Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Histoires de Q

29 juillet 2022

Le facteur

Auteur : Jimy

 

Histoire fantasmée un matin en prenant le soleil, nu sur ma terrasse à l'abri derrière la maison.

 

Le facteur

 

En ce mois d'été, juste avant midi, je suis descendu au jardin avec un verre, prendre l'apéro au soleil.

Tout au fond d'une petite impasse sans vis-à-vis, à l'écart de la rue, le risque est minime d'être dérangé.

Simplement vêtu d'un t-shirt un peu long, les jambes à l'air, sans slip. Comme je le fais régulièrement.

Soudain je suis alerté par le bruit de la boite aux lettres. Je jette un œil par-dessus la petite haie.

Arrivé à pied, sans bruit, un mec vient de déposer du courrier.

La factrice habituelle, qui passe beaucoup plus tôt, doit être en vacances, ce charmant jeune homme doit être son remplaçant ce qui explique que son passage soit plus tardif.

Le temps que je me retourne, il est là, planté derrière le bas portail ajouré. Il me regarde.

Compte tenu de ma tenue je suis très gêné.

Lui très à l'aise me lance : "J'aime bien votre tenue".

-"Heu" !

Surpris par sa présence et sa remarque, après un temps d'hésitation, je finis par bafouiller : "Excuser moi je ne voulais pas vous gêner". En tirant sur le tissu pour essayer, en vain, de l'allonger.

-"Non pas de problème, c'est beau à regarder". "Vous avez quoi dessous le t-shirt" ?

Oups ! Je dois être tout rouge de timidité, fausse pudeur.

- " Heuuu ! Rien"

Lui, déjà une main sur le portillon ne se démonte pas.

-" Je peux voir de plus près" ? Et il entre ...

Le problème c'est qu'une bosse commence à apparaître sous le t-shirt.

-" Ha oui, rien" ! Il avance la main, soulève l'arrière du t-shirt. :" Belles fesses" ! "Je peux toucher" ?

Alors là, je ne suis plus rouge, je suis écarlate, D'autant plus que maintenant le court tissus ne peu plus contenir ma virilité qui dépasse largement. J'essaie quand même de la dissimuler avec les mains.

-"Moi c'est Louis". D'une main il me masse délicatement les fesses. De l'autre il guide la mienne sur sa braguette.

-" Heu, moi Jimy". À en juger par la bosse que j'y trouve, il est aussi excité que moi.

 

Finalement nous nous rapprochons les mains vissées sur nos sexes impatients.

En déposant un baiser dans mon cou, il susurre :"Là j'ai pas trop le temps, suis déjà en retard". "Si tu veux m'attendre, je finis ma tournée, et je reviens dans une heure"

-" Ben dis-donc, tu y va franco toi, je n'aurais jamais osé".

-" Dépêche-toi je serais là". "Le contenu de ton pantalon me tente vraiment".

 

Je lâche sa braguette, il me colle un bisou sur la joue et s'éloigne d'un pas enjoué. : "À tout de suite, te change pas".

 

Je remonte chez moi, et commence à faire les cents pas dans l'appartement. C'est sûr il est mignon, bien monté, hardi, je suis impatient, va-t-il tenir sa promesse ?

 

La sonnette retentit. J'ouvre, il est là, un grand sourire aux lèvres.

-"Je me suis dépêché, je ne me suis pas changé".

A peine ai-je refermé, qu'il m'enlace, sa bouche trouve la mienne pour un french-kiss langoureux.

J'en profite pour passer mes mains sous sa chemise je le caresse tendrement. Lui aussi, mais c'est plus facile, je suis déjà quasi à poil...

Je lui arrache sa chemise. Déjà ses mains ont capturé mon dard.

Sa ceinture cède, le short tombe, j'explore son boxer bien rempli.

Cela fait trop longtemps que j'attends ça. Je le renverse sur le canapé, le pantalon à mi-jambe. Il faut que je le goûte tout de suite ...

-" Moi aussi je te veux, viens en 69".

L'excitation est trop forte, il se vide dans ma bouche, simultanément je me libère aussi. Je me retourne, trouve sa bouche, nous mélangeons nos liqueurs dans un long baiser.

 

-" Je prendrais bien une douche, pour me rafraîchir".

Je finis de le déshabiller, envois mon t-shirt sur le canapé. Je le prends par la taille et le guide devant moi vers la salle de bain.

 

Ce sera une douche commune. Nous découvrons plus nos corps nus respectifs.

Il saisi le gel douche et commence à me frotter, je fais de même. Le torse, les jambes, le dos d'abord.

Puis évidement le bas du ventre. Tous les deux, caressons la verge de l'autre à nouveau dressées dans la mousse du savon.

 

Je nous rince, l'eau ruisselle sur son magnifique corps ....

Je n'en peux plus, je m'agenouille et embouche sa virilité, Il s'amuse, m'aspergeant avec la douche arrosant mon ventre, faisant couler l'eau le long du dos, dans ma raie.

Il m'écarte

-" Vient on va se sécher, et on continuera sur le canapé ...

Sitôt dit , sitôt fait.

Je reprends la fellation, m'appliquant sur ce sexe que j'ai tant envie de recevoir dans les fesses.

-" Arrête ! Je vais venir si tu continues comme ça". "Couche-toi sur le dos".

Il se cale entre mes cuisses, entreprend de cajoler ma rondelle avec la bouche en me branlant délicatement.

-" Viens sur moi". Je te veux en moi".

Il s'installe en missionnaire. Pose son gland à l'entrée de ma caverne sans pousser, me prend la bouche pour un baiser, nos langues s'entremêlèrent.

Délicatement il avance le ventre, je m'ouvre pour lui. Une fois au fond, il s'immobilise. Le baiser devient de plus en plus torride. Il prend mes joues entre ses mains me guide dans ce doux baiser. Je lui caresse les cheveux, les joues.

