bien qu’il me servait aussi de robe – pas trop longue !.Quant à l’encolure, elle était tellement grande que mes seins jaillissaient par l’ouverture. Ah ! j’oubliais, j’avais aussi le droit de porter une culotte. Quelle culotte ! Un string tellement serré qu’il me rentrait dans la raie des fesses en les écartant. Autant dire que je n’avais rien sur le derrière ! Le match devait être retransmis à partir de six heures.

A l’heure dite, les trois invités sont là, , mais pas Alexandre. Brice me demande si j’ai quelque chose à boire. J’apporte donc les premières canettes. En me baissant pour les poser sur la table basse devant le canapé, il se passe ce qui devait se passer : mes seins sortent du tee-shirt et se balancent sous les yeux des hommes pendant que, derrière, ils profitent du spectacle de mes fesses. Bon, enfin je passe sur les remarques, et sur les mains baladeuses. C’est alors que le téléphone sonne. C’est Alexandre qui me dit qu’il a un problème urgent au bureau et qu’il rentrera tard pas avant huit ou neuf heures....

J’ai à peine le temps de dire aux trois hommes qu’Alexandre sera en retard que le match de football semble ne plus les intéresser. En moins d’une minute, ils sont autour de moi, comme un essaim d’abeilles, un de chaque côté, un autre à genoux devant moi, et avant que je ne sache ce qui m’arrive ils ont remonté mon tee-shirt sous les bras les voilà qui se mettent à m’embrasser et à me caresser les seins. J’ai beau essayer de me défendre, de crier, de repousser les mains qui m’assaillent, mais rien n’y fait. D’ailleurs, est-ce que j’ai vraiment fait tout ce que je pouvais pour les détourner ? Je n’en suis pas sûre !

Comme j’aurais pu le prévoir, c’est Julien qui, après quelques coups de langue sur les seins, descend rapidement sur mon ventre et sa bouche vient se nicher sur ma chatte, déjà chaude et invitante. Brice a fermé sa bouche sur la mienne et sa langue cherche ma langue. Du coin de l’œil, j’aperçois Kevin en train de se déshabiller... Maintenant j’ai des mains et des bouches sur tout le corps, et ça me plaît bien ! Ca me chatouille partout, ca ma chauffe de partout, surtout entre les jambes et je gémis à n’en plus finir.

Les autres m’embrassent avec passion et jouent avec mes seins. Je sens la langue de Brice contre la mienne, elle s "insinue dans ma bouche, s’enroule autour de la ma langue. Une autre bouche, celle de Kevin est sur mes seins, il les suce ou mordille les mamelons. Les yeux fermés, je gémis de plus en plus, faible, incapable de réagir à tant de plaisirs qui m’assaillent en même temps. C’est tellement intense qu’il me semble que ça n’est pas vrai, que ce n’est qu’un rêve. Il faut que ça continue, que ça dure, longtemps, longtemps, toujours...

Je demande à Brice de me donner sa queue à manger. Elle n’est pas encore vraiment raide, mais je la prends dans ma bouche, le lèche le manche, j’embrasse le bout, je lèche lui les couilles, puis je retourne sur le gland que je mets dans ma bouche tout en le branlant lentement. Sa queue devient plus grosse et plus dure et Brice grogne de plaisir.

Mais il y a aussi les autres garçons qui s’affairent sur moi. Julien s’est installé entre mes cuisses pour me bouffer la chatte. Il m’a écartelée au maximum. Il a le visage collé sur mon ventre, et je sens ma cramouille qui aspire les deux doigts qu’il a enfoncé dedans. Je l’ai senti repousser doucement en arrière le petit capuchon de mon clito et mettre à jour sa petite tête rouge et dure, brillante d’humidité. La langue de Julien lèche mon clito en petits coups vifs et rapides puis, changeant de méthode, elle l’entoure largement pour le sucer. Je ne peux résister à ce traitement d’expert, je creuse le ventre pour mieux l’offrir à Julien.

Kevin me frotte les seins avec sa queue, le bout déjà gluant de lubrifiant passe et repasse sur mes mamelons durs et dressés et je gémis de plus belle, prête à avoir mon premier orgasme.

Je continue de piper Brice pendant que Julien suce mon minou trempé et dégoulinant. Sa langue s’infiltre antre mes lèvres pour me sucer.

Trois hommes en même temps, trois hommes qui cherchent à me faire jouir, je n’avais jamais encore eu ça !

