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Histoires de Q
2 juin 2018

Julia et Fabrice : petit déjeuner ensemble

 

 

 Dimanche dernier, je me suis réveillée  de bonne heure  et j’ai voulu prendre mon petit déjeuner tranquillement.    mais je sentais aussi que mon minou était tout mouillé  et encore à demi endormie, je me suis caressée et avant même d’arriver à la jouissance, j’étais éveillée comme jamais.

Alors, je me suis mise à avoir une affreuse envie d’une queue. C’était juste ce qu’il me fallait à cet instant, une bite pour me donner  du plaisir...  De fait j’aurais bien aimé avoir une paire de couilles et un gros manche à côté de moi mais j’étais seule dans mon lit...  En me levant et en allant jusqu’à la salle de bain, j’ai pensé  mon voisin... «Si seulement il était  là... Bon,  je pourrais toujours voir ce qu’il peut faire pour moi - si du moins il ne s’est pas encore vidé les roubignoles !» 

Je l’ai appelé au téléphone et je lui ai demandé s’il avait envie de venir prendre le petit-déjeuner avec moi pour me «tenir compagnie» - un mot qu’on  utilise souvent entre nous et dont il connaît bien le sens, et j’ai ajouté qu’il fallait qu’il «se prépare.» Mon cher ami a immédiatement accepté l’invitation. Il avait lui même  plutôt mal dormi et il a admis qu’il avait besoin de se satisfaire: «Julia, tu ne te doutes pas à quel point ça me chauffe dans les balles...»

A peine dix minutes plus tard, il frappe à la porte de mon appartement juste quand je finis de préparer la table pour le petit-déj.  Je vais lui ouvrir la porte et, un peu comme je m’y attendais, le voici devant moi avec sa grosse queue à l’air, effrontément sortie par sa braguette ouverte. Je lui fais un grand sourire je regarde son érection et je l’accueille en lui disant : «Salut, Fabrice, tu as fait vite et je vois que tu es tout à fait prêt, comme je te l’avais demandé.» 

Je le fais entrer et, immédiatement, je me penche vers son membre : «Ne bouge pas, juste pour dire bonjour », je dis doucelent et je dépose un ou deux petits baisers sur le gland tendu, suivis d’un  coup de langue. Déjà je peux goûter une goutte de son liquide séminal - oh que le mot fait prétentieux, je préfère dire du «pré-foutre»  et si j’avais voulu j’aurais pu en sucer bien davantage.-  Mais je veux que ça dure, en profiter. Ce sera pour plus tard.  Je lui demande de passer à table . je m’assois, alors quil est encore debout à côté de moi avec son gros gland rougeâtre, toujours dehors - juste devant  mon visage. Je lui ouvre son pantalon et je le baisse lentement. Quelle beau spectacle !  Un  manche assez court mais épais, et au bout, une énorme prune  qui repousse le prépuce en arrière. Juste devant mes yeux ce bel équipement qui semble si dangereux,  prêt à  gicler...

Sous la queue bandée de mon voisin, pend un somptueux sac: je n’ai presque jamais vu de pareilles couilles, bien rondes, lourdes, grosses comme des oeufs de poule.

Aussitôt, je pense à ce qu’elles contiennent, aux promesses juteuses qu’elles annoncent.  Je regarde mon ami; il ferme les yeux et pousse un  sorte de grognement ( C’est excitant de voir que les hommes réagissent  si facilement  quand on   s’occupe de  leurs boules.) J’ai véritablement  l'impression qu’il est sur le point de juter. Bon, je  laisse tranquille un instant et je  bois une gorgée de café.  Je me  tourne vers Fabrice et spontanément, la bouche grande ouverte,  j’appuie ma tête  jusqu’à ce que je gland entre dans ma bouche, s’enfonce et disparaisse. Je reste sans bouger quelques secondes, le temps de jouir de cette sensation merveilleuse de cette boule chaude  dans ma bouche. Je le ressors, et  je regarde encore ce bout, gros, violacé, prêt à exploser.

«S’il te plait, pas encore», je murmure à Fabrice. « Je veux juste une goutte ou deux... Tu crois que tu peux attendre  un  peu ? Il pousse un soupir d’excitation et me lance d’une voix rauque:

«Bon... je vais essayer...»