Lentement il commence un va-et-vient.

Je lève les jambes, à l'unisson il se redresse, je les pose sur ses épaules.

Son gland pénètre plus profondément, exaspère ma prostate à chaque coup. Mon anus vibre de plaisir autour de cette verge, quand elle sort puis revient m'envahir.

Petit à petit il augmente le rythme. Je suis pris d'agréables tremblements. Je glisse une main entre nous pour me branler.

Il ahane de plaisir, criant presque. Je sens en moi le glaive se contracter de plus en plus fort. Dans ma main, ma verge turgescente devient de plus en plus sensible.

Il crie enfin, se retire, inonde mon ventre en même temps que moi. Il s'effondre sur moi, écrasant nos liqueurs tièdes entre nos ventres.

Nos bouches se soudent à nouveau.

 

Le calme revenus, nous nous décollons. Étendu cote à cote nous nous frictionnons avec l'élixir encore sur le ventre. Je présente mes doigts englués à ses lèvres, lui me donne les siens à lécher.

-" Je crois que nous allons devoir retourner à la salle de bain".

-" Ok ! Mais on essaye de rester sage, je suis vidé"

Nous partageons un moment de tendresse sous la douche, nous rhabillons.

Je ne veux pas le laisser partir tout de suite, je sens bien que lui aussi veux encore rester.

Je lui propose de prendre un verre.

Nous faisons connaissance, papotant un peu.

Puis finalement :" Je vais devoir partir". " Je suis bien avec toi, mais j'ai plein de choses à faire cet après midi". " Déjà que j'étais en retard dans ma tournée et avec le bon temps qu'on a pris ça ne s'est pas arrangé".

 

Nous descendons ensemble, je lui pose un bisou sur les joues, qu'il me rend

-"La prochaine fois qu'il y aura du courrier pour toi, je le mets de coté, pour te l'apporter en mains propres, après ma tournée".

Je le regarde s'éloigner, espérant que ma boite à lettre ne restera pas trop longtemps fermée.

 

FIN.

 

Bien évidement nous avons utilisé des préservatifs pour partager ces moments de plaisir réciproques.

N'oubliez pas, je me protège, je te protege.

 

Publicité
Publicité
29 juillet 2022

La prochaine histoire

Oui, je sais... j'ai un peu ( beaucoup !!!) négligé ce blog depuis des mois. Je n'ai plus  d'inspiration  en ce moment... je m'y remettrai peut-être un joiur...

En attendant, mon ami Jimy vient de m'envoyre une hisoire de sa composition ( une histoire gay) que je vais me dépecher de mttre en ligne. Ce sera fait dans quelques minutes...

11 juillet 2021

Charmante cousine (2)

 

Je me réveille tout doucement et la lumière du jour me ramène au réel – ou presque. Mes yeux clignent sous ce nouvel assaut et mon corps émerge du monde des songes une fois de plus. Des images flottent encore devant mes yeux, celles de jolis petits nichons que j’embrasse avec gourmandise, celles d’un corps chaud et doux lové contre moi et mes mains qui caressent sensuellement un joli petit cul rond et ferme… J’entends la voix d’une femme qui m’appelle et je sens un main qui touche mon sexe dressé et joue avec. La main est chaude, elle me serre bien… J’ouvre les yeux. Un visage féminin… Ah oui, Stella, ma cousine, bien sûr !

« J’ai l’impression que ça y est, tu es réveillé et bien réveillé à ce que je vois! » elle me dit d’une drôle de voix et je me demande ce qu’elle veut dire exactement.

« Tu a dû faire un beau rêve, ça se voit... » le ton est presque ironique. Et soudan je me rends compte que la sensation de tension entre les jambes n’est pas seulement dûe à mon rêve, à mon imaginaire, mais que j’ai une grosse trique.

« Ah, oui, un très beau rêve, » continue Stella en riant. Elle était assise dans la lit à côté de lui, nue. Tendant une main encore malhabile, je caresse son dos, je suis la courbure des ses reins, j’explore la rondeur de ses fesses et glissant un doigt entre elles, je trouve la moiteur de son sexe.

« Oh toi… toi, tu es un sacré petit cochon… mais j’aime ça !» Sa voix a baissé pour n’être plus qu’un murmure : « Tu pensais à moi ? A nous hier soir ? » elle demande encore. Je fais un vague signe de tête, ce qui confirme les suspicions de Stella.

Nos regards se croisent, nos bouches se joignent, se séparent, nos lèvres s'ouvrent, nos langues se caressent, se mêlent…

 

Je pose doucement les mains sur sa poitrine ; Stella frémit. Je commence à la caresser en douceur, tourne autour des tétons, les agace du bout du doigt . Je penche la tête pour lécher un sein puis l’autre, je regrette de n’avoir qu’une bouche ! Je prends ses tétons entre mes lèvres puis entre mes dents, je les mordille doucement, elle serre ma tête contre elle en gémissant doucement. ;

Tout en continuant à jouer avec ses nichons, ma bouche descends encore, laissant une traînée humide sur son ventre et du bout d’un doigt, je sépare ses lèvres pour lui lécher le minou. Elle soulève son bassin pour venir à la rencontre de ma main. Mes doigts coulissent jusqu’à son clito. qui se met à grossir sous mes doigts. Je le saisis, je le pince, je le fais rouler… Ma bouche vient à la rescousse, je lèche ses lèvres sur toute la longueur, vers le haut puis vers le bas. En même temps mes doigts se mêlent à ma langue pour pour lui donner un plaisir grandissant. J’ai enfilé deux doigts dans sa chatte, que je baise ainsi, tout en la léchant de haut en bas, n’arrêtant que pour m’occuper de son bouton de plaisir maintenant luisant de cyprine que déguste ma bouche gourmande. Elle murmure des mots sans suite, je crois entendre « encore… encore… comme c’est bon avec toi… »

La fièvre s’empare de son corps. Je le sens onduler sous mes coups de langue et bientôt elle est secouée par des spasmes, je suis obligé de la lâcher.
«  Tu m’as fait jouir, mon cousin chéri. Je vais m’occuper de toi, maintenant. Tu vas voir comment je vide les couilles.»