Julien enfonce sa langue loin, plus loin encore et la laisse immobile un long moment, pour que nous puissions savourer la sensation, puis il recommence à entrer et sortir pendant que je l’accompagne avec les mouvements classiques des hanches. Soudain je pousse un cri quand il revient sur mon clito avant de l’abandonner pour enfoncer à nouveau sa langue tendue dans ma cramouille baveuse. De longs gémissements, mon corps tremble et Julien ne cesse pas de me travailler la chatte et le clitoris avec art pour m’envoyer au septième ciel, en s’enfonçant profondément dans ma moule et , boum !, ça y est, j’orgasme, un feu qui me dévore la chatte, des contractions, des secousses, des gémissements, je crie tellement c’est bon ...

Kevin nous regarde, la main sur sa queue et il doit penser qu’il faudrait bien que je m’occupe de lui : il prend mon sein droite dans sa bouche, le mord doucement et suce le mamelon. J’ai sa queue en main et je le branle. J’aime branler un homme. Ca me donne une sensation de puissance, celle de décider quand il va éjaculer si j’accélère ou si je ralentis mes mouvements sur sa queue. Je le branle lentement en le fixant droit dans les yeux, et je vois qu’il apprécie ma caresse. Ma main glisse jusqu’en haut de sa bite, puis redescend jusqu’à la base ; j’en profite pour glisser une caresses sur ces couilles avant de remonter vers le haut.

Pour donner encore plus de plaisir à Kevin, j’abandonne la queue de Brice pour mettre celle de Kevin dans ma bouche et à peine y est-elle, à peine ai-je le temps de le lécher un peu que je le sens trembler et faiblir avant d’envoyer sa charge. Je ferme la bouche pour mieux avaler, et les yeux fermés, je savoure la giclée comme si c’était la meilleure sauce du monde. Puis, quand il a fini, je prends sa queue pour le branler un peu et extraire les dernières gouttes du sirop épais qui monte lentement du méat béant et qui file sur mes doigts.

Brice , que j’ai laissé au bord de l’orgasme, se finit rapidement à la main juste devant moi et jute à son tour, en posant sa queue sur mes lèvres. Le foutre jaillit, épais, chaud, crémeux, des jets abondants sur mes lèvres et sur mon menton, des jets qui remontent jusqu’au front et aux cheveux, et qui ensuite, coulent lentement, dessinant des traînées blanches et grumeleuses sur mes joues ; puis les gouttes tombent sur ma gorge et dévalent sur mes seins. De ma main, j’étale le liquide partout sur ma poitrine, lui donnait une brillance érotique. Ils sont tous les trois à me regarder couverte de foutre et ça les excite vraiment – et moi aussi !

Tout en pipant Brice puis Kevin, j’ai passé mes doigts sur ma chatte, et plongé mes doigts dans mon trou et je me suis branlé le clito. Je suis trempée et toutes les stimulations que je suis en train de recevoir, dans la chatte et dans la bouche, me font jouir à nouveau : les yeux fermés, je tremble, je gémis, je halète avant de pouvoir me contrôler un peu.

Quand j’ai fini de jouir, Julien - qui attendait son tour – ma fait mettre à quatre pattes et me présente sa bite. Qu’elle est longue ! Pas trapue, mais fine comme un lame de couteau, courbée vers l’arrière comme un sabre, le genre de bite qui vous fouaille jusqu’au fond de votre vagin, jusqu’au fond votre ventre. Il s’agenouille derrière moi. Rapidement, il place sa bite entre mes jambes et me pénètre en levrette et se faufile profondément, loin dans moi, là où Alexandre n’est jamais allé. En grognant de plaisir, j’accueille ses poussées enfiévrées qui me procurent des sensations inconnues. Julien est vraiment un amant extraordinaire.

A la fin, en pompant toujours plus, il s’écrase contre moi et envahit mon ventre plus loin encore que je ne pensais qu’il soit possible. Il me semble que sa queue a remonté toute la longueur de mon ventre et touche mon estomac quand nous partageons un orgasme inoubliable : c’est alors qu’éclate son premier jet de foutre, comme du plomb fondu dans mon ventre. Il me brûle, je crie, -non pas de douleur, mais de délice- pendant qu’il continue à me remplir de feu liquide qui se mélange à ma cyprine. Mon orgasme grandit, monte et éclate, comme un ballon gonflé à l’extrême et qui explose d’un seul coup. Après un moment qui me semble très long, mes spasmes cessent, mon corps se détend, s’effondre sur le canapé avant que ma respiration ne se calme. Je suis certaine que j’ai l’air complètement épuisée, mais je suis seulement béate de bonheur.