Alors  mes lèvres entourent la grosse prune humide de pré-foutre et à deux mains je caresse ses  couilles bouillonnantes. Fabrice grogne et gémit en essayant de se retenir et de ne pas éjaculer. Alors je serre un peu ses balles et , toute excitée, je lui dis: «Vas-y  Fabrice, envoie-moi quelques gouttes, juste un peu...» et je lui suce le gland avec intensité et délectation. J’aspire et je lui tire un joli filet de  sauce bien épaisse et c’est seulement en avalant que je me rends compte de la quantité de sperme que je viens de lui prendre.   Mon voisin préféré reste ferme et n’a pas vraiment éjaculé : «Oh, Fabrice, tu est super, tu sais !»  

Je bois encore une gorgée de café.  Mes mains continuent à jouer avec le gros sac entre ses jambes et Fabrice a  bien du mal à se contenir.  Je  remarque le comportement absolument typiques des couilles au moment où un homme est sur le point de jouir : elles se retractent  et durcissent.  D’une main, je serre un peu la paquet et totalement emportée par  la passion, je lui demande : « Tu veux jouir, mon gros lapin ? Alors vas-y !»  En même temps j’ouvre la bouche, sachant bien ce qui va arriver.  J’ai juste le temps de lécher le pré-foutre qui coule du bout du gland et  et presque immédiatement Fabrice commence  à jouir dans ma bouche gourmande : je sens son gros gland trembler et pulser et la queue de mon voisin se met  éjaculer et à me  remplir  avec de longs jets, aussi abondants que s’il me pissait dedans . Mes joues sont pleines de son sperme  chaud  et ma bouche remplie par sa bite épaisse et dure. J’avale du mieux que je peux mais il continue à juter et à me remplir. Le foutre qui gicle par son gros gland en feu me remplit la bouche encore et encore et j’ai bien du mal à tout  manger pour ne rien perdre de sa  magnifique sauce. Je le laisse finir de se vider dans moi et en le suçant encore, je lui tire quelques gouttes  collantes.

Ensuite, je me dis que nous allons pouvoir prendre notre petit-déjeuner. C’est bien pour ça que Fabrice est venu, du moins, officiellement, mais il bande toujours autant et il se branle doucement. Je le regarde, c’est  beau de voir un homme se masturber et de voir le prépuce monter autour de  queue, recouvrir le gland avant de redescendre : la peau se distend en descendant autour de l’énorme prune violacée et tendue. Puis à nouveau...

Je ne peux pas résister à pareil spectacle et je recommence à le sucer. deux ou trois fois sur le gland , puis la bouche  en grand, j’avale tout le manche brûlant.De ma main droite, j’attrape ses couilles et je les masse... Umh, c’est bon de sentir son paquet entre mes mains ! En même temps je ne parviens pas  à le pomper vraiment: il est trop gros et j’en ai plein la bouche. Alors je le suce du mieux que je peux et mon homme se met à gémir de plaisir, je le suce et le léche tout en caressant  ses énormes couilles  entre le pouce et l’index. Et ensuite, je me lâche : je le pipe un max et je lui malaxe ses belles couilles à deux mains. Pour varier un peu, je lui branle le manche  avant de le reprendre en bouche et aussitôt après je sens  son énorme gland tugescent qui se met à  gicler, à gicler, encore et encore - toujours aussi fort et aussi abondamment  - de grands jets chauds. Je le suce avec passion; je , lui pelote les couilles vigoureusement et ,  il jute  encore de quoi recevoir et avaler  trois belles giclées  en direct de ses couilles et de sa bite !

Cette  fois, je suis certaine que je l’ai pompé à fond et que je lui ai vidé les boules jusqu’à la dernière goutte. Un joli petit-déjeuner pour ce dimanche matin...

 

 
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Commentaires
E
Cette histoire m'a beaucoup excité et correspond à l'un de mes fantasme. Je vous ai réalisé une petite illustration : https://drawingwithmyfrienddick.blogspot.com/2018/07/illustration-le-petit-dejeuner.html
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E
J'ai beaucoup aimé cette nouvelle qui correspond à un de mes fantasmes de toujours petit-déjeuner tout en baisant, beurrer ma baguette, tartiner ses brioches, etc... J'ai tellement aimé cette lecture que j'en ai fait un dessin :<br /> <br /> https://drawingwithmyfrienddick.blogspot.com/2018/07/illustration-le-petit-dejeuner.html
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E
J'ai adoré cette nouvelle qui correspond à un de mes fantasmes, petit déjeuner tout en baissant, beurrer ma baguette, tartiner ses brioches de confitures, etc... J'ai fait une illustration tellement la lecture m'a inspiré.<br /> <br /> https://drawingwithmyfrienddick.blogspot.com/2018/07/illustration-le-petit-dejeuner.html
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