Elle baisse la tète et s’exécute, seins nus elle s’approche de moi, se met à genoux et prend ma queue. J’ai une belle bandaison si bien qu’elle peut commencer directement à me sucer.

Elle tire la langue, comme pour goûter, et lèche le gland. C’est bon… Je ne peux pas m’empêcher de gémir un peu ! Elle ouvre grand la bouche et plonge sur sa bite, aussi profond qu’elle peut.

Des va-et-vient, elle suce, encore et encore. Parfois elle s’arrête pour me branler un coup, vite, doucement, puis elle replonge sur ma bite ou sur mes couille qu’elle prend dans la bouche ou qu’elle fait rouler entre ses lèvres. Soudain, je la préviens que je vais cracher. Elle sort ma queue de sa bouche et me laisse gicler sur elle , un sperme bien épais et bien blanc : je regarde pour voir mon jus me sortir de la bite et atterrir partout sur Stella. Les jets étaient puissants, un premier en pleine figure, un deuxième. Le troisième droit sur ses seins. Puis elle me reprend en bouche et suce le reste de mon foutre qui continue à venir. A la fin elle lèche la sauce qui lui coule du coin des lèvres. Elle donne l’impression de ne pas en avoir assez à manger. Je reste quelques instants allongé ; ma queue débande lentement et je me sens bien, vidé, satisfait et comblé…

« T’es un super coup », c’est ce qui résume le mieux ce que je pense d’elle.

« Toi aussi, et ta bite c’est une des meilleures que j’ai jamais eues. »

 

Une fois la déferlante passée, Stella m'attire à elle pour m'embrasser avec passion ; bientôt ma queue retrouve une fière allure et nous sommes prêts à passer à l’étape suivante. Elle approches ses lèvres de mes oreilles et me murmure : « Viens dans moi, j’ai envie de toi. »

Rien n’aurait pu me faire bander encore plus fort que ces mots. A la dernière seconde j’ai encore une hésitation et je lui avoue que je n’ai pas de capote. Elle comprend et me répond aussitôt qu’elle prend la pilule...

« Viens, prends-moi maintenant, tu es raide et dur à souhait. »

Nos sexes frottent l’un contre l’autre et elle ondule tant des hanches que la pénétration se fait toute seule. Il me suffit de maintenir ses fesses avec les mains, et de pousser de tout le poids de son bassin.
« Oh mon dieu ! Oui ! Oh c’est bon ! » gémit-elle ?

 

Ma queue s’enfonce doucement, loin, loin, jusqu’à ce mon pubis vienne buter contre sa motte. Puis, je ressors doucement, ne laissant seulement que mon gland dans son fourreau avant de replonger tout au fond. De sa bouche entrouverte s’échappent des cris, des soupirs. Malgré leur fermeté, ses nichons tressautent et ballottent , et rien que ça c’est un beau spectacle ! .

J’accélère le rythme de mes coups de reins. Ma douceur se transforme en passion alors que mon sexe va et vient de plus en plus rapidement : je lui pilonne l’abricot à grands coups de reins. De plus en plus fort aussi. De plus en plus profondément. Ses bras et tes jambes se verrouillent autour de moi, m’agrippent par les épaules. Je sens que je ne vais plus tenir longtemps, elle non plus d’ailleurs car elle crie et gémit comme une folle.

« Je vais te prendre en levrette. » je lui souffle.
« Oui, viens, on change de position. »

Elle se met à quatre pattes sur le lit, le cul en l’air. Je la pénétre violemment avant de me lâcher. Elle pousse des cris. J’entre, je sors, j’entre je sors, mes couilles tapent sur ses fesses. C’est l’extase. Un vrai film porno. Au bout de quelques minutes, je sens la jouissance arriver.

« Tourne toi, je vais jouir sur tes seins ma jolie! »

Stella se coucha sur le dos tandis que je finis de me branler en frottant ma queue sur ses seins fermes et soyeux. Le contact de la peau douce et chaude de ma belle cousine sur le gland me fait me fait éjaculer presque sur le champ.

Je lui envoie quelques belles giclées, épaisses et abondantes qui coulent lentement sur ses nichons. Encore une autre giclée bien fournie épaisse et gluante.

« Stella, je sais que t’es une gourmande. Il ne faut rien perdre. Alors nettoie-moi bien la bite ! » je lui ordonne. Elle gobe directement ma queue, elle lèche et aspire la moindre goutte de sperme, elle avale tout. Ma queue reste au garde-à-vous encore quelques minutes avant de de débander….

 

J’avais commencé à raconter cette fois où Stella est arrivée chez moi en précisant qu’en principe je ne devais m’occuper d’elle que cette seule journée, mais en fait, depuis lors et depuis nos chaudes galipettes, nous sommes ensemble et je peux vous assurer que toutes nos nuits sont chaudes et animées.

 

 

10 juillet 2021

Charmante cousine (1)

 

Ma cousine s’appelle Estelle, que tout le monde appelle Stella, une fille super sexy. Je suis Arnold, Aujourd’hui j’ai 22 ans et je vais vous raconter comment Stella et moi avons passé la soirée de vendredi dernier. Il faut dire que ni l’un ni l’autre n’avons trouver à redire à nos petits jeux, bien au contraire ! Stella a 20 ans, c’est une belle blonde à la peau blanche, 1m70, assez mince , aux petits seins très durs avec de jolies petite pointes roses, au petit cul rond, un régal !