Nous avons tous bien besoin de repos après la baise que nous nous sommes offerts, surtout mes partenaires :il leur faut le temps de récupérer ! Nous ouvrons les paquets de biscuits à apéritif et les canettes de bière, et vautrés sur le canapé, nous grignotons un peu.

Soudain, j’ai une idée. J’attrape quelques cacahouètes je les jette sur ma poitrine et sur mon ventre, dans ma toison et sur ma moule gluante. Trois bouches gourmandes courent sur moi pour avaler les cacahouètes, pour les récupérer du bout de la langue, surtout celles qui sont coincées entre mes seins, et celles qui sont collées dans mes poils. Il faut pas mal d’efforts à Kevin pour parvenir à extraire une cacahouète qui s'est placée dans mon nombril! Les langues dansent sur mon ventre, et touchent mon clitoris, y reviennent, fouillent mes lèvres, pénètrent dans ma chatte pour déloger les cacahouètes qui s’y sont collées. J’adore ce contact sur ma chatte d’un langue douce qui essaie de ramener une cacahouète dure qui roule dans moi ; la langue insiste, pousse, lèche jusqu’à ce qu’elle me nettoie complètement. Puis Julien a l’idée de m ‘allonger sur la table, de verser de la bière sur mes seins pour la laper. Kevin s’installe entre mes jambes, la bouche à ras de ma chatte ; il attrape la canette , verse le reste de la bière dans mon trou béant et boit ce qui recoule, la bière mêlée de cyprine et de foutre.

Les trois garçons semblent apprécier ces petits jeux et moi aussi, vous pouvez en être certain ! Enfin, ils restent tous allongés avec moi et je les prends dans mes bras pour un moment de calme tendresse.

Peu à peu, la tension sexuelle revient. Nos mains redeviennent plus actives, nos bouches se réveillent, les queues commencent à se redresser et les picotements reviennent dans mes seins et mon ventre.

- J’ai encore envie de vous. J’ai envie de bite...Si on faisait un petit jeu ? je leur dis.

Les réactions semblent partagées, mais je continue.

- Bon, je vous dis une phrase et vous trouvez le mot qui la termine. D’accord ? je commence ... Merdeux comme un ...
-Un cul, lance Julien.
- Bravo, c’est ça. Une autre. Sensuelle comme une..
- Une bite ?
- Ah non, une bite est bandante ou jouissive, mais pas sensuelle. Alors, sensuelle comme ...
- Comme un bouche.
- OK Kevin. Une autre : con comme une ...
- Con comme une bite, répond Brice.
- Oui, mais pas con comme ta bite parce que la tienne, je l’aime bien ! Bon, le jeu est fini, vous avez tous gagné.
-Gagné quoi ?
- Le droit de me baiser. Toi, Kevin dans la bouche, Brice dans ma chatte et Julien en sandwich dans mon cul, tous les trois ensemble.

La proposition semble faire l’unanimité.
J’ajoute, à l’adresse de Julien d’y aller doucement car je suis vierge du cul.

Qu’est-ce que je n’ai pas dit, vierge du cul ! Mes trois amants redoublent d’attention et de caresses. Ce n’est pas tous les jours qu’ils ont l’occasion de dépuceler une fille, même si c’est seulement du cul. C’est Brice qui régit le premier en me faisant mettre à quatre pattes, les fesses bien tendues en arrière. Puis il enfonce un doigt dans ma chatte encore gluante de foutre et le ressort bien mouillé et lubrifié, puis le presse sur ma rondelle. Il appuie plus fort et sa phalange rentre dans moi. Le doigt de Julien avance plus profondément encore, et m’amène à un état inconnu. Bien entendu, je me suis déjà mis une doigt dans le cul, par exemple en me masturbant, mais cette fois-ci c’est différent car je sais ce qui va se passer ensuite ! Il continue de forcer jusqu’à ce que son doigt soit presque en entier dans moi. Il le fait aller et venir, tourner, sortir et entrer de nouveau. Puis il introduit un deuxième doigt. Cette fois, je crie, ça me fait mal. Alors il reste sans bouger le temps que je m’habitue à l’étirement, puis se retire et immédiatement après je sens une langue chaude et douce qui cherche à rentrer dans mon trou privé. Tout en soupirant de plaisir, je tremble, car c’est la première fois qu’on le lèche comme ça. Julien suce, s’enfonce, élargit mon trou avec sa langue jusqu’à ce que je me sente bien et prête à recevoir encore bien plus.

- Tu aimes ça quand je joue avec ton cul ?

