Julia et Fabrice : petit déjeuner ensemble
Dimanche dernier, je me suis réveillée de bonne heure et j’ai voulu prendre mon petit déjeuner tranquillement. mais je sentais aussi que mon minou était tout mouillé et encore à demi endormie, je me suis caressée et avant même d’arriver à la jouissance, j’étais éveillée comme jamais.
Alors, je me suis mise à avoir une affreuse envie d’une queue. C’était juste ce qu’il me fallait à cet instant, une bite pour me donner du plaisir... De fait j’aurais bien aimé avoir une paire de couilles et un gros manche à côté de moi mais j’étais seule dans mon lit... En me levant et en allant jusqu’à la salle de bain, j’ai pensé mon voisin... «Si seulement il était là... Bon, je pourrais toujours voir ce qu’il peut faire pour moi - si du moins il ne s’est pas encore vidé les roubignoles !»
Je l’ai appelé au téléphone et je lui ai demandé s’il avait envie de venir prendre le petit-déjeuner avec moi pour me «tenir compagnie» - un mot qu’on utilise souvent entre nous et dont il connaît bien le sens, et j’ai ajouté qu’il fallait qu’il «se prépare.» Mon cher ami a immédiatement accepté l’invitation. Il avait lui même plutôt mal dormi et il a admis qu’il avait besoin de se satisfaire: «Julia, tu ne te doutes pas à quel point ça me chauffe dans les balles...»
A peine dix minutes plus tard, il frappe à la porte de mon appartement juste quand je finis de préparer la table pour le petit-déj. Je vais lui ouvrir la porte et, un peu comme je m’y attendais, le voici devant moi avec sa grosse queue à l’air, effrontément sortie par sa braguette ouverte. Je lui fais un grand sourire je regarde son érection et je l’accueille en lui disant : «Salut, Fabrice, tu as fait vite et je vois que tu es tout à fait prêt, comme je te l’avais demandé.»
Je le fais entrer et, immédiatement, je me penche vers son membre : «Ne bouge pas, juste pour dire bonjour », je dis doucelent et je dépose un ou deux petits baisers sur le gland tendu, suivis d’un coup de langue. Déjà je peux goûter une goutte de son liquide séminal - oh que le mot fait prétentieux, je préfère dire du «pré-foutre» et si j’avais voulu j’aurais pu en sucer bien davantage.- Mais je veux que ça dure, en profiter. Ce sera pour plus tard. Je lui demande de passer à table . je m’assois, alors quil est encore debout à côté de moi avec son gros gland rougeâtre, toujours dehors - juste devant mon visage. Je lui ouvre son pantalon et je le baisse lentement. Quelle beau spectacle ! Un manche assez court mais épais, et au bout, une énorme prune qui repousse le prépuce en arrière. Juste devant mes yeux ce bel équipement qui semble si dangereux, prêt à gicler...
Sous la queue bandée de mon voisin, pend un somptueux sac: je n’ai presque jamais vu de pareilles couilles, bien rondes, lourdes, grosses comme des oeufs de poule.
Aussitôt, je pense à ce qu’elles contiennent, aux promesses juteuses qu’elles annoncent. Je regarde mon ami; il ferme les yeux et pousse un sorte de grognement ( C’est excitant de voir que les hommes réagissent si facilement quand on s’occupe de leurs boules.) J’ai véritablement l'impression qu’il est sur le point de juter. Bon, je laisse tranquille un instant et je bois une gorgée de café. Je me tourne vers Fabrice et spontanément, la bouche grande ouverte, j’appuie ma tête jusqu’à ce que je gland entre dans ma bouche, s’enfonce et disparaisse. Je reste sans bouger quelques secondes, le temps de jouir de cette sensation merveilleuse de cette boule chaude dans ma bouche. Je le ressors, et je regarde encore ce bout, gros, violacé, prêt à exploser.