Vendredi dernier, elle devait passer la nuit chez moi. C’était pour moi une chance de rester avec elle parce que j’avais déjà flirté un peu avec elle la dernière fois où je l’avais vue et bien que je ne la connaissais pas trop, j’avais vraiment envie de de faire un bout de chemin avec elle !
En fait, nous devions aller au mariage de mon frère. La cérémonie se déroulait à à quelques kilomètres du studio où j’habite et en raison du grand nombre d’invités, mes parents m’ont demandé d’héberger dans mon appart ma cousine Estelle, une cousine du nord que je n’avais pas vue depuis deux ou trois ans.

 

Estelle arrive comme prévu la veille du mariage. J’ai un choc en lui ouvrant la porte. J’ai quitté un jeune fille, déjà fort jolie certes, mais tout de même tout juste sortie de l’adolescence et aujourd’hui, elle a énormément changé, elle est devenu une femme et elle a les formes qui vont avec. Une blonde sexy… Et pour finir, une jupe longue fendue jusqu’au milieu de la cuisse, une blouse presque transparente qui cache à peine ses seins … Elle n’a pas mis de soutien-gorge. Je ne peux pas pu décrocher mon regard de sa poitrine, et elle me demande en rigolant si elle peut entrer. Je m’excuse et je lui ouvre le passage. Elle passe devant moi, j’en profite pour mater son cul. Quel régal !

 

Mais il faut que je me calme, il s’agit d’un membre de ma famille. Je l’aide à sortir ses affaires et surtout la robe qu’elle doit porter au mariage le lendemain, pour qu’elle ait le temps de se défroisser.Puis nous passons la soirée à discuter et rigoler. J’apprends au détour d’une conversation qu’elle est seule depuis peu, son copain l’ayant quitté pour une autre. Elle s’est mise à l’aise pour la soirée, s’est changée, laissant sa jupe pour un short très court et un tee short crop qui montre une partie de son ventre. Je suis tellement hypnotisé qu’elle me regarde avec un drôle d’air et me demande si je me sens bien.

 

Avant d’aller me coucher, j’installe comme prévu un matelas gonflable sur le sol et je lui laisse le clic-clac. Un minimum de galanterie tant qu’à faire, puis je vais prendre une douche. Tout en me lavant et en me rinçant, je ne cesse de penser à Stella, à ses nichons qu’elle m’a à peine cachés pendant une bonne partie de la soirée et à son petit cul bien rond que son short moulait serré.

 

Et soudain elle n’est plus ma cousine, mais une fille, une belle fille sexy avec un joli visage, un beau sourire, des lèvres gourmandes, de grands yeux bleus, mais aussi une fille avec des seins magnifiques et avec tout les reste…Elle n’était plus ma cousine, la fille de ma tante, mais un objet de désir, une fille qui me fait bander …

A peine fini de me laver et de me rincer, je commence à ma branler dans la douche. Je ne tiens plus. L’idée de cette fille à quelques mètres de moi me donne une trique d’enfer. Des images de Stella à demi nue me trottent dans la tête. Soudain, je me rends compte – oh merde ! - que j’ai oublié ma serviette dans la salle. Je sors de la douche tout mouillé,j’entrouvre la porte et je crie à Stella : « Ferme les yeux, je suis à poil, mais il faut que j’entre une seconde, j’ai oublié de prendre une serviette. »
« Vas-y, c’est bon » elle me répond.  « Tu sais, j’ai déjà vu des garçons à poil... »
J’entre, je cours jusqu’au lit pour prendre la serviette. Loin de fermer les yeux comme je lui ai demandé, Stella me regarde, toute rigolarde. Ses yeux croisent mon regard avant de se fixer sur ma bandaison : « Et bien, Arnold... !» Elle aurait pu être choquée en me voyant courir tout nu devant elle, mais non, elle semble juste surprise.  Elle ne s’attendait peut-être pas à me voir en érection... « Excuse-moi, je prends un serviette, je lui ai répondu », très mal à l’aise.

Je sens ses yeux qui observent ma bite qui se balance dans tous les sens à chacun de mes pas. j’attrapE la serviette que j’enroule à toute vitesses autour de mes reins mais ça me fait quand même une grosse bosse entre les jambes…

Elle me regarde de haut en bas et ses yeux s’arrêtent sur la bosse. Elle avait l’air d’apprécier le spectacle : « Tu bandes ? C’est moi qui te fais cet effet ? », elle me demande, sans quitter ma queue des yeux. Je crois bien que mes efforts futiles et vains pour pour cacher mes bijoux de famille lui donnent une raison de plus de me mater .

« Tu étais en train de te branler ? » me demande-t-elle, avec un sourire charmeur. » . Je suppose que j’ai la figure rouge de honte et je ne sais plus comment cacher ma bandaison. Mon air gêné, mal à l’aise, coupable paraît l’amuser ,en même temps elle a l’œil bien allumé.

« Tu penses à quoi quand tu te branles ? Tu penses à des filles ? Je ne peux pas lui avouer que cette fois-ci, oui mais que c’est elle qui m’a fait bander. Elle voit mes yeux fixés sur elle et elle comprends. En fin de compte c’était un compliment que je lui faisais, je lui disais qu’elle m’excitait….Elle me sourit et me susurre à mi-voix: « Je ne savais pas que tu étais un gros vilain, toi…. »

Estelle entre dans la salle de bains, pour se démaquiller et se déshabiller, je suppose.

Assis sur le rebord du lit, j’essaie de me calmer. C’est à ce moment là qu’elle rentre, vêtue seulement d’une nuisette – une sorte de petite chemise courte qui cache à peine le pubis. Une nuisette, c’est une sorte de prétexte comme quoi la fille n’est pas entièrement toute nue mais quasiment, presque. Stella est une vraie blonde . Aussi, en concordance, son intimité est-elle couverte d’une toison blonde mais touffue. Seule différence, les cheveux sur sa tête sont longs et raides lors que les poils de son minou sont courts et frisés.

 

Elle me regarde avec un petit air complice, s’approche de moi et me demande d’ôter la serviette. « Hein ? Non, mais ça va pas ! » J’essaie de la raisonner, « T’es ma cousine…. Je ne peux décemment pas me mettre à poil devant toi... » Je ne sais pas trop quoi penser de son petit manège, je suis troublé.

Je sens son souffle chaud dans mon cou , une main effleure légèrement ma cuisse. Et Stella me chuchote a à l’oreille : «  J’ai tellement envie de voir ta bite. Tu peux pas savoir depuis quand ça me travaille ! » Je sens sa poitrine serrée contre moi, ses nichons durs qui me pointent dans le dos. Je sens aussi ma queue durcir.

Elle me dit qu’elle se fout qu’on soit cousins, qu’elle veut juste baiser. Assez interloqué, je la laisse écarter la serviette. Elle me alors dit que c’était la première fois qu’elle voit une bite sans poil (j’aime bien me raser intégralement de temps en temps), qu’elle trouve ça nettement plus joli ainsi. Elle passe la main droite sur le manche et se met à me branler tout en me caressant les couilles.

«  Ohhh … Ohhh ! »

« Tu aimes ça, mon gros loup ? »Ses nichons sont durs, je les sens me piquer le dos. Je pousse encore un autre petit cri quand elle lâche mes couilles pour passer la main et la repasser sur le gland gonflé et rouge.
« Alors, tu aimes qu’on branle ta belle bite dure? » me demande-t-elle, avec un sourire charmeur. Si j’aimais? La question ne se posait même pas, et pour toute réponse, je passe la main sur sa chatte Elle est trempée de mouille et bien ouverte, attendant de se faire prendre par un mâle en rut...

« Tu sais, quand j’ai vu ta grosse bite qui se balançait devant moi… il fallait que je la touche et que joue avec. »
Une grosse goutte de préfoutre suinte au bout de mon gland ; elle passe un doigt dessus et étale le jus sur toute la longueur de mon manche. J’entends sa respiration lourde et saccadée mêlée aux gémissements que je pousse en sentant ses mains qui me font tant de bien. Je sais que je vais jouir vite et jouir fort avec ses doigts serrés autour de ma queue raide ; elle me lâche soudain mais revient aussitôt à la charge et me branle lentement, avec énormément de douceur.

Je glisse une main entre ses cuisses ; sa chatte estdéjà toute humide.

 

Je commence à la caresser très doucement; d’abord les lèvres puis mon doigt atteint son petit bouton de plaisir qui pointe déjà, avant même que je commence à le toucher

Les gémissements se font de plus en plus bruyants.

« J’aime ça quand tu me caresses là… Oui, là, juste là, » elle parvient à me dire en haletant. Cette fois c’en est trop et sentir sa chatte qui dégouline de mouille me fait exploser.

« Ohhh ! j’vais jouir » je grommelle, en sentant une première contraction m’étreindre le ventre. Je regarde mon sexe fièrement dressé dans sa main. Ses doigts autour de ma queue gonflée coulissent à un rythme effréné autour de mon manche.

« Oui, vas-y, jouis sur moi… Qu’est-ce t’es dur ! » dit-elle entre deux gémissements de plaisir, tout en me pelotant les couilles d’un main et en m’astiquant le manche de l’autre.

J’ai l’impression que ma bite double encore de taille et je sens mes couilles sur le point d’exploser.

 

Mon corps tout entier commencer à se tendre. Mes fesses durcissent et s’enfoncent plus profondément dans le matelas. Je sens la chaleur envahir mes couilles et remonter le long de mon manche.Tout semble se concentrer vers ma bite en feu. Je me raidis et je crie mon plaisir, les yeux révulsés. Dans une merveilleuse délivrance, mon sperme jaillit avec force et gicle en jets multiples, denses, serrés.

Stella reçoit une belle giclée sur la cuisse et une autre sur le ventre

« Oui, c’est ça, jute pour moi ! » elle continue à me branler. Le foutre jaillit encore et elle a la main complètement engluée !

Finalement, mon orgasme se calme. Je pousse encore un gémissement et je retombe en arrière, contre ses nichons toujours aussi brûlants. Elle garde la main collante autour de mon manche et le caresse doucement jusqu’à ce qu’il commence à perdre sa raideur orgueilleuse... Je roule sur le dos et reste un instant à retrouver mon souffle, les bras en croix et les jambes écartées.

Elle se retourne, m’embrasse à pleine bouche et me remercie.

 On se couche finalement ensemble sur le clic clac, elle met la tête sur mon épaule et on s’endort comme ça, nus tous les deux.

   A SUIVRE

 

8 juillet 2021

la prochaine histoire

Charmante cousine, une histoire en deux parties. Deux jeunes gens ( un cousin et sa cousine, en fait, mais l'idée de l'inceste n'apparaît pas dans cette histoire) se découvrent et trouvent beaucoup de  plaisir sensuel dans la compagnie de l'autre.

(partie 1) 1879 mots – MF - consent - masturb -

(partie 2) 1433 mots – MF - consent – baise - oral - sperme

 

 

histoire charmante-cousine

 Charmante cousine sera en ligne le 10 juillet

Publicité
Publicité
3 juillet 2021

Les vacances...

Bientôt les vacances,tant attendues par la plupart d'entre vous ( nous). 

Pour ma part, je vais passer quelque temps à écrire un peu. J'ai une première histoire prseque terminée, encore un jour ou deux pourvous faire découvrir  à quel point  cousin - cousine peuvent bien s'entendre !!!    Je suis en train  de travailler sur plusieurs histoires (j'ai toujours, au moins deux ou trous histoires en chantier en même temps, certains trouveront que c'est une organistion  bizare...)   Je les mettra en ligne dès qu'elles seront prêtes, vers la fin  juillet ou en aout. 

J'espère que vous trouverez qu'elles font une "bonne" lecture, bien "cochonn " et bndante... l

A bientôt

1 juillet 2021

Vous avez aimé la dernière histoire mise en ligne

Vous avez aimé la dernière histoire mise en ligne il y a  qulques jours, ou bien vous l'avez détestée?  N'hésitez pas à la dire...

Un petit message (vite fait) m'aidera à mieux savoir ce qui plait ( ou ne plait pas !) à mes lecteurs.

 


Merci d'avance

26 juin 2021

Les aventures de Chris et Denis

 

Alors nous nous sommes mis à l’essai, Lisa et moi. Nous avions décidé deux choses très importantes : ne pas être jaloux l’un ou l’une de l’autre, et partager tous nos plaisirs, fantasmes et envies, aussi bien de sexe que du reste.

Et malgré notre jeune âge de l’époque, nous avons fonctionné comme cela depuis … Comme quoi, une rencontre fortuite peut déboucher sur une qualité de vie en couple réussie !

Je vais continuer à me souvenir de nos jeunes années, le petit couple sage et gentil va connaitre des aventures. Une vie bien remplie côté sexe, et ce qui nous plaisait bien, c’est que les gens qui nous côtoyaient dans notre vie de tous les jours ne soupçonnaient pas une seconde la liberté débridée de nos comportements. Des filles, des garçons ont partagé nos pulsions, envies, et ça n’a jamais été un problème. Bien sûr, quelquefois, ça nous plaisait plus ou moins, mais toujours correctement…

Par exemple la première fois que Lisa m’a ramené une fille, jolie plante avec des seins lourds et des yeux bleus à faire bander un mort ! Elle avait prétexté un essayage de fringues un poil sexy, dont Lisa ne se servait plus (en bonne vendeuse de lingerie, elle savait capter l’attention de ses copines et amies) et elle avait fini par choisir, pour Ariane, une sorte de boléro qui avait du mal à fermer, au vu de la différence de taille de poitrine, et une jupe d’une longueur à peine décente ! Mais le résultat était super agréable, notamment grâce à l’absence de sous-vêtements… Lorsque je suis arrivé chez Lisa, elles étaient encore dans sa chambre. Je sonnais, saluait la maman de Lisa (très jolie femme, au passage) qui cria dans le couloir :

-Lisa, c’est Denis…

-Merci, madame

Je me dirige vers la chambre, la porte s’entrouvre,  et je pousse la porte. Je trouve Lisa agenouillée devant Ariane, sa copine, et elle pique des épingles dans le bas de la jupette…

-Bonjour, je m’appelle Denis, je suis le copain de Lisa.

-Bonjour, je suis Ariane, la copine de Lisa.

-Voilà, je te fais l’ourlet demain à la boutique, tu pourras passer la prendre demain midi…

-Oh merci, c’est gentil !!

Les filles échangent des regards complices, et se sourient mutuellement ; je soupçonne une pointe d’excitation, car Lisa est particulièrement volubile.

-Tu sais Denis, Ariane et moi, on se connait bien, très bien !

-Ah bon ?

-Oui, tiens, si Ariane veut bien je te montre un petit truc. Tu veux, Ariane ?

-oui, oui, bafouille t’elle

Lisa relève la jupe, découvrant une motte bien charnue, peu velue, et colle sa bouche sur cette belle fente. Ariane est rouge pivoine, mais elle tient la tête de Lisa pour la plaquer sur son minou. Au bout de peu, Lisa se relève et embrasse Ariane à pleine bouche, tout en pelotant les seins de son amie, le boléro tenant par une pression n’a rien retenu. Inutile de vous dire que le spectacle me coupe le souffle, mais pas la bite !! Les filles ont le regard un poil noyé, il n’en faudrait pas beaucoup plus pour que ça parte en vrille, mais la maman est là, et je n’ai pas envie qu’elle nous tombe dessus.

-Oh les filles, c’est bon, ça ! Je ne vous dis pas ce que ça me fait !

-Ça se voit, ton jean est bien rempli, on dirait !

-Ça coince même un peu, ma queue bloquée par le tissu voudrait bien relever la tête.

-Tu veux goûter, Den ?

Ça me plairait bien…

Lisa se réinstalle à genoux devant Ariane, lèche goulument le sillon et se relève, m’embrasse à pleine bouche. J’ai le goût et l’odeur de sa copine, sa langue me rend fou, je plaque mon bassin sur le sien. Je la prendrais toute crue, là, maintenant. Ma bite palpite.

-Montre lui ta bite, qu’elle mouille un peu…

Je dégrafe ma ceinture et sors l’engin. Je la fais sautiller dans ma main, elle bande à fond !

-Touche, ma chérie, demande Lisa

Ariane attrape ma queue, fais quelques aller-retours, et gémit doucement

-tu verras, tout à l’heure, ma puce, ça sera encore meilleur !

Oh ho, ça me laisse entrevoir des choses, ça !!

-Denis, on va diner, ma mère a préparé pour nous trois, je te dis à tout à l’heure ? Sur le coup de neuf heures ?