Bien sûr que j’aime ça ! Surtout que je sais qu’ils vont me remplir dans tous les trous et ça m’excite encore bien plus. . Comme on m’avait bien ouvert le passage avec des doigts et avec une langue, il n’y a pas trop besoin de lubrification et Julien parvient à s’enfoncer de quelques centimètres sans que j’aie mal. Il attend pour que je m’habitue à la dilatation et pousse un peu plus encore, avant de se retirer et de revenir.

Les préparatifs terminés, Julien s’allonge par terre et me demande de mettre le dos sur lui. Il écarte mes fesses et s’introduit dans moi, lentement mais sans arrêter de pousser. Je suis bientôt totalement empalée et après quelques petites douleurs, je ressens de puissants élancements de plaisir. Kevin frotte sa queue sur mes joues, mon menton et enfin sur ma bouche impatiente de le prendre et avec un bruit de succion je l’avale. Mes gémissements s’éteignent maintenant que j’ai sa belle bite dans la bouche et que je le suce avec gourmandise. Brice s’allonge alors sur moi, à la missionnaire et je le sens s’installer dans ma chatte . Je sais qu’elle est chaude et douce et que Brice va s’y trouver bien. Il pousse un gémissement de plaisir et s’enfonce lentement, jusqu’au fond, puis se retire tout aussi lentement jusqu’à ne laisser que le bout dans moi avant de s’enfoncer à nouveau, son ventre pressé contre le mien.

Jamais je n’avais imaginé pareille situation, une bite dans chaque trou. Les trois hommes vont tous au même rythme, chacun son tour, l’un s’enfonçant pendant que l’autre se retire avant de m’envahir à nouveau. C’est comme des pistons , l’un me remplit la chatte pendant que l’autre sort de mon cul. Je suis totalement remplie et j’ai bien du mal à résister à l’intensité de l’excitation : j’ai deux bites dans moi, presque comme si elles étaient ensemble dans le même trou ; je suis sûre que les deux garçons se sentent mutuellement, à peine séparés par une mince paroi de chair. C’est vraiment une sensation extraordinaire et tellement jouissive ! Ils vont en viennent dans moi et m’arrachent mille gémissements. Avez-vous déjà ressenti cela ? Votre ventre est plein, rempli occupé, envahi, pénétré ; votre corps est assailli de partout, soumis et n’est plus qu’un fourreau à bite... Je geins de plaisir en sentant ces deux bites qui me frottent, je les sens aller et venir dans moi, j’entends les hommes gémir pendant qu’ils mettent le feu à mon ventre.

Comme dans un état de transe Julien me pompe avec force et, moi, le cul percé par sa longue banane, je suis au ciel. Il continue à me pilonner en rythme avec les autres, je suis baisée comme jamais, ouverte de partout et je réagis en grognant de bonheur .

Avez-vous remarqué que, dans un sandwich, c’est souvent celui qui baise le cul qui jouit en premier ? C’est peut-être parce que le conduit est bien plus étroit que celui d’une chatte et donc que ça donne des sensations bien plus fortes et rapides. Et tout cas, c’est ce qui se produit. Julien crie qu’il va jouir : il me défonce avec force et soudain contracté, tendu, il explose. Je sens son jus qui se répand dans moi, je sens chacun de ses jets chauds qui m’inondent et me remplissent.

Kevin ne s’est pas arrêté une seconde, sa grosse queue emplit ma bouche. Il gémit et se tortille de plaisir et, moi, je suis toute excitée à voir qu’il aime ce que je lui fait. Je fais de longs va et vient avec la bouche, resserrant mes lèvres autour de sa queue pour qu’il jouisse mieux. En même temps, je le branle d’une main et puis je lui suce tout, le gland, le manche, les couilles et je me régale ! Après quelques minutes, il me prend la tête pour me guider à sa propre vitesse. Sa pine bondit à chaque pression et je comprend qu’il est au bord de l'explosion. Brutalement, Kevin sort sa bite de ma bouche et m’arrose le visage de son foutre crémeux. Je parviens à en récupérer une bonne partie que je garde une seconde dans la bouche pour en savourer le parfum, pendant que Brice continue à me pomper la chatte. Son piston qui va et vient, ses couilles frappent mes cuisses en rythme, son manche qui m’emplit la chatte, out cela me fait basculer et j’ai un orgasme puissant : des tremblements que je ne pourrais pas stopper, même si je le voulais, des cris, des halètements ; je suis certaine que mon visage n’est plus que pure extase, et, la bouche grande ouverte, je crie, un cri animal qui se termine en gémissements. Puis vient enfin une sensation d’apaisement, un bien être absolu. Je suis tellement bien ! Ce sont les coups de bite de Brice qui me ramènent : il accélère pour finir, mais je me sens tellement bien qu’il faut que ça dure encore et je lui dis :

- Attends encore un peu... ne bouge pas, reste comme ça dans moi !