«S’il te plait, pas encore», je murmure à Fabrice. « Je veux juste une goutte ou deux... Tu crois que tu peux attendre un peu ? Il pousse un soupir d’excitation et me lance d’une voix rauque:
«Bon... je vais essayer...»
Alors mes lèvres entourent la grosse prune humide de pré-foutre et à deux mains je caresse ses couilles bouillonnantes. Fabrice grogne et gémit en essayant de se retenir et de ne pas éjaculer. Alors je serre un peu ses balles et , toute excitée, je lui dis: «Vas-y Fabrice, envoie-moi quelques gouttes, juste un peu...» et je lui suce le gland avec intensité et délectation. J’aspire et je lui tire un joli filet de sauce bien épaisse et c’est seulement en avalant que je me rends compte de la quantité de sperme que je viens de lui prendre. Mon voisin préféré reste ferme et n’a pas vraiment éjaculé : «Oh, Fabrice, tu est super, tu sais !»
Je bois encore une gorgée de café. Mes mains continuent à jouer avec le gros sac entre ses jambes et Fabrice a bien du mal à se contenir. Je remarque le comportement absolument typiques des couilles au moment où un homme est sur le point de jouir : elles se retractent et durcissent. D’une main, je serre un peu la paquet et totalement emportée par la passion, je lui demande : « Tu veux jouir, mon gros lapin ? Alors vas-y !» En même temps j’ouvre la bouche, sachant bien ce qui va arriver. J’ai juste le temps de lécher le pré-foutre qui coule du bout du gland et et presque immédiatement Fabrice commence à jouir dans ma bouche gourmande : je sens son gros gland trembler et pulser et la queue de mon voisin se met éjaculer et à me remplir avec de longs jets, aussi abondants que s’il me pissait dedans . Mes joues sont pleines de son sperme chaud et ma bouche remplie par sa bite épaisse et dure. J’avale du mieux que je peux mais il continue à juter et à me remplir. Le foutre qui gicle par son gros gland en feu me remplit la bouche encore et encore et j’ai bien du mal à tout manger pour ne rien perdre de sa magnifique sauce. Je le laisse finir de se vider dans moi et en le suçant encore, je lui tire quelques gouttes collantes.
Ensuite, je me dis que nous allons pouvoir prendre notre petit-déjeuner. C’est bien pour ça que Fabrice est venu, du moins, officiellement, mais il bande toujours autant et il se branle doucement. Je le regarde, c’est beau de voir un homme se masturber et de voir le prépuce monter autour de queue, recouvrir le gland avant de redescendre : la peau se distend en descendant autour de l’énorme prune violacée et tendue. Puis à nouveau...
Je ne peux pas résister à pareil spectacle et je recommence à le sucer. deux ou trois fois sur le gland , puis la bouche en grand, j’avale tout le manche brûlant.De ma main droite, j’attrape ses couilles et je les masse... Umh, c’est bon de sentir son paquet entre mes mains ! En même temps je ne parviens pas à le pomper vraiment: il est trop gros et j’en ai plein la bouche. Alors je le suce du mieux que je peux et mon homme se met à gémir de plaisir, je le suce et le léche tout en caressant ses énormes couilles entre le pouce et l’index. Et ensuite, je me lâche : je le pipe un max et je lui malaxe ses belles couilles à deux mains. Pour varier un peu, je lui branle le manche avant de le reprendre en bouche et aussitôt après je sens son énorme gland tugescent qui se met à gicler, à gicler, encore et encore - toujours aussi fort et aussi abondamment - de grands jets chauds. Je le suce avec passion; je , lui pelote les couilles vigoureusement et , il jute encore de quoi recevoir et avaler trois belles giclées en direct de ses couilles et de sa bite !
Cette fois, je suis certaine que je l’ai pompé à fond et que je lui ai vidé les boules jusqu’à la dernière goutte. Un joli petit-déjeuner pour ce dimanche matin...