Je suis dans les nuages ! On avait parlé d’un moment où nous pourrions éventuellement partager un ou une partenaire, mais je ne pensais pas que ça arriverait si vite ! Il n’y a que trois mois que nous sommes ensemble, il va falloir que j’assure, et que je lui trouve UN partenaire masculin, mais pour ça j’ai mon idée, de plus, elle devrait aimer…

Du coup en repartant, je n’avais plus trop la tête à autre chose, je pensais sans arrêt à ce que j’avais vécu à l’instant, j’ai mangé un truc léger, et ensuite la douche. Le jet dru m’a remis d’aplomb, et du coup, j’en ai profité pour m’exciter la queue, qui n’avait pas trop dégonflé et au bout de deux ou trois minutes, elle a giclé ! Ça fait un bien fou, ça purge un peu. Le jet de la douche m’a toujours fait de l’effet, à cet endroit-là … Et comme il me restait un peu de temps avant que les filles ne déboulent, j’en ai profité pour appeler Chris, mon pote le rouquin !  Pourvu qu’elles viennent, mes parents sont en postes du soir à l’usine, ils ne rentreront que vers cinq heures et demie, demain matin. Ma sœur ne rentre pas ce soir, c’est le bonheur !!!

-Allo, Chris ?

-Non, son père…

-Bonsoir, Chris est là ?

-Il doit être chez toi ou il ne va pas tarder…

Ah, voilà autre chose. Bon, je ne vais pas le jeter dehors, et je vais discuter de l’idée qu’il m’est venu. Ça m’étonnerait qu’il ne soit pas d’accord. Ding, dong, tiens le voilà.

-Merci, monsieur, je crois qu’il sonne bonne soirée, je raccroche.

-Entre, entre. Fallait que l’on se parle, on a un peu de temps.

-Du temps ?

Sans tarder, je le mets au courant de ce qui m’arrive. Il sait qu’avec Lisa, ça fonctionne librement. Il aime beaucoup le concept. Je lui demande si ça le brancherait de participer un jour prochain.

-Sans problème, mon Den, ça me plairait beaucoup, on se connait, toi et moi, et Lisa m’inspire beaucoup.

-Attends de voir Ariane, rien que ses yeux, elle te fout la trique !

-Tu penses que c’est possible pour ce soir ?

-Euh, je préfère essayer tout seul avec les filles, et dès que j’en parle à Lisa, je t’appelle.

La déception se lit sur son visage.  Mais je ne vais pas braquer les filles qui ont l’air d’avoir décidé d’un câlin chaud !

-Ecoute, je te promets, j’en parle à Lisa ce soir, et dès qu’elle dit oui, je t’appelle !

-Ouais mais là, regarde le gourdin, je ne vais pas repartir comme ça !!

Et pile-poil à ce moment, ça sonne à la porte !

-Remballe, remballe !

Je vais ouvrir. Les filles sont là, tout sourire. Je m’efface, les laissent entrer, et elles découvrent Chris. Un peu rouge, mais ça va, le short ample dissimule sa matraque. Les bises claquent, et on s’installe dans ma chambre. La musique en sourdine, les volets entrouverts, la lampe de bureau allumée diffuse une lumière orangée.

-Ça va, Chris ? demande Lisa

-Oui, oui, je m’en allais, là.

-Dommage, tu ne peux pas rester un peu ?

Qu’est- ce qu’elle a, ma poulette ? Elle a décidé d’autre chose ? Je demande si quelqu’un veut quelque chose à boire. Elle se lève, me dit qu’elle va prendre les verres pendant que je ramène la boisson. Une fois dans la cuisine devant le frigo, je lui demande à voix basse :

-Tu as un autre projet que ce que l’on a décidé tout à l’heure ?

-Mais mon chéri, l’occasion fait le larron. Ariane a l’air d’avoir chaud à la minette, j’ai envie d’elle, et Chris est là ! On va en profiter !! Ton pote a l’air un peu coincé, mais on va vous mettre à l’aise tout de suite !!

On repart vers la chambre. En entrant, je remarque que Chris et Ariane se regardent langoureusement. Lisa verse à boire, distribue les verres.

-Alors les garçons, on va vous chauffer un peu… Nous les filles, on aime bien les caresses, les bisous, les léchouilles. Si vous êtes sages et nous regarder faire pendant un moment, on verra…

-Pas de problème, ma puce, on admire et on ne bouge pas.

Lisa s’allonge sur le lit, nous prenons place, assis par terre, au pied du lit. Ariane est écarlate, elle enlève ses fringues, elle est belle ! Des seins très beaux, en poires, lourds et fermes. Ses fesses rebondies et bien cambrés sont appétissantes. Ses cheveux longs, châtains clairs, lui descendent aux reins. C’est une superbe plante !! Lisa, elle, s’est défaite de son haut, garde son mini-slip. Ses petits seins, haut perchés, ont les embouts déjà dressés, et les filles commencent à s’embrasser, très doucement, légèrement. Leurs mains ne restent pas inactives, elles se pelotent la poitrine, une main glisse sur le ventre  d’Ariane, et tourne entre les cotes et le bassin. Elle se tortille au bout de quelques instants de ce traitement. Puis la main de Lisa descend sur la minette rebondie, et commence un travail des doigts qui a l’air d’avoir du succès. On ne distingue pas son bouton, caché dans le pli de sa chatte, mais on voit bien, à la brillance de ses chairs intimes, que ça fait du bien !  Les baisers langoureux, toutes langues sorties, sont interminables. Chris et moi n’en perdons pas une miette, on a sorti les braquemards, et on se caresse la queue, chacun la sienne. On bande comme des ânes en rut !! Je sens que ça ne va pas durer dans cet ordre-là. J’ai les oreilles qui chauffent, d’ailleurs la main gauche de Chris vient me peloter les couilles. Je chope son gourdin de la main droite, pendant que Lisa commence à enfiler ses doigts dans la chatte d’ Ariane, qui commence à tourner la tête de droite à gauche de plus en plus vite, elle commence à soupirer fort, et ma chérie en profite pour se relever à genoux sur le lit, quitter son  mini slip et enfourche le visage d’ Ariane, qui comme par hasard, arrête de secouer la tête…. Celle-ci attrape le minou de Lisa et lui tenant les cuisses, elle bouffe avec délectation le triangle velu de ma poulette en poussant des gémissements d’amour.

Lisa se retourne, nous voit en train de nous astiquer mutuellement le manche, commence à onduler sur le visage de sa copine en poussant des soupirs et des «c’est bon !! » …

Elle nous fait signe de nous approcher, avec son index en crochet. On se lève, s’approche, et elle s’empare de nos bites, fait quelques aller-retours de branlette très serrée, nous caresse sous les couilles et nous chuchote qu’Ariane adore se faire sucer les seins.  Ça tombe bien, j’avais très envie de les goûter, et de lui caresser la motte… On se met à les sucer. Chris est fou de désir, il caresse les fesses de Lisa, un sein d’Ariane, et je ne suis pas en reste. Les doigts dans la minette d’Ariane, qui mouille un maximum,  Lisa me demande ma bite, et tout en étant léchée, me taille une pipe d’amour comme elle m’en a rarement dispensé. J’attrape ses nichons mignons grâce à une posture acrobatique et lui triture les mamelons, ce qu’elle adore. Ça monte, la sève, ça monte ! Chris jute sur le ventre d’Ariane, il a les doigts dans sa chatte, il jouit en criant des mots sans suite. Il étale son jus sur le ventre de notre amante, et surprise, Lisa arrête de se faire sucer la mouillette et se retourne, se positionne en levrette à côté de sa copine. Celle-ci lui caresse la fente, et je me positionne derrière elle, je sais ce qu’elle veut. Je la prends sans aucuns ménagements, elle est trempée, ça rentre tout seul et commence à taper tout au fond de son ventre, très fort. Elle lèche le ventre d’Ariane, qui elle, me caresse les couilles en même temps qu’elle astique le clito de Lisa.

Lisa va jouir, et moi aussi… Ariane met un doigt  en plus de ma queue dans la fente de sa copine, et je décharge  …

Je note que Lisa a fini de lécher le ventre de son amie, et que Chris lui présente sa bite, qu’elle prend en bouche. Elle lui fait le coup de l’aspirateur, pompant très fort le membre de mon pote qui a à peine dégonflé. Elle avait envie de cette queue rousse, ça se voit à la façon de pomper ce dard.  La belle Ariane est aux anges, elle sourit en geignant « encore, encore ». Le slip de Lisa, qui fut  joli et ressemble maintenant à un chiffon me sert pour éponger le jus qui coule de la chatte de ma chérie. Pas en foutre partout, non plus.

Je m’abats sur le lit, le corps cisaillé par une dose de plaisir que je ne connaissais pas.

-Les filles, merci pour ce câlin, c’était génial ! On peut recommencer quand vous voulez…

-Maintenant, là ? demande Lisa

-Euh, attends un peu que je recharge, et on repart pour un tour. Chris ?

-Moi, de suite, je suis trop excité, encore, encore !!

-Tu vas bien t’entendre avec Ariane, toi, c’est ce qu’elle demande depuis tout à l’heure, encore, encore …

-Ariane ne vous a pas vu, tous les deux, je ne voudrais pas passer pour une menteuse, je lui ai dit que je vous avais vu, tous les deux, bien faire… Ça vous dirait, un petit canter entre gars, on ne vous touche pas, on regarde…

-Hemm, j’espère que tu ne vas pas le crier sur les toits, ça ne regarde que nous, ces choses-là…

- Après ce que l’on vient de vivre, tu en as autant à mon service, fait Ariane.

- C’est vrai, mais bon, on dit que nous quatre c’est comme ça ?

-Ok, je veux bien que Chris soit mon petit copain officiel, tu veux Chris ??

Ben tu parles qu’il veut bien !! Avec une poulette pareille, il veut bien tout ! Du coup, Ariane le pousse :

-Alors comme ça, tu aimes la queue aussi, Chris ?

- Plutôt, oui, demande à Denis…

- C’est vrai !! J’adore lorsqu’il me suce, et j’adore le sucer. Et on commence à bien avaler le jus, tous les deux ! Au début, c’était impressionnant, mais on s’habitue…

-Vous nous montrez, les garçons ? En 69 ? Ça m’exciterait beaucoup ! Viens ma puce, on leur laisse le lit … Et elles se coulent au pied du lit, à la place qu'on occupait....

 

25 juin 2021

La prochaine histoire

Les aventures de Chris et Denis

Auteur:  Pierre Paum' haud - 2508 mots -  MF -  FF - FM -baise - consent - oral -  masturb - échange

Quatre petits jeunes très délurées, Une histoire à ne pas rater...

 Et on attend la suite ... (!) 

   'Pierre est aussi l'auteur de l'excellent histoire " Découverte sous la douche"

 

Chris-et-Denis

Les aventures de Chris et Denis  - l'histoire sera en ligne le 26 juin

26 mai 2021

Et vous alors ?

  Pourquoi ne pas écrire un petit commentaire de temps à autre ?

ecrire

 Voilà qui ferait plaisir tant à moi qu'aux autres auteurs. Nous aurions moins l'impression d'écrire pour un mur....  Un retour, même si c'est pour dire que vous n'avez pas aimé telle histoire ou même qu'elle est franchement 'nulle'. Pour que ce site ne soit pas unidirectionnel...  
Merci d'avance

 

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 > >>
Histoires de Q
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 1 014 518
JE VOUS LE RECOMMANDE

Je viens de trouver un blog photo que j'ai bien aimé. 100% amateur et joliment 'cochon' : Minet bi

 Le blog se présente ainsi: "Blog adulte de photos et vidéos de garçons et jeunes hommes bisexuels. Bienvenue aux Gay et Hétéros. Du cul, de la bite,de la baise entre mecs chauds ou avec de bonnes cochonnes."

Ouch ! ça promet d'être chaud  et de compléter joyeusement les Histoires de Q !

 http://minetbi.canalblog.com/
Publicité