Brice est immobile. Une sensation extraordinaire. Alors que j’ai le cul encore occupé par Julien, la grosse queue de Brice remplit toute ma chatte, l’étire dans tous les sens, et chacune de ses contractions de sa bite prête à juter me cause mille contractions de plaisir. Je sais qu’il ne peut plus tenir. Je me soulève un peu pour passer ma main entre nos corps et lui caresser les couilles :

- Vas-y, remplis-moi de ton jus d’amour.

Mon amant se fait plus fort, plus profond, plus insistant. Je le sens me serrer avec force jusqu’à presque m’écraser, il me donne un grand coup, je l’entends crier d’extase, je sens ses couilles se contracter, sa bite crache son jus, un jus épais, abondant qui me brûle la chatte et me remplit avec tant de force qu’il rejaillit autour de sa queue enfoncée en faisant des sortes de bulles, s’étale dans mes poils et coule entre mes jambes. Nous restons immobiles, nos corps toujours unis.

Les deux autres hommes sont allongés immobiles aussi, épuisés mais repus de sexe. Quant à moi, je suis un tas de sperme sec ou bien dégoulinant ; il y en a dans mes cheveux, sur mes joues, mon menton, mes seins, mon ventre. Le foutre dégoutte de ma chatte et de mon cul et coule sur mes jambes , mais j’aime ça, j’aime ça! Nous redescendons lentement ses sommets où nous avons été et nous restons encore tremblants et épuisés. Nous nous sentons bien, rayonnants et calmés.

* * * *

Quelques jours plus tard, Alexandre revient tout joyeux du bureau en me disant qu’il a eu de l’avancement. Il est nommé chef de district avec un gros salaire. Bravo ! Mais il ajoute qu’il devra régulièrement faire des tournées dans les filiales de province et donc s’absenter un ou deux soirs par semaine. En réfléchissant un peu, je me dis que c’est parfait comme ça : je pourrai facilement faire venir à la maison ses copains qui, en bons amis, s’occuperont de moi pendant ses absences pour ne pas que je m’ennuie toute seule ! Par la suite, d’ailleurs, j’ai appris que la promotion d’Alexandre n’était pas venue toute seule : c’est Kevin, qui travaille dans la même entreprise au service du personnel, qui avait tout arrangé pour qu’Alexandre ait ce poste qui oblige à des déplacements en province et que je puisse avoir des soirées libres !

Mon cher ( ?) Alexandre qui m’avait poussée à allumer les hommes, qui m’avait encouragée à les provoquer, qui m’avait fait aimer ces jeux dangereux, mon cher Alexandre s’est retrouvé cocu, cocu de la bouche, cocu de la chatte et cocu du cul ! Une ou deux fois par semaine, il y avait trois, quatre ou cinq hommes à la maison qui venaient uniquement pour me sauter. Il n’y avait plus de prétextes à trouver, plus de mise en scène à faire. Tous savaient pourquoi ils venaient ; tout de suite ils se mettaient nus et la jouissance nous emportait aussitôt.

Nous avons tout essayé, ou presque, moi dessus, moi dessous, prise par devant, prise par derrière, dans la chatte, dans le cul, par une bite, par plusieurs bites, par un godemiché, à plat ventre, sur le dos, en levrette, à la hussarde, en sandwich., que sais-je encore... Il y a même eu une fois où je leur avais dit que je voulais les satisfaire tous ensemble. En une seconde je me suis retrouvée allongée le sol, une bite dans la chatte, un autre dans le cul, une troisième dans la bouche, une quatrième entre mes seins pendant que j’en branlais une cinquième !

Enfin, un jour j’en ai eu assez d’Alexandre et de ses exigences sexuelles. Non pas que ça me déplaisait vraiment, mais parce que je voulais pendre en main le contrôle de ma vie sexuelle, faire des choses parce ce que je les voulais et non pas parce que lui les voulait. Et puis, il y a eu d’autres différents entre nous - pour des raisons qui n’avaient rien à voir avec le sexe - et nous avons fini par nous quitter. Plus tard, j’ai changé de ville, je vis avec un autre homme et les copains de mon ex sont maintenant du passé. Mais je ne regrette pas le plaisir que j’ai eu avec eux !

Note de l'auteur : Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à la condition expresse de mentionner dans ces pages web le nom de l'auteur : Hornyboy, et l'adresse du blog : http://www.histoiresdeq.canalblog.